FRANCK Posté 31 juillet 2005 Signaler Posté 31 juillet 2005 Cher ami, nous vous rendons hommage. Qu'il est regrettable que la majorité, que la foule ne vous prenne pas un peu plus en considération, dans votre autre conception du bien. Une foule d'hommes tellement déçue dans ses illusions, tellement poussée dans la démagogie par ses élites bien-pensantes, vous reproche d'être la seule source de leur mal-être. Faut-il qu'il y est à nouveau une même victime expiatoire comme jadis, au temps des civilisations primaires, pour couvrir les nombreuses fautes des hommes, à savoir de n'avoir pas su faire preuve d'un meilleur discernement face à leur vie et leurs difficultés. En effet, tous les maux, toutes les souffrances, toutes les injustices de ce monde vous sont imputés, seriez-vous en conséquence le bouc émissaire idéal ? Non votre philosophie si particulière de la vie, nous a touchés. Peu à peu notre regard sur l'homme et sur la société s'est transformé, a évolué vers quelque chose de plus serein: il est devenu moins manichéen, moins dualiste. Nous n'y croyons plus, nous ne sommes plus dupes, et il nous suffit d'entendre tout cela maintenant. Car nous devons bien nous rendre à l'évidence, qu'au fil du temps, leurs propos n'ont guère rendu la société beaucoup plus remarquable à voir. Alors devrions-nous vraiment nous interdire de vous rendre hommage ? Dans notre présent, nous tenons à exprimer un témoignage plus juste sur votre existence, car nous avons été sensibles à votre parcours et votre modeste condition humaine. Vous, victime de tant d'hostilité, avez eu ce mérite d'être un homme libre, qui a osé porter un regard si différent sur la société malgré tout cet anathème jeté à votre égard, et oui afin de voir plus de charité humaine faut-il vraiment pousser plus loin l'anathème envers autrui dans une société ? Pour quelles raisons avez-vous autant été discrédité, dénigré et banni en votre temps ? Pourquoi chercherions-nous toujours la trace de vos mauvais pas si l'immense majorité d'entre nous n'était déjà entrée dans la voie du bien, c'est-à-dire dans la voie du bien social d'où l'on ne peut s'égarer ? Etes-vous vraiment ce même homme égoiste et inconscient du siècle dernier si souvent caricaturé ? Qui êtes-vous réellement ? Un sinistre individu hors normes, s'évertuant à heurter les bonnes moeurs, à choquer la bonne conscience de l'élite ? Et si vous étiez de nouveau parmi nous, quel regard porteriez-vous sur notre société ? Rares sont les personnes qui ont eu vent de votre existence, normal étant donné que vous ne diffamez pas vos concitoyens quotidiennement, ne rapportez pas de façon intempestive votre propre bonté, ou votre propre louange sociale devant les médias. Peu pour vous, l'homme est libre et ce n'est pas en agissant de la sorte que ses semblables l'accréditeront. Et quand nous respirons l'air de ce temps, comme nous ne pouvons manquer d'éprouver un profond sentiment d'ingratitude et d'injustice. Car votre approche de la société, de la vie, est si singulière, comme vous nous manquez tellement, et comme nous aurions bien besoin de quelqu'un comme vous et non comme eux. Oui, aux yeux de ces leaders d'opinion, ces publicistes du Bien se présentant comme plus progressistes mais en réalité très conventionnels à entendre et qui s'octroient le monopole d'un seul bien possible, vous représentez un danger dans la mesure où vous remettez en question cette croyance. En effet , dans votre éthique, vous ne recherchez pas, pour faire le bien de l'homme, votre propre gloire, plus de pouvoir, les honneurs, les belles médailles, les apparats, les réceptions. Il est vrai que pour accéder à leur sphère de respectabilité, avec éclat et tapis rouge, vers les hauteurs médiatiques de leur société, vous avez oublié de prononcer le mot passe-partout, le sésame, le mot sacré d'aujourd'hui, le mot “social”. Nous nous demandons alors qui sont vraiment les plus sensés ? Est-ce vraiment les personnes qui pensent que plus on multiplie les directives, et meilleur sera le monde ou au contraire des ëtres comme vous qui constatent que " Le meilleur des gouvernements est celui qui gouverne le moins dans la vie et l'esprit des hommes ". Peu sage pour l'opinion de vos détracteurs, vous n'êtes donc pas médiatiquement respectable, bien peu recommandable à entendre: Vous ne vous affligez guère de la condition matérielle des hommes, vous vous montrez plus dur envers les pauvres, vous ne les réconfortez pas, vous ne leur promettez rien, même pas de bannir toute leur souffrance ou tout le mal d'une société en quelques jours. Il est bien évident que vous n'avez pas la stature d'un grand homme, d'un homme responsable. C'est pourquoi les rapporteurs, diront en tous préjugés: -" Voyez donc à quoi ressemble l'individualiste, le dangereux, l'ennemi public numéro 1, le plus arriéré de notre tribu, il rapporte si peu la souffrance des malheureux envers autrui, n'est-ce donc pas là la preuve de son réel manque d'insuffisance sociale. Oh comme il est si cruel et impopulaire de se montrer plus dur envers les malheureux. Notre objectif premier est de soulager avant tout la souffrance morale de toute une société, de sauver le monde, d'augmenter progressivement l'éclairage public. Notre raison première est d'aider les plus nécessiteux. Et auprès de qui les hommes recherchent leur sécurité, leur confort, leur salut social aujourd'hui ? Notre but ultime exige que nos administrés dépendants vivent avant tout dans le besoin sécuritaire de nous voir, nous prier, nous supplier dans les écrits ou les cris du coeur. Dans ce cas, leur besoin crée notre besoin, celui de nous sentir si indispensables à voir dans leur quotidien, alors notre salut s'inscrit dans l'aide et l'assistance permanente aux citoyens. Frappons-le de disgrâce, et faisons lui payer très cher l'audace d'avoir osé penser différemment de nous, de nous avoir poussés à voir que nous pourrions aussi perdre la face, notre influence médiatique au sein de la société. Voyons donc en lui, un mauvais citoyen à censurer, à exclure des débats d'opinion. C'est vrai, il relate si peu les conditions précaires ou matérielles, qu'on en finirait même par s'interroger sur son réel degré de conscience ou de spiritualité dans la société. Dans son manque de conscience, il concentre uniquement son attention, sa réflexion, son intérêt, son action, sur des choses bien peu sociales à voir. Etant donné qu'il laisse plutôt les gens agir à leur guise, voyez comme sa mauvaise tendance reflète une aspiration à corrompre la jeunesse d'une société vers le choix d'un plus grand libre-arbitre ". Et précisément parce que vous ne partagez pas les mêmes dires, vos détracteurs vous cataloguent comme un homme insensé, sans coeur ni Ame, ni aucune compassion vis-à-vis du quart monde, allant même jusqu'à croire que vous agissez uniquement pour votre intérêt et aussi pour celui des gens fortunés. Comme si d'ailleurs tous les gens sensibles à vos réflexions étaient systématiquement fortunés ou arrivés. Pour les bien-pensants, tout est donc impropre à voir en vous, dans le monde, tout est à redresser, à corriger, à contrôler, à changer même, et repartir alors sur de meilleures bases raisonnables, c'est-à-dire les leurs. Malgré ce discrédit, il y a chez vous, quelque chose de remarquable: Ne pas avoir la prétention de mieux faire que quiconque pour venir en aide et au secours de son prochain dans la détresse. Oui, quand vous faites l'aumône, cher ami, vous ne cherchez pas à faire plus grand suffrage universel ou à le clamer plus fort sur les places ou dans les villes en jouant des coudes, comme le font les hypocrites d'hier, d'aujourd'hui ou de demain. Vous vous préoccupez davantage de la condition des citoyens de façon diamétralement opposée à tous ces bien-pensants qui ne se sont jamais remis en question. Il est vrai que vous ne prônez pas une plus grande subordination de l'esprit où des besoins des hommes à un système de contrôle sur la consommation, la dépense, la santé, la culture, etc… Au moins, vous n'exigez pas de vos semblables qu'ils en finissent par se conduire comme du bétail dans un plus grand enclos sécuritaire. Justement vous avez conscience que ce n'est pas en poussant davantage les personnes à consommer jusqu'à l'endettement des foyers ou d'une société, des produits ou des services dont les prix ont été fixés et faussés par des irresponsables, que les hommes se porteront mieux. Et des hommes qui se laissent toujours guider dans la démagogie par ces instigateurs de la surconsommation. Et des démagogues, des politiciens, des bureaucrates, qui se prétendent être plus inspirés par le dysfonctionnement de leurs institutions artificielles que par la vie ou la réalité même. Et comme vos propos ne font pas rêver, ne font pas plaisir à entendre, ils passent aussi rapidement que le vent dans les mémoires de ceux préférant dormir ou se voiler plus longtemps la face: Vous ne vous inscrivez pas, par conséquent, dans leur progrès ! Non, votre cheminement tend vers le discernement individuel de la bonté et de l'authentique excluant toutes les futilités des systèmes collectifs. Pour vous les hommes ne sont pas avant tout nés pour qu'on les marquent et les traitent comme de la matière expérimentale, malléable et corvéable à merci. Vous ne faîtes pas de distinction de classes, ni d'étiquettes. Vous basez vos rapports sur la confiance et la concorde des individus dans une société, et même si vos dires ne font pas grand suffrage, vous aspirez avant tout à une plus grande émancipation des êtres dans le libre-arbitre. Il semble que vous n'indiquiez pas le bon chemin à prendre pour les bien-pensants complètement influencés par le seul mot messianique de notre temps, "social". Ils éprouvent en effet une telle foi politique en ce seul mot là, qu'ils en finissent par se convaincre que seul cela est salutaire pour autrui. Et dans votre "excès" de libre-arbitre, de liberté, ces administrateurs du bien vous brideront, vous blâmeront, considérant que l'unique voie du bien, se situe dans la sempiternelle surenchère idéologique, vers l'uchronie, quelle névrose sociale ! Même en matière de pacifisme, vous éprouvez si peu le besoin solennel de vous mettre en avant pour mieux éclairer, parader, éblouir, et aveugler les masses. Dans notre monde c'est la démagogie électorale ( nos dirigeants actuels d'un bord ou d'un autre ) qui s'impose en tant que seule norme de progrés; rendant notre quotidien de plus en plus impossible et infernal: Des administrés éteints, désespérés, déresponsabilisés, dénués de tout sens critique ou spirituel. Rivés soirs après soirs devant le même journal, nous nous demandons qu'est-ce qu'ils entendent vraiment de mieux ! Le plus agréable ou le plus désagréable ? Ils ont malheureusement opté pour la voie la plus facile, la plus large que d'entendre la dureté de certains propos. Hélas des gouvernants si graves, et si lourds à entendre qu'ils en finissent même par aliéner leur monde. Ces leaders d'opinion trop fiévreux, occupent à tel point le devant de la scène pour gagner les suffrages, endoctriner les hommes, que l'on se demande où se trouve le vrai, le bon, le beau dans la Cité. Le Bien social y est omniprésent, une même langue unique y est omniprésente, elle est principe de raison et de réalité, si bien qu'elle véhicule à elle seule une force suggestive dont nous nous accoutumons jours après jours. Quel lavage de cerveau ! Sincèrement faut-il vraiment suivre la foule pour voir plus de progrés dans un homme ? Non, c'est absurde. Si vous, cher ami, ne pensez pas "comme il faut" pour plaire à l'opinion du plus grand nombre, de la tribu, en revanche vous vous dépassez dans vos interrogations, vos réflexions, vos pensées: Force est de constater, que vous n'incitez pas les hommes à placer leur confiance, leur sécurité, leur salut, en quelque chose de plus vain, car vous savez bien que l'homme ne peut pas changer le cours des choses, contrôler les nombreuses variables indépendantes de la vie, et cela même par l'intermédiaire d'un législateur universel. De surcroît, votre langage n'est pas producteur en soi de miracles sociaux à court terme, vos actes le sont en conséquence, trop difficiles à admettre pour les "enfants" ou les "vieilles" personnes qui réclameront avant tout par attachement, ou par paresse intellectuelle, plus grande sécurité, plus grande "becquée" de la part de leurs démagogues. La séduction et la conduite des hommes vers le bien vous font défaut, vous l'homme sans coeur tourmentez donc les esprits. Pourtant selon vous toute atteinte à l'orgueil un peu trop solennel et social de nos élites politiques, n'est pas forcément un mal pour l'homme. Or, vous avez ce mérite de ne pas montrer meilleur exemple à suivre, de ne pas piaffer d'impatience ou de jalousie pour venir en aide à votre prochain, bravant les nombreux interdits sociaux et moraux en vigueur. Vous ne vous hâtez pas non plus d'agir au nom du bien aux yeux de tous, pour vous faire valoir, applaudir, attendre, supplier et prier par bon nombre de personnes conditionnées, ou afin de mieux vivre au dépend de ses semblables comme par exemple les grands politiciens à vie et bien peu intègres de ce monde. Peu vous importe le temps social, vous n'escomptez pas exhiber le meilleur chronomètre dans la surenchère idéologique. Vues vos lacunes en beaux discours et flatteries de toutes sortes envers les groupes de pression, vous n'avez donc aucun crédit auprès de l'opinion publique. Alors, si nous devions toujours entendre ces monopolisateurs d'opinion, leur conception du bien ne se limiterait qu'à une pensée unique: La leur. N'est ce pas là bien réducteur ! Quand nous savons qu'elle est partagée par bon nombre de "jeunes "ou de "vieilles" personnes qui ne pensent et ne réfléchissent plus par elles-mêmes aujourd'hui. Mais a-t-on encore cette possibilité, cette liberté de voir ou d'entendre autre chose, de penser autrement face à ce que le collectif médiatique nous impose de plus en plus dans son consensus d'intérêts… Et dire qu'ils évoquent perpétuellement le changement, mais ne trouvent point de refuge et de paix en dehors de leurs références obsolètes. Ces calculateurs du bien, ne s'en tiennent en effet qu'à leur formule: bs + bs + bs = plus grand Bien Social, mais ils en ont également oublié la formule suivante (+ + = +)(+ - = -)(- - = +).Ces bureaucrates du bien, ne peuvent admettre qu'un bien puisse venir sans qu'il en soit avant tout le produit visible de leur action afin de s'enorgueillir, ne supportant pas qu'un impondérable puisse interférer dans leurs desseins politiques. Tous ces sociocrates (1) ont reçu les rennes du pouvoir. Etant donné qu'ils gouvernent leur monde, ils se considèrent comme supérieurs et moraux, s'accrochant tellement à leurs places, qu'il demeure et demeurera impossible à des personnes plus honnêtes intellectuellement et ne vivant pas de tout cela, de les déloger si le genre humain se laisse aveugler et tromper plus longtemps par leurs propos. (1) Sociocratie: Ordre politique et social où les plus grands élus de la démagogie , c'est-à-dire où les plus sociaux détiennent davantage d'ascendant moral et électoral sur la vie et l'esprit des hommes, et où seul le mot social dispose d'un pouvoir absolu de raison et d'influence sur autrui. En d'autres termes, soyez plus social, et vous obtiendrez alors un plus grand pouvoir d'influence médiatique sur les autres. Mais pour brosser un portrait plus juste de vous, il nous faudrait prendre connaissance de tout ce qui a été médit à votre encontre, pour se convaincre, comme ces gens là, qu'il n'y a aucune raison de vous accréditer. Toute cette foule, tout ce monde à ne pas suivre afin de mieux vous reconnaître, vous respecter, vous rendre hommage. Cependant, ô paradoxe humiliant pour l'entendement humain ! Vous aviez tellement de choses à dire à vos semblables mais vous étiez né sans avoir le don de tromper, d'abuser de la crédulité des hommes. Bien sur la plupart de ceux qui vous auront compris, constateront et auront grand peine à vous voir ainsi bafoué de la sorte. Pourtant sans vous, sans vos "erreurs", nous aurait-il été possible de nous affranchir de toutes ces conventions médiatico-sociales, de découvrir un autre point de vue des choses, une autre pensée, un autre regard sur l'homme, sur la vie. Il y a en vous, un principe qui nous pousse vers quelque chose de plus libre, de plus vrai, qui remue, soigne, et apaise à la fois nos sentiments, et tente aussi de mettre en évidence le plus beau dans la société, à l'instar de vos écrits si peu manichéens et dirigistes, et dans un langage un peu plus respectueux et confiant à l'égard de l'homme. Et de toutes ces choses que vous nous avez dites, comment pourrions-nous sincèrement les oublier, les rejeter, après un sérieux examen de conscience. Merci de nous avoir permis de mieux définir nos envies, nos priorités, nos choix. De nous avoir autorisés à partager avec autrui une conception plus singulière et néanmoins plus réaliste qui renvoie à la vraie vie. Pour tout cela comment pourrions-nous manquer de vous citer en exemple pour nos enfants. Et avant de finir cet hommage, nous voudrions tellement vous exprimer notre reconnaissance et notre gratitude. Merci illustre inconnu, grâce à vous nous nous sommes évadés en toute insécurité de leurs enclos. Vous vous rendez compte, maintenant nous ne sommes plus dupes des propos, de tous ces joueurs de pipeau. Merci de nous avoir permis de porter un regard un peu plus emprunt de nuances et de compréhension sur l'homme comme sur la société. Jusqu'au bout, vous êtes resté fidèle à vos valeurs, à votre nature, voyant même au fond de vous, que vous ne serez jamais bien reçu et compris par les gens de votre temps. Pourtant vous vous êtes toujours bien gardé de sombrer dans le désespoir ou tout du moins d'attendre celà en vain à l'extérieur… Malgré tout vous savez bien qu'il existe un lieu à l'intérieur de l'homme, un endroit de repos, d'espoir, de confiance, de liberté, où s'évanouissent toutes les fausses lois du monde.. Et même si vous n'avez pas été très bien reçu par toute cette foule, vous nous avez apporté, au contraire, sans vous retourner, réconfort et foi en la vie. Delphine, Franck.
(V) Posté 8 août 2005 Signaler Posté 8 août 2005 Ce texte est beau, pertinent…et clair et simple. Il ne laisse pas indifférent, pas même celui qui a déjà pu avoir en intuition beaucoup de ce que vous avez formulé d'une façon superbe et originale. Je veux croire qu’une grande part des lecteurs de ce forum devrait oser se flatter de cet hommage… Delphine et Franck, merci. PS : le sous-titre « lecture à partager » veut-il bien dire que l’on peut diffuser ce texte sans problème ?
pankkake Posté 9 août 2005 Signaler Posté 9 août 2005 Oh, oui moi aussi j'ai bien aimé ce texte, je l'ai même lié sur mon blog. Désolé, j'ai oublié de dire merci .
Calembredaine Posté 9 août 2005 Signaler Posté 9 août 2005 Franck. N'empêche que Frank n'est pas gâté.
FRANCK Posté 9 août 2005 Auteur Signaler Posté 9 août 2005 Ce texte est beau, pertinent…et clair et simple. Il ne laisse pas indifférent, pas même celui qui a déjà pu avoir en intuition beaucoup de ce que vous avez formulé d'une façon superbe et originale. Merci de nous avoir fait partager ton impression Valentin, ce texte a été voulu simple à lire, mais néanmoins sache qu'il nous a pris du temps et de l'énergie. A cet effet, nous avons voulu le rédiger, afin qu'il soit le plus accessible à tous. Même s'il peut paraître un peu long à lire, il ne contient néanmoins qu'un seul chapitre … Je veux croire qu’une grande part des lecteurs de ce forum devrait oser se flatter de cet hommage… Delphine et Franck, merci. Je l'espère aussi Valentin, mais très peu c'est déjà pas mal pour nous, nous voulions simplement rendre un hommage un peu plus particulier à toutes ces personnes anonymes ou non, qui tout au long de notre histoire ont essayé d'évoquer d'un abord différent des problèmes que rencontrait et que rencontre encore aujourd'hui notre société. PS : le sous-titre « lecture à partager » veut-il bien dire que l’on peut diffuser ce texte sans problème ? Oui, comme le sous-titre l'indique, ce serait bien qu'il soit diffusé le plus possible…
FRANCK Posté 9 août 2005 Auteur Signaler Posté 9 août 2005 Oh, oui moi aussi j'ai bien aimé ce texte, je l'ai même lié sur mon blog. Désolé, j'ai oublié de dire merci . <{POST_SNAPBACK}> Mais de rien Pankkake
Invité FRANCK 2 Posté 12 octobre 2005 Signaler Posté 12 octobre 2005 Avis à tous Bien maintenant que je suis autorisé à écrire sous FRANCK 2, et cela afin de pouvoir de nouveau rendre hommage à quelqu'un, je tiens à vous faire part de cette mauvaise surprise. J'ai constaté qu'il n'était plus possible de consulter les textes de Frédéric Bastiat en Français. Et cela concerne tous les textes de ces sites: http://bastiat.net/fr/oeuvres/ http://bastiat.org/ http://www.catallaxia.org/sections.php?op=…rticle&artid=72 http://cepa.newschool.edu/het/profiles/bastiat.htm Oui, la propagande de la télé du soir cela va bien 5 minutes; alors quelqu'un pourrait-il me dire sur quel autre site en Français, je pourrais retrouver ces lectures agréables. Merci.
DiabloSwing Posté 12 octobre 2005 Signaler Posté 12 octobre 2005 Que s'est-il passé ? Un hack provenant de gauchistes ? Cela prouverait qu'ils ont peur de Bastiat…que ses écrits ont une influence (sur ceux qui les lisent en tout cas ?).
Calembredaine Posté 13 octobre 2005 Signaler Posté 13 octobre 2005 Que s'est-il passé ? Un hack provenant de gauchistes ? Cela prouverait qu'ils ont peur de Bastiat…que ses écrits ont une influence (sur ceux qui les lisent en tout cas ?). <{POST_SNAPBACK}> On peut tout de même récupérer les textes ici: Lien mais faut tout remettre en forme.
Messages recommandés
Archivé
Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.