melodius Posté 28 juin 2005 Signaler Posté 28 juin 2005 Bah, tant qu'on réserve ce genre de fantaisies aux Français et aux Liégeois, peu me chaut.
melodius Posté 28 juin 2005 Signaler Posté 28 juin 2005 1664 pour le goût<{POST_SNAPBACK}> Attends, on parle des trucs qu'on boit, pas de ceux qu'on vide dans l'évier.
melodius Posté 28 juin 2005 Signaler Posté 28 juin 2005 Au passage si on vous propose du Sidi Brahim, sortez ail, crucifix et eau bénite, ou n'importe quel pinard rouge qui sera forcément meilleur que cet infâme piquette à peine bonne pour servir de vinaigre pour la sauce de salade.Le Sidi, il ne passera pas par moi (enfin plus) : <{POST_SNAPBACK}> Je conseille les rosés norafs à ceux qui préfèrent les vins secs (bon, ça reste du rosé hein !).
Chitah Posté 28 juin 2005 Signaler Posté 28 juin 2005 Le Sidi, il ne passera pas par moi (enfin plus) : <{POST_SNAPBACK}> "Le Sidi, il ne passera pas par moui" pour garder la symétrie.
Copeau Posté 28 juin 2005 Signaler Posté 28 juin 2005 Melocotón : autrement dit, la pêche. A ne pas confondre avec le tournicotón, réservé aux enfants sur les manèges
L'affreux Posté 28 juin 2005 Signaler Posté 28 juin 2005 Cafe frappé maison ( découvert il y a 2 semaines mais je peux déjà plus m'en passer…)<{POST_SNAPBACK}> Tu le fais comment ?
L'affreux Posté 28 juin 2005 Signaler Posté 28 juin 2005 Sinon moi j'aime la leffe brune Mais avec un temps pareil, c'est plutôt un jus d'orange mélangé à moitiée-moitiée avec de la san pellegrino, à l'allemande.
Chitah Posté 28 juin 2005 Signaler Posté 28 juin 2005 Hier j'étais sur une péniche où était organisé un évènement promo pour Martini, j'avoue que c'est pas mauvais quand on sait faire les bons cocktails avec.
José Posté 28 juin 2005 Signaler Posté 28 juin 2005 …Martini, j'avoue que c'est pas mauvais quand on sait faire les bons cocktails avec. La recette du dry martini new-yorkais : - 6 cl de gin - 1 olive Verser le gin dans un verre refroidi et prononcer au-desus du verre "Maaartiniii". Plonger l'olive et servir.
walter-rebuttand Posté 28 juin 2005 Signaler Posté 28 juin 2005 La recette du dry martini new-yorkais :- 6 cl de gin - 1 olive Verser le gin dans un verre refroidi et prononcer au-desus du verre "Maaartiniii". Plonger l'olive et servir. <{POST_SNAPBACK}> Y a pas un soupcon de Vermouth avec? Sinon en cette saison, le rouge de loire servi frais genre St Nicolas de Bourgueil, est idéal.
walter-rebuttand Posté 28 juin 2005 Signaler Posté 28 juin 2005 Au passage si on vous propose du Sidi Brahim, sortez ail, crucifix et eau bénite, ou n'importe quel pinard rouge qui sera forcément meilleur que cet infâme piquette à peine bonne pour servir de vinaigre pour la sauce de salade.Le Sidi, il ne passera pas par moi (enfin plus) : <{POST_SNAPBACK}> Y a-t-il un seul vin arabe qui soit buvable? Mon expérience me soutient sue non.
José Posté 28 juin 2005 Signaler Posté 28 juin 2005 Y a pas un soupcon de Vermouth avec? Si, bien sûr. Cette recette est une plaisanterie des barmans de la côte ouest des États-Unis à propos du dry martini préparé à New-York (hyper sec).
melodius Posté 28 juin 2005 Signaler Posté 28 juin 2005 Sissi. Il y a d'excellents et très renommés vins libanais, comme le château Musar, et pour le Maroc, je te conseille le "domaine Vincent", disponible chez ton ancien fournisseur. Les rosés maghrébins sont par ailleurs nettement meilleurs que les rosés de provence. Mais comme je l'ai déjà écrit, ça reste du rosé quand même.
walter-rebuttand Posté 28 juin 2005 Signaler Posté 28 juin 2005 Mieux vaut une drink qui pleure qu'un daïquiri.
Salatomatonion Posté 28 juin 2005 Signaler Posté 28 juin 2005 "Le Sidi, il ne passera pas par moui" pour garder la symétrie. <{POST_SNAPBACK}> Je n'avais pas trouvé de quoi faire rimer, manque de forme sûrement. Mais je vois qu'il y a surenchère en jeux de mots capillotractés.
Invité jabial Posté 28 juin 2005 Signaler Posté 28 juin 2005 Attends, on parle des trucs qu'on boit, pas de ceux qu'on vide dans l'évier. <{POST_SNAPBACK}> Meeeuh, tu préfères la bouteille à la pression??? Tu me déçois :|
Invité jabial Posté 28 juin 2005 Signaler Posté 28 juin 2005 Y a-t-il un seul vin arabe qui soit buvable? Mon expérience me soutient sue non. <{POST_SNAPBACK}> Moi, le Boulaoune et le Guerrouane, ça passe.
Salatomatonion Posté 28 juin 2005 Signaler Posté 28 juin 2005 Moi, le Boulaoune et le Guerrouane, ça passe. <{POST_SNAPBACK}> Exact ! Ca tape un peu (13° au moins) mais c'est bien meilleur que l'affreux Sidi. Walter je te conseille aussi "La Cuvée du Président" ou le "Mascara".
Freeman Posté 28 juin 2005 Signaler Posté 28 juin 2005 C'est vrai que le Martini US c'est pas le même que le notre ? Parce qu'on m'a dit que celui de James Bond, au shaker et pas à la cuillère n'avait rien à voir avec le notre…
melodius Posté 30 juin 2005 Signaler Posté 30 juin 2005 Toutes les bières ne sont pas faites pour être bues à la pression Jabial, et c'est le descendant d'une famille de brasseurs qui te le dit.
Invité jabial Posté 30 juin 2005 Signaler Posté 30 juin 2005 Toutes les bières ne sont pas faites pour être bues à la pression Jabial, et c'est le descendant d'une famille de brasseurs qui te le dit. <{POST_SNAPBACK}> Euh, tu peux m'expliquer plus en détail? Moi, la bière bouteille, je la trouve trop gazeuse pour moi. Pas taper.
melodius Posté 1 juillet 2005 Signaler Posté 1 juillet 2005 Certaines bières continuent leur fermentation en bouteille. En fut, c'est évidemment impossible.
Taisei Yokusankai Posté 1 juillet 2005 Signaler Posté 1 juillet 2005 Certaines bières continuent leur fermentation en bouteille. En fut, c'est évidemment impossible. <{POST_SNAPBACK}> …et on ne peut pas dire que les trappistes sont gazeuses.
walter-rebuttand Posté 1 juillet 2005 Signaler Posté 1 juillet 2005 Pour rester dans le sujet, courrez tous louer "Sideways". 2h de plaisir.
Invité jabial Posté 1 juillet 2005 Signaler Posté 1 juillet 2005 Certaines bières continuent leur fermentation en bouteille. En fut, c'est évidemment impossible. <{POST_SNAPBACK}> Whyyyyyyeuh?
La Fougère Posté 26 novembre 2005 Signaler Posté 26 novembre 2005 Comment, on se prétend dans une taverne et on ne parle même pas de beuveries, de bière, de whisky, de vodka!… Mes breuvages préférés… Bière. Adolescent et jeune adulte j’ai essayé des tas de bières, et abusé de quelques unes. Aujourd’hui je bois le plus souvent de la Bud pour son goût légèrement sucré et sa faible teneur en alcool. Elle est plus désaltérante. Je développerais peut-être une autre fois pour en citer de plus intéressantes. Alcools. Rhum J’aimais beaucoup tout ce qui tournait autour du rhum, du Ti’punch jusqu’aux punch les plus savants… mais ça fait encore partie des boissons dont je me suis lassé à force d’en abuser… hum hum. Armagnac J’aime bien le cognac mais je lui préfère les très vieux armagnacs… Trop cher pour être consommés souvent et autrement qu’au verre. Ca fait des années que je n’en ai bu. Le porto Mais là je ne suis qu’un néophyte. Les Whisky J’ai eu la chance d’être initié progressivement. D’abord les meilleurs Blended, puis les single malt classiques à comparer entre eux pour identifier mes distilleries préférées… Puis ce fut les single cask… Et enfin, après quelques années de «recherches», initiation aux Un-Chillfiltered… Sûr, c’est un chouya plus cher mais… on change d’univers! Je recommande tout de même aux débutants de ne pas sauter les étapes. Il convient d’attendre avant de goûter un Un-Chillfiltered, de vous être au préalable initié aux single malt, puis aux single cask. J’ai fait exprès de ne pas citer de noms de distilleries car les différences entre chacune sont parfois trop importantes… Ce que je recommande aux connaisseurs est de rester dans la distillerie qui a leur préférence et de chercher les single cask, puis les Un-Chillfiltered, de LEUR distillerie préférée. Ainsi la comparaison sera plus facile et l’écart plus évident. Mes distilleries préférées? Elles sont nombreuses et j’aime varier. Je vais quand même en citer quelques unes pour les single malt; et par contre aucune pour les Un-Chillfiltered, d’autant que l’on parle ici presque d’avantage de bouteilles. Alors, j’ai un faible pour (dans l’ordre) Springbank, mon préféré pour le côté épicé et gourmand. Il va falloir que j’essaye leurs Un-Chillfiltered (s’ils en font). Scapa (région: Isle of Orkney). Un single malt qui sort de l’ordinaire, pas cher, accessible, et très agréable. Bruichladdich, mon Islay préféré… les Laphroaig (par exemple) étant beaucoup trop «tourbés» pour mon goût. et Dalwhinnie, un bon p’tit Highlands bien sympathique et pas trop compliqué. Je n’ai pas cité de speyside alors qu’il s’agit de la région qui possède les distilleries les plus célèbres… Ce n’est pas par snobisme - j’en suis incapable - mais bien par préférence. Les single malt de cette région ont en commun des notes acidulées et fruitées qui ne correspondent pas à mon goût tout simplement. Pour le bourbon, j’aime bien le Jack Daniel’s. Pour l’Irlande, j’en ai essayé quelques uns et vraiment… euh, comment dire sans être blessant… euh, j’ai décidé de mettre fin à mes recherches… Voilà voilà. Un dernier conseil, le Scotch peut se boire «coupé», à condition que ce soit avec une eau plate la plus neutre possible, ou mieux encore, sans être indispensable, celle utilisée par la distillerie. On trouve ces eaux de source à La Maison Du Whisky par exemple http://www.whisky.fr/ Un ouvrage qui vous aidera à faire vos premiers pas, ou à vous perfectionner: Le Whisky (coffret 2 volumes) de Thierry Bénitah, Jean-Marc Bellier, Emmanuel Dron Le vin. Depuis quelques années je m’intéresse davantage au vin qu’au whisky, que j’ai un peu délaissé. Ce qui m’intéresse avant tout ce sont les alliances entre plats et vins. Pour cette raison toutes les régions trouvent grâce à mes yeux, avec des préférences dans chacune. La Bourgogne, selon moi la région la plus intéressante car aussi séduisante dans la variété des blancs que dans celle des rouges. Avec une préférence pour les Hautes Côtes de Beaune, blanc ou rouge d’ailleurs. Ne pouvant me résoudre à n’en sélectionner que deux ou trois, je n’en cite aucun… Juste un mot sur les vins agés… j’aime bien les côtes de nuit rouge quand ils entament leur déclin, or, les restaurateurs honnêtes font suivre aux prix de leurs cartes des vins, la courbe correspondant à celle de leur age. Autrement dit, passée la période d’apogée, le prix baisse. Profitez en si comme moi vous aimez aussi cette catégorie, qui même si elle perd en complexité chaque année (évitez les vieillard quand même), gagne en tempérance en quelque sorte. Le Bordelais. Les blancs sont trop acides pour moi, et les moelleux trop gras à mon goût. Concernant les rouges, je les aime tous mais j’ai un faible pour les Pauillac et, dans un tout autre genre, les Pomerol et les Fronsac (voisins). Je recommande de s’intéresser aux Lalande de Pomerol et aux Canon-Fronsac, qui bien sélectionnés, vous apporteront satisfaction pour un prix plus abordable. Le sud-ouest Le Jurençon offre selon moi le meilleur accord: vin blanc moelleux/fois gras. Contrairement aux Sauternes auxquels je reproche leurs notes de gras qui donnent «gras sur gras»… le Jurençon a l’avantage d’être vif et tonique. Excellent aussi sur des brebis… Nooooon… sur le fromage pas l’animal… Au sujet du foie gras de canard, quelques vins rouges peuvent se révéler très intéressants. Les Cahors de plus de cinq ans (excellent sur un confit de canard). Et enfin, les Madirans dont je ne me lasse pas. Languedoc-Roussilon Leurs Muscats sont d’excellents vins de dessert. Les Banyuls de plus de 8 ans offrent des accords intéressant avec le chocolat (comme le porto d’ailleurs). J’aime aussi le Fitou et les Côtes du Roussillon. Les Côtes du Rhône J’aime bien tous leurs rouges. Pour les blancs, autant certains peuvent être très acides, autant d’autres sont plus équilibrés et très intéressants. Un Hermitage blanc par exemple peut prendre en vieillissant une épaisseur et une puissance digne d’un rouge, clairement l’un de mes vins blanc préférés. Pour les moelleux (doux) il y a le Condrieu, qui m’a offert un jour une alliance inoubliable. Provence Le Bandol rouge est l’un de mes vins rouge préférés, mais il est difficile d’en trouver de bon à moins de 15 écus. Par ailleurs, le Bandol rosé est le seul rosé auquel j’accorde un réel intérêt. Blancs trop acides (pour moi). Loire Là encore les blancs sont trop acide pour mon goût à l’exception des Savennières qui sont si équilibrés, qu’ils peuvent même accompagner des viandes blanches après quelques années. J’aime bien tous leurs rouges avec une préférence pour le Chinon, un vin qui s’boit sans soif… et dans un tout autre genre le Saumur-Champigny, avec son côté poivré. Alsace C’est LA région que je recommande pour faire découvrir le vin à quelqu’un qui n’en a jamais bu, car ce sont selon moi les vins les plus accessibles quand on débute, mais ce n’est que mon opinion. Le Riesling (sec) est peut-être leur vin le plus complexe et le plus intéressant. Le Gewurztraminer est sympathique mais j’en ai trop bu et m’en suis lassé. Pour les moelleux j’aime bien le Tokay-pinot gris… Là encore j’ai peut-être abusé du Gewurztraminer vendanges tardives. Sinon on peut se faire plaisir pour pas cher avec un Pinot blanc. On peut aussi trouver des blancs très intéressants parmi les vins du Jura. Enfin en ce qui concerne la champagne, je ne connais pas assez bien pour me prononcer. Pour le beaujolais… autant j’évite le «nouveau» autant un p’tit Morgon, je refuse pas, de temps en temps. Il existe de nombreux livres sur le vin et quelques uns sur les accords. Sur ce dernier sujet, même si bien sûr c’est avant tout une affaire de goût, il existe tout de même des contraintes matérielles (chimiques par exemple) interdisant l’alliance dans certains cas. Sachant cela, je peux vous dire que dans la dizaine de livre que j’ai feuilleté abordant le sujet, on peut relever des erreurs fondamentales dans au moins deux d’entre eux. Un dernier mot, sachez qu’une alliance peut se faire dans l’harmonie ou le contraste. Je ne recommande donc qu’un seul livre pour ceux qui s’intéressent aux alliances: L'Ecole des alliances: Les Vins et les mets; de Pierre Casamayor, un livre clair, pédagogique, ouvert (pas de snobisme ou d’élitisme), et en prime aucune erreur… bref un excellent choix pour débuter, comme pour approfondir ses connaissances. Un dernier point, l’idée selon laquelle on trouve à l’étranger des vins meilleurs et moins chers qu’en France est une légende et je m’explique. Bien sûr je connais d’excellents vins de Californie pour ne citer que l’origine géographique la plus connues. La vrai question est: A QUALITE EGALE peut-on trouver des vins à l’étranger moins cher qu’en France?… Ma réponse est non. Si l’on fait abstraction du prix, on peut trouver à l’étranger des vins capable de rivaliser voire même, dans des cas très rare, dépasser nos vins, même les plus grands… Seulement voilà… le coût de fabrication de telles merveilles est de l’ordre de trois à dix fois plus élevé qu’en France. Donc, et je suis navré de devoir être aussi formel, il n’y a là aucun chauvinisme, A QUALITE EGALE, vous paierez plus cher pour un vin de provenance étrangère. Il n’y a pas de secret, si vous trouvez deux bouteilles de Chablis au même prix, l’une venant de bourgogne l’autre de Californie, il est plus que probable que la première lui soit supérieure, sauf évidemment si vous tombez sur un bourguignon malhonnête… A ce sujet, sachez qu’il n’est pas rare que des vins étrangers aient vieillit dans des cuves (normal pour les premiers prix) avec des copeaux de bois pour donner un goût de chêne (un peu plus embêtant quand même), surtout sachant qu’il sera vendu en France au prix d’un vin français équivalent aillant lui réellement séjourné en fut de bois. Voilà voilà… je vous laisse juge. Euh oui, je précise que je ne suis pas viticulteur et que je n’ai aucun intérêt économique dans ce secteur. Ma citation du jour: «Le Sidi il ne passera pas par moi (enfin plus)» Salatomatonion A ce propos et je conclurai ainsi, si vous achetez un plateau à emporter ou un grec chez un vendeur de Kebab, je vous recommande une fois chez vous les accompagnements suivants: Madiran, côte du Roussillon ou encore côte du Rhône village. Croyez moi, quand on commence à connaître, on constate très vite que l’on peut se faire réellement plaisir avec de bons vins pour pas très cher; pour peu que l’on reste au dessus des prix minimums en dessous desquels on prend un vrai risque gustatif. Espérant avoir donné envie de découvrir le vin aux buveurs de bières … ou d’approfondir leur connaissances aux initiés; je vous souhaite de bonnes dégustations… et un peu à l’avance (le sujet s’y prête) de bonnes fêtes.
Hellboy Posté 26 novembre 2005 Signaler Posté 26 novembre 2005 On ne sait pas ce qu’est une pochtronade tant que l’on a pas vécu les fêtes de Bayonnes… En même temps il parait que c’est plus ce que c’était… Soupir.
h16 Posté 26 novembre 2005 Signaler Posté 26 novembre 2005 Je ne bois pas. Je suis un médiocre qui n'a pas de vice mais seulement des défauts. Vous n'êtes pas le seul. Je ne prends jamais d'alcool, je bois très très peu de café, je ne fume pas. Avec ça, imaginez un week-end avec moi un jour de pluie. A pleurer.
Invité jabial Posté 26 novembre 2005 Signaler Posté 26 novembre 2005 C'est marrant, j'ai toujours préféré les très tourbés (Laphroaig, Ardbeg, Lagavullin). Ceci dit je ne sais même pas ce qu'est un single cask ou un un-chillfiltered! Par conséquent, je m'incline devant ta connaissance, et je suivrai donc le chemin que tu as tracé : je vais essayer de trouver un single cask
Hellboy Posté 27 novembre 2005 Signaler Posté 27 novembre 2005 (…) je vais essayer de trouver un single cask Comme je vois dans votre profil que vous habitez Paris, vous n’aurez aucun mal à en trouver à la Maison du Whisky*. De plus, c’est aussi à eux que je dois une partie de mon éducation dans ce domaine… il sont très sympathiques. * lien dans mon post précédent que je n’ose pas reproduire de peur d’être soupçonné de tentative de spam… mais là encore je n’ai aucun intérêt économique chez eux. edit: comme c'n'est pas forcément évident sur leur site, je donne l'adresse: 20 rue d’Anjou; 75008 Paris.
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