GRD

Propagande, Mythe du Front Populaire, EdNat et ses raccourcis sur 1944/1945, toussa quoi…

GG. Je n'arrive pas à aller en dessous de 2, cela me frustre profondément, je ne vais pas encore pouvoir dormir.

Ce n'est pas un "il paraît", je peux vous le confirmer. D'ailleurs, chez Aston au Mans, ça rigolait pas mal sur le parking au moment où deux Cygnet côtoyaient des modèles moins contre-nature. Bon après sportivement, c'était pas la joie non plus, mais c'est un autre domaine.

Moi. Parce que l'amende était pour ma gueule. Bon, si je n'avais pas fait le malin, j'aurais peut-être pu l'éviter, mais en même temps, dire une vacherie à quelqu'un de la SNCF est tellement tentant…

C'était principalement le but de ma visite au cinéma, je n'ai pas été déçu là-dessus. Et les monoplaces avaient diablement plus de gueule qu'aujourd'hui. D'accord, je comprends mieux. Il fallait s'y attendre, avec le parti-pris nationaliste de beaucoup de médias. Mais j'ai du mal à croire que l'un ou l'autre n'ait jamais été à blâmer. La part d'ombre de chacun, justement exposée, aurait permis de mieux comprendre les deux, et aurait ainsi pu justifier les sauts d'années pour le focus sur leurs duels. J'avais oublié ce point. Merci de le citer.

J'avais fait une note sur un blog là-dessus, mais je ne retrouve plus le lien, donc je vais repartir de mes brouillons. Ce sera une revue plus large que le simple parti-pris. Dans les points positifs, on peut citer l'orgasme visuel et le plaisir de voir des images de F1 au grand écran. Même si la qualité n'est parfois pas optimisée (normal avec le temps et les moyens de l'époque), l'ensemble est quand même incroyable, et la haute qualité des images d'Imola 1994 (tant son qu'image) est stupéfiante. En autre point positif, le film permet aux curieux de découvrir qui était Ayrton Senna, son arrivée en F1, sa progression fulgurante, son impact au Brésil et certains aspects de sa personnalité. Mais j'insiste sur les "au curieux" et "certains aspects". Car en mon sens les points négatifs s'accumulent. Je regrette ainsi pêle-mêle : - les nombreux sauts d'années. Le film est focalisé sur la rivalité Prost/Senna. On passe de son départ du Brésil à Monaco 1984, puis d'Estoril 1985 à Monaco 1988. Une partie assez dense sur les saisons 1988 et 1989 avant de reperdre en régularité en 1990, 1991, 1992 et 1993. Et après, ça se redensifie sur 1994 avec Williams. Je peux comprendre ce découpage, pour ne pas trop alourdir, mais je regrette que cela ne nous montre pas Senna dans une période plus teintée de faiblesse technique (surtout après les premiers titres). Un Ayrton Senna moins à son avantage, mais tout aussi brillant en fait. J'aurais également souhaité en connaître plus sur sa jeunesse aisée et son arrivée en Europe, au lieu de quelques phrases au milieu de rien. - La rivalité Prost-Senna, pivot du film, trop orientée à mon sens. Peut-être que le fait que je n'ai pas connu cette époque fait que j'ai cette impression, mais… C'est un peu trop pipé. D'accord, le film s'appelle Senna mais là, c'en est un peu trop. Prost apparaît très vite comme le méchant protégé par l'encore plus méchant Jean-Marie Balestre. Ce qui fait que de la même façon je regrettais de ne pas avoir vu Senna dans sa faiblesse, je regrette de ne pas en avoir vu plus sur son côté sombre. Car c'est aussi cela qui faisait de Senna une personne si intéressante à mon avis. Sa complexité mêlée à sa simplicité, qui se côtoyaient en permanence. Et puis à réduire Prost, on en arrive à réduire la légende de Senna. Et c'en était très tangent. Sans compter l'horrible oubli du « Alain, my dear friend, I miss you. » en essais libres. La réconciliation entre les deux grands champions qu'ils étaient est ainsi passée sous silence. Oublier une telle scène est presque digne d'une faute professionnelle je trouve ! De plus, elle oriente donc encore plus la vision du public entre les deux hommes, tout comme le fait de ne pas dire que Prost portait, entre autres amis et adversaires, le cercueil de Senna à sa mise en terre. Au final, le film m'a laissé une impression de trop peu. A la manière d'une thèse ne faisant qu'effleurer un sujet pourtant passionant. Dommage.

Je l'ai trouvé à gerber de pathos et de parti pris personnellement… Documentaire non. Hagiographie oui.

En tout cas, Boutin a déjà lancé sa campagne sur Facebook. Et vu le nombre de pubs qui j'ai, elle doit avoir un budget confortable. Un budget de ministre si je puis dire…

Elle a de la gueule oui, mais quand on regarde dans le passé (je ne verse pas dans le "c'était mieux avant !"), les protos étaient plus purs. J'ai vraiment du mal à trouver cela esthétique maintenant… Par contre, le bruit, beurk. Après avoir entendu les diesels, je ne me fais plus du tout de souci pour le bruit des F1 en 2013, ça ne pourra pas être pire ! C'est en effet triste. Dès qu'il y a des équivalences multiples, l'ensemble se gâte. J'espère que le Championnat du Monde d'Endurance qui sera créé l'an prochain donnera plus de volontés dans les années à venir à d'autres constructeurs. Par contre, tu dis 2, mais il y en avait 3. Ne pas oublier Aston Martin. Bon, je sais, leur veau n'a pas duré, mais c'était prévisible tant Prodrive s'est raté cette année. Au moins, la performance était déjà un peu moins pathétique qu'aux 1000 kilomètres de Spa… Un gros +1. Ravi d'avoir pu y aller cette année pour la première fois !

Bonjour le nivellement par le bas de la culture française… On creuse le fond, encore et toujours. Sinon, j'ai particulièrement aimé le lien. « Ce petit prodige de la musique mélange avec brio la néo électro et les textes engagés ». En effet, "Ton amour m'emmerde" et "I prefer you clone", ça m'a l'air du super engagé ça. D'ailleurs, je suppose que "I prefer your clone", c'est ironique non pour une campagne Hadopi ? Pauvre pays…

Mes excuses si le problème a déjà été souligné, mais ne serait-il pas préférable que - lorsque l'on clique sur un lien dans un article - celui s'ouvre dans un nouvel onglet ? Je sais que le ctrl-clic n'est pas très contraignant, mais je suis très facilement distrait que des fois je ne pense plus revenir à l'article sur Contrepoints (et j'espère que je ne suis pas le seul dans ce cas, afin que ma requête ne fasse pas trop unique )

Le CIRC ne se contredit-il pas sur une étude portant sur le même sujet ? Et réalisée il y a à peine un an… Comme j'étais en stage chez un opérateur à l'époque, je me souviens que les résultats étaient attendus, et que la conclusion de la direction avait été "Encore tout un pataquès pour rien du tout".

Pourtant pour voter, point n'en faut, contrairement à ce que veulent faire croire les amis de la démocratie tenanciers de bureaux. D'ailleurs, si je vais voter, c'est en partie pour me faire un plaisir de leur gâcher le dimanche.

Visiblement, je n'ai pas le QI requis pour voter, tant pis.

Je suppose que nous avons le même âge vu tes posts précédents, et pourtant cette mort me laisse totalement indifférent. C'est un symbole, rien de plus. Ce qui m'atterre, c'est de continuer à être conscient que nombre de libertés supprimées pour raisons de terrorisme ne reviendront jamais, et ceci dans l'anesthésie collective.

Merci ! J'en prendrais bien un, mais je doute que ça passe sans conséquence dans ma cité…

L'effet trou de balle est amusant, très décalé. Cela fera fureur dans les masses populaires.

Quelqu'un est partant pour lancer dans quelques années un commerce de t-shirts et produits dérivés à l'effigie de Ben Laden, façon Che Guevara ?

Egalement de stagiaires vietnamiennes comme j'ai pu en faire l'effroyable témoignage au déjeuner. Stagiaires qui n'osent pas critiquer le régime vietnamien par ailleurs quand je lance des piques à son égard. Je tente toujours de comprendre le cheminement logique, sans résultat pour l'heure.

Je suis plutôt d'accord avec vous. Mais les goûts et les couleurs (quelque soit l’œil d'observation au passage), malheureusement, cela s'associe mal avec certaines (nombreuses) personnes. Et puis, les Iroquoises, leurs dérivés et moi, nous ne sommes pas fans les uns des autres.

Tiens, ça doit être une amie de celle qui s'occupe de refaire les pass Navigo quand les anciens ne passent plus aux bornes. Trois ans d'affilée qu'elle me dit "Ben faut pas la sortir de son étui et la mettre n'importe où, après ça passe plus". J'hésite à lui dire que je les utilise pour ouvrir les portes lors de cambriolages ou que j'essaye tous les soirs de la coller sur le mont de Vénus de ma fiancée parce que je tente de lui faire comprendre que l'épilation ticket de métro, c'est démodé…

Merci de mettre le point sur ce que j'ai oublié de rajouter dans mon "mais". Nous sommes bien sur la même longueur d'ondes, ce n'est pas à l'Etat de financer cela mais bien aux jeunes ou aux parents. C'est ce que je voulais rajouter au "être capable de se poser devant ses parents". La baise sans risque que vous évoquez s'apparente à la déresponsabilisation que j'ai évoqué. De quoi rajouter une nouvelle fois la confusion entre éducation et instruction, chose devenue banale depuis que "l'éducation nationale" est apparue.

Je ne sais pas quoi vraiment penser de ce truc. J'ai l'impression que d'un côté, oui cela peut inciter les jeunes à se responsabiliser vis-à-vis de la contraception. Mais en face, on les déresponsabilise face à la réalité des choses. Je veux dire, si l'on n'est pas capable de se poser face à ses parents ou un médecin pour en parler, c'est qu'il y a un certain manque de courage et de responsabilité… J'ai l'impression de manquer de quelque chose dans mon raisonnement à vrai dire, mais je n'arrive pas vraiment à mettre les mots dessus.

Je vais de ce pas rechercher un banc où une jolie demoiselle est assise lui demander quelque chose d'indécent. Néanmoins, au cas où je serais au Japon, la situation serait tout autre. Outre la culture qui est différente, comme l'a dit Esperluette, il existe des règles en société ou précautions d'usages claires, faisant que je n'aurais pas à me poser la question de savoir si ou si. Je rejoindrais le quartier fumeur pour m'en griller une, et l'histoire s'arrêterait ici : je fume ma cigarette dehors, les non-fumeurs ont une gêne réduite à quasi-néant.

Si la personne répond non, je ne l'allume pas. Rien ne me permet de savoir si la personne est un non-fumeur ou un fumeur, sauf si on se met un badge jaune sur la veste. A la question "veuillez m'excuser de vous déranger, cela vous dérange si je fume ?", toute personne devrait répondre par oui ou non, je ne vois pas où la politesse que j'y mets ou la politesse de la réponse insinuent que quoi qu'il se passe, je l'allumerai quand même.