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Rübezahl

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Tout ce qui a été posté par Rübezahl

  1. domestication / veganisme, un couple trognon.
  2. De mon expérience en lycée privé et celle de mes lardons, les cul-bénis sont plutôt une espèce en sévère voie de disparition. Si tu en vois, prends des photos et donne leur à manger. Je ne les regrette pas hein. Mais si j'avais su qu'ils seraient remplacés par pire
  3. spontané ? * la baisse, si baisse il y a, c'est car la techno le permet (ie avec moins d'heures la même richesse est produite) * ce n'est pas parce que la productivité de l'individu X augmente, que cet individu X a forcément envie de baisser sa quantité de travail, il y en a (des vilains) qui peuvent préférer continuer à faire autant d'heures et devenir plus riches. A priori ça devrait n'être que leur affaire, mais il y a d'autres individus que ça démange vraiment trop fort de décider à la place des autres.
  4. Avant, ces connards se contentaient d'être pessimistes dans leur coin et de faire leur petite déprime tous seuls. (Enfin, c'est pas tout à fait vrai non plus. Ils organisaient aussi déjà des grandes schtouilles collectives : l'an mil etc) Maintenant, ils gribouillent des courbes (dessins exacts de ce qu'il y a dans leurs têtes) et arrivent même à les publier dans des revues scyentyfiques. Ils sont organisés. Et ils font chier grave le restant de la planète qui bosse.
  5. ça, ça ne fonctionne de facto que parce que tous ces gens vivent aux crochets du reste de la société, avec RSA, exonérations, etc. En autonomie réelle, ils ne tiendraient pas 2 saisons. ama, il n'y a que 2 grandes options honnêtes possibles : * ce que tu dis au-dessus, mais avec la techno d'aujourd'hui, ie la productivité technologique pénètre jusque dans le foyer. C'est déjà le cas aujourd'hui, mais il faudrait voir si ça peut être poussé jusqu'à l'autonomie ? Et puis, il faut pouvoir amorcer la pompe, ie avoir assez de revenus à un moment donné pour se payer cette techno. Mais ama c'est une voie possible, fuelée entre autres par le low-cost. * l'option finalement classique, suivie par l'humanité depuis toujours, ie les individus participent volens nolens à la course à la productivité/performance pour continuer à gagner des pépètes. C'est la seule façon saine que ça fonctionne. Il y a aussi la 3° option, qui concerne le gros paquet de gens incapables de s'en sortir honnêtement, et qui fait que les états existent : * vivre de la redistribution forcée imposée aux autres. Tout se joue là. Les boulets veulent s'accrocher aux productifs. Les productifs cherchent les moyens de se débarrasser des boulets. Là aussi, il faut noter que ça dure depuis toujours. Il y a toujours eu des individus rétifs au travail et à la productivité. Avant ils passaient leur temps à faire la guerre, et entre 2 conflits, ils se constituaient en bandes de pillards. De nos jours, ils bloquent les voies ferrées, ont des chefs qui passent au JT de 20h00.
  6. Quand on pense que cette merde est financée avec nos sous !
  7. Ne pas perdre de vue que le "gaspillage" n'est qu'une question de point de vue. Ceux qui sont positionnés sous les fuites voient plutôt cela comme une manne.
  8. La finalité ultime du socialisme. Tenir les gens par la survie.
  9. Oui (et pas que rive droite il me semble). Au début on ne pige pas en entrant. Le resto est ouvert, mais sans 1 client. Le four n'est pas non plus allumé. L'accueil est super aimable : 3 types avec des gueules d'assassins te regardent sans causer. Au bout de la 3° "pizzeria" du même genre, une lumière s'allume.
  10. Ben c'est celui que tu vois sur le quart des machines à laver le cerveau chaines TV tous les soirs pendant 2 heures. (Pour les 3 autres quarts de programmes, tu as super-prof, super-infirmier et super homme politique).
  11. Pour le coup, je crains que Tramp ait assez raison. Arrivé à mon grand âge, si je dois compter le nombre de fois où les poulets m'ont rendu un vrai service ... ben, il y a juste rien qui me vient à l'esprit. Par contre, le nombre de fois où ces créatures m'ont fait suer ou ont joué aux mouches du coche, là hélas, il y a un paquet d'occurrences. Et si je dois compter depuis quand ils me coûtent ... ben c'est depuis que je peux raquer. Là, dans mon pauvre coin perdu, ces jours-ci, ils ont poussé une migrante dans la Durance. (pendant que dans le même temps, un meurtre d'il y a 3 ans n'est toujours pas élucidé). La malheureuse s'est noyée. Aucune de ces crapules ne sera évidemment poursuivie. Chaque centime d'euro que je donne en impôts à ces fumures me fait honte.
  12. En même temps, c'est la France. Les enfants légitimes de Pétain, à tous points de vue.
  13. ... l'argument majeur du constructivisme en quelques mots.
  14. quelqu'un ici a déjà utilisé netlify ? ... et pourrait expliquer un peu à quoi ça sert ?
  15. ama oui et sous plusieurs aspects : - déjà vivre aux crochets des autres ou devoir se démerder soi-même ... c'est vite vu pour la plupart des gens. Le libéralisme est, sur le court-terme, du mauvais coté de la pente. Et voir au-delà du court-terme ... c'est pas un truc tout à fait naturel/direct/évident, - intellectuellement, aller contre le constructivisme ... franchement c'est difficile. L'émergence, la création de richesse, ce sont des concepts bien plus compliqués à expliquer que "on va piocher dans la poche de Pierre". Quand on voit que des mythes comme "on va piocher dans la poche de Pierre" perdurent 30 ans après l'écroulement des "économies" basées là-dessus, c'est dire la force de séduction du truc. - il me semble que le pessimisme est une qualité evopsy réelle et réellement utile. Qui compense justement utilement le court-termisme (même si ce n'est souvent pas étayé par de bonnes raisons). Et je crois que le libéralisme s'accommode assez mal du pessimisme. (on en a un peu discuté sur un autre fil). C'est d'ailleurs frappant de voir le socialisme prédire désormais essentiellement des lendemains qui déchantent (pas difficile, c'est la doctrine la mieux outillée pour les réaliser), en offrant au mieux des lendemains un peu moins catas ... et une grosse part de la population suit. - etc Il y a aussi le fait que les fruits abondants du capitalisme ont pour effet mécanique et pervers de nourrir toute la vermine gauchiste et de compenser/financer son improductivité. Livrés à leur idéologie, ces gens crèveraient en 2 générations, mais là, c'est juste impossible. Ils peuvent cracher dans leur soupe tant que la soupe leur est servie. Même si le capitalisme perdure, il faut s'habituer à vivre indéfiniment avec ces morpions. Leur existence est d'ailleurs en quelque sorte un témoignage du succès du capitalisme. Il n'y a pas de puces sur un chien mort. Perso je ne crois pas que le libéralisme puisse être un truc de masse. En tous les cas ça m'a l'air mal barré pour ce siècle.
  16. Une question simple de papi Mouzo, et dont la réponse ne court pas trop les blogs : quels outils pas trop compliqués, open hein, sont dispos pour se forger des adresses soi-même ? from the scratch. (Les adresses "offertes", c'est fort sympathique, mais comment dire ...).
  17. Comme prolongement de courbes, c'est déjà assez délirant, mais aussi, la manière dont le pic se planque juste derrière l'horizon temporel du moment. Ils sont obligés de placer le mensonge (toujours) dans l'avenir, car les data réelles leurs donnent toujours tort. ça mériterait pour le coup un schéma analogue en historique, avec la vague de pics successifs vers la droite. Histoire de bien se moquer. la vague de pics sur laquelle surfent les vendeurs de peur. La seule courbe où ils peuvent mentir dès maintenant, c'est "stock" qui doit encore être estimée absolument au pif de comme ça chante, parce que, par nature, c'est infalsifiable. Faut vraiment pas avoir honte.
  18. oui, entre autres. Mais du matérialisme mal compris : ce n'est pas parce qu'une ressource est finie ... qu'il y a forcément souci. Jusqu'ici on a systématiquement permuté d'un truc A vers un truc B avant d'avoir épuisé A. Mais bon, même après des milliers d'exemples, ça serait vraiment trop dommage de se priver d'une source d'inquiétude. Encore hier soir, il y a le R.C. qui va nous priver de chocolat. On ne se lasse pas. Soupir. Plus que le matérialisme, il y a aussi le refus obstiné de l'émergence, de l'enrichissement par l'échange (bonbons framboise appréciés de Paul mais pas par Pierre, bonbons fraise appréciés de Pierre mais pas par Paul). Tout ça n'existe pas, la seule chose qui compte est de pouvoir piquer x euros à l'un pour le donner à l'autre. Le voilà l'enrichissement concret. Toutes ces simplifications s'accordant évidemment parfaitement avec la monodimensionnalité voulue de l'être humain, une simplification extrême, qui voudrait que chaque être humain se résume à un chiffre au bas d'une fiche de paie. Toute l'humanité classée sur ce brave critère unidimensionnel. C'est à gerber. De nos jours, par dessus tout ça, on a maintenant droit à une couche LGBTGTTDD, juste histoire de dire que : "non, vous voyez bien qu'on n'est pas juste obsédés par le fric". Le gauchiste est vraiment un pauvre type. (Qui devient craignos dès qu'ils sont 2.)
  19. +1 Faut pas demander en plus un truc à la loyale hein. Quand même. Absolutely everything will be ok.
  20. oui, il faut en effet occuper les gens. Le simple fait de leur demander un truc, ça les met instantanément en confiance (et aussi un peu face à leurs responsabilités). Simplement de demander eg à qqun au hasard de parler avec un blessé, de rassurer, de maintenir la personne consciente, c'est énorme. (Et blablater suffit. Et très vite les gens blaguent (blessés et secoureurs). Manière de montrer leur (réel) courage et envie d'être courageux.)
  21. Je relis qqs citations ici : https://uplib.fr/wiki/Tocqueville ce ne sont certes que des extraits, mais ça sonne quand même pas mal libéral.
  22. ... mais pourquoi ça me fait penser si fort aux alertes malthusiennes, où quand l'alerte n-1 s'est avérée sans fondement, hop on oublie et la nième est déjà sous-presse. Les poissons rouges dans leur bocal dans un cycle sans fin.
  23. Je ne suis pas vraiment surpris. La sidération est en effet quelque chose de répandu (et je crois que le mode de vie moderne et socialiste y prédispose fortement. La passivité et l'absence d'initiative permanent, c'est un vrai entraînement, qui porte ses fruits). (J'ai déjà vu ça sur des accidents (assez classique) ou en situation difficile (eg en haute montagne). Mais je subodore aussi que cette forme de sidération est une "mise en retrait", due entre autres, au moins en partie, au fait que d'autres personnes prennent visiblement les choses en main.) Néanmoins je ne pense pas non plus que ça puisse concerner 100% d'un groupe. Rentrer dans un bistro armé d'un couteau, avec 50 personnes attablées, je doute que tout le monde se mette à genoux. (Après, se greffe aussi sur ce genre d'événements un phénomène de fuite par imitation, qui est ama plutôt rationnel (et de toutes manières câblé) en 1° approximation. Et puis, une fois que tu as fui, si tu n'a pas laissé derrière toi des gens à qui tu tiens ... à part des pros, personne ne va retourner au casse-pipe.) Pour la pitié, j'ai déjà vu, ah ah, en plus de la part d'un mec qui venait de s'armer (d'un cric) ... mais qui était totalement décontenancé (et très déçu) que ça ne suffise pas à intimider . Le gars se munit d'un cric ... puis explique qu'il a une femme et des enfants ! quand j'y repense !
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