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Pour Ceux Qui N'ont Pas Encore Quitté Ce Pays De C***s


Dilbert

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Je le crains, effectivement. Je ne serai pas surpris que le but fixé par tous les politiques de l'élection présidentielle ne les éloigne définitivement des questions bassement terre-à-terre de la vie de tous les jours d'ici là, et qu'ils ne voient alors pas venir la déferlante courant 2006…

Visiblement nos hommes politiques n'ont pas l'instinct des éléphants et autres bébêtes face au tsunami asiatique.

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Je le crains, effectivement. Je ne serai pas surpris que le but fixé par tous les politiques de l'élection présidentielle ne les éloigne définitivement des questions bassement terre-à-terre de la vie de tous les jours d'ici là, et qu'ils ne voient alors pas venir la déferlante courant 2006…

J'aurais plutôt tendance à miser sur fin 2007 ou plus probablement 2008. Je pense que l'équipe au pouvoir aura à coeur d'éviter une cessation de paiement avant les élections, en tapant dans les réserves, en reportant les investissements, en coupant dans certains crédits de fonctionnement. Cela les amènerait jusqu'en 2007. En 2007, une fois les élections passées, la nouvelle équipe (quelle qu'elle soit) bénéficiera d'un certain état de grâce, qui lui permettra de continuer à peu près la même politique sans que ça se voie trop. Avec le rétrécissement du déficit budgétaire, la politique de rigueur en Allemagne, les années 2006-2007 seront creuses en matière de croissance et la rentrée 2007 sera déjà très chaude.

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Visiblement nos hommes politiques n'ont pas l'instinct des éléphants et autres bébêtes face au tsunami asiatique.

Les éléphants captent les infrasons, les politiques sont sourds et n'entendent que les superçons.

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J'aurais plutôt tendance à miser sur fin 2007 ou plus probablement 2008. Je pense que l'équipe au pouvoir aura à coeur d'éviter une cessation de paiement avant les élections, en tapant dans les réserves, en reportant les investissements, en coupant dans certains crédits de fonctionnement. Cela les amènerait jusqu'en 2007. En 2007, une fois les élections passées, la nouvelle équipe (quelle qu'elle soit) bénéficiera d'un certain état de grâce, qui lui permettra de continuer à peu près la même politique sans que ça se voie trop. Avec le rétrécissement du déficit budgétaire, la politique de rigueur en Allemagne, les années 2006-2007 seront creuses en matière de croissance et la rentrée 2007 sera déjà très chaude.

Jusqu'à récemment, je rejoignais ton point de vue : le deuxième quinquennat serait avorté par une descente aux enfers financiers. Mais la façon, dont, à mon avis, le gouvernement et l'état semblent s'agiter actuellement pour trouver le moindre sous est inquiétant. Je n'aurai pas cru, par exemple, il y a encore six mois, que le chiffre de la dette serai exposé en public aussi clairement, avec un petit sanglot dans la voix du ministre… Le nombre de Taxalakon que nos élites nous pondent actuellement est impressionnant. Le sénat, ainsi, a réussi en bricolant le budget 2006, en le triturant de toutes les façons possibles, à économiser … 200 millions. Ce qui veut dire que la marge de manoeuvre est très étroite, et que, pour que des sénateurs se donnent autant de mal (des heures de palabre) pour un montant aussi faible, il y a réellement péril en la demeure.

Les rapports s'amoncellent maintenant tous les jours et les voyants passent au rouge à une vitesse inquiétante. 2007 ? Cela paraît si loin…

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[…]Les rapports s'amoncellent maintenant tous les jours et les voyants passent au rouge à une vitesse inquiétante. 2007 ? Cela paraît si loin…

Je souhaite que tu aies raison, mais comme le soulignait Salatomatonion, la capacité des étatistes à racler les fonds de tiroir et à trouver de l'argent est assez phénoménale. Au rayon Taxalakon ( :icon_up: ) :

http://www.boursorama.com/international/de…ml?news=3111283

Bientôt une une taxe sur les raquettes de tennis, de badminton et de ping-pong (pour éviter les niches fiscales), une taxe sur les semelles trop abrasives (pour financer l'usure des trottoirs), une taxe sur les chiens à poils durs (pour financer les blessures causées par les caresses de ces animaux), une taxe sur les serpillères en coton recyclé de couleur grise, une taxe sur les trombones à coulisse munis de pistons en laiton…

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A quand une taxe sur les coits afin de financer les allocs' qui commencent à couter cher.

Pis merde 2500€/accouchement la Sécu n'aime pas !

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Jusqu'à récemment, je rejoignais ton point de vue : le deuxième quinquennat serait avorté par une descente aux enfers financiers. Mais la façon, dont, à mon avis, le gouvernement et l'état semblent s'agiter actuellement pour trouver le moindre sous est inquiétant. Je n'aurai pas cru, par exemple, il y a encore six mois, que le chiffre de la dette serai exposé en public aussi clairement, avec un petit sanglot dans la voix du ministre… Le nombre de Taxalakon que nos élites nous pondent actuellement est impressionnant. Le sénat, ainsi, a réussi en bricolant le budget 2006, en le triturant de toutes les façons possibles, à économiser … 200 millions. Ce qui veut dire que la marge de manoeuvre est très étroite, et que, pour que des sénateurs se donnent autant de mal (des heures de palabre) pour un montant aussi faible, il y a réellement péril en la demeure.

Les rapports s'amoncellent maintenant tous les jours et les voyants passent au rouge à une vitesse inquiétante. 2007 ? Cela paraît si loin…

Je le crains, effectivement. Je ne serai pas surpris que le but fixé par tous les politiques de l'élection présidentielle ne les éloigne définitivement des questions bassement terre-à-terre de la vie de tous les jours d'ici là, et qu'ils ne voient alors pas venir la déferlante courant 2006…
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Ne pas tenir compte du message précédent.

Je le crains, effectivement. Je ne serai pas surpris que le but fixé par tous les politiques de l'élection présidentielle ne les éloigne définitivement des questions bassement terre-à-terre de la vie de tous les jours d'ici là, et qu'ils ne voient alors pas venir la déferlante courant 2006…
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En écoutant Breton et DSK deviser sur la dette, je me suis fait une réflexion. Telle le portrait de Dorian Gray, la dette est le secret des hommes politiques: un visage horrible qu'ils ne doivent montrer à personne car il porte les stigmates du vieillissement de leur politique, alors qu'ils la voudraient toujours nouvelle, toujours jeune.

Grâce à la dette, les étatistes ont pu donner l'illusion qu'ils étaient modernes, dans le vent. Vive l'école publique, vivent les services publics, vivent les acquis sociaux! Vous les libéraux, vous êtes archaïques avec votre étalon-or, vos libertés économiques, votre volonté de toujours réduire l'Etat pour payer moins d'impôts. Ce sont là de vieilles théories du XIXème siècle. Le libéralisme, c'est totally has been, coco! L'état démocratique a le devoir moral de s'occuper de tous, même si ça coute cher. On paiera plus tard. Le crédit, c'est moderne! Tout le monde s'endette pour pouvoir consommer. Consommer, ça crée des emplois et en plus cela prépare l'avenir.

Voilà que le visage hideux de Dorian Gray, en version vieux, se fait jour. Tel un pacte de sang signé avec le Diable, la dette se rappelle au bon souvenir de ses bienfaiteurs (ou au mauvais souvenir de ses malfaiteurs?). Et l'homme politique doit trouver une solution pour faire disparaître son mauvais double. "Il faut dire la vérité aux Français", prévient Breton. "Il faut réduire les déficits", annone DSK. Cela ressemble nettement à du radotage. Tant d'hommes politiques se sont succédés en promettant de dire la vérité et de réduire les déficits! Eclatante de jeunesse à l'écran, cette politique est en fait vieille à l'intérieur.

Mais la démocratie a ses nécessités. Les journalistes du service public n'ont pas envie de voir se réduire les subventions à France Télévisions. Qui sait, on pourrait leur sucrer leurs tickets de cantine ou leur place de parking. C'est vrai, ce n'est pas toujours aux mêmes de se sacrifier, quoi! Alors laissons le faux-jeune DSK présenter son programme. "Il faut créer de nouveaux services publics, par exemple pour la petite enfance." Ha ha ha, sacré DSK, toujours le mot pour rire! C'est vrai que l'on manque de services publics. Entre la maternité et l'école maternelle, il y a encore un certain laps de temps où le futur citoyen, dûment muni des ses couches-culotte, n'est pas complètement pris en charge par l'état. Une question brûle peut-être les lèvres du journaliste: "pourquoi faire et surtout, comment le financer? Puisque l'on vient de vous dire que l'état est déjà surendetté?" Mais le journaliste de France Télévisions est un vieux briscard qui sait s'écraser devant son futur maître. Alors il sourit d'un air entendu: "Un service public de la petite enfance? Comme c'est original, comme c'est jeune, comme cela va favoriser la natalité". On paiera plus tard, quand ces futurs citoyens d'élite, si bien préparés par un état prévoyant, seront enfin devenus productifs.

Pour réduire les déficits d'ici là, DSK a tout de même prévu d'augmenter les impôts. "Et les impôts, cela finance les services publics, donc c'est bon pour la croissance", nous dit-il. Plus on paie des impôts, mieux c'est? Hmmm, nous avons un doute. Mais ce n'est pas grave, DSK, les impôts aussi on les paiera plus tard. Après tout, arrivé à un certain âge, on est en droit de dire: après nous, le déluge!

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La génération sacrifiée sur l'autel de la dette

La Chronique d'Yves de Kerdrel

[06 décembre 2005]

Cette fois, c'est fait ! Le débat sur l'endettement de la France est

bel et bien ouvert. Et il ne doit plus être refermé. Le rapport

Pébereau, qui doit faire oeuvre de pédagogie en la matière, est sous

presse et sera publié d'ici quelques jours. Mais certains des ordres de

grandeur qu'il fait ressortir sont déjà sur la table. On sait ainsi

que, peu ou prou, la dette publique réelle est près de deux fois plus

importante que ce qu'on pouvait imaginer. Et qu'elle suffirait à

absorber toute la richesse que produira la France d'ici à l'élection

présidentielle.

Tout cela ne rend que plus nécessaires les travaux de la commission

présidée par Michel Pébereau, à la fois sur les solutions adéquates

pour stopper, puis diminuer cet endettement public et sur les marges de

manoeuvres dont dispose ce gouvernement et tous ceux qui suivront

celui-là. Car cette dette - désormais il n'y a plus de débat là-dessus

- il faudra bien en arrêter la course folle, et commencer à la réduire.

Avec trois solutions à la clé : l'une qui est peu probable, c'est

l'inflation ; l'autre qui risque d'être très insuffisante, ce sont les

cessions d'actifs ; et la troisième qui est la plus difficile, c'est la

croissance liée à une réforme de l'Etat, dont le nombre d'agents a

augmenté de 50% au cours du dernier quart de siècle.Voilà pour la dette

purement comptable sur laquelle on reviendra dès que le rapport

Pébereau sera rendu public. Mais il y a une autre dette, morale

celle-ci, que nos gouvernants ont souscrite auprès de la plus jeune des

générations en faisant vivre la France à crédit pendant un quart de

siècle.

Car cet endettement, dont le coût absorbe dès aujourd'hui le produit de

l'impôt sur le revenu, constitue déjà un handicap incroyable pour les

Français les plus jeunes. Pour une génération qui doit payer les

conséquences de cet endettement sans avoir bénéficié de la politique de

largesse qui a fait gonfler la dette publique. Pour une génération qui

va devoir consacrer des années à redresser les finances publiques

plutôt qu'à investir dans l'avenir, dans l'économie de la connaissance,

et dans la croissance. Pour une génération enfin qui va devoir

acquitter au cours des années qui viennent la note plutôt salée de ce

qu'a coûté la préservation de ce fameux modèle social français.

Car la vraie honte de cet endettement public que la gauche comme la

droite ont laissé filer avec la même facilité, c'est que tout cet

argent n'a pas servi, comme cela aurait été le cas dans une entreprise

ou dans un ménage, à financer des investissements durables ou des paris

sur l'avenir.

Mais au contraire, il n'a été souscrit qu'aux seules fins de préserver

un mode de vie profitant aux plus anciens, à tous ceux déjà inscrits

dans le système, que les économistes appelleraient les «insiders». Un

mode de vie fait à la fois d'un état gras et omniprésent, de retraites

précoces, de réduction du temps de travail ou d'assurance-maladie

généreuse. Un mode de vie que les baby-boomeurs des trente glorieuses

n'ont jamais voulu remettre en cause au point de l'ériger en modèle

social. Comme si l'on pouvait parler de modèle à propos d'un système

qui met en inactivité deux tiers des seniors de plus de 55 ans, qui

laisse au chômage un jeune sur quatre de moins de 25 ans, et qui

n'empêche pas un million d'enfants de vivre sous le seuil de pauvreté.

Cette gigantesque dette publique n'a pas seulement hypothéqué l'avenir

du pays, elle a d'une certaine manière ébranlé le pacte

intergénérationnel. Elle a organisé un clivage entre ceux qui profitent

«du modèle français» et ceux qui savent d'ores et déjà qu'ils n'y

auront pas droit. Parce qu'il faudra bien allonger l'âge de la

retraite, réduire les dépenses maladie prises en charge par la

collectivité, diminuer les allocations et primes en tout genre, et

faire maigrir un état obèse et inefficace.

Elle a creusé un fossé entre ceux qui ont vécu à crédit profitant d'une

époque où le loyer de l'argent était inscrit sur une pente descendante,

et ceux qui vont devoir se serrer la ceinture pour rembourser la dette,

quitte à handicaper la croissance, quitte à rogner sur les dépenses

d'avenir et quitte à effacer certaines des baisses d'impôts.

Elle a surtout établi un mur entre ceux qui profitent du «système» et

ceux qui en sont d'ores et déjà exclus, soit parce qu'ils n'ont pas

l'accès au travail qu'ont eu leurs aînés, soit parce qu'ils ne

bénéficient pas des mêmes garanties ou prestations, soit parce qu'ils

se trouvent aux prises des difficultés du marché du logement, soit

enfin parce qu'ils n'ont pas la même espérance dans l'avenir.Alors bien

sûr, cette dette publique n'est qu'un problème théorique. Les

créanciers seront payés. Les agences de notation n'ont pas à s'affoler.

Mais si les dettes qu'on paie font des trous, celles qu'on ne paie pas

font des taches. Et cette dette morale souscrite auprès des générations

futures au mépris de tous les principes du développement durable ne

sera jamais acquittée. C'est là la plus grave erreur des gouvernants

qui se sont succédé depuis un quart de siècle. Et plus qu'une erreur,

c'est une faute que d'avoir sacrifié sur l'autel de la dette les

générations futures. Ce sera une tache impossible à effacer.

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Pour réduire les déficits d'ici là, DSK a tout de même prévu d'augmenter les impôts. "Et les impôts, cela finance les services publics, donc c'est bon pour la croissance", nous dit-il. Plus on paie des impôts, mieux c'est? Hmmm, nous avons un doute. Mais ce n'est pas grave, DSK, les impôts aussi on les paiera plus tard. Après tout, arrivé à un certain âge, on est en droit de dire: après nous, le déluge!

Ce qui me fascine dans tout cela c'est que la seule solution qui subsiste soit celle qu'ils ont toujours cherché à éviter : la réduction des dépenses. Tant qu'elle était politiquement réalisable à peu de frais ils l'ont laissé de côté. Maintenant qu'elle s'annonce politiquement catastrophique ils vont devoir de gré ou de force la mettre en oeuvre. Extraordinaire !

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Et pendant ce temps-là … :icon_up:

Les Belges ont plus d'argent en banque que les Suisses

Belgique Après la palme de la grande criminalité, les habitants du royaume ont obtenu hier celle de la richesse bancaire.

Alexandrine Bouilhet

[09 décembre 2005]

LA DISCRÈTE BELGIQUE cumule les distinctions. Le royaume a remporté, hier, la palme de la grande criminalité en Europe, d'après la Commission européenne. Les Belges ont également rattrapé les Suisses au palmarès des citoyens les plus riches d'Europe. Telle est la conclusion du baromètre semestriel des investissements réalisé en Europe et aux Etats-Unis par le centre de recherche allemand Gfk Worldwide, pour le compte du Wall Street Journal. D'après cette enquête, près d'un Belge sur trois (31%) déclare posséder plus de 50 000 euros en banque, abstraction faite des biens immobiliers.

Les Belges rejoignent ainsi les Suisses (31%) jusqu'ici connus comme les citoyens les plus riches d'Europe, et talonnent leurs prospères voisins du Luxembourg et des Pays-Bas. Parmi les Belges, les Flamands sont bien plus riches que les Wallons, ce qui fait des habitants des Flandres les Européens les plus riches, dépassant de loin le Luxembourg et la Suisse. «Attention : la richesse des Suisses est stable, alors que celle des Belges augmente fortement», note Mark Haufman, directeur de GfK.

Cette hausse du patrimoine déclaré des Belges est attribuée à la loi d'amnistie fiscale de 2004. Des centaines de millions d'euros d'épargne ont été rapatriés du Luxembourg, avec la bienveillance du gouvernement fédéral. «Du coup, les Belges osent parler de leur fortune !» souligne-t-on chez Gfk.

D'autres facteurs économiques expliquent la hausse de l'épargne belge : la bonne conjoncture, l'excellente tenue de la Bourse, la qualité du système de sécurité sociale et l'absence d'impôt sur le capital, qui attire tant les fortunes françaises. Les Belges apparaissent beaucoup plus riches que leurs voisins Français ou Allemands, qui ne sont que 8% à déclarer posséder plus de 50 000 euros en banque. Les Britanniques, eux, arrivent en troisième position (23%) en Europe, mais bien derrière leurs cousins d'Amérique, champions du monde toutes catégories de la richesse. Quatre Américains sur dix confirment détenir plus de 50 000 dollars. Cette prospérité occidentale tranche avec la maigreur des portefeuilles en Europe centrale et orientale, où seulement 2% de la population déclare posséder au moins 25 000 euros. Dans les pays de l'Est, la République tchèque est plus riche que la Hongrie et que la Pologne, mais l'écart de fortune avec le reste de l'Union européenne est flagrant, le rapport étant d'un pour dix.

Mais bon, ne parlons pas d'argent, c'est moche.

Posté
ils vont devoir de gré ou de force la mettre en oeuvre. Extraordinaire !

En fait, je crains qu'il doivent mettre en oeuvre la force, plutôt…

Posté

Finalement je dirais que les USA sont un Etat social-libéral ( et non ultra-libéral ) puisqu'il existe des services publics. Je dirais que la Nouvelle Zélande est un Etat libéral " normal " ( n'importe quel Etat devrait exister de cette façon ).

Il n'existe pas à proprement parler d'Etat ultra-libéral…

Enfin on l'aura compris, de société minarchiste, libertarienne.

Posté
Il n'existe pas à proprement parler d'Etat ultra-libéral…

Etat ultra-libéral ? Déjà ultralibéral est un néologisme … étrange. Et accolé à état, cela a quelque chose d'une oxymore, presque obscène. Quelque chose d' "ultralibéral" ne peut être étatique, non ?

Donc oui, un "état ultralibéral" n'existe pas (et n'existera jamais…)

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