labbekak Posté 23 février 2006 Signaler Posté 23 février 2006 Ce que Witold Gombrowicz appellait l'"encuculement"
Copeau Posté 23 février 2006 Signaler Posté 23 février 2006 La sortie était prévue pour hier normalement.
pierreyves Posté 23 février 2006 Signaler Posté 23 février 2006 Signature du livre de Mathieu Laine : La Grande Nurserie En finir avec l’infantilisation des Français (Editions JC Lattès – présentation du livre en pièce jointe) le Mercredi 8 mars 2006 de 19 heures à 21 heures(Présentation à 19h30 suivie d’un verre amical)à la librairie GALIGNANI224, rue de Rivoli – 75001 ParisTél. : 01.42.60.76.07. – galignani@wanadoo.frMétro : TuileriesParking Pyramides : 15, rue des Pyramides – 75001 Paris La France est-elle devenue une Grande nurserie ? Obésité, alcool, cigarette, piscines, sécurité, contrat de travail, logement, patriotisme économique, discriminations : sur tous les sujets, l’Etat nounou nous borde et nous protège. Il nous promet un monde propre, sans risque, tolérant et solidaire et ne cesse de nous donner la conduite à tenir. Va-t-il bientôt faire imprimer, sur nos barres chocolatées, que « le sucre fait grossir » ou, sur le fronton des maternités, que « naître fait mourir » ? Cette spirale interventionniste et sécuritaire brise les énergies individuelles, étouffe la croissance économique et anéantit l’esprit de responsabilité. Faire de la politique revient ainsi à gérer les caprices de citoyens traités depuis trop longtemps comme des enfants. La Grande Nurserie, c’est ce système, le cœur mourant de l’« exception française », le moteur lancé à plein régime de l’infantilisation des citoyens. L’avenir n’est cependant pas aussi sombre qu’on le dit. Si l’Etat ne peut pas tout, nous avons tous à gagner de la responsabilisation. Reprenons le contrôle de nos vies, croyons à nouveau en nous-mêmes et brisons les barreaux de la Grande Nurserie : il est encore temps ! Mathieu laine a trente ans. Il est avocat spécialisé en droit des affaires et enseigne à Sciences-Po. (J'y serai.)
Copeau Posté 27 février 2006 Signaler Posté 27 février 2006 Ajout du lien amazon ; Wapiti, comment fait-on pour l'ajouter au thème ??
Coldstar Posté 2 mars 2006 Signaler Posté 2 mars 2006 J'ai rapidement feuilleté ce livre hier en FNAC, il ne m'a pas emballé, trop classique à mon goût. Dans le fond et dans la forme. Il fait quelque peu doublon avec d'autres titres sortis récemment, il faut dire qu'il y a une curieuse profusion de manifestes pro-libéraux ces temps-ci? Le libéralisme fait vendre depuis qu'il est officiellement aussi désastreux que le communisme…
John Loque Posté 19 avril 2006 Signaler Posté 19 avril 2006 Mathieu Laine est passé chez Ruquier ce soir ! Et il a été excellent !
Ronnie Hayek Posté 19 avril 2006 Signaler Posté 19 avril 2006 Mathieu Laine est passé chez Ruquier ce soir ! Et il a été excellent ! J'espère qu'il a bien rembarré le garde rouge de service.
John Loque Posté 19 avril 2006 Signaler Posté 19 avril 2006 J'espère qu'il a bien rembarré le garde rouge de service. C'était Benichou ce soir (que j'aime bien quand il ne donne pas ses opinions politiques) et Laine ne s'est pas laissé démonter. Rediffusion demain sur TV5 à 12h05, ça vaut la peine de programmer vos magnétos.
DiabloSwing Posté 20 avril 2006 Signaler Posté 20 avril 2006 Si certains veulent bien enregistrer cette émission et la sauvegarder sur ftp, je suis preneur !! Je ne pense pas que le site de tv5 diffuse l'émission, non ?
Freeman Posté 20 avril 2006 Signaler Posté 20 avril 2006 Il a une bonne tête mais me fait vraiment trop penser à Tanguy.
Etienne Posté 20 avril 2006 Signaler Posté 20 avril 2006 Il a été plutôt bon face à une salle dans l'ensemble hostile. Je crois que ce qui me semble le plus effrayant, c'est la réaction de Bénichou, parce que finalement, il dit simplement que tout le discours de Laine est discrédité par son adhésion au libéralisme, à la liberté d'entreprendre, etc., et qu'in fine, Bénichou ne saurait considérer l'ensemble des propos de Laine que comme de l'idéologie. C'est à en croire que de peur de s'allier ou simplement d'être d'accord avec un libéral, il en oublie totalement le danger que Laine dénonce et avec lequel il s'avoue en accord en partie. Bref, il prefère attaquer une personne qu'un danger pour la liberté : il se fout de cette dernière comme de ses premières chaussettes, et c'est quand même affligeant.
Ash Posté 20 avril 2006 Signaler Posté 20 avril 2006 Ce qui marche pour l'extrème-droite, marche pour le libéralisme voyons…
Freeman Posté 20 avril 2006 Signaler Posté 20 avril 2006 Tout comme hier dans l'émission culture et dépendances Joffrin qualifiait des hommes de droite d'hommes de gauche parce qu'ils avaient fait des trucs bien comme Shoelcher…
Freeman Posté 20 avril 2006 Signaler Posté 20 avril 2006 Non, un homme de gauche voyons, tu sais bien que les libéraux exploitaient les noirs ! Loooool
Sekonda Posté 23 avril 2006 Signaler Posté 23 avril 2006 En débat avec Claude Evin dans l'Express. La visibilité des libéraux dans les médias "grand public" a l'air assez bonne en ce moment. (+X. Mera dans les Echos ce WE) La cigarette sent le soufre en Europe. Depuis que l'Irlande l'a mise à la porte de ses lieux publics en mars 2004, la liste des pays qui l'ont proscrite ne cesse de s'allonger: Italie, Norvège, Malte, Suède, Ecosse et bientôt Angleterre et Irlande du Nord. La France, elle, hésite à bouter pour de bon le tabac hors des bureaux et des restaurants. Il y a quinze ans, elle jouait les pionnières avec la loi Evin, qui imposait le no smoking dans les lieux à usage collectif, tout en autorisant la création d'espaces fumeurs. Aujourd'hui, alors que la loi est quotidiennement contournée, les Français sont majoritairement favorables à l'interdiction pure et simple. Mais le gouvernement, soumis à l'intense lobbying des buralistes et des restaurateurs, temporise. «Protégeons mieux les non-fumeurs», insiste le député Claude Evin, ancien ministre de la Santé et père de la loi de 1991, qui vient de publier A votre santé! (éd. de l'Atelier). «Arrêtons d'interdire!» rétorque l'avocat d'affaires Mathieu Laine, qui, lui, stigmatise l'Etat nounou dans La Grande Nurserie. En finir avec l'infantilisation des Français (J.-C. Lattès)Faut-il renforcer la loi qui porte votre nom, Claude Evin, ou interdire purement et simplement la cigarette dans tous les lieux à usage collectif? Claude Evin: La loi de 1991 pose le principe de l'interdiction de fumer dans les locaux à usage collectif, tout en permettant l'organisation éventuelle de zones fumeurs dans les restaurants et, sous certaines conditions, sur les lieux de travail. Ce texte a inversé la logique qui prévalait jusque-là. Avant, on pouvait fumer partout, sauf dans les endroits spécifiquement réservés aux non-fumeurs. En 1991, j'aurais souhaité aller plus loin que ce compromis, même si, à l'époque, la loi française était en avance sur les autres législations européennes. Aujourd'hui, je crois qu'il est nécessaire d'imposer une interdiction totale de fumer dans les lieux à usage collectif, parce qu'on voit bien que la loi n'est pas très facilement applicable. Je suis partisan de supprimer la disposition qui autorise la création d'espaces pour les fumeurs. Chaque année, environ 3 000 décès sont liés au tabagisme passif. C'est un problème de santé publique. Je pense que la loi doit mieux protéger les non-fumeurs. Mathieu Laine: Deux précisions, tout d'abord: je ne fume pas et je ne suis pas financé par les fabricants de cigarettes! Mon combat porte sur la défense de la liberté individuelle et de la responsabilité personnelle. Aujourd'hui, l'Etat se prend pour une nounou qui nous dit: «Ne fais pas ci, ne fais pas ça.» C'est l'Etat sécuritaire, hygiéniste, qui intervient sur tous les sujets, qui veut nous protéger contre nous-mêmes. Cette dérive, je la critique au sujet du tabac, mais aussi de l'alcool. L'ensemble des boissons alcoolisées porteront bientôt la mention «Boire de l'alcool est dangereux pour les femmes enceintes». Pourquoi pas pour les chefs d'entreprise stressés ou les acteurs déclinants? Est-ce qu'une notice sera fournie avec chaque bouteille de vin pour nous indiquer toutes les précautions à prendre? Même chose pour l'obésité: à quand un bandeau sur les barres chocolatées précisant que «manger du sucre est mauvais pour la santé»? On étouffe sous la précaution! La liberté ne doit pas être présumée coupable! Comment articuler la loi et la responsabilité individuelle? C. E.: La question, au fond, est de savoir si une société a besoin de règles pour fonctionner ou si elle peut s'autoréguler par le savoir-vivre et le respect. Je crois que le rêve d'une société idéale dans laquelle les hommes, naturellement bons, s'organiseraient de manière intelligente ne correspond pas à la réalité. On pourrait aussi dire qu'il ne faut pas limiter la vitesse sur la route, mais qu'il suffit d'expliquer aux gens que c'est dangereux pour qu'ils lèvent le pied. Sauf que ça ne marche pas! Nous avons besoin de règles. La loi est là pour ça. Pour défendre, également, le faible face au fort. Je suis attaché, comme législateur et comme juriste, à ce principe. Sur la question du tabagisme, on ne peut pas invoquer uniquement la liberté. Que certains prennent des risques, cela les regarde. En revanche, la réglementation est nécessaire pour protéger les personnes exposées à un risque qu'elles n'ont pas choisi de courir. Je voudrais vous rappeler que le Conseil constitutionnel, saisi sur la loi de 1991, a considéré qu'elle ne portait pas atteinte à la liberté d'entreprendre, car elle était fondée sur des principes supérieurs, notamment la protection de la santé. Et ne me dites pas que c'est une loi privative de liberté. Elle n'interdit pas de fumer. M. L.: Toutes les interventions de notre Etat nounou participent du mythe de la société parfaite, débarrassée des risques par la coercition publique. Le monde n'est pas divisé entre forts et faibles, à mon sens. Nous sommes tous faits de forces et de faiblesses. Les non-fumeurs ne sont pas tous des faibles qu'il faudrait protéger contre l'agression des fumeurs - les forts. Par ailleurs, les 3 000 morts que vous évoquez ne sont pas les gens qui fréquentent de temps en temps les restos et les boîtes de nuit. Ce sont les hommes et les femmes exposés au tabagisme de leur conjoint. Des cas sur lesquels la loi n'a pas prise. «l'Etat ne peut pas se désintéresser du coût des conduites à risques» Claude Evin Quelles solutions préconisez-vous, Mathieu Laine, pour pacifier les relations entre fumeurs et non-fumeurs? M. L.: Tout d'abord, l'absence de loi n'est pas synonyme d'absence de normes. Il existe des règles de politesse, des codes de bonne conduite, de vivre-ensemble, qui ont toujours fonctionné et auxquels il faut faire confiance. Ce n'est pas parce que quelques fumeurs (pas tous!) sont impolis qu'on doit faire une loi. Par ailleurs, il faut respecter les droits de propriété privée: je suis pour la coexistence de restaurants où la cigarette serait interdite, d'autres qui seraient 100% fumeurs et des établissements mixtes. Voilà une solution qui permettrait de concilier la liberté des fumeurs de fumer et la protection de ceux qui ne souhaitent pas subir le tabagisme. C'est ça, la vraie cohésion sociale. D'ailleurs, si on laissait faire le marché, les lieux collectifs non fumeurs se développeraient. Voyez les restaurants non fumeurs: ils se multiplient pour répondre à la demande. C'est dans l'intérêt économique des propriétaires, aussi, parce que les non-fumeurs, c'est prouvé, passent moins de temps à table. Idem pour la SNCF, qui a vite compris que les wagons fumeurs ne faisaient pas le plein. Enfin, ne négligeons pas les apports du privé, comme les patchs antitabac. Croyez-moi, il vaut mieux «laisser faire». C. E.: Vous ne pouvez pas faire abstraction des intérêts économiques en jeu, à commencer par ceux des marchands de tabac et de l'industrie agroalimentaire. Quand celle-ci met des distributeurs de boissons sucrées dans les établissements scolaires, ce n'est pas dans l'intérêt de la santé publique. M. L.: Eduquer est le rôle des parents et des profs. Doit-on protéger les salariés exposés à la fumée au travail? M. L.: Sans doute, mais ce n'est pas le rôle de la loi. C'est celui des partenaires sociaux. Les salariés ont la liberté de choisir leur employeur. Les entreprises, celle de s'organiser pour que fumeurs et non-fumeurs puissent cohabiter sereinement. Dans la très grande majorité des cas, cela se passe bien. C. E.: Vous connaissez mal la situation. Le nombre de gens qui se plaignent du non-respect de la loi sur les lieux de travail est ahurissant! La Cour de cassation, qui s'est prononcée en la matière, estime d'ailleurs que l'employeur a une obligation de résultat. M. L.: La loi ne va pas changer les gens… C. E.: Peut-être, mais on ne choisit pas de travailler dans tel ou tel environnement. M. L.: Mais dans la vie, on choisit, on est dans un pays libre… C. E.: Vous ignorez le chômage dans ce pays. Il y a des gens qui sont bien obligés de prendre le boulot qu'ils trouvent. M. L.: Vous avez une vision très triste de l'individu… C. E.: Les serveurs de restaurant apprécieront! «C'est l'Etat précaution qui se développe, et prône le droit au risque zéro» Mathieu Laine Peut-on s'en remettre au savoir-vivre des Français, alors que la cigarette génère un coût supporté par la collectivité - et non par l'individu? M. L.: Si l'on prend prétexte de la faillite de la Sécu pour proscrire les comportements à risques, alors, on n'interdira pas seulement le tabac. On interdira l'alcool, on ouvrira des cantines municipales avec des menus définis par des experts, on enverra la police vérifier que chacun est suffisamment couvert pour éviter d'attraper un rhume… Cela dit, il faut rétablir le lien entre liberté et responsabilité. Celui qui provoque des dommages doit en supporter les coûts. Il est nécessaire de responsabiliser les acteurs, de mettre les caisses en concurrence et de développer l'assurance privée. Dans ce cas, la cotisation que vous paierez dépendra de votre mode de vie. Si les gens veulent fumer, ils en paieront les conséquences. C. E.: A partir du moment où les soins sont pris en charge dans le cadre d'un système de solidarité nationale, financé par des prélèvements obligatoires, l'Etat ne peut pas se désintéresser du coût des conduites à risques. En tout cas, avec des assureurs privés, les risques que prendraient les individus, y compris dans leur vie privée, ne seraient vraisemblablement pas couverts… M. L.: Faux. L'assurance privée peut couvrir l'ensemble des risques. C. E.: Il est inutile de brandir un système qui ne fait pas consensus dans notre société! M. L.: Evidemment, l'homme politique que vous êtes cherche ce qui plaît au plus grand nombre. C. E.: L'homme politique doit pouvoir faire fonctionner une société de manière à assurer une cohésion entre l'ensemble de ses membres. Ce que vous préconisez n'y conduit pas. L'Etat protège-t-il trop ses citoyens? M. L.: Il les infantilise! Résultat, quand ils ont un problème, quand un risque apparaît, nos concitoyens se tournent immédiatement vers leur maire, leur député ou leur ministre. Récemment, j'ai entendu un député dire: «En France, pour le chômage, il y a l'ANPE, pour la maladie, il y a la Sécu, et pour le reste, il y a les députés.» Il était tout content! Pour lui, le député est devenu un nouveau service public. Pour moi, ce n'est pas ça, la politique. C. E.: La loi, ce n'est pas l'addition des revendications individuelles. Elle s'élabore au nom de l'intérêt général. Et c'est à la représentation démocratique de définir l'intérêt général. Pour autant, je suis d'accord avec vous pour dire qu'il ne faut pas brandir la loi à tout bout de champ. Je ne suis pas pour tout réglementer, tout régenter. L'efficacité de certaines lois reste à prouver. La lutte contre l'alcoolisme, c'est très bien, mais je trouve ridicule la mention mettant en garde les femmes enceintes. Comme si elles étaient les seules victimes potentielles… Autre exemple: la législation qui oblige les propriétaires de piscine à installer un système d'alarme ou une protection. Ces dispositifs peuvent conduire les adultes à relâcher leur surveillance. La loi ne peut pas se substituer à la responsabilité individuelle. M. L.: A force de prévention et de protection, l'Etat a déresponsabilisé les Français. J'ai récemment entendu, dans un reportage télévisé, un homme dire: «Je suis fumeur, j'ai hâte qu'il y ait une interdiction, parce que ça va me pousser à arrêter de fumer.» C'est terrifiant! Le tabac n'est qu'une des illustrations de cette dérive. Depuis 1945, l'Etat se prend pour la Providence: «Je dépense, donc je suis.» Cet Etat, aujourd'hui, n'a plus d'argent et s'interroge. Doit-il faire davantage confiance à ses citoyens, à l'instar de la plupart des pays qui nous entourent, ou, au contraire, dire: «J'interdis, je surveille, donc je suis»? C'est l'Etat précaution qui est en train de se développer, celui qui prône le droit au risque zéro. L'heure est aux hommes politiques adeptes du plus petit dénominateur commun, celui avec lequel nul ne peut être en désaccord. Prenez la longévité. Elle est au cœur des trois chantiers de Jacques Chirac: la réduction du nombre de morts sur les routes, les handicapés et la lutte contre le cancer. Tout cela pour masquer l'absence de vraies réformes. C. E.: La ligne jaune entre la loi et la responsabilité individuelle doit être appréciée au cas par cas. Il faut que l'Etat fasse de la pédagogie, donne des explications. En l'occurrence, dans ma lutte contre le tabagisme, je me refuse à considérer qu'on change les comportements uniquement en interdisant. La loi a permis une prise de conscience, mais elle ne proscrit pas le tabac. Les fumeurs sont-ils infantilisés parce qu'ils s'intoxiquent moins en s'abstenant d'allumer une cigarette pendant un voyage en TGV? Après tout, tant mieux, si cela conduit certains à faire le choix d'arrêter de fumer. M. L.: Vous voulez changer l'homme, le rendre meilleur… C. E.: Mais non! Je souhaite simplement que chacun puisse jouir d'un environnement sans fumée s'il le désire.
Largo Winch Posté 23 avril 2006 Signaler Posté 23 avril 2006 "La grande nurserie" a une bonne couverture médiatique. Il y a eu deux émissions entièrement consacrées à Mathieu Laine et son ouvrage : sur BFM cette semaine et sur LCI il y a deux semaines.
John Loque Posté 23 avril 2006 Signaler Posté 23 avril 2006 "La grande nurserie" a une bonne couverture médiatique. Il y a eu deux émissions entièrement consacrées à Mathieu Laine et son ouvrage : sur BFM cette semaine et sur LCI il y a deux semaines. Il est aussi passé dans "Bibliothèque Medicis" sur TV5 mais je suis arrivé en toute fin d'émission. Il a été très malin en sortant un bouquin "cheval de Troie" qui introduit le vrai libéralisme dans les médias. Quelle émission sur BFM? On peut écouter les archives sur Internet je crois.
Patrick Smets Posté 23 avril 2006 Signaler Posté 23 avril 2006 J'ai déjà entendu le nom de mathieu laine, c'est un intervenant du forum ?
John Loque Posté 23 avril 2006 Signaler Posté 23 avril 2006 J'ai déjà entendu le nom de mathieu laine, c'est un intervenant du forum ? Non, c'est l'ancien DG de Turgot. Côté "people", il est par ailleurs le gendre de Salin.
Patrick Smets Posté 23 avril 2006 Signaler Posté 23 avril 2006 il est par ailleurs le gendre de Salin A un repas de Madelin, j'ai un peu causé avec un gendre de Salin. A moins que ce ne soit une famille nombreuse, il y a des chances pour que ce soit lui.
John Loque Posté 23 avril 2006 Signaler Posté 23 avril 2006 A un repas de Madelin, j'ai un peu causé avec un gendre de Salin. A moins que ce ne soit une famille nombreuse, il y a des chances pour que ce soit lui. C'est lui : J'ai écouté le débat de BFM (vendredi 21) et il a été beaucoup plus hardcore que chez Ruquier, particulièrement sur la fin. Je reçois son bouquin demain ou mardi et j'ai l'impression qu'il va bien se vendre. Ce qui est pas mal c'est qu'en tapant son nom dans Google, la première occurrence c'est le QL…
Ronnie Hayek Posté 23 avril 2006 Signaler Posté 23 avril 2006 Ce qui est pas mal c'est qu'en tapant son nom dans Google, la première occurrence c'est le QL… Je ne vois pas ce que cela a de si surprenant. Tu t'attendais à ce que ce soit tricot-et-couture.org qui apparaisse en premier lieu ?
John Loque Posté 24 avril 2006 Signaler Posté 24 avril 2006 Voilà le débat de BFM, ça vaut la peine d'écouter (faut juste passer les journaux) : http://www.radiobfm.com/archive/player.php…10955&duree=125
Ash Posté 24 avril 2006 Signaler Posté 24 avril 2006 M. L.: Faux. L'assurance privée peut couvrir l'ensemble des risques.C. E.: Il est inutile de brandir un système qui ne fait pas consensus dans notre société! M. L.: Evidemment, l'homme politique que vous êtes cherche ce qui plaît au plus grand nombre. C. E.: L'homme politique doit pouvoir faire fonctionner une société de manière à assurer une cohésion entre l'ensemble de ses membres. Ce que vous préconisez n'y conduit pas. J'ai du mal à croire que ML n'ait pas donner de réponses à ça.
DiabloSwing Posté 24 avril 2006 Signaler Posté 24 avril 2006 Je l'ai trouvé un peu bailloné, il s'est limité à présenter son livre, pas à répondre du tac au tac, dommage.
xara Posté 28 avril 2006 Signaler Posté 28 avril 2006 M. L.: Faux. L'assurance privée peut couvrir l'ensemble des risques. Surtout, il ne faut pas donner raison à des adversaires qui nous prennent pour des guignols parce que nous croirions qu'avec le marché libre, nous aurions le paradis sur Terre. 1. Il est inexact de dire que l'assurance privée peut couvrir tous les risques 2. Ce genre d'affirmations à l'emporte pièce nous rend inutilement caricaturaux et nous décrédibilise.
Dilbert Posté 28 avril 2006 Signaler Posté 28 avril 2006 1. Il est inexact de dire que l'assurance privée peut couvrir tous les risques Et pourquoi ?
melodius Posté 28 avril 2006 Signaler Posté 28 avril 2006 Parce que les primes pour certains risques sont tellement énormes que personne n'y souscrirait.
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