Rincevent Posté 26 novembre 2006 Signaler Posté 26 novembre 2006 En ce qui me concerne, raison de plus pour me méfier. Selon mon expérience de ces individus, les verts (le parti, hein, pas toute personne écologiste) sont en France un repaire pour nombre d'antisémites de gauche. Je n'ai pas la prétention de "sonder les reins et les coeurs", mais je ne le vois vraiment pas ce gars comme antisémite. Mais si tu veux, je te le présente.
Invité jabial Posté 26 novembre 2006 Signaler Posté 26 novembre 2006 Je n'ai pas la prétention de "sonder les reins et les coeurs", mais je ne le vois vraiment pas ce gars comme antisémite. Mais si tu veux, je te le présente. Non merci.
Jeeves Posté 27 novembre 2006 Auteur Signaler Posté 27 novembre 2006 Changer de modèle economique et de distribution est probablement la solution pour la littérature. Le livre lui, se spécialisera sur la qualité de l'édition et de la reliure, sur du haut de gamme ou du luxe. Et c'est un fils de libraire, amateur de LIVRE, qui parle!!! Je pense que Jean-Louis devrait essayer de nouveaux types de diffusion pour ses bouquins, qui serviront surtout à faire passer des idées et le promouvoir lui même. D'où l'intérêt du "libre" en littérature aussi… Pour ce qui est des autres maisons d'édition, je crois que Schnappi résume bien le soucis. Je sais que JLC s'est vu refuser plusieurs fois l'edition… Les Presses Littéraires sont gérées par un libéral, sympathisant de LC et sympathisant de AL…
Patrick Smets Posté 27 novembre 2006 Signaler Posté 27 novembre 2006 Les presses Litéraires sont gérée par un libérale, sympatisant de LC et sympatisant de AL… Dans ce cas, rien à redire.
Ronnie Hayek Posté 27 novembre 2006 Signaler Posté 27 novembre 2006 Et c'est un fils de libraire, amateur de LIVRE, qui parle!!!(…) Les presses Litéraires sont gérée par un libéral, sympatisant de LC et sympatisant de AL… Mes yeux, mes pauvres yeux… Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaargh !!!!
Jeeves Posté 27 novembre 2006 Auteur Signaler Posté 27 novembre 2006 Mes yeux, mes pauvres yeux… Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaargh !!!! euh… comment on dit déjà…(?)… Désolé? J'ai corrigé. Après, j'espère que ce n'est pas QU'à la qualité de l'orthographe et de la grammaire que vous jugez vos interlocuteurs… (please…) Je ferais attention désormais et relirais plus attentivement mes posts. promis! Préambule du livre de JLC… " Toutes les utopies se valent-elles ? Peut-on mettre sur le même plan libéralisme et communisme comme l’a affirmé le Président de la république ? Peut-on trouver une troisième voie entre les deux ? Quelles différences réelles peut-on trouver entre le socialisme et le communisme, alors que le premier a été pensé comme une étape dans le processus d’avènement du second ? Je me dois d’avertir le lecteur. En ces temps d’abdication morale et de démagogie débridée, il ne doit plus avoir l’habitude de la franchise. Ou plutôt, il a l’habitude d’une fausse franchise qui se pare de toutes les vertus dans sa candeur dénonciatrice. Car tous ceux qui sont implantés dans le système politico médiatique font mine d’en être exclus : ils se font passer pour les victimes de la pensée unique alors qu’ils en sont ses meilleurs promoteurs. J’essaierai d’éviter ce registre. C’est pourquoi le lecteur ne trouvera pas dans cet essai une condamnation sans nuance du « grand complot capitaliste », de l’impérialisme américain, de la mondialisation marchande « ultra-néo-libérale » ou de la dictature des marchés financiers. Ce refrain est déjà servi par la plupart des ouvrages qui se présentent comme sérieux. A ce grand jeu de la dénonciation des méfaits du libéralisme, il y a foule de talents. Beaucoup de monde pour dénoncer, peu de volontaires pour définir et expliquer. Et les dénonciateurs zélés ont tendance à monopoliser les ondes et la rue. Le comble est qu’ils consacrent leur énergie à dénigrer une pensée unique dont ils sont les plus dignes représentants. Qui aujourd’hui n’a pas de mots assez virulents pour dénoncer l’argent, le commerce et l’appât du profit qui corrompent tout ! C’est d’une banalité consternante. Je vais essayer de montrer que les problèmes de la société française sont inhérents à notre propre « modèle » qui prend l’eau de toute part. Il faudra bien qu’un jour un homme ou une femme politique ait le courage de dire aux français quelle est la situation économique réelle de la France et ce qu’il faut faire pour en sortir. Il faudra bien qu’un jour les français aient le courage de porter au pouvoir un tel homme – ou une telle femme - et il faudra s’atteler ensemble à la reconstruction. Cette reconstruction sera à la fois morale et économique car il n’y a pas d’économie viable sans valeurs morales fortes et claires. En ce domaine, nous pataugeons dans une débâcle morale qui est toujours le prélude aux pires catastrophes économiques et donc sociales. Car le social n’existe pas en lui-même. Le social se bâtit sur une économie prospère. Sans une économie solide et dynamique, l’Etat n’a plus vraiment les moyens de ses ambitions, qu’elles soient sociales, diplomatiques, militaires et politiques. Or, il se trouve que la France a de moins en moins de moyens au moment où elle nourrit les ambitions les plus démesurées. Les discours ne font pas vivre même s’ils peuvent faire illusion devant des masses désorientées. Ce livre ne s’adresse pas aux masses mais aux individus, c’est-à-dire à chacun de nous. Car les « masses » ne réfléchissent pas ; elles répètent et suivent un leader. Ce sont des entités malléables et artificielles mais dont la formation se fait au détriment de tout épanouissement individuel, de toute prise de conscience personnelle. Je m’adresse donc à la conscience intime du lecteur et à son jugement personnel. Pas besoin d’être un spécialiste de l’économie ou de la politique pour lire cet essai que les spécialistes tourneront en dérision. Ce livre est pourtant le résultat d’une conviction profonde et d’une expérience longuement mûrie que ni l’ignorance des masses ni le mépris des élites ne pourront ébranler. C’est la conviction que la société française est victime d’un mensonge destructeur qui tourne à la farce en se présentant comme une espérance. Mais cette espérance est illusoire, l’espérance d’une troisième voie qui nous éviterait à avoir à accomplir certaines réformes et certaines adaptations qui seront d’autant plus difficiles à mettre en œuvre qu’elles seront retardées. En l’absence de réels changements, elle deviendrait vite une impasse qui fait déjà sentir ses effets délétères. "
Jeeves Posté 6 décembre 2006 Auteur Signaler Posté 6 décembre 2006 Sommaire du livre… de bonne augure? LA TROISIEME VOIE : IMPASSE OU ESPERANCE Ou comment la France se complaît dans l’impasse au risque de passer à côté de l’espérance. Jean-Louis CACCOMO Sommaire Introduction : Toutes les utopies se valent-elles ?…………………2 I. L’illusion du grand régulateur………………………………….14 La pénurie organisée……………………………………………14 La politique du Ni-Ni……………………………………………20 Guigou, des sous !……………………………………………….23 Les limites de l’action publique………………………………….28 Les limites du discours politique…………………………………31 L’ambiguïté de la gratuité……………………………………….35 Public versus privé………………………………………………42 La quête éperdue de la formule magique…………………………48 II. Les lois économiques sont inscrites dans la nature humaine…pas au parlement………………… …………………..51 On doit toujours choisir…………………………………………51 Choisir, c’est renoncer à quelque chose…………………………55 De la nécessité de produire………………………………………60 Supprimons les prix……………………………………………..65 Le partage du pain………………………………………………70 Les fondamentaux de l’économie selon M. Raffarin…………….74 Air Liberté et la solidarité des compagnies publiques…………….84 III. De l’économie solidaire au développement durable : que cachent les mots ?………………… ..………………………………88 Le tout social……………………………………………………88 Les effets pervers du concept ambiguë de justice sociale……….89 L’erreur est humaine……………………………………………92 Les leçons de l’expérience………………………………………96 Johannesburg : le sommet de l’hypocrisie……………………….99 Les fondements de la prospérité……………………………….102 Croissance et inégalités…………………………………………104 IV. La France dans l’impasse…………………………………108 Le syndrome du Titanic………………………………………..108 Le jeu des extrémismes…………………………………………112 L’individu désarmé…………………………………………….114 La sécurité sociale : symbole de tous nos blocages……………..117 Le monopole de la solidarité……………………………………120 Le cercle infernal………………………………………………123 Le mélange des genres…………………………………………126 Conclusion : les fruits empoisonnés de l’impuissance…………..136 Annexe pour ceux qui pensent et théorisent l’économie : Splendeur et misère de l’économie…………………………………………146 L’alibi culturel de l’exception française………………………….146 Le filon médiatique de l’horreur économique………………….150 Les études en économie………………………………………..153 Le règne de la confusion………………………………………..156 Science et idéologie…………………………………………….161 Bibliographie………………………………………………………168
Patrick Smets Posté 6 décembre 2006 Signaler Posté 6 décembre 2006 Les lois économiques sont inscrites dans la nature humaine…pas au parlement Hou, ca, c'est moche comme formule. Inscrites/écrites, ce n'est pas tout à fait la même chose.
melt_core Posté 6 décembre 2006 Signaler Posté 6 décembre 2006 C'est triste a dire mais si le livre de Caccomo ne trouve pas à être édité c'est qu'il ne remplit pas un besoin du marché et que l'éditer serait un gaspillage de ressource C'est en partie vraie, mais rien n'interdit d'essayer influencer le marché (sans user de la coercition)
Patrick Smets Posté 6 décembre 2006 Signaler Posté 6 décembre 2006 On n'influence pas le marché. On est le marché, on crée le marché, on produit le marché, mais on ne l'influence pas, parce que ce n'est pas un objet extérieur à nous.
melt_core Posté 6 décembre 2006 Signaler Posté 6 décembre 2006 On n'influence pas le marché. On est le marché, on crée le marché, on produit le marché, mais on ne l'influence pas, parce que ce n'est pas un objet extérieur à nous. N'importe quoi… Donc si je suis ton raisonnement il est impossible d'essayer d'influencer la demande d'un bien en faisant de la pub par exemple… Si les prix "ne sont pas des objets extérieurs à nous" pourquoi ne peut-on pas décider du prix de marché? "Le marché" c'est des milliers de décisions individuelles dont on ne soupçonne souvent même pas l'existence, tout ça ne peut pas faire partie de moi… ou alors t'as un conception du "moi" qui m'échappe.
Rincevent Posté 6 décembre 2006 Signaler Posté 6 décembre 2006 On n'influence pas le marché. On est le marché, on crée le marché, on produit le marché, mais on ne l'influence pas, parce que ce n'est pas un objet extérieur à nous. De même, influencer la demande en posant des critères de satisfaction des utilisateurs qui soient proches des points forts de ses propres produits, ce n'est pas influencer le marché ? Lancer une campagne de boycott pour pousser les producteurs à abandonner telle techno polluante, ce n'est pas influencer le marché ?
Patrick Smets Posté 6 décembre 2006 Signaler Posté 6 décembre 2006 Donc si je suis ton raisonnement il est impossible d'essayer d'influencer la demande d'un bien en faisant de la pub par exemple… La pub fait partie du marché. Si les prix "ne sont pas des objets extérieurs à nous" pourquoi ne peut-on pas décider du prix de marché? Le prix n'est pas le marché "Le marché" c'est des milliers de décisions individuelles dont on ne soupçonne souvent même pas l'existence, tout ça ne peut pas faire partie de moi… ou alors t'as un conception du "moi" qui m'échappe. "Moi", c'est la Voie. Tout fait partie de moi. De même, influencer la demande en posant des critères de satisfaction des utilisateurs qui soient proches des points forts de ses propres produits, ce n'est pas influencer le marché ? Lancer une campagne de boycott pour pousser les producteurs à abandonner telle techno polluante, ce n'est pas influencer le marché ? Je ne répondrai même pas à ces questions. Si vous n'êtes pas capables de comprendre la profonde intelligence de mes propos sans que je me lance dans d'interminables développements, vous n'avez qu'à vous en prendre à vous-même.
melodius Posté 6 décembre 2006 Signaler Posté 6 décembre 2006 Je sais que tu as de quoi dans ton arrière-boutique, et je crois qu'il est temps de te vider un bon verre de whisky histoire de te détendre un peu…
Jeeves Posté 6 décembre 2006 Auteur Signaler Posté 6 décembre 2006 Bon… et sur le sommaire du bouquin de jean Louis? Rien à dire? J'en profie pour annoncer qu'en janvier on devrait pouvoir commander en ligne….
Messages recommandés
Archivé
Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.