j_b_say Posté 19 décembre 2006 Signaler Posté 19 décembre 2006 SAlut à tous. Voila je suis nouveaux sur le forum. Votre site internet est fantastique car il est pour moi une bouffé d'oxygene. Vous m'avez beaucoup appris sur la doctrine libérale et j'aimerai approfondir mes connaissances notament dans le domaine monétaire. C'est pourquoi j'aimerai avoir une petite bibliographie sur ce domaine notament sur toutes les questions qui tournent autour du taux de change, de la dévaluation, de la gestion des devises etc… SVP ne me citez pas des livres trop compliqués mais du meme niveau que le livre de Simonnont (39 leçons d'economie moderne) Merci à tous.
A.B. Posté 19 décembre 2006 Signaler Posté 19 décembre 2006 Plus dur mais tres lisible http://www.mises.org/mysteryofbanking/mysteryofbanking.pdf C'est plus pour la monnaie interieure et ca ne touche pas trop aux principes de taux de changes entre les pays. (attention le point de vue de Rothbard sur la viabilite de la reserve fractionnaire dans le cadre d'un systeme de banques libre ne fait pas l'hunanimite) Sinon Bienvenue !
Rincevent Posté 19 décembre 2006 Signaler Posté 19 décembre 2006 LA référence. En plus, c'est en français. (D'ailleurs, il faut que je me l'achète, un jour)
A.B. Posté 19 décembre 2006 Signaler Posté 19 décembre 2006 Cette page peut t'intéresser. Vade retro ! Encore un constructiviste des banques de depot With this in mind, it is easy to answer the question whether the market would select a 100-percent-reserve system. Because this banking system is the only one that conforms to the fundamental condition of any market, namely, respect for private-property rights, there is a market in banking only if and insofar as all money substitutes are covered 100 percent. In short, it is meaningless to talk about a "market" that selects fractional-reserve banking. One could as well claim that the markets selects robbery to acquire cars or that it selects murder or present jobholders or tenants to get their jobs or apartments. mauvaise foi ou betise ?
xxc Posté 19 décembre 2006 Signaler Posté 19 décembre 2006 Bienvenue à toi, jbsay ! (Un petit détail qui a malgré tout son importance : soigne ton orthographe.)
John Loque Posté 19 décembre 2006 Signaler Posté 19 décembre 2006 Vade retro ! Encore un constructiviste des banques de depot mauvaise foi ou betise ? Leur argument le plus intéressant est celui du théorême de progression. L'approche juridique n'est pas la plus efficace dans ce domaine.
Rincevent Posté 20 décembre 2006 Signaler Posté 20 décembre 2006 Cette page peut t'intéresser. Sur ladite page, un lien vers cette autre page. La fin en est aussi surprenante que jubilatoire !
Invité Adhoc Posté 29 décembre 2006 Signaler Posté 29 décembre 2006 Pour ceux qui se réclament vraiment de la pensée libérale sans idées préconsues, voici des sites d'intérêts qui en suggèrent une théorie par delà les dogmes imposés: http://economiedistributive.free.fr http://www.ecn.net.au http://www.douglassocialcredit.com
Rincevent Posté 30 décembre 2006 Signaler Posté 30 décembre 2006 Pour ceux qui se réclament vraiment de la pensée libérale sans idées préconsues, voici des sites d'intérêts qui en suggèrent une théorie par delà les dogmes imposés: Imposés par qui ?
Invité Adhoc Posté 30 décembre 2006 Signaler Posté 30 décembre 2006 Imposés par qui ? Par les dignes héritiers de nos chers orfèvres du Moyen-Âge qui se sont apperçus qu'ils pouvaient prêter de l'argent qui n'existait pas et ainsi s'enrichir en usurpant peu à peu le pouvoir régalien de la création monétaire. Il ne faudrait pas confondre libéralisme et naiveté, ils sont tellement puissants que leur doctrine économique est devenue incontestable parce que omniprésente et enseignée à tous les niveaux comme lois immuables. Les communistes eux-mêmes se sont laissés prendre au jeu de la haute finance. Par exemple: le premier dogme qui est enseigné par les économistes «classiques» est que les besoins sont illimités et les ressources rares. C'est tellement devenu faux que l'on doit détruire ou fortement limité la production de biens essentiels (production agricole entre autre), afin de maintenir les prix du marché. D'autre part, les entreprises ne savent plus quels «besoins» nouveaux inventer afin de développer de «nouveaux» marchés. Je ne le dirai jamais assez, allez donc consulter les écrits de C.H. Douglas et de Jacques Duboin, ils éclairent sur le passage à une économie d'abondance qui n'est freinée que par une idée passéiste de la monnaie. Idée maintenue par les pouvoirs financiers qui en dépendent au détriment de la vaste majorité des acteurs économiques autant civils qu'étatiques. Et que l'on ne vienne pas prétendre que l'environnement souffrirait d'une telle économie d'abondance au regard de ce que l'actuelle économie de rareté à fait endurer à la planète pour soutenir une croissance à tout prix.
John Loque Posté 30 décembre 2006 Signaler Posté 30 décembre 2006 le premier dogme qui est enseigné par les économistes «classiques» est que les besoins sont illimités et les ressources rares. C'est tellement devenu faux que l'on doit détruire ou fortement limité la production de biens essentiels (production agricole entre autre), afin de maintenir les prix du marché. D'autre part, les entreprises ne savent plus quels «besoins» nouveaux inventer afin de développer de «nouveaux» marchés. Si ce "dogme" était faux, les hommes n'agiraient tout simplement pas.
Toast Posté 30 décembre 2006 Signaler Posté 30 décembre 2006 Par les dignes héritiers de nos chers orfèvres du Moyen-Âge qui se sont apperçus qu'ils pouvaient prêter de l'argent qui n'existait pas et ainsi s'enrichir en usurpant peu à peu le pouvoir régalien de la création monétaire. Il ne faudrait pas confondre libéralisme et naiveté, ils sont tellement puissants que leur doctrine économique est devenue incontestable parce que omniprésente et enseignée à tous les niveaux comme lois immuables. Les communistes eux-mêmes se sont laissés prendre au jeu de la haute finance. Par exemple: le premier dogme qui est enseigné par les économistes «classiques» est que les besoins sont illimités et les ressources rares. C'est tellement devenu faux que l'on doit détruire ou fortement limité la production de biens essentiels (production agricole entre autre), afin de maintenir les prix du marché. D'autre part, les entreprises ne savent plus quels «besoins» nouveaux inventer afin de développer de «nouveaux» marchés.Je ne le dirai jamais assez, allez donc consulter les écrits de C.H. Douglas et de Jacques Duboin, ils éclairent sur le passage à une économie d'abondance qui n'est freinée que par une idée passéiste de la monnaie. Idée maintenue par les pouvoirs financiers qui en dépendent au détriment de la vaste majorité des acteurs économiques autant civils qu'étatiques. Et que l'on ne vienne pas prétendre que l'environnement souffrirait d'une telle économie d'abondance au regard de ce que l'actuelle économie de rareté à fait endurer à la planète pour soutenir une croissance à tout prix. A première vue ça ressemble à une énième réactualisation de la théorie du complot mondial (sauf que là c'est pas la CIA, ce sont les banquiers…) Dans le fond je ne saisis pas en quoi cette phrase pose pb : Par exemple: le premier dogme qui est enseigné par les économistes «classiques» est que les besoins sont illimités et les ressources rares.A supposer que la phrase suivante soit juste, je ne vois pas en quoi elle invalide cette dernière :C'est tellement devenu faux que l'on doit détruire ou fortement limité la production de biens essentiels (production agricole entre autre), afin de maintenir les prix du marché. D'autre part, les entreprises ne savent plus quels «besoins» nouveaux inventer afin de développer de «nouveaux» marchés. En ce qui concerne le pouvoir des grandes entreprises (parmi les "entreprises" en général très peu on les moyens de mettre en place de grandes campagnes de publicité susceptibles de "commander" un achat), force est de constater qu'elles ont un fort pouvoir d'influence. Mais d'ici considérer qu'elles "créent" les besoins, c'est extrêmement exagéré d'autant plus qu'en partant sur cette hypothèse, on ne peut expliquer ni la disparition de certains grands groupes, ni leur reconversion, ni de possibles difficultés économiques, sachant qu'elles auraient le pouvoir total de vendre n'importe quoi. A la limite, avec cette idée on pourrait soutenir qu'il est possible de vendre des frigos au pôle nord…
ibinico Posté 30 décembre 2006 Signaler Posté 30 décembre 2006 Sur liberaux.org avait été posté un lien pour un site web hébergé sur Lycos, qui contenait "toutes les bases en économie à avoie avant d'aller voter", quelqu'un se souvient-il de l'adresse ?
Invité Adhoc Posté 1 janvier 2007 Signaler Posté 1 janvier 2007 Cet énoncé sur la rareté pose problème pour une multitude de raisons, la première étant qu'elle justifie l'accaparement des richesses par le plus fort dû à leur supposée rareté. Avant que cela ne devienne vraiment gênant et que l'on interdise la présence de caméras sur certains dépotoirs à certains moments, les plus vieux d'entre nous se rappelleront les images de la destruction d'oranges, de blé, de pommes de terre et de produits laitiers pour éviter la chute des prix comptables. Ils se rappelleront également que les économistes bien pensants sont parvenus à convaincre que c'était la bonne chose à faire. Pourtant, à la même époque, on n'avait pas besoin de se rendre au Biafra pour trouver des ventres vides. Maintenant que la rectitude politique est à l'ordre du jour, afin de sauver la face on a établi des cotas à pénalité de production pour éviter les questions gênantes sur l'existance et la destruction des surplus. Si ça ne vous pose pas problème, c'est que VOUS avez un problème ou pis encore, vous faites partie du problème. Pour ce qui est de vendre des frigos au pôle, avec les impacts environnementaux du mode économique actuel, c'est un marché qui est en pleine expansion!!! Mais blague à part, je ne citerai que quelques exemples de grande entreprise qui «n'ont pas les moyens» de commander la demande. Sony au début des années 80 créait le Walkman et par de judicieux placements de commandite dans certains clips et certains films déclanchait un engouement pour un produit qui était alors d'une inutilité certaine. Évidemment qu'à l'heure du I-Pod plus personne ne se rappelle de l’état d’esprit des gens de l'avant Walkman. On pourrait continuer de même avec la poupée Barbie, le Big Mac, le Père Noël de Coca Cola. Geoges Lucas faisait fortune en 1977 avec les figurines et autres produits dérivés de Star Wars, chapeau c'était du génie. Maintenant on créé des figurines et autres bébelles insignifiantes et ensuite on les porte à l'écran (Pokémones et autres cochonnerie imposées par les publicites aux enfants)!!! J’arrête tout de suite ceux qui viendront prétendre qu’il en va de même pour chaque percée technologique, considérant que l’imprimerie, le téléphone, la radio, la télévision et l'informatique à l’instar de la maîtrise du feu, de la roue et de l’électricité ont comblé des besoins réels et non stimulés. Pour ce qui est des grands groupes qui disparaissent, j'aimerais préciser qu'aucun groupe ne «disparaît» vraiment en laissant un «trou» dans le marché mais qu'il est absorbé par un ou de plus grands. En Amérique, officiellement la chaîne Eaton (premier vendeur postal par catalogue de l'histoire si je ne m'abuse) a cessé d'exister mais en réalité ses différents actifs et parts de marché ont été repris par LaBaie d'Hudson et par Sears qui n'ont que reconduit à leur compte les pratiques de leur défunt doyen dans le créneau «laissé» vacant. De plus qu'une entreprise reconvertisse ses activités économiques à cause de la concurrence n'invalide en rien la problématique de la création de nouveaux besoins afin de soutenir la croissance. Pour ce qui est du complot, la chute d'Allende, la balle «zigzagante» de Kennedy (l’armée étatsunienne travaille à la recréée sans succès pour en équiper ses troupes, oups une autre blague), l'Irangate et autres cas type me laissent tout de même perplexe quant à l’absence de cooptation stratégique de par le monde. Évidement, les comploteurs de haut niveau sont difficiles à pister de par leur nature même. De plus, bien souvent on est à même d’identifier la présence un complot d’envergure bien des générations après les faits. Il a fallu attendre la chute de l’URSS pour avoir une meilleure vue d’ensemble du complot nazi!!! Lorsque que le groupe Bilderberg se réunie à Ottawa ou partout ailleurs sur la planète, à mon avis, ce n’est pas pour discuter de décoration intérieure. Mais encore là, peut-être me trompais-je et devons-nous nous en remettre à ceux qui disent qu’ils n’y a pas de complot car si c’était le cas on l’aurait certainement su, bien qu’une telle tautologie m’apparaisse dangereuse pour ceux qui tentent une analyse éclairée de nos sociétés. Encore une fois, il ne faut pas confondre libéralisme et naïveté aveugle. En passant, il ya un film présentement, Le bon berger ou quelque chose du genre qui relate les action des services secrets étatsuniens à travers le monde, je tiens à préciser que ce n'est pas une fiction d'auteur.
Ronnie Hayek Posté 1 janvier 2007 Signaler Posté 1 janvier 2007 A quand l'éjection de ce troll, dont l'auteur de référence était un admirateur du Protocole des Sages de Sion ? http://en.wikipedia.org/wiki/C._H._Douglas
Invité jabial Posté 1 janvier 2007 Signaler Posté 1 janvier 2007 A quand l'éjection de ce troll, dont l'auteur de référence était un admirateur du Protocole des Sages de Sion ?http://en.wikipedia.org/wiki/C._H._Douglas L'accusation me semble abusive, ceci dit c'est bien un troll et chiant en plus. Après 2 jours de demandes d'avis dans le forum modo sans réponse, je crois que je vais le virer. Allez hop, je le fais.
Messages recommandés
Archivé
Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.