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Contre La Dadvsi Tous Ensembles


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Voici un texte que je viens de recevoir par mail contre la DADvSI on petu le forwarder a tout le monde, il n'est pas genial, mais a le merite d'expliquer et d'informer un peu.

Madame, Mademoiselle, Monsieur, bonjour tout d’abord,

Cet email a pour but de vous sensibilier a ce qui vient de se passer a l’Assemblee Nationale ce dernier vendredi de juin 2006. Nos elus ont vote une loi concernant votre vie privee et votre de droit d’utiliser d’un objet que vous avez achete comme bon vous semble. Vos elus viennent de faire passer une loi qui va a l’encontre de votre liberte!

Apres un parcours parlementaire aberrant, RDDV (notre ministre de la culture), la loi DADvSI vient d’etre votee. Cette loi avait d’abord ete votee apres modification par les parlementaires, cette modification permettait le paiement d’une taxe permettant de telecharger a loisir sur internet, cette taxe revenant ensuite aux artistes, ce texte vote supprimait egalement le projet sur les DRM. C’est dans une assemblee une fois de plus vide que ce texte qui attente a notre liberte vient d’etre vote.

Il convient de vous expliquer ce que sont les DRM ou Digitals Rights Management. Les DRM sont des informations qui peuvent etre liees a toute entite numerique (chanson, texte, film,etc…). Chacun peut proposer son propre DRM, mais il sera impossible de lire les fichiers edites par A sur un logiciel edite par B. Autrement dit, vous acheterez des CD ou dela musique en ligne sans pour autant pouvoir les lire sur tout vos lecteurs (platine CD, autoradio, lecteur de votre choix sur votre ordinateur) En effet, il faudra que chaque lecteur soit compatible avec le DRM de la maison qui aura edite le CD en question (ou le DVD ou tout autre support ou contenu telecharge legalement).

Les DRM peuvent tout a fait reduire le nombre de copies possibles, de plus la loi ne precise pas le nombre minimum de copies auquelles aura droit le client, donc il pourra etre egal a 0! Il est possible que le droit a la copie privee devienne aussi un business, en vous faisant payer le droit a la copie, par exemple 1 copie = 1 euros.

Mais ce n’est pas tout! Bientot vos libertes seront encore plus restrientes, et votre vie privee encore moins respectee. Microsoft, Intel et AMD (ces deux derniers sont les producteurs de puces qui fournisse la quasi totalite des ordinateurs personnels de la planete) vont dans les prochains mois sortir un arsenal complet permettant le traquage de toute vos activites informatiques.

Microsoft et son projet palladium renomme « Next-generation secure computing base » permettra a microsoft de reguler les informations que vous possedez sur votre ordinateur. Ce systeme couple couple a la “puce Fitz” d’Intel et AMD permettra de verifier le contenu de disque dur et effecera tous les logiciels, fichiers, et donnees qui n’auront pas l’autorisation officielle. En bref, si vous telechargez de la musique illegalement, donc sans DRM, la puce Frtiz s’en apercevra et Windows Vista s’occupera de l’effacer ou bien en empecher l’utilisation. Il vous sera possible de ne pas activier Palladium, mais dans ce cas vous n’aurez pas acces a tous les sites qui auront pour serveur, un serveur avec palladium.

De plus grace a Palladium, il serait possible a Microsoft ou tout autre entite de connaitre tous vos faits et gestes sur internet, sur votre pc.

Il ne faut pas prendre a la legere ce qui vient de se passer, ce texte est loin d’etre alamiste, c’est un simple resume de ce qui risque de se passer dans les prochaines annees, il tout a fait concevable que Micorosoft, Intel et AMD fassent en sorte de controler ce que vous avez sur votre ordinateur, par le biais des DRM (loi vote par nos deputes), mais aussi par exemple de refuser les logiciels dis libres, ceux qui sont publics et en libre acces (en toute legalite je precise) comme LINUX.

Pour vous apercevoir de ce qui se passe voici des liens sur des sites officiels afin que vous croyez ce qui vient d’etre dit:

Concernant les DRM:

http://www.quebecmicro.com/technologie/364…r-a-dadvsi.html

je ne pensais jamais que je serais d’accord avec eux, mais:

http://www.lesverts.fr/article.php3?id_article=2804

(meme les socialistes sont contre ce projet de loi et vont intenter une action aupres du conseil constitutionnel)

Pour comprendre ce qu’est la puce Fritz et le systeme Palladium:

http://www.jp-petit.com/BIG%20BROTHER/Bus_Palladium.htm

Dans le monde entier, des partis pirates se creent pour que ces choses ne voient pas le jour, Suede (225 000 membres), en france, en Italie, aux USA. Meme si je ne suis pas d’accord a 100% avec leurs idee, ce parti a le merite de decrier cette derive LIBERTICIDE, et dennoncer nos elus qui sont manipules par Apple, Microsoft et autres grandes maisons de disques.

NOTRE LIBERTE N’A PAS DE PRIX!!! FAITES CIRCULER CET EMAIL QUE LES GENS PRENNENT CONSCIENCE DE CE QUE NOS ELUS ONT CRU BON UNE NOUVELLE FOIS DE NOUS IMPOSER! MERCI D’AVANCE POUR VOTRE, NOTRE ET MA LIBERTE DE CHOIX.

Site du parti pirate

http://www.parti-pirate.info/

Je l'ai deja envoye a un tas de monde, j'espere que vous en ferez autant!

Posté

LOL j'ai poste un commentaire, bien evidament soumis a lecture et acceptation, je precise qu'il est bien ecrit, tout a fait poli et courtois et ne contient aucun mot vulgare ou de nature a denigrer qui que ce soit.

Bref nous verrons, mais innondons son "truc" de commentaires avec le mot LIBERTICIDE!

En ce qui concerne l'email comem j'aimerai qu'il fasse le tour des boites mail de France, meme s'il n'est pas terrible, qu'au moins des gens se rendent compte de ce qui a ete vote par quelques deputes dormants sur els bancs pour faire office de presence!

On aura ta peau El Gringo!

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DADVSI : les acteurs IT américains s'indignent

La loi DADVSI, adoptée ce 30 juin par le Parlement, ne soulève pas seulement une levée de boucliers en France mais suscite également de vives réactions à l'étranger.

Les réactions observées de part et d'autre de l'Atlantique sur la loi DADVSI semblent diamétralement opposées. A des inquiétudes basées sur les droits du citoyen en Europe répondent des craintes sur la bonne santé des entreprises aux Etats-Unis.

A l'inverse de la perception qu'ont les observateurs français de la loi et de ses conséquences, leurs homologues américains semblent davantage effrayés par les conséquences qu'aura le texte sur les entreprises que sur les consommateurs. En France, les griefs se focalisent sur les atteintes aux libertés individuelles à travers les funérailles de la copie privée et la banalisation des mesures techniques de protection, ainsi que sur le flou qui entoure le logiciel Libre. A l'instar des récriminations de la ligue Odebi - "la ligue ne pourra accepter qu'une loi légalise l'atteinte à la vie privée des citoyens" - et de l'appel à la résistance civique lancé par Richard Stallman, les critiques se montrent soucieuses des droits des individus.

Pour Microsoft, une attaque sur la propriété intellectuelle

Outre-Atlantique, c'est un tout autre son de cloche. La grande majorité des médias continue de présenter la DADVSI comme "la loi iTunes", en référence à l'obligation d'intéropérabilité prévue dans la première version du texte. Après son passage devant les sénateurs, cette obligation a pourtant été largement édulcorée, l'intéropérabilité devant simplement être "effective" et ne pas contrevenir à la volonté des auteurs. Une immense nuance qui ne rassure néanmoins pas les observateurs américains. C'est le cas d'Americans for Technology Leadership, une association regroupant les principaux acteurs IT des Etats-Unis, dont Microsoft, et qui clame son inquiétude malgré les modifications apportées par le Sénat. "Le législateur français, en votant une loi qui obligera Apple à ouvrir iTunes à ses concurrents, commet une attaque aux droits de la propriété intellectuelle, pas seulement vis-a-vis d'Apple mais de toutes les entreprises. Même si la version finale est légèrement moins sévère que la précédente, elle continue d'illustrer le total dédain qu'a la France pour la propriété intellectuelle".

A l'inverse, du côté des consommateurs américains, nulle mention n'est faite des dispositions de la loi qui effrayent tant les Français. Au contraire, les associations de consommateurs se prennent à rêver que d'autres pays adoptent un texte comparable, censé garantir l'intéropérabilité : "Dès qu'il y a un choix possible, c'est toujours une bonne chose pour le consommateur", note ainsi la division nord-américaine de Consumers Union.

Le monde informatique. Edition du 03/07/2006 - par Vincent Delfau

Posté
Voici un texte que je viens de recevoir par mail contre la DADvSI on petu le forwarder a tout le monde, il n'est pas genial, mais a le merite d'expliquer et d'informer un peu.

Je l'ai deja envoye a un tas de monde, j'espere que vous en ferez autant!

dieu sait que je suis loin d'être le plus libéral de ce forum, mais soit je n'ai rien compris, soit je ne vois pas où est le caractère liberticide.

Invité Arn0
Posté

Moi je suis totalement contre cette loi stupide mais je me demande bien ce que c'est que le "droit à la copie privée"? Quand tu achètes un produit avec des règles contractuelles particulières d'utilisation tu les respectes ou tu ne l’achètes pas.

Invité jabial
Posté
L'auto-ostracisation de la France continue. Pays de m*de.

Le DMCA c'est pas des masses mieux.

Moi je suis totalement contre cette loi stupide mais je me demande bien ce que c'est que le "droit à la copie privée"? Quand tu achètes un produit avec des règles contractuelles particulières d'utilisation tu les respectes ou tu ne l’achètes pas.

Je suis d'accord sur le fait qu'il n'y a pas à limiter les licenses. Je pense d'ailleurs que dans un système libre, la license remplit le rôle dévolu aujourd'hui au droit d'auteur.

Posté
Le DMCA c'est pas des masses mieux.

Certes, mais les USA ont au moins la puissance politique. La France, en plus, est un nabot. Un nabot qui trépigne et boude dans son coin, en général, finit par devenir la risée de tout le monde.

Posté

… premiers sabordages :icon_up:

Etudes photographiques renonce à l'édition en ligne

Devant le durcissement du dispositif légal concernant la publication sur internet, la rédaction de la revue Études photographiques a pris la décision de renoncer à son édition en ligne. Créé en 1996, la seule revue francophone consacrée à la recherche en photographie avait ouvert dès 1997 un site permettant d'accéder gratuitement à une sélection d'articles, avant de rejoindre en 2002 le portail d'édition électronique Revues.org. C'est avec le plus profond regret que nous abandonnons une possibilité que nous avions été parmi les premiers à explorer. Mais les conditions d'une édition électronique illustrée respectueuse à la fois des contraintes légales et des exigences scientifiques ne sont plus réunies.

Alors que chaque numéro papier d'Études photographiques rassemble une centaine de photographies, la version des articles proposée jusqu'à présent à la lecture en ligne ne comportait aucune illustration. Pour le corpus des images relevant de l'art ou du document patrimonial, toute nouvelle publication entraîne forcément une demande d'autorisation ainsi que le paiement des droits afférents. Ce qui paraît tout à fait normal pour les productions récentes. Mais pour les œuvres plus anciennes, il existe une différence importante entre les contenus textuels et les contenus iconographiques. Alors que n'importe quel éditeur est libre de réimprimer sans bourse délier un roman de Victor Hugo ou un recueil de poèmes de Charles Baudelaire, à quelques exceptions près, le domaine public n'existe pas réellement pour les images. Une oeuvre ne quitte le territoire du droit d'auteur que pour entrer dans celui du droit patrimonial: elle appartient toujours à une collection ou un ayant-droit qui en octroie les reproductions selon son bon vouloir.

En histoire de l'art ou en histoire visuelle, dans la très grande majorité des cas, publier une image se paye. Plutôt cher (à titre d'exemple, le budget des droits d'illustration de la version papier d'Études photographiques se situe entre 2000 et 4000 euros par an). Cette situation n'est pas nouvelle, mais elle prend un relief particulier dans l'hypothèse de l'édition électronique. En l'état actuel des usages, la plupart des collections lient la publication en ligne au paiement d'une redevance annuelle. Ce qui signifie que, pour une publication électronique illustrée, chaque nouvelle édition alourdit une ardoise qui ne s'efface jamais. Aujourd'hui, aucune revue illustrée en ligne ne satisfait entièrement aux conditions draconiennes requises par le droit. Celles qui existent usent de divers stratagèmes pour limiter leur exposition juridique. Une revue entièrement électronique comme Nineteenth-Century Art Worldwide a pris la précaution de poser une borne chronologique qui exclut son iconographie du droit d'auteur, publie des images de petit format et se place sous la protection du fair use américain.

C'est cette porte que les nouvelles dispositions de la loi DADVSI viennent de refermer. Jusqu'en 2009 au moins, il n'y aura pas en France d'exception pour l'usage des images dans un cadre scientifique. Depuis quatre ans, Études photographiques a admis de publier en ligne ses articles amputés de leur illustration. Pour une revue consacrée à l'histoire visuelle, cette solution ne pouvait être que temporaire. Nous n'attendrons pas trois années de plus, sans aucune garantie sur les modalités d'application futures de la loi, alors que la pente suivie est un durcissement de toutes les formes de protection. Compte tenu de nos contraintes budgétaires, nous prenons la seule décision conforme aux obligations légales actuelles: celle d'interrompre notre expérience électronique. Nous espérons que ce geste servira à attirer l'attention sur la situation de l'édition illustrée et à inspirer des dispositions qui lui soient plus favorables. La situation n'est pas difficile à dénouer. Une exception réservée aux publications scientifiques permettrait d'éviter d'avoir à choisir entre le recours au piratage, l'accroissement des financements publics ou le renoncement pur et simple à internet. C'est cette option que nous appelons de nos voeux, en souhaitant qu'Études photographiques puisse réapparaître aussi vite que possible sur nos écrans. Avec toutes ses images.

Par André Gunthert, vendredi 30 juin 2006

Pourquoi pas de domaine public pour les images ? Et pourquoi un domaine public pour les oeuvres littéraires ? Pourquoi une exception pour l'usage des images dans un cadre scientifique " lorsqu'il s'agit d'une utilisation à des fins exclusives d'illustration dans le cadre de l'enseignement ou de la recherche scientifique, sous réserve d'indiquer, à moins que cela ne s'avère impossible, la source, y compris le nom de l'auteur, dans la mesure justifiée par le but non commercial poursuivi " (directive européenne de 2001) ?

Quel foutoir :doigt:

Invité jabial
Posté
Certes, mais les USA ont au moins la puissance politique. La France, en plus, est un nabot. Un nabot qui trépigne et boude dans son coin, en général, finit par devenir la risée de tout le monde.

Pourquoi, c'est bien d'être une puissance politique?

Posté
Pourquoi, c'est bien d'être une puissance politique?

Pô du tout, mais quand on veut donner des leçons, c'est plus crédible…

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Comme pour le "coup de gueule" de 1789 dans un autre fil : à quoi servent alors les taxes que l'on paie sur les supports vierges, lecteurs, etc ?

Posté
Comme pour le "coup de gueule" de 1789 dans un autre fil : à quoi servent alors les taxes que l'on paie sur les supports vierges, lecteurs, etc ?

A engraisser des entreprises à qui je souhaite de faire faillite (les majors) et des artistes que je déteste (je pense avoir au moins 95% de musique en provenance de labels indépendants, et aucun groupe ayant commencé chez une major).

Posté

Les taxes sur les supports vierges est donnee a la SACEM pour redistribuer aux artistes.

Le probleme c'est que beaucoup n'utilisent pas des cd vierges pour y mettre de la musique, c'est donc encore une taxe injuste (je sais c'est un pleonasme)

Les artistes n'ont pas toujours ue de support pour leurs oeuvres, aujourd'hui ce sont les majors qui se gavent, pas les artistes. Les artistes ont toujours les moyens de faire du fric, par les concerts, les pubs, les emissions tele, les apparition ca et la, il y aura toujours un moyen pour l'artiste d'avoir une retribution a sa cration.

De plus le vrai droit d'auteur est celui de la paternite de la creation et de la non autorisation de plagia. Un artiste qui se voit telecharge a mort sur internet connait du succes, ses concerts seront blindes et il fera un max de dates a guichet ferme, et il touchera un max de fric.

Je pense qu'une fois un objet achete on en fait ce qu'on veut, on a payer, c'est notre propriete, si on veut en faire 2000 copies ca nous regarde, du moment qu'elles sont pour nous. SI je veux niquer le DRM pour que le cd soit lu dans ma bagnole c'est mon droit aussi, j'ai paye je veux pouvoir en avoir l'utilite partout ou il est cense fonctioner.

Loi de merde par un ministre de merde dans un pays de merde retrograde et lobbyiste

Posté

J'ai même acheté des démos gravées sur des CD vierges. Et je pense que très probablement ces artistes ne toucheront jamais un sou de la SACEM.

C'est un foutage de gueule intergalactique.

Posté
Au moins.

Bientôt le rayonnement de la France sera connu dans tout l'univers.

… le rayonnement radio-actif, cela va de soi.

Posté

la france: actuellement naine blanche, futur trou noir éffondré sous le propre poids de ses réglementations…..

Ben pour la peine je vais me réécouter l'album autoproduit D'Imogen Heap

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La planète commence déjà à conspuer nos dirigeants, alors pourquoi pas l'univers ? :doigt:

Regardez Chirac, plus personne veut lui parler à l'UE!! :icon_up:Il est cuit, cuicuicuit!

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Regardez Chirac, plus personne veut lui parler à l'UE!! :icon_up:Il est cuit, cuicuicuit!

C'est sans rapport : il est sourd comme un pot, et c'est très pénible pour les traducteurs de répéter douze fois les mêmes âneries dans l'oreillette avant que l'information ne parvienne aux neurones encore sains du cerveau présidentiel…

Posté
:warez::doigt::icon_up:

Il faut s'attendre à de nombreuses horreurs de genre, le rythme va probablement s'accélérer jusqu'en 2007. Les fins de règne sont dangereuses.

Posté

En fait quand on voit ça on comprend presque pourquoi les français sont antilibéraux en général : il voient tellement de magouilles entre Etat et sphère privée qu'ils sont devenus incapables de distinguer le vrai du faux et que c'est la présence d'un Etat devenu trop imposant qui est à l'origine de cette consanguinité mafiosante.

Posté

c'est vrai… voir tous ces événements en politique ou en entreprise de magouille, de corruption, de clientélisme, ça fait gerber. mais ce ne sont (du moins en entreprise) que des cas mineurs… cependant extrêmement médiatisé!!!

un exemple tout con: pour le CNE ils ont fait tout un tapage sur une caisière licenciée car ayant des problèmes de dos, mais tous les satisfaits du CNE qui sont extrêmement contents de la relation qu'ils ont avec leurs patrons, ben que dalle, ils en parlent pas!

donc bon, faut pas s'étonner… on nous montre que les mauvais côtés de l'entreprise. on parle d'une entreprise que quand elle licencie ou ferme, ou à la rigueur de son action si elle est cotée! mais les entreprises qui vont bien, qui redistribuent à leurs salariés, qui augmentent les salaires, qui font des efforts pour améliorer le confort de leurs employés, vous en voyez beaucoup des reportages sur elles? que dalle…

et en politique, c'est sûr que voir l'autre *** faire sa grève de la faim, ou entendre notre président dire que le libéralisme est pire que le communisme, ça aide pas…

  • 3 weeks later...
Posté

si il ya un juriste (au moins un peu) ici, est ce que la loi est applicable aujourd'hui ou il faut encore des décrets d'application et des choses dans le genre?

signé: un internaute qui ne veut pas aller en prison

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