Antoninov Posté 6 avril 2005 Signaler Posté 6 avril 2005 Les Belges préfèrent les chats BRUXELLES La Belgique compte 1.675.000 chats contre 1.064.000 chiens, selon l'association belge Ethologia. Des enquêtes récentes affirment que les maîtres sont de plus en plus nombreux à aimer le chat pour sa douceur, son côté affectueux et jouette, sa propreté: faut dire que c'est un animal facile, aimant se lover dans un moelleux fauteuil ou sur les genoux de son maître, et se laisser caresser tout en ronronnant. De plus, des études scientifiques affirment que les animaux de compagnie ont un effet bénéfique sur notre santé physique et mentale: caresser un animal réduit la tension artérielle et le rythme cardiaque, calme et décontracte. Sa majesté le chat marque ce constat de sa patte. Confident et ami intime des enfants, Minou les rassure, les apaise, les responsabilise. Compagnon des seniors, Minou les aide à vaincre le stress, à diminuer la solitude. Ainsi à la St Franciscustehuis, une maison de repos de Brakel, une chatte a été introduite dans la section des pensionnaires atteints de sénilité. Molly passe de genoux en genoux, distribuant chaleur et réconfort. Et son contact est particulièrement apprécié par les patients malvoyants dont elle aiguise les sensations. Les familles des pensionnaires reconnaissent que cette présence leur permet de communiquer plus facilement avec leurs proches. Le chat a montré aussi des performances à l'hôpital: Minou a réussi à faire réagir des patientes hémiplégiques et prostrées qui résistaient jusque-là à toutes stimulations… Dans une prison suisse, 25 détenus se sont vus confier un chat. Objectif: avoir une responsabilité, prendre des décisions. C'est un être vivant en qui ils ont confiance et qui ne les juge pas. Bref, vous savez ce qui vous reste à faire, si un chat vous intéresse. Sympa le chat dans la maison de repos, etc.
Taisei Yokusankai Posté 6 avril 2005 Signaler Posté 6 avril 2005 Comment pourrait-on préférer les chiens?
walter-rebuttand Posté 6 avril 2005 Signaler Posté 6 avril 2005 Comment pourrait-on préférer les chiens? <{POST_SNAPBACK}> Moi je préfère 1000 fois les chiens.
José Posté 6 avril 2005 Signaler Posté 6 avril 2005 Moi je préfère 1000 fois les chiens. Mon Dieu ! Et moi qui pensais que tu étais un homme de goût…
walter-rebuttand Posté 6 avril 2005 Signaler Posté 6 avril 2005 Mon Dieu ! Et moi qui pensais que tu étais un homme de goût… <{POST_SNAPBACK}> Préférer les chats, c'est un peu le snobisme du pauvre.
José Posté 6 avril 2005 Signaler Posté 6 avril 2005 Préférer les chats, c'est un peu le snobisme du pauvre. <{POST_SNAPBACK}> :icon_mrgreen:
Taisei Yokusankai Posté 6 avril 2005 Signaler Posté 6 avril 2005 Préférer les chats, c'est un peu le snobisme du pauvre. <{POST_SNAPBACK}> Ca se tient, le chien est le faire-valoir pauvre et servile du riche.
Punu Posté 6 avril 2005 Signaler Posté 6 avril 2005 Il est clair qu'un chien demande plus d'attention qu'un chat (il faut aller le promener, lui donner plus d'affection, etc.). Dans la société actuelle, où nombre de couples décident de ne pas faire d'enfants parce que ça les empêcherait de partir en vacances, il va de soi que les chats sont plus appréciés.
walter-rebuttand Posté 6 avril 2005 Signaler Posté 6 avril 2005 Ca se tient, le chien est le faire-valoir pauvre et servile du riche. <{POST_SNAPBACK}> Chien ou chat, c’est paradoxalement le maître qui est esclave. (putain pas mal ça).
melodius Posté 6 avril 2005 Signaler Posté 6 avril 2005 Je m'étais déjà fait la réflexion; le chat est un maître plus clément que le chien, ce qui démontre que le propriétaire de chien possède une nature servile…
Punu Posté 6 avril 2005 Signaler Posté 6 avril 2005 Chien ou chat, c’est paradoxalement le maître qui est esclave. (putain pas mal ça). <{POST_SNAPBACK}> The things you own end up owning you. Tyler Durden.
José Posté 6 avril 2005 Signaler Posté 6 avril 2005 Je m'étais déjà fait la réflexion; le chat est un maître plus clément que le chien, ce qui démontre que le propriétaire de chien possède une nature servile… <{POST_SNAPBACK}> Bon ça… je vais la replacer…
Constantin_H Posté 6 avril 2005 Signaler Posté 6 avril 2005 Pour avoir expérimenté les deux animaux, je dois dire que je préfère infiniment les chats. Le chat est un animal essentiellement destiné aux propriétaires libéraux : on ne peut pas planifier sa vie, la gérer, la construire, à l'inverse du chien. On ne le "possède" pas, et on est jamais sûr de son affection.
Patrick Smets Posté 6 avril 2005 Signaler Posté 6 avril 2005 Dans la société actuelle, où nombre de couples décident de ne pas faire d'enfants parce que ça les empêcherait d'aller en vacances, Effectivement "entre faire des enfants et voyager, il faut choisir" comme disait le pape.
walter-rebuttand Posté 6 avril 2005 Signaler Posté 6 avril 2005 Pour avoir expérimenté les deux animaux, je dois dire que je préfère infiniment les chats. Le chat est un animal essentiellement destiné aux propriétaires libéraux : on ne peut pas planifier sa vie, la gérer, la construire, à l'inverse du chien. On ne le "possède" pas, et on est jamais sûr de son affection. <{POST_SNAPBACK}> Alors c'est le chat qui est libéral, pas le propriétaire.
melodius Posté 6 avril 2005 Signaler Posté 6 avril 2005 Effectivement "entre faire des enfants et voyager, il faut choisir" comme disait le pape. <{POST_SNAPBACK}>
walter-rebuttand Posté 6 avril 2005 Signaler Posté 6 avril 2005 <{POST_SNAPBACK}> C'est plutôt bien répliqué, je trouve. Ceci dit, c'est vraiment le truc que je trouve le plus absurde chez les cathos: pourquoi ne pas laisser aux pretres la possibilité de se marier et de fonder une famille. Ca n'aurait QUE des avantages.
José Posté 6 avril 2005 Signaler Posté 6 avril 2005 Ceci dit, c'est vraiment le truc que je trouve le plus absurde chez les cathos: pourquoi ne pas laisser aux pretres la possibilité de se marier et de fonder une famille. Marie-toi et tu verras comment il est trèscompliqué de mener de front deux apostolats.
Patrick Smets Posté 6 avril 2005 Signaler Posté 6 avril 2005 Ceci dit, c'est vraiment le truc que je trouve le plus absurde chez les cathos: pourquoi ne pas laisser aux pretres la possibilité de se marier et de fonder une famille. Ca n'aurait QUE des avantages. <{POST_SNAPBACK}> C'est vraiment le truc qui m'a touché dans la mort du Pape : le fait que par son boulot, il n'a jamais pu connaitre le bonheur d'avoir une famille et qu'il est mort dans ses appartementsde fonction avec des collaborateurs professionnels. Il y a là quelque chose d'inhumain (et me semble-t-il de contraire à un certain esprit catholique)
melodius Posté 6 avril 2005 Signaler Posté 6 avril 2005 Je suis un peu surpris chaque fois que j'entends des prêtres expliquer leur vision du mariage. Je crois par contre qu'ils sont raisonnablement compétents pour nous expliquer les avantages du célibat.
Patrick Smets Posté 6 avril 2005 Signaler Posté 6 avril 2005 Mon voisin du dessus est un brave curé qui "donne des cours" (je sais pas si c'est le terme) au séminaire et il m'a clairement expliquer que l'absence d'enfants était la source d'une grande souffrance dans "la profession", qu'on en parlait pas assez et que quand il l'abordait au cours, on sentait les vocations fléchir. Pour lui, c'est une cause de la disparition des jeunes curés en europe.
José Posté 6 avril 2005 Signaler Posté 6 avril 2005 …est mort dans ses appartementsde fonction avec des collaborateurs professionnels. Il y a là quelque chose d'inhumain (et me semble-t-il de contraire à un certain esprit catholique) <{POST_SNAPBACK}> Bof… les conditions dans lesquelles il est mort sont les mêmes que celles de la très grande majorité des gens qui meurent à l'heure actuelle, à l'hôpital, entourés de professionnels de la médecine et très souvent en l'absence de la famille. Par ailleurs, les proches collaborateurs du pape étaient ses familiers depuis des années, voire des dizaines d'années.
Antoninov Posté 6 avril 2005 Auteur Signaler Posté 6 avril 2005 C'est vraiment le truc qui m'a touché dans la mort du Pape : le fait que par son boulot, il n'a jamais pu connaitre le bonheur d'avoir une famille et qu'il est mort dans ses appartementsde fonction avec des collaborateurs professionnels. Il y a là quelque chose d'inhumain (et me semble-t-il de contraire à un certain esprit catholique) oui en fin bon.. c'est parce qu'on n'est pas marié qu'on n'a pas d'amis… et réduire les gens qui l'entourent à de simple collaborateurs professionnels…
melodius Posté 6 avril 2005 Signaler Posté 6 avril 2005 Mon voisin du dessus est un brave curé qui "donne des cours" (je sais pas si c'est le terme) au séminaire et il m'a clairement expliquer que l'absence d'enfants était la source d'une grande souffrance dans "la profession", qu'on en parlait pas assez et que quand il l'abordait au cours, on sentait les vocations fléchir. Pour lui, c'est une cause de la disparition des jeunes curés en europe. <{POST_SNAPBACK}> Je peux te présenter des gens qui sont mariés et malheureux si tu veux…Sisi, ça existe ! Ceci étant, je ne fais pas un fétiche du célibat des prêtres, j'estime que le débat ne me concerne pas, c'est tout. Qu'ils décident pour eux-mêmes, c'est très bien.
walter-rebuttand Posté 6 avril 2005 Signaler Posté 6 avril 2005 Qu'il y ait moins de vocations pour cette raison ça doit tout de même interpeller les catholiques,non?
José Posté 6 avril 2005 Signaler Posté 6 avril 2005 Qu'il y ait moins de vocations pour cette raison ça doit tout de même interpeller les catholiques,non? <{POST_SNAPBACK}> Ouis, bon… le manque de vocation provient surtout d'autres causes : d'abord, et tout bêtement, la diminution de la foi en général dans les sociétés occidentales, la perte de prestige de l'uniforme ecclésiastique, le fait que dans les riches sociétés occidentales la "carrière" ecclésiastique semble moins attractive d'un point de vue pécuniaire, etc.
walter-rebuttand Posté 6 avril 2005 Signaler Posté 6 avril 2005 Ouis, bon… le manque de vocation provient surtout d'autres causes : d'abord, et tout bêtement, la diminution de la foi en général dans les sociétés occidentales, la perte de prestige de l'uniforme ecclésiastique, le fait que dans les riches sociétés occidentales la "carrière" ecclésiastique semble moins attractive d'un point de vue pécuniaire, etc. <{POST_SNAPBACK}> Certes l'effet principal est l'importance de la proportion de prètres homosexuels. Aux autorités religieuses de voir si c'est un bien ou un mal.
Punu Posté 6 avril 2005 Signaler Posté 6 avril 2005 Pour avoir expérimenté les deux animaux, je dois dire que je préfère infiniment les chats. Le chat est un animal essentiellement destiné aux propriétaires libéraux : on ne peut pas planifier sa vie, la gérer, la construire, à l'inverse du chien. On ne le "possède" pas, et on est jamais sûr de son affection. <{POST_SNAPBACK}> C'est plutôt une attitude masochiste ça, non ? Tirer du plaisir de l'indifférence et de l'ingratitude des chats ne me semble pas avoir grand-chose de commun avec le libéralisme. Pour avoir eu les deux, je vous le dis : le mieux est de ne pas avoir d'animaux. Les livres sont de bien meilleurs compagnons.
Taisei Yokusankai Posté 6 avril 2005 Signaler Posté 6 avril 2005 C'est plutôt une attitude masochiste ça, non ? Je ne vois pas ce qu'il y a des masochiste. Il ne 'sagit pas de tirer du plaisir "de l'ingratitude"… Par contre, je ne vois pas le problème qu'il y a à être content de l'indépendance (relative) de son animal. Le chat est infiniment plus discret et moins monopolisateur que le chien, rien que ça c'est un gros avantage. En plus quand je cause à mon chat, il fait semblant de comprendre (ouais, pour el coup, c'est moi le con), alors que le chien a tout simplement encore l'air plus con que d'hab'… Pour avoir eu les deux, je vous le dis : le mieux est de ne pas avoir d'animaux. Les livres sont de bien meilleurs compagnons. <{POST_SNAPBACK}> Tut, tut, tut: chat et livres. Pas mieux. Et moi aussi j'ai eu les deux (euh, les trois…).
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