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Jazzaroundtheworld

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Tout ce qui a été posté par Jazzaroundtheworld

  1. Nick I take this: Nick je vois que tu es sur la traduction au vue du tableau de traduction, donc évidemment je ne traduit pas Mises de Hannan je prends la planche á billets.
  2. Pour cela, il faut donner une autonomie comptable á toutes les agences et faire des chefs de ces agences, des gens réponsables, i.e savoir balancer un budget avec des contraintes, savoir chercher de lárgent (pas au gouvernment bien sur) mais chez les acteurs relevant de leur domaine et compétence. Puis pour la transparence, s'inspirer de ceux qui le sont: http://www.sweden.gov.se/content/1/c6/10/22/11/2226fded.pdf
  3. surement un sujet de papier dans l'avenir? Cependant je pense que la déliquescence du mode de gouvernance des syndicats et de leur main mise sur l'argent public est une pratique courante et qui a complétement dégénéré depuis les années 70 (dans le clip ils déclarent depuis les années 90!) Les administrations francaises sont completement inadaptées aux nécessités dóuverture, de transparence, d'éfficacité élémentaire, de service du public et d'allocation des resources par objectifs etc. Ici, c'est l'éducation nationale mais on peut multiplier les exemples. C'est un cancer qui capte les ressources publiques en détournant leur missions. En d'autres termes, c'est l'instauration d'une mafia - créer par notre incompetence á réformer. (Sarko en est l'exemple le plus flagrant, élu sur la réforme qui ne fut qu'un effet d´'ánnonce.) Il n'y a pas le choix, il faut remplacer les élites et mettre l´administration au pas des missions actuelles.
  4. ce clip m'est tombé dans les pattes http://www.soseducation.com/greve27septembre/ l'origine de ce clip vient de http://www.soseducation.com/
  5. Je n'ai pas commenté parce que je pense que c'est le type de details avec lequel je suis en accord total. Ca a avoir avec la refonte du systeme de taxation et de balance du budget de l'etat. Pour des reflexions serieuses sur la chose voir Francois Ecalle "Maitriser les finances publiques pourquoi, comment? editions Economica (preface de Raymond Barre). Point 8 - j'irais même dans l'innovation en matiére d'impot: detaxer le travail manuel et revaloriser les métiers de type manufactures et autres (en relation avec les professionels bien sur et les formations professionelles). L'idée simple et normale: favoriser l'accés des jeunes á un travail productif + revigorer le tissu des services et des petites et moyennes industries - qui ont été laminée dans le systeme de politisation á outrance de léconomie ou seul les grands groupes peuvent faire des accords dans le couloir de l´'Elysée. Léxemple dans ce cas, c'est lállemagne ou un jeune qui fait 2 ans aprés le bac peut être productif dans une petite industrie locale et avec laquelle il peut s'améliorer et enrichir la communauté (en plus de dynamiser la vie en région). le point 5, c'est évident (je vis en suéde et je vais avoir ma retraite a 67 et c'est pas un probleme, jái aussi une complementaire et c'est la norme ici). De plus, létat suédois a au moins un avantage clair sur la plupart de tout les états européens, c'est qu'il sait compter et balancer un budget. Il ne viendrait á l'ídée d'aucun politicien ici de se construire une bibliotheque, une tour ceci ou cela, un musée africain, une pyramide chinoise, un arc de triomphe ou tout genre dáutres conneries sur le dos des citoyens. Par contre en terme d'infrastructure, on a oublier de prendre un TGV avec le numerique dans les années 1990, ce qui a un nombre incalculable de ramification. On pourrait aussi reprendre le rapport Atali et voir ce que les têtes pensantes ont pondu parce que des bonnes idées, y en a plein, mais je me demande si les masturbations mediatiques autour de ces rapports ne faisait pas parti du marketing de campagne de Sarko. Comme d'hab en France, on enterre les idées et on éteinds, par la même, toute dissidence (qui voudrait reprendre ces idées - sur la base du "c'est moi qui lái dit en premier"!). 9 - suppression des financements des syndicats, évidemment - évincement de la patte étatique dans les affaires économiques et sociales qui ne le regarde pas. On peut ajouter, + suppression des préfectures qui sont encore une couche dádministration inutile et inéfficace. Je rappelle que le silicon valley francaise (sophia Antipolis) est un gros echec de la politique planificatrice de la préfecture de Nice et de ses copains des grandes écoles parisiennes qui voulaient aller á la mer. Tout le monde civilisé sait pertinemment que nous les Francais sommes des idiots incurables. Exemple 1: le président de the European Regional Science Association, un ami et collegue má dit texto que tout le monde considere Sophia Antipolis comme un échec évident. On enseigne Silicon Valley, pas Sophia Antipolis. Exemple 2: en l'informatique avec des professeurs Finlandais qui sont organisateurs des normes IEEE dans le domaine et qui ont pris des cours dans nos grandes ecoles en info et qui mon fait savoir que c'etait discutable comme pédagogie (pour rester poli). Exemple 3: je peux vous raconter mes experiences internationales en sciences sociales entre les anglais et francais dans les hauts lieux de la culture francaise - colloques de Cerisy la Salle etc. etc. Example 4: le détournement de l'argent de co-tutelle de thése par les responsables de thése etc. etc. En gros, abus en tout genre (DSK est un ideal type de l'ambiance délétere génerale - pas un cas exceptionel). + Refonte des syndicats détudiants (similaire au syndicats du monde civilisé - c ad qui sert les besoins des étudiants sans relation directe aux partis politique nationaux (c'est par example le plateau de recrutement du parti socialiste). On se demande bien pourquoi la fac est organisé avec une fonction de recrutement et pas d'enseignement? + Enlévement des péages dáutoroutes (on est presque les seuls a voir des routes payantes)! Et si je regarde de plus prés je suis sur qu'on peut trouver une serie de truc dans le genre. + Pour la gouvernance politique de ces changements lourds mais nécessaire, j'ý ai aussi réflechi et ma conclusion rejoint H16, une serie de référendum pendant les 2 premieres années du quinquénnat et le reste pour paufiner. + Facilitation de l'immigration et l'intégration (enlever une administration suspicieuse, tatillonne, vicieuse et contre productive). Créer un message clair, une administration transparente. + Repenser la ville et éviter la ghettoisation sociale et un creuset de ruptures (je rappelle les brulots de 3000 bagnoles dans toutes les banlieux de France, unique en Europe á l´époque) (voir sur LCP la remise des prix du Sénat pour les jeunes entrepreneur des banlieux (ou le responsable de ce prix a dit ouvertement qu'il devrait y a avoir plus de sénateurs sur les bancs pour se rendre compte de ce qui se fait en France!). Pour le coup, je suis dáccord avec le vieux Charles DeG sur les sénateurs qu'il appelait "la france de la chataigne" (pas vraiment le fer de lance de la modernité je présume). Et je ne peux plus être plus d'accord avec son traitement du référendum de 1965 ou il planifiait de virer cette chambre purement et simplement. + Nettoyer le post-colonialisme à la con et la France-afrique (vérifier ce que des boites comme Elf fait dans ces eaux troubles). + Redéfinir des relations réelles de cooperation (c'est a dire les bases normales d'échange capitaliste) en vue de la stabilité politique et de la croissance économique (ce que font les chinois). Arreter de partager les recettes de cuisines pour devenir un bel état totalitaire. + Remplacer l'enseignement de l'idéologie par lénseignement des faits contemporains (enseignement de la philosophie a 18 ans et aveuglement des leplus jeune age avec des reflections quasi philosophique de type La Bruyere, Montaigne, Voltaire et j'en passe - qui sont d'excellent auteurs mais pas entre 12 et 15 ans) + suggestion: savoir comment une usine fonctionne, ce que produit la France, ou se trouve nos regions les plus productives, quelles sont nos specialités, quelles sont nos resources, nos faiblesses etc. etc. + Revenir á un enseignement géneral d'économie dont le principe de base est de reduire les couts de production par un effet d'échelle (lecon 1 du cours d'eco) en ce qui concerne les biens de consommations par exemple (et non le pseudo-maxisme de pacotille instillé par un humanisme litéraire de facade). etc, etc. etc.
  6. Pour repondre, il y a tellement á faire que c'est désespérant. D'abord, un de ces quatres, je crois que je vais activement me mettre autour d'une table avec les bonnes gens du démocratie liberale et faire un programme qui tient la route. 1- Rationliser l'état en commencant par moderniser toutes les procédures obsolétes et toutes les administrations qui se sont embourbées dans le XIX siécle. Example: pas d'éducation nationale centralisée qui controle le contenu mais une administration souple qui donne des tendances et pourvoit á un role de service et de support pour les enseignants du privé et publique. Par example, léducation comme centre de renseignements et d'accompagnement des éleves dans des branches et dans les differents regions de France ou se trouvent les spécialisations. Et cela de facon complement transparentes et ouvertes (et non comme un systeme de discrimination sociale). Cela implique de faire disparaitre les rectorats par example. (cela implique de dépolitisées les administrations et de concentrer sur les compétences de métier). Il faut reformer et refaire une carte nationales des enseignement superieurs avec des objectifs internationaux et qui se distribuent sur tout le territoire nationale et qui sont financé par les regions, les privées etc. Il faut créer des fondations privées et publiques qui finances la recherche sur des projets qui changent dánnée en année sur la base dáppels d'offres ou en collaboration directe avec des admnistrations qui ont besoins de recherche qu'elles peuvent spécifier elles -meme et financées elles-meme. (Ca demande de revoir le CNRS, EHESS et bien d'autres choses encore dans toutes les domaines). Cela demande de demanteler les cliques parisiennes qui étouffe la France: Ce qui incluent les grandes ecoles (qui doivent jouer un role central moteur dans cette redistribution). Et non le role de gang/cliques (comme Paris Tech s'est constitué aujourdhui). 2- On doit reformer les services au personnes pour les mettres au couleur du XXI siecles. Pas de medecins de campagne mais des unités de 2 ou trois medecins avec des infirmieres (et une communisation des outils et des procedures) avec un systeme informatique relier au parmacie pour pouvoir retirer les medicaments avec la carte d'identité seulement. Un systeme centralisée du numero INSEE qui est notre nom de code pour acceder a tout les services de toutes les administrations (info entre administrations ne séchange pas) Enlever les notaires et faciliter les transactions immobilieres avec les acteurs professionels normaux (cadastres par example) et eviter ces intermediaires inutiles et couteux. 3- Electroniser toute les services de létat. Assainir le ministere du budget avec des technologies budgetaires modernes. 4- Organiser les relations sociales et industrielles et de services sans l'intermediaire de l'etat: metter en place de nouveaux syndicat par branche de specialisation (un syndicat pour le batiment, un pour léducation etc etc,) non pas basé sur les cliques politiques mais sur une representation de branches. Pas de mediation de létat mais directement avec les entreprises concernées. negociations basé sur des données ecominiques et la viabilité du systeme sur le long termes et les avantages pour les salariés dans le cadre de possibilité economiques reelles (et non effet de rhetorique comme c'est le cas en France). 5- Elimination du cadrillage géopolitique de la France hérité de la revolution (les départments). Concentrer sur des regions et sur les centres metropolitains (les grandes villes qui sont sources dínnovation´et déchanges). Cela implique de virer les 36 000 communes et de repenser la nation comme un territoire vivant et non comme un espace de controle pour prelever des taxes. 6- Arrëter les controles intempestifs et rédibitoires des aspects de nos vies (pas de doublement des films et autres productions culturelles), pas de controle d'internet (sinon hors des problemes liées aux crimes dont la police devraient normalement être équippé). Ce sont quelques axes, mais tu me donnes un mois avec une équipe de 5- a 10 personnes et on peut te paufiner dans toutes les directions parce que la France, il faut bien le dire, c'est bien pourri avec l'élite de merde qui n'a tirer aucun enseignment de ses déboires de la deuxieme guerre mondiale, i.e. mondialisation des affaires = echelle mondiale du capitalisme et toutes les décisions en terme d´'éducation de la population, .déconomie pour prendre a bras le corps les defis de demain … euh aujourdhui.
  7. Lobbying: Les ONG bien plus puissantesque les grandes firmes Quelles sont les multinationalesréellement politiquement significatives ? Il est difficile de ne pas admirer George Monbiot pour faire publier l’intégralité de sesrevenus. Comme il le dit, les journalistes font souvent face au problème du« on donne tout mais on prend rien ». Je connais un chroniqueur, parexemple, qui écrit souvent que la Grande-Bretagne a besoin d'exporter plusd'armes, mais qui n'a jamais, à ma connaissance, divulgué le fait qu'il vatirer au frais d'un vendeur d’arme de premier plan. Cela ne l'empêche pasde dénoncer la vénalité et corruption des députés. Qu’est-ce qui a incité Monbiot à tant de transparence? Il s'expliquecomme suit: La question desavoir qui paie pour plaider la cause publique est devenue une de mesobsessions. J'ai vu comment les groupes prétendant être des rassemblementsspontanés militants de base, luttant contre la réglementation du tabac ou exigeantque les gouvernements ne prennent aucune décision concernant le changementclimatique, ont en fait été créés et payés par les entreprises: une pratique connuesous le nom astroturfing[ndt : «stratégie de manipulation basée sur un mouvement citoyen d'apparence spontané,mais en réalité orchestré dans un but précis »]. Il semblerait que ce soit une idée, mais il ne s'ensuit pas que ces groupesaient tort de s'opposer à la réglementation. Comme le souligneDelingpole, c'est « la mesattribution d’intention". Vous pouvezavoir á titre personnel un intérêt á déclarer quelque chose, mais il se peutnéanmoins que ce quelque chose soit vrai. Cependant, il est vrai que ces chosesdites doivent l’être de manière transparente. Curieusement, Monbiot dit rien sur l'argent et l'influence qui s’exerce del'autre côté de la barrière idéologique. Oui, le pétrole, le tabac et (surtout)les lobbies pharmaceutiques sont actifs en politique - chaque jour passé entant que député m'apprend á quel point ils sont actifs. Cependant, les plusfrénétique, sont les lobbyistes de la pauvreté et des ONG vertes: Oxfam, Amisde la Terre, War on Want, le WWF, Greenpeace,et lenon des moindres, Christian Aid (charité chrétienne). Les multinationales et les ONG mondiales sont des réflexions á l’identique lesunes des autres. Toutes deux se méfient du processus démocratique,préférant s'entendre avec des faiseurs d'opinion clés. Toutes deux, enconséquence, adorent l'UE, ayant immédiatement l'intuition qu’elle a été conçuepour être à l'abri de l'opinion publique. Et pourtant, pour quelque raison,la plupart de ceux qui se plaignent les tendances anti-démocratiques desmultinationales font l’autruche quand il s'agit des lobbys écologiques et descampagnes anti-libre-échange. Incidemment, et pour anticiper certains de vos commentaires, tous lesdéputés conservateurs enregistrent et publient toute réunion tenue avec deslobbyistes. J'ai pris la décision il y a quelques années den’en avoir aucune. Quand un lobbyiste me demande un rendez-vous, jeréponds que je serais heureux de parler á chacun de ses clients qui sont aussi mesélecteurs, et ce faisant qu'ils devraient entrer en contact directement avecmoi. Je suis, je me rends compte, assez injuste envers la majorité écrasantedes lobbyistes, qui ont une réglementation de leurs sont propres visant àassurer l’éthique de leur comportement. Mais, comme Monbiot, je suisdevenu obsédé par la façon dont ils contournent le processus démocratique. Les pratiquespolitiques transparentes ne vont pas résoudre le problème, mais c'estsurement un début. 2 petites remarques: 1- le lien sur l'aide chrétienne est un article que j'avais déja traduit pour CP (mais j'ai pas fait l'effort de retrouver le lien - donc le lien est l'original du Telegraph) 2- j'ai rajouté un lien pour Astroturfing (a un site francais de traduction dont l'explication de l'expression était correcte). 3- je suis moins actif en ce moment dû au boulot á l'université avec les cours etc. a +
  8. Ah je suis chaud pour passer á une ONG maintenant /!\ : http://blogs.telegraph.co.uk/news/danielhannan/100108480/the-lobbying-strength-of-big-business-is-puny-compared-to-that-of-the-global-ngos/ -> celle-ci semble bien prometteuse j'ai bien gravé mes initiales ou vous savez
  9. José Barroso nous envoie la facture de l’Euro Nous contribuons á peu près ácette hauteur, le reste on le refilera aux Banquiers de Grande-Bretagne. José Manuel Barroso a l’intention de résoudre la crise de l’Euro grâce áplus de dette, plus de dépense, plus d’intervention et plus d’intégration Européenne– plus, c’est vrai, de toutes ces choses qui font les grands gâchis. D’accord,vous me direz, mais c’est son problème. Si la zone Euro veut s’automutiler, quisommes-nous pour l’en empêcher ? Le problème, c’est que ces mesures ne vont pas se confiner á la zone Eurocomme le souligne clairement le président de la commission lui-même. Ellesferont partie de la « méthode de la communauté ». Barroso veut que la« solidarité » s’installe entre les membres de la monnaie unique etles non-adhérents. En d’autres termes, pour ne pas trop insister, il veut fairepayer la facture á la Grande Bretagne pour soutenir une monnaie dont elle arefusé de se joindre. Au cœur de son dispositif se trouve le plan pour l’impôt sur lestransactions financières. Ou se déroulent la majorité des transactions financièresdans l’UE ? Dans la cité de Londres. Pareil á la politique commune depêche, la Grande Bretagne va remplir en façon disproportionnée le pot dont lesautres vont allégrement piocher. Déjà, la Grande Bretagne s’est fait entrainer dans le tourbillon, en déposant£12.5 milliard pour renflouer l’Euro. Maintenant, on vient chercher quelques£20 milliard supplémentaires. Nous devrions répondre sans équivoque aucune parun « impossible mon bon José ». On s’est gardé la livre sterling.Votre monnaie, ce n’est pas notre problème. <object width="640"height="360"><param name="movie"value=" name="allowScriptAccess"value="always"></param><embedsrc=" allowfullscreen="true"allowScriptAccess="always" width="640"height="360"></embed></object>
  10. je me farci le gros barroso http://blogs.telegraph.co.uk/news/danielhannan/100107908/jose-manuel-barroso-sends-us-the-bill-for-propping-up-the-euro/ mon petit nom est gentillement ajouté au tableau
  11. Excellent, j'aime suivre cette courbe montante du lectorat. De plus, je ne vois pas pourquoi les idées libérales ne décoleraient pas en France, c'est une question de Zeitgeist, et on est dans une bonne période même si notre infrastructure politique fait tout pour l'étouffer. Une bonne nouvelle.
  12. Eu égard á la météo sur CP, pourquoi ne pas mettre toutes les capitales d'Europe pour commencer (et raffler les francais d'ailleurs qui se concentrent surement plus dans les centres urbains).
  13. Pour quelques dollars de plus … Cinq banques centrales, y compris la Banque d’Angleterre et la Banque CentralEuropéenne (BCE) ontdéclaré hier qu’elles distribueraient des prêts illimités trimestriels en dollarpour les prêts de banques-á-banques. Bien que nous ayons été plutôt critiquesenvers la Banque Centrale Européenne tout au long de cette crise, nous avonssouvent avancé que la plupart de ses actions n’étaient plus de son ressort dûau manque d’action de la part des leaders de la zone Euro. Et cettedéclaration en est une illustration parfaite. La décision ne va changer aucun des problèmes latents du secteur bancaireEuropéen – beaucoup de banques ont besoin d’être recapitalisées, certaines ontbesoin d’être consolidées et désendettées. Et toutes ont besoin de réaliserpleinement et de rendre des comptes des pertes potentielles générées par lacrise de la zone Euro. Ceci étant dit, il sera certainement improbable d’apercevoirles effets secondaires du dernier approvisionnement en dollars, surtout quandles équivalents nationaux de la Banque Centrale Européenne ont déjà produit desliquidités illimitées. On va trouver ci-dessous quelques-unes de nos réflexions sur la question(plus particulièrement eu égard du rôle que joue la BCE) : - le mécanisme est le même que les pratiques deprêt standard sauf qu’il est effectué en dollars, de façon á ce que le crédit-risqueest le même que la réserve de liquidité normale mais avec quelques petits risquesadditionnels liés au taux d’échange étranger. Néanmoins, ces risques devraientêtre compris dans le taux de prêt aux banques et (probablement aussi) dans lesgaranties bancaires. - On ne peut pas considérer ces pratiques demonétarisation du fait qu’elles remplacent directement la perte du financement en dollar engendrée par l’hésitation des financements du marché de la monnaieaux États-Unis qui habituellement fourni ces prêts aux banques. Très récemment,la garantie bancaire utilisée était unanimement acceptée sur le marché de façoná ne pas se soucier outre mesure de la qualité des prêts. - Les sujets de préoccupations, autour des retraitsde prêts au Royaume-Uni et aux banques Européenne, ne sont pas pour la plupart directementliés á la santé des banques, mais plutôt au manque de capacité des leaders dela zone Euro de surmonter la crise et la chute de croissance dans l’Europe entière. C’est le type de situation où lesbanques centrales se devraient d’intervenir pour pourvoir aux liquidités. (Onsent que certaines préoccupations se focalisent sur l’exposition des banques ála crise de la dette, mais toutes ne sont pas soumises au manque complet de financementet toutes n’affectent pas directement la qualité des garanties financières qu’ellespeuvent offrir pour chaque prêt de dollars.) - Pour l’essentiel, on fait face á uneprolongation du dispositif existant. La BCE offrait déjà des prêts hebdomadairesillimités, maintenant elle a étendu son offre á un trimestre. Cette offrerajoute une marge de sécurité et réduit le cout de couverture continue desfinancements á court terme. - Si elles ne recevaient pas ce financement endollars, les banques auraient surement emprunté en Euros et auraient fait deséchanges á l’étranger pour capter des dollars. Pour l’essentiel, il nous sembleque la BCE prend sur elle le risque des taux de change des banques. Elle payeun prix minimal (qui peut être même couvert par les taux de prêt comme on en á déjàparlé avant) qu’il est plus facile á gérer pour les banques centrales que pourdes banques individuelles, dû à leur accès direct avec la banque fédérale Américaine. - - Unautre problème vient du fait que ce financement évacue le stigma attaché á l’empruntde dollars á la BCE au travers de son mécanisme de financement hebdomadaire. L’impact peut être négatif dans la mesure oùil augmente le risque moral en encourageant les banques à emprunter plus régulièrementá la BCE. - Toutcela peut vite devenir problématique si la BCE n’a pas de stratégie de sortie.Le taux de prêt a besoin d´être assez élevé de façon à ce que l’on ressent unsemblant de retour de confiance des marchés, les banques retournent á leur pratiquesde prêt antérieur, ne dépendant pas uniquement de la BCE. (Ce mécanisme fututilisé et abusé en 2008 et au début 2010, de sorte qu’il existe un précèdent quantá son usage temporaire.) - - Ilest presque certain que la plupart des prêts de la Banque d’Angleterre se destinerontaux banques britanniques ou aux branches britanniques de banque mondiale, et ilest improbable que la Grande Bretagne financera directement les banqueseuropéennes - une inquiétude que certainsont soulevé. En toute expectative, la coordination est globale et la Grande Bretagneaurait été en mal de l’éviter quel que soit sa position en Europe. Il est aussipossible que ce rôle soit joué par les banques centrales dès lors que noussommes en présence d’un système financier global doté d’un nombre large demonnaie en circulation (et une monnaie de réserve de référence.) L’un dans l’autre, l’introduction de ce mécanisme de financement ne changepas grand-chose, particulièrement en termes de risque pris par la BCE. Tout les problèmes sous-jacents peuvent se confondre essentiellement aux problèmes de réserve existante deliquidité illimitée de la BCE. Mais c’est une autrehistoire…
  14. Nick, je prends la main pour celui-lá j'ai mis mon petite nom dans la case appropriée. Je me demande comment faire pour que ce tableau des publications soit dans mon google-doc de facon á ce que je puisse y accéder quand j'en ai besoin. Une solution? C'est bon j'ai trouvé la manivelle pour enregistrer le tableau de "contrepoint traduction" dans mes tablettes chinoises (réponse á ma question ci-dessus).
  15. je voudrais l'avis des éditeurs de contrepoints concernant la suggestion de traduire quelques news de "economistview" http://economistsview.typepad.com/economistsview/ a t-on les droits de traduires ou doit on demander ces droits pour le site. Si vous y voyez quelques interêts on peut contacter Mark Thoma, université de l'Oregon http://pages.uoregon.edu/mthoma/
  16. l'article Des économistes britanniques veulent supprimer la tranche d’imposition à 50% apparait 2 fois dans deux sections differentes (economie et societe je crois) sur contrepoints.
  17. De quelleintégration fiscale parle t’on Monsieur le secrétaire d’Etat aux finances? Voici la dernière déclaration publique qui vient de tomber : Aujourd’hui lesecrétaire d’état Britannique aux finances George Osborne a réitéré soninvitation á une plus grande intégration fiscale dans la zone Euro et ce parmiles pays qui se débattent avec la crise de la dette en cours. Le secrétaire d’état aexhorté les gouvernements des nations á la monnaie unique de suivre « unelogique implacable » de fusion financière. Il déclare :« la crise financière dans la zone Euro est extrêmement sérieuse.Heureusement que la Grande-Bretagne n’est pas dans la zone Euro ; maismalheureusement nous ne sommes pas immunisés contre l’instabilité qui se trouveá notre porte. » « La zone Euro doitmettre en œuvre ses engagements politiques pour aborder la crise. » Mr. Osborne ajoute: «Lazone Euro devrait suivre la logique implacable de l’union monétaire comprenantune plus grande intégration fiscale. » « Nous devons nous assurer dene pas faire partie de cette intégration, de façon á ce que nos intérêtsnationaux soit protégés et promus en tout point. » Le conservateur David Nuttall (de la circonscription de Bury North áManchester) appelle les ministres á faire pression sur les pays de la zone Europour leur permettre de lâcher la monnaie commune sans sacrifier l’appartenanceá l’union Européenne. Mais le secrétaire d´état souligne que l’Euro est« ici pour rester » et ajoute que nous ne sommes pas dans « laperspective immédiate d’une renégociation majeur du traité monétaire». S’exprimant sur les questions de budget auparlement, il assure que les travaillistes restent engagés en principe á amenerla Grande-Bretagne à adopter la monnaie unique. Bien sûr, on voit ce qui se passe. Un secrétaire d’état Britannique sefaisant du souci concernant la reprise très fragile en Grande-Bretagne, veutéviter un effondrement dans la zone Euro – ce qui renverrait l’économie Britannique dans larécession. D’une certaine façon, c’est biencompréhensible. Et pourtant, dans le même temps, ce n’est pas le cas. Parce que si l’onsoutient l’intégration fiscale sur la base qu’elle va organiser la zone Euro,et ainsi aider le rétablissement de la Grande-Bretagne, il s’ensuitcertainement que le secrétaire d’état devrait spécifier le type d’intégration fiscale qu’il a en tête. Il y a union fiscaleet union fiscale. Une intégration fiscale sans conviction qui ne résout aucundes problèmes économiques sous-jacent de la zone Euro, et qui peut parfaitementconduire à de déplaisantes disputes politiques (on se rappelle tous maintenant le coût politique des renflouements et des prêts collectifs) estpire que tout pour la Grande-Bretagne. A titre d’exemple, et comme on en a déjà discuté, il n’est pas clair du tout comment lemélange approximatif entre les Euro-obligations et les obligations nationales (encours de discussion) va mettre fin á la crise. Ce type d’accord découragera ladiscipline fiscale et même augmentera potentiellement le coût général des prêtspour les économies endettées, dans le cas où les parts des obligationsnationales feraient face á une augmentation alarmante de leur taux. Il se poseaussi la question écrasante de la mise en œuvre de cette politique et la façondont on pourrait faire fonctionner les Euro-obligations sans faire imploser lemarché existant des obligations. Il serait bien nécessaire de faire la lumière sur ces questions-là…
  18. Je prends Ozzy Osborne Le chancelier de l'échiquier Osborne (non, pas Ozzy) appelle à l'intégration fiscale de la zone euro. http://openeuropeblog.blogspot.com/2011/09/what-kind-of-fiscal-integration-mr.html
  19. petite remarque de traduction pour Largo Winch qui a fait un joli mix de nos deux traductions. Dans cet article, il est traité de recherche et d'institution comme KTH en Suéde qui est l'institut royal de technologie (Stockholm). Comme je vis en Suéde, on dit KTH en Anglais ou dans les traductions et non "le KTH" (de même qu'on ne dit pas "le LSE" etc.).
  20. Question: + y a t'il une raison au rétrécissement du logo contrepoints en haut de page? Mon humble retour de lecteur: (1) c'est que les logo "facebook et company" sont plus visible que le titre de notre site d'info préféré online (2) la banniére de pub en dessous apparait aussi plus encombrante (alors que ca allait parfaitement bien auparavant). a + JATW
  21. He Polo! (pour LF - la flemme?) la flemme n'est pas une bonne excuse (ou toutes autres excuses du reste). Tu communiques en premier sur ce que tu fais pour éviter ce genre d'embrouille. Censure chez le Groupe d’expertsintergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) Nous voici en présence d’un bel exemple de la façon dont legroupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat censurel’information scientifique qui ne soutient pas la thèse alarmiste des émissionsde CO2 qu’ils présentent au monde et à ses leaders : Je fus invité áparticiper aux discussions autour des sciences climatiques á Bruxelles le 1-2septembre en recevant la lettre suivant le 20 Aout : SEII (Société Européennedes Ingénieurs et Industriels, Prof. Henri Masson) organise une conférence enl’honneur de Fred Singer et Claes Johnson setenant á la Fondation Universitaire de Bruxelles le 1er Septembre à18h 00. Voici l’invitation officielle de la SEII suivit par un courriel. Lejour d’après le 2 Septembre se tiendra un séminaire avec certain membre denotre Think Tank. Le programme préliminaire est le suivant : 18h15 S. Fred Singer : Quoi de neuf autour du changement climatique? 19 h 00 Claes Johnson : Rayonnement du corps noir et thermodynamique climatique 19 h45 to 20 H30 : Questions et Réponses Nous sommes très heureuxd’avoir la chance de réunir des scientifiques et quelques personnalités politiques(espérons-nous) qui procéderont á d’utiles et intéressantes discussions. Aucune invitation de la SEII ne s’en suivit. Enremplacement, nous reçûmes la lettre suivante datée du 22 Août de Jean-Pascalvan Ypersele, Vice-président du GIEC, Membre de l’Académie royale deBelgique, en mission aux Etats-Unis pour la Fondation Universitaire : Objet : La SEII et l'honnêteté scientifique Monsieur le Secrétaire général, La SEII soutient-elle implicitement le déni climatique, à la veille du congrèsmondial des ingénieurs à Genève consacré aux défis énergétiques (où j'aurail'honneur de donner une "keynote lecture") ? L'utilisation du papier à lettres de la SEII par votre administrateur M. Massonpour l'invitation ci-jointe le suggère malheureusement, malgré une phrasehypocrite pour indiquer que la SEII ne "sponsorise" pas l'événement. Vous devez savoir que MM Fred Singer est une personne dont l'honnêtetéscientifique laisse fortement à désirer. Ses activités de désinformation sontfinancées par les lobbies des combustibles fossiles (voir XXXXXXXXXXXXXX) , etil est scandaleux qu'une telle personne puisse être associée, de près ou deloin, à la SEII et à la Fondation universitaire. Des collègues éminents m'ont écrit que M. Johnson nevalait pas mieux. Un de ses "textbooks" récents, où il parlait à tortet à travers des changements climatiques, publié par le Royal Institute ofTechnology (KTH, Suède), a dû être rétracté par ce dernier tellement ilcontenait d'erreurs. Merci deme dire très rapidement quelles mesures la SEII compte prendre pour sedistancier de cet "événement"? Je serais heureux également de savoirquel est le mandat de ce "think tank" de la SEII sur les changementsclimatiques que Mr Masson préside (alors que son CV n'est pas disponible sur lesite de l'Université d'Antwerpen, et que je n'ai jamais entendu parler de sescompétences en matière de climat). Cordialement, Prof. Jean-Pascal van Ypersele Cette lettre a été suivie du fait que leséminaire de la SEII/Fondation Universitaire fut annulé, stoppé et censuré. LeGIEC s’est empressé de supprimer les questionnements scientifiques présenté parle GIEC grâce á l’intervention énergétique de l’un de ses vice-présidents. Que peut-on en dire? En fait, je ne suis pas surpris. Jelis qu’on a brulé mon livre de mathématique á KTH, qui avec le soutien desmédia et de l’académie royale suédoise des sciences (documenté par leKTH-gate), tentent de faire taire ma voix. Mais pourquoi le GIEC fait-il preuve de réactions si hystérique ?Il doit y avoir quelque chose dans ce que j’ai dit (ou/et ce que Fred Singer adit) qui présente des risques pour le GIEC. Qu’est-ce que ça peut bien être ? VanYpersele le sait. Il doit avoir revu ma présentation : l’alarmismeclimatique des émissions de carbone discréditer par les mathématiques. Référez-vous aussi á une de mes communicationssur mon blog concernant le programme de la conférence. Mais est-ce que van Ypersele va réussirá empêcher le GIEC de s’effondrer face á l’examen scientifique ? Bruler des livres parce qu’ilscontiennent quelques inexactitudes constitue certainement une tâcheécrasante : tous les livres contiennent quelque chose d’erroné. La seul raison de bruler un livre ou desupprimer un discours vient de ce que leur contenu est correcte mais déplaisantpour certains. Concernant le résumé de mes critiques des sciencesclimatiques du GIEC, se référer á maprésentation á la rencontre annuelle de l’Initiative deStockholm. Ps 1La reaction de Fred Singer: · Pourquoi ne suis-je pas surprispar l’action minable de cet agent du GIEC ? Après tout, nous savons á partir des courriels deClimategate que ces personnes iront jusqu’au bout pour faire taire lesdésaccords scientifiques. Même au prix de calomnies et en utilisant des mensongesles plus éhontés. · Bien sûr, je n’ai pas lesoutien de l’industrie du pétrole fossile. C’est complément faux et c’est unepure invention. · Ma visite en Europe estpayée par la Fondation Ettore Majorana – dont l’objectif est de faire une présentationá une conférence á Erice en Sicile. J’utilise l’occasion pour accepter desinvitations additionnelles pour présenter mes recherches (sans rémunération) á l’Université de Hambourg, au CollègeImpérial de Londres, á l’Université de Paris – Jussieu et bien sûr á KNMI á DeBilt. Il se trouve que j’ai été aussi invité á présenter devant plus de 100ingénieurs á Zurich. · Notre collègue du GIEC,van Ip, conteste aussi mon honnêteté. Faisons une petite revue de la question,le GIEC m’a eu comme critique scientifique, je publie régulièrement dans des revuesscientifiques dont les articles sont examinés par des pairs et je suis membreélu de plusieurs sociétés scientifiques. Ce qui veut dire que je ne suis pastout seul á ne pas être de l’avis de van Yp. Ps2La rencontre scientifique refera surface sous la forme d’une réunion purementprivée dans un endroit purement privé sous la forme d’une invitationstrictement privée faite á un groupe d’invité strictement privé au moyen d’une lettre elleaussi strictement privée. Heureusement ces précautions se révéleronsinutiles eu égard aux tentatives du GIEC d’arrêter toute discussion … mais onressent d’étranges sensations á la 1984 … Ps3 Lecourrier suivant du président fondateur de SEII,Michel van Hecke, adressée á l’organisateur de la conférence Henri Masson, sensle politiquement correcte á plein nez puisqu’elle censure purement etsimplement la question des recherches académiques et scientifiques : Mon cher Henri, En ce qui concerne le problème climatique, il est très clair, et ce n'est pasnouveau, que l'animosité s'accroît de jour en jour entre les deux partiesen présence. La politique s'en mêlant, les arguments échangés deviennentde plus en plus violents et de moins en moins rationnels. L'émotivités'accroît et le débat, qui devrait n'être que scientifique, devient unconflit destructeur. Il est évident que la SEII doit se tenir à l'écart de ce genre deconflit destructif. Elle ne peut prendre parti, d'autant plus qu'elle seveut être le lien entre le monde de l'industrie et le monde académique,comme cela apparaît bien dans ses statuts. Ses premières annéesd'existence lui ont permis de bâtir une image et un réseau de relationsqui s'avèrent bénéfiques et prometteurs. Il n'est évidemment passouhaitable de mettre cela en danger. Dans le cas qui nous occupe, tu as été amené à décider del'organisation d'une réunion et du lancement des invitations dans unecertaine urgence qui a empêché toute concertation avec le bureau. Celaaurait pu n'avoir aucune conséquence ennuyeuse si le sujet n'avait pas étéd'une telle sensibilité. Malheureusement, les diverses réactions,totalement négatives, que nous avons immédiatement enregistrées, émanentde personnes (van Yperzele, Paul Vandenplas, André Berger, FondationUniversitaire, …) avec qui nous avons eu, et avons encore, des relationsde qualité que nous considérons comme importantes à sauvegarder. C'est unedes raisons pour lesquelles les décisions d'entreprendre des activités, oud'organiser des événements, sont prises de façon collégiale par le bureau.C'est une règle qui a été suivie depuis le début et qui n'est pas remiseen question pour le moment bien qu'elle entraîne quelquefois une certainelenteur dans l'exécution. Il en résulte que la seule décision judicieuse à prendre par la SEII,pour sauvegarder ses acquis d'image et de réputation, estd'annoncer immédiatement que cette réunion n'est, en aucune façon,patronnée par elle. Le mieux serait, d'ailleurs, d'annoncer, sanscommentaire, l'annulation de la réunion (qui ne peut, d'ailleurs, plus avoirlieu à la Fondation Universitaire) et, éventuellement, une postpositionaprès examen plus approfondi. Cette annonce devrait être faite auxdestinataires de l'invitation, et à eux seuls, ce qui implique que tu t'encharges directement. Il est évident que tu es libre d'organiser cetévènement sous ton propre nom sans que la SEII soit nommée en aucun cas etsous aucune forme. Je regrette vivement ces circonstances car, comme tu tesouviendras certainement m'avoir entendu le déclarer, je suis partisanconvaincu du droit de chacun d'exprimer ses opinions (pour autant, bienentendu, que cela se fasse sans porter atteinte à autrui). Je pense quenous sommes tous d'accord sur ce point de vue mais il est clair que c'estau bureau de décider collégialement. Je souhaite vivement recevoir tes commentaires, le plus vite possible,sur la façon de mettre fin, comme suggéré ci-dessus, à cettesituation regrettable. Bien amicalement. Michel Van Hecke j'ai rajouté un lien SII (et corrigé une erreur dans le texte original (il cite la SEI alors que c'est la SEII (dans PS3)
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