tout38

Hélas, l'histoire semble te donner raison. Dans les années 1930, le New Deal du très socialiste Roosevelt a totalement échoué à sortir l'économie américaine de la Grande Dépression. Pire, il l'a notoirement aggravé avec son interventionnisme à tout crin comme le montra magnifiquement le grand Rueff en son temps. De même, l'illustre économiste et démographe Sauvy pourtant classé à gauche, mais penseur de grande qualité et honnête homme, confirma ses diagnostics dans ses ouvrages. L'amorce de reprise en 1932 n'était aucunement liée à la politique de Roosevelt fraichement élu, mais était la conséquence de certaines mesures engagées par son prédécesseur Hoover. Et la sévère rechute à partir de 1937 confirma l'échec total de cette politique. Sans la Seconde guerre mondiale, l'économie américaine ne serait pas sortie de l'ornière. Pourtant, malgré l'échec de sa politique socialiste et certaines atteintes à la constitution de son pays, Roosevelt est resté constamment populaire, au point qu'il a été réelu trois fois et l'aurait peut-être été une nouvelle fois en 1946, s'il n'avait eu la bonne idée de mourir entretemps. En réalité et même si cela me coûte de le dire, la plupart des peuples sont friands d'Etat-providence et de politiques étatistes. Non seulement, le commun des mortels prend plaisir à percevoir de multiples allocations, mais il se sent en sus rassuré de voir l'Etat se substituer toujours plus à lui dans les divers domaines de son existence. Du reste, ce n'est pas un hasard, si la plupart des régimes totalitaires n'ont pas suscité davantage de résistance auprès des populations concernées… En conclusion, il n'est pas certain du tout que nos idées sortent renforcées de la tourmente actuelle. Du moins à court terme. Par la suite, s'il ne provoque pas une troisième guerre mondiale, le fiasco des politiques socialistes pourrait effectivement profiter aux libéraux. Mais pour l'heure, la bataille s'annonce longue, rude et terriblement incertaine…

Un sage a parlé. Amen.

Mes propos peuvent te paraître excessifs. Même parmi les libéraux, beaucoup de gens pensent que l'on peut manipuler la monnaie à l'infini. Mais je te conseille de lire l'excellent ouvrage du professeur Antal Fékété "Retour au standard or" et on en reparlera ensuite. Comme le rappelle fort opportunément ce grand monsieur, depuis les débuts de l'humanité, toutes les expériences de monnaie Fiat ont débouché sur une banqueroute. Or, la plupart du temps, celles-ci étaient conduites à une échelle nationale ou au pire continentale, alors que cette fois, le monde entier est concerné et aucun pays ne sera épargné par le désastre à venir. D'où son ampleur sans précédent. De toute façon, je te donne rendez-vous au plus tard fin 2013 et d'ici là, on verra si mon pessimisme était délirant ou si c'est l'optimisme béat de l'oligarchie au pouvoir et de leurs larbins des médias officiels qui était totalement injustifié.

Une Tu crois vraiment que les pseudos mesures adoptées par nos nullités de technocrates vont permettre à la zone Euro de sortir de la crise . Début 2011 déjà, ces incompétents avaient réussi à faire remonter la bourse et annonçaient une prochaine reprise économique, avant de mordre la poussière durant la seconde moitié de l'année 2011. De même, la masse des "analystes" officiels tel le grotesque Touati annonçait le CAC à 4500 points à la fin de l'année 2011 et il a terminé autour de 3000 points. En 2012, je ne vois aucune raison pour que cela ne finisse pas de la même façon, voire pire. Loin d'avoir adopté des mesures d'envergure pour réduire leurs endettement et déficits, la masse des gouvernements des vieux pays industrialisés n'ont aucunement réduit les dépenses publiques quand ils ne les ont pas augmenté et la bonne vieille planche à billets fonctionne à plein. En clair, la fuite en avant continue jusqu'à l'effondrement final du système financier mondial.

Plus on avance dans le temps et plus nos gouvernements prétendument démocratique en sont réduits à faire un usage immodéré et incroyablement malhonnête des chiffres. Cela aidera peut-être le sinistre keynésien et collectiviste Obama à se faire réélire en novembre prochain. Mais cela ne changera rien au fond du problème. Les Etats-Unis comme l'Europe d'ailleurs et le Japon se rapprochent chaque jour un peu plus d'une inéluctable faillite. Seul un bouleversement majeur et improbable pourrait empêcher celle-ci: réforme en profondeur du système financier avec retour au standard-or… Mais vu la nullité et la lâcheté des oligarques qui nous gouvernent, j'ai dû mal à croire qu'ils puissent s'engager de leur propre gré dans une voie aussi vertueuse. A titre de rappel, l'URSS afficha des taux de croissance et des statistiques économiques toujours positifs et souvent même remarquables jusqu'à l'arrivée de Gorbatchev et même après celle-ci, les autorités de ce beau pays continuèrent à minimiser les difficultés dont souffraient leur pays. Mais au final, cela n'a rien changé. L'URSS a fait naufrage et demain nos sociaux démocraties à la noix, connaîtront le même sort funeste.

Peut-être, mais si j'étais à ta place, j'attendrais quelques semaines avant de pavoiser. Comme le dit le proverbe, "rira bien qui rira le dernier"! La planche à billets de Super Mario Draghi fonctionne actuellement à plein régime. Mais quand le "charme" aura cessé d'opérer, la rechute sera brutale. Ceci dit, je partage ton opinion sur un point, à tout prendre Sarkozy est quand même un tout petit peu moins nuisible que Hollande. Non, qu'il soit beaucoup moins socialiste que l'autre. Mais s'il est élu, le capitaine de pédalo devra sans cesse donner des gages à sa clientèle, notamment aux bataillons de militants et de sympathisants de gauche assoifés de rupture avec le capitalisme, de Grand Soir au moins fiscal et autres mesures dévastatrices pour l'économie et la liberté d'entreprendre. D'où une incitation à aller toujours plus loin dans l'étatisme et le collectivisme. Du moins, tant que la situation financière le permettra… A droite, au contraire, la grande majorité des militants et sympathisants essayent de freiner les penchants socialistes de leurs dirigeants. Leurs efforts restent certes le plus souvent vains, mais eux au moins ne sont pas des pousse-au-crime

Tu m'as mal compris, mais peut-être me suis je mal exprimé. Je voulais dire qu'en France certains sujets peuvent difficilement être abordés, à cause de la législation très restrictive qui sanctionne les moindres écarts de langage. Mais je souhaite que tout un chacun puisse exprimer ses opinions en toute liberté, y compris les plus discutables, comme cela se fait aux Etats-Unis. En outre, comme l'ont dit certains ici, pourquoi le négationnisme toléré lorsqu'il touche la centaine de millions de morts du communisme, pourtant tout aussi digne de compassion que les autres victimes de génocide et de massacres de masse, deviendrait-il illégitime et passible de lourdes sanctions dans d'autres cas. Les mêmes principes doivent prévaloir pour tout le monde. Soit on sanctionne toutes les formes de négationnisme, soit on n'en punit aucune. Or en tant que libéral, je préfère nettement cette dernière option.

Gros + 1 à André Médiavilla pour son message plein de sagesse et de lucidité. Ce n'est pas dans les médias officiels et grassement subventionnés que l'on pourrait trouver une analyse aussi lucide sur un sujet certes délicat. J'approuve par ailleurs toutes les autres contributions. Ce forum est fréquenté par des gens de qualité

Désolé de te contredire, mais je trouve cette petite agence ainsi que sa grande soeur chinoise et sa petite soeur suisse, autrement plus crédibles que leurs rivales plus connues qui s'obstinent à nous ménager et à épargner des pays aussi exsangues que les Etats-Unis ou le Japon. Comme le dit fort bien Egan-Jones: "la dette publique française est dans une "tendance désastreuse et le pire est encore à venir". Malgré les déclarations rassurantes des irresponsables au pouvoir, l'inconscience de la plupart de leurs opposants qui multiplient les promesses inconsidérées et la mièvrerie des médias officiels qui ne veulent surtout pas contrarier tous ces braves gens, la France se rapproche chaque jour un peu plus de la faillite. Pour l'instant, divers subterfuges permettent encore de sauver les apparences. Mais le moment n'est plus très éloigné où le système financier et monétaire international va s'effondrer et entraîner dans sa chute la plupart des grandes puissances, à commencer par les plus impécunieuses comme la France et là tu seras bien obligé de te rendre à l'évidence, ce sont les pessimistes du forum qui avaient raison .

+1000 Si on peut reprocher quelque chose aux agences de notation, c'est leur laxisme envers les Etats-Unis, ceux-ci devraient être dégradés depuis longtemps, le Japon qui emprunte aux meilleures conditions malgré sa dette abyssale (+ de 250% du PIB nippon!) et la plupart des pays de l'UE. La France par exemple aurait dû perdre son fameux "AAA" depuis belle lurette et devrait aujourd'hui afficher un sympathique BBB- à en croire les agences les plus indépendantes, donc les plus fiables. Sinon, j'ai dû mal à comprendre comment les feintes grossières de nos gouvernants et de leurs complices de la BCE et de la FED parviennent encore abuser autant de monde…Que le simple quidam se laisse pièger, je puis facilement le concevoir, mais que tant d'économistes et d'analystes financiers versent dans l'optimisme béat, cela dépasse l'entendement. Depuis vendredi, une série de manipulations ont permis aux marchés boursiers de regagner du terrain, mais il s'agit d'un répit de courte durée. Quand les investisseurs seront retombés sur terre et auront cessé de croire en un impossible miracle, ceux-ci devraient nettement repartir à la baisse et l'année 2012 n'aura probablement rien à envier à 2011. A ce sujet, je vous suggère d'écouter les commentaires de l'excellent Olivier Delamarche, ils sont éloquents http://minuit-1.blog…rche-sur-bfm.h…

Quand cela s'avère possible, on pourrait comme le suggère Tremendo privatiser les administrations correspondantes. Mais dans tous les autres cas de figure, je partage pleinement ton avis, il faut se séparer des bataillons de fonctionnaires inutiles. Reste à trouver un gouvernement suffisamment courageux pour mettre en oeuvre une telle politique. Or en France, vu la lâcheté de nos chers dirigeants et le conservatisme mortifère de l'opinion, on risque d'attendre encore pas mal de temps avant que ne soient adoptées ce genre de mesures salutaires

Tu as sans doute raison, comme le disait De Gaulle en son temps, les "Français sont des veaux" et ils le resteront. Ceci dit, je ne vois pas comment pas on pourra continuer à financer notre Etat providence si dispendieux.

Je crois qu'il veut dire que le piètre état de nos finances publiques devrait nous valoir de nouvelles dégradations dans les mois à venir. Désolé, je n'avais pas vu la réponse de WPE, mais je vois que je ne m'étais pas trompé.

Enfin! En espérant qu'on soit dégradé directement de deux crans, histoire de rendre un peu moins arrogante notre chère classe politique française et d'obliger l'actuelle majorité et les suivantes à tailler drastiquement dans les dépenses publiques . Je fais confiance aux nullités au pouvoir et à leurs probables successeurs socialistes pour augmenter encore un peu plus les taxes et les impôts, mais vu le niveau actuel de notre fiscalité, les marges de manoeuvre dans ce domaine seront limitées et il faudra bien se décider à dépenser moins, même si l'opinion grogne. Dans le cas contraire, gare aux risques d'hyper inflation et je doute que cette dernière option soit davantage populaire auprès des Français qui verront leurs petites économies fondre comme neige au soleil.

Cette prétendue révolution fiscale pronée par François Hollande me paraît également redoutable. Elle va ponctionner encore plus les populations les plus productives pour financer celles qui dépendent largement des revenus "d'assistance", renforcer l'égalitarisme si prisé par nos pseudos "élites" technocratiques, mais porteur de nivellement par le bas, de démotivation, de résignation, de destruction du peu d'esprit d'entreprise subsistant dans ce pauvre pays. D'où l'exode toujours plus massif de nos véritables élites vers des cieux plus cléments. D'où aussi l'accélération du déclin de ce pays. Comme disait Le Pen père à l'époque où le FN n'avait pas encore opté pour le socialisme, si la droite au pouvoir entraîne la France sur la voie du DPV ou déclin à petite vitesse, la gauche elle c'est le DGV ou déclin à grande vitesse. Pour autant, je ne me vois pas voter pour Sarkozy au premier tour. A vrai dire, je ne sais toujours pas pour qui je voterai, sachant qu'aucun des candidats en lice n'incarne les idées libérales chères à mon coeur. Mais au deuxième tour, je crois que ma détestation de la gauche me poussera à éviter le pire et donc à opter pour Naboléon. Ceci dit, si les élections françaises me dégoutent, je suis avec beaucoup d'intérêt les primaires américaines, en espérant sans trop y croire que l'excellent Ron Paul soit désigné, puis élu en novembre 2012

J'espère que cela ne va pas dissuader les deux autres de faire leur boulot, c'est-à-dire de dégrader très rapidement notre pauvre pays afin de l'obliger à réduire enfin ses monstrueuses dépenses publiques. Allez Moody's et Standard and Poor's, donnez le coup de grâce à notre "modèle social" débilitant et au monstrueux Etat-Providence qui réduit chaque jour un peu plus nos libertés, économiques et autres! Après tout le socialisme s'est bien effondré en URSS, alors pourquoi la France ne connaitraît pas un jour le même sort. En espérant que cela se fasse pacifiquement bien sûr. Car les Français drogués d'assistanat et de subventions en tout genre, ne sont plus habitués à évoluer dans un cadre économique libre et responsabilisant. La faillite quasi certaine de nos finances conjointes à celles de nos partenaires européens et probablement aussi des Etats-Unis et du Japon dans les prochaines années risque de favoriser dans un premier temps au moins l'avénement de gouvernements encore plus autoritaires comme cela avait été le cas lors de la grande dépression des années 1930, mais cette fois, ils n'auront plus les moyens de financer leurs politiques teintées d'étatisme et de collectivisme et si leur échec peut entraîner le pire, une guerre, il peut aussi permettre le meilleur, c'est-à-dire la fin du cauchemar socialiste

Certaines évolutions en Hongrie sont éminemment critiquables, en particulier celle visant à enlever son "indépendance" à la banque centrale. Mais l'anticommunisme assumé de V.Orban me semble largement préférable au positionnement de ce qui ose s'appeller droite en France et qui n'est en vérité qu'une variante parmi tant d'autres (hélas) du "socialisme à la française". De plus, l'attachement à la tradition, aux valeurs chrétiennes et l'opposition à l'avortement ne me choquent aucument. Libéralisme pour moi signifie attachement aux libertés, mais certainement pas relâchement des moeurs et triomphe du soi-disant progressisme. D'autant qu'en matière de liberté d'expression, un pays comme la France qui ne pense qu'à empiler les lois la restreignant, de la loi Gayssot à celle sur le génocide arménien, en passant par les lois contre l'homophobie et le sexisme, est vraiment très mal placé pour donner des leçons à autrui. Et ce ne sont certainement pas les probables futures interdiction de la prostitution et légalisation active de l'euthanasie qui me feront changer d'avis. En conclusion, que les Hongrois et leur gouvernement légitime vivent leur vie comme ils l'entendent. Quant à la France et à l'UE, qu'elles ferment leurs grandes bouches .

Chavez n'a certes pas de cancer du colon, mais il en a un de la plèvre si mes souvenirs sont bons . D'où d'ailleurs ses nombreux séjours à Cuba pour se se faire soigner.

Pauvre Argentine. En moins d'un siècle, ce très beau pays au potentiel immense, considéré au lendemain de la première guerre mondiale comme un futur grand de l'économie mondiale, s'est totalement effondré. En cause, la succession quasi ininterrompue, de politiques économiques protectionnistes, dirigistes et socialistes en dehors d'une brève parenthèse abusivement qualifiée de libérale sous la présidence Menem. Et comme si cela ne suffisait pas, ils cherchent maintenant à contrôler l'information, histoire de continuer à anesthésier l'opinion publique et de manipuler les grands médias occidentaux, lesquels ne demandent certes pas mieux que de faire passer le sinistre bilan des époux Kirchner pour un modèle de bonne gestion économique. Preuve une fois encore que non content de semer misère, souffrance et décadence partout où il passe, le socialisme ne peut survivre sans le mensonge et la subversion .

Impressionnant le nombre d'attaques dont il est l'objet depuis plusieurs semaines. L'establishment aurait-il peur de la montée en puissance de ce candidat si atypique, un des seuls, si ce n'est le seul, à vouloir rompre avec des décennies de socialisme. J'espère aussi qu'il est bien protégé, car les tenants de l'immobilisme semblent vraiment prêts à tout pour préserver l'affreux système en place et poursuivre jusqu'à la faillite totale leurs sinistres politiques keynésiennes. God bless Ron Paul!

+1 Kombouaré était un homme sympathique, mais il a clairement montré ses limites en Europa Ligue et contre l'OM. Il eut certes été plus élégant de le conserver jusqu'à la fin de la saison, mais pourquoi attendre 6 mois supplémentaires pour recruter un grand entraîneur, seul susceptible de permettre au PSg de se constituer un effectif vraiment haut de gamme. Par ailleurs, pour répondre à Chitah, en sport, les résultats ne sont jamais garantis d'avance, mais quand tu mets toutes les chances de ton côté, cela facilite quand même grandement les choses. Vu l'importance des investissements consentis par les Qataris et la qualité des recrutements successifs, je pense que d'ici un an ou deux, le PSG disposera de l'effectif nécessaire pour survoler le championnat et obtenir en même temps des résultats en ligue des champions. En espérant que d'ici là, la crise financière n'aura pas réduit à néant les championnats professionnels. Sinon, une fois encore, que le meilleur gagne, mais allez Paris

Non, mais je comprends tout à fait que certains d'entre vous détestent le PSG. En particulier, les supporters de Lyon club contre lequel je n'ai rien et de l'OM que j'apprécie moins pour diverses multiples raisons, à commencer par le caractère litigieux des succès obtenus durant les années 1990. Par ailleurs, il me semble que les plus belles années de ces clubs ont été aussi celles où ils possédaient le plus gros budget du championnat. Sinon, que le meilleur gagne.

Je suis un peu étonné par certaines réactions de ce forum au sujet de l'arrivée de Carlo Ancelotti. Les critiques des médias officiels ne me surprennent point, tant ceux-ci sont conditionnés par le discours ambiant anti capitaliste: l'argent qui pervertit le sport… Mais de la part de libéraux, cela m'étonne davantage. Il me semble en effet logique qu'un actionnaire richissime et ambitieux souhaite recruter ce qu'il y a de meilleur, y compris au poste d'entraîneur, afin de parvenir au sommet le plus rapidement possible. Dans cette perspective, l'arrivée de Carlo Ancelotti me paraît une excellente chose pour le PSG. Je n'ai absolument rien contre le sieur Kombouaré qui a rempli ses fonctions consciencieusement, mais il ne me semblait pas le plus qualifié pour amener le PSG, mon club de coeur, au sommet, dans des délais raisonnables

Les premiers résistants étaient effectivement en majorité des gens de droite. Les communistes ne songeaient qu'à se conformer aux directives du parti frère soviétique. D'où ainsi la demande faîte en 1940 aux autorités allemandes pour obtenir le droit de diffuser à nouveau "l'Humanité" et autres torchons marxisants. Du reste, si le régime de Vichy n'avait pas adopté une série de mesures répressives à leur encontre, rien n'indique que les communistes n'auraient pas cherché à collaborer avec l'occupant. Ainsi, il a fallu que l'URSS soit attaquée pour qu'ils rejoignent massivement les rangs de la résistance. Il y aurait du reste beaucoup à dire sur le comportement de certains d'entre eux pendant et au lendemain de la guerre. Par ailleurs, tout à fait d'accord avec H16, sous prétexte de s'émanciper de la tutelle américaine, on s'est placé sous une autre tutelle autrement dangereuse, celle des communistes et apparentés qui ont profité de la situation pour non seulement pénétrer les administrations, mais aussi s'emparer de fait du contrôle d'entreprises nationales aussi stratégiques que la SNCF, RENAULT, EDF-GDF… Mais le plus grave à mon sens fut l'infiltration par ces tristes sires de la culture, des médias, de la vie intellectuelle et de l'enseignement. Une véritable entreprise de subversion dont on ressent plus que jamais les effets à l'époque actuelle. Pour résumé, communisme et socialisme au sens large= cancers de la France

Tu as raison et cela a permis à certains pseudos "résistants" de donner libre cours à leurs plus bas instincts.