Bisounours

Pas que. Les carences éducatives/réponses inadaptées, tu les trouves aussi dans des familles de type classique. Un dysfonctionnement parental/conjugal peut être aussi générateur de déséquilibres, davantage que dans le cas d'un parent isolé qui remplit correctement son rôle. Bref, c'est multi causal et on ne peut pas simplifier. Mais on retrouve des signaux communs

Ben tu sais, si tu fixes pas de limites à ton gamin, si tu lui expliques pas que ses actes ont des conséquences, sur lui et sur autrui, il va potentiellement aller de plus en plus loin dans la connerie. Et si de surcroît, la justice pratique de même au nom de principes alakon, aucune raison que ça cesse, puisque c'est payant. L'apprentissage de la frustration, c'est la base de toute éducation, autrement, autrui finit par être considéré comme le moyen de parvenir à ses fins, à nimporte quel prix. Nous en sommes là aujourd'hui. La racaille qui sévit de plus en plus en est une triste illustration.

Le net est farci de témoignages de ce style. C'est assez affolant parce que même minoritaires, ces actes impunis aboutissent à ce qu'ils finissent par se multiplier.

Si les premiers éducateurs que sont les parents ne remplissent pas correctement leur mission pour des tas de raisons (culturelles, psycho machin, famille décomposée et nombreuse....) et que la justice ne pallie pas d'une certaine manière ces carences en représentant l'autorité qui a fait défaut, il n'y a plus de bornes aux limites.

Maurice Berger pédo psychiatre ayant travaillé en centre d'éducation renforcé explique très bien, via son expérience, ce qui se joue actuellement. Réponses éducatives inadaptées ou inexistantes, culture de l'excuse qui continue au niveau de la justice, système clanique. Quel est le signal qui est envoyé aux victimes comme aux auteurs ? Ce n'est pas nécessaire qu'il y ait une majorité agissante, une minorité qu'on laisse faire sans aucune limites, c'est la catastophe. https://www.lefigaro.fr/vox/societe/maurice-berger-non-la-violence-gratuite-n-est-pas-due-a-la-ghettoisation-20191115

"On se demande où toute les paires voler par les livreurs de Chronopost sont où"

Je ne crois pas écrire une connerie en suggérant que l'on peut mourir de faim, de soif, de trop froid ou de trop chaud mais d'abstinence sexuelle, bof. Mais en France, et en Occident, meurt-on encore de soif ou de faim ? Je dubite. Tout ceci me fait penser à la pyramide du sieur Maslow, non ?

Quelle terrasse et où ?

Vous faites l'analyse d'un échange de Ségogo ? Sans rire ? Couvrez-vous la tête et hydratez-vous les mecs

Les estampillés Français auront des droits, quant aux autres, ont-ils accès à l'emploi aujourd'hui, compte tenu du contexte sanitaire/réglementaire ?

Personne ne comprend plus rien. C'est un véritable foutoir d'avis contraires et contradictoires, masques, pas masques, deuxième vague, rebond ou fin de l'épidémie ? C'est en tout cas ce que j'entends et vois autour de moi, entre ceux qui flippent comme des fous, avancent masqués en vélo, en pleine nature, et ceux qui s'agglutinent joyeusement. Même les chiffres sont différents. Et les médecins ne sont pas foutus de se mettre d'accord. Alors je pense qu'il existe un comportement raisonné qui consiste à être vigilant a minima lorsque l'on est fragile, mais ce n'est pas ce que je constate.

Dans la fonction publique, ça a consolidé les vocations de glande puissance 1000, c'est évident. Et ailleurs, ça dépend du statut, les travailleurs indépendants morflent pas mal par exemple.

Euh... tous les libéraux ne souhaitent pas la disparition de l'État.

« la proportion substantielle d'œuvres musicales d'expression française ou interprétées dans une langue régionale en usage en France doit atteindre un minimum de 40 % de chansons d'expression française, dont la moitié au moins provenant de nouveaux talents ou de nouvelles productions, diffusées aux heures d'écoute significatives par chacun des services de radiodiffusion sonore autorisés par le Conseil supérieur de l'audiovisuel, pour la part de ses programmes composés de musique de variétés. » (cf : Loi du 30 septembre 1986). Donc osef de la qualité, pourvu que ce soit en langue française. Quant à langue régionale, chacun appréciera je dubite sur la langue occitane

Les dernières interventions télévisuelles de Ferghane Azihari concernent majoritairement les soucis environnementaux

À ça, en partie, : https://www.lest-eclair.fr/id176055/article/2020-07-14/troyes-des-navettes-pour-aller-au-lac-de-mesnil-saint-pere

Toutes ces incivilités, ces bandes de djeunes, halalalala, il faut bien que jeunesse se passe, que voulez-vous... sacrés petits chenapans. Il y a quelques années de cela, donc pas hier, la piscine municipale de Toulouse avait dû mettre des vigiles partout pour régler le problème. Il faut dire qu'avec une entrée gratuite ou presque, bonjour les descentes des racailles des banlieues pourraves.

Je comprends pas trop. En quoi la police (les policiers) d'aujourd'hui a (ont) quelque chose à voir avec ses origines ? C'est un peu du même ordre que la condamnation aujourd'hui de l'esclavage ou de la colonisation que l'on fait payer à ses descendants. Enfin, il me semble. Pas vraiment tout en finesse, cette comparaison "le maire Europe Ecologie-Les Verts (EELV) de Colombes (Hauts-de-Seine), Patrick Chaimovitch, qui avait comparé les forces de l’ordre à la police de Vichy" Enfin, de toute façon, ça ne vole pas haut.

Cet article de De Brouwer à propos des inconvénients des masques pour un certain public https://www.contrepoints.org/2020/07/28/377137-le-masque-en-plein-air Je ne sais pas comment ça se traduit en Belgique, mais en France, on peut obtenir une dérogation (secrétariat d'État chargé des personnes handicapées) La dérogation au port du masque reste cependant possible pour les personnes dont le handicap le rend difficilement supportable, mais toujours sous deux conditions : il sera nécessaire pour les personnes de se munir d’un certificat médical justifiant de son handicap et de cette impossibilité de porter le masque ; la personne handicapée sera également tenue de prendre toutes les précautions sanitaires possibles (port, si possible, d’une visière, respect des autres gestes barrières, à savoir rester à plus d’un mètre de l’autre, ne pas toucher son visage et les yeux, se laver très souvent les mains, saluer sans toucher les personnes, tousser ou éternuer dans son coude, utiliser un mouchoir en papier et le jeter). Alors, je ne suis pas certaine qu'il faille une AOC pour bénéficier de cette dérogation. Mais ça rend l'obligation plutôt rigolote puisque a priori ce sont les personnes fragiles ciblées par ce texte qui peuvent être exonérées du port systématique du masque.

J'ai insisté auprès de la buraliste, elle me l'a assuré, en évoquant un événement dans son bar. À l'occasion je lui redemanderai, ça me semble tellement énorme. C'est pas comme si la police avait pas autre chose à foutre, n'est-ce-pas ?

Retour d'expérience Je reviens de faire quelques achats dans mes petits commerces de proximité, fruits/légumes/fromages, poissonier, boucher et tabac-journaux. La vendeuse de ce dernier m'a gentiment rappelé l'obligation du port de cette merde de nid à microbes que chacun met et range n'importe comment et n'importe où. Confirmation par les autres... Alors donc, des flics déguisés en clients vont dans les magasins, et hop, chopent les délinquants non masqués : - 135 euros d'amende pour le client - 750 euros d'amende pour le magasin qui n'a pas exigé le truc - 250 euros pour l'employé si il ne respecte pas ce bordel. Cumul possible et souhaité, of course. Époque de dingues.

Je me fous de savoir si la personne qui recueille le témoignage et gère la plainte a une aoc de flic, ou de secrétaire, ce n'est pas encore assez clair ? Dans la mesure où les plaintes se font au commissariat ou à la gendarmerie, l'idée c'est que cette partie de la mission de la police/gendarmerie au sens large (donc avec des agents d'accueil et de surface y travaillant) se fasse correctement. Avec une formation minimum qui va bien, et des personnes désireuses d'accomplir cette partie non négligeable du travail.

Si quelqu'un doit le faire, c'est ma fille, pas moi et les flics lui ont donné les coordonnées d'un tel service, au lieu de faire leur job de base : prendre la plainte avec l'identité de l'auteur des menaces, ce pauvre connard ayant envoyé des sms... et téléphoné. Là je pense qu'elle doit en être au niveau de l'écoeurement. Il faut avoir une sacrée dose de pugnacité pour se lancer dans une telle procédure quand dès le départ, le policier bac + je m'en fous te donne l'impression qu'il s'en fout comme de sa première contravention.

Recueillir un témoignage, être réactif, poser les bonnes questions, ne pas influencer les réponses, ça s'apprend. Alors, flics ou service de secrétariat d'accueil, l'essentiel est que le job soit fait correctement, en admettant que le mieux est l'ennemi du bien. Je ne connais pas le niveau d'études nécessaires pour entrer dans la police de base. Mais nul besoin de faire x années d'étude, des formations en interne existent déjà, mais peut-être pas suffisamment. Et bien sûr, ça vaut pour toutes les missions des forces de l'ordre : recueillir les plaintes des victimes et exercer une force raisonnable et appropriée à l'encontre des acteurs supposés ou avérés. Ce peut être du ressort de services différents. C'est une évidence.