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Le Blues Du Libéral


xiii

Dans 7 ans .....  

39 membres ont voté

  1. 1. Comment voyez vous votre situation dans 7 ans ?

    • J'espère vivre à l'étranger mais je ne sais pas si cela sera possible
      16
    • J'espère vivre à l'étranger et je me suis organisé en sorte d'être sûr que cela soit possible
      9
    • J'espère vivre en France à condition que la situation change vers plus de liberté
      9
    • J'espère rester en France même si la situation est similaire voir un peu pire
      3
    • Je resterai en France quoi qu'il advienne
      1


Messages recommandés

Posté

Des fois, un soir de blues, je me dis que le libéralisme sera en échec en France à cause entre autres de l'exode de ses partisans vers l'étranger. Je me dis aussi que on ne peu pas forcer un pays d'asservis à vouloir être libre, etc … S'en aller serait donner raison, mais en même temps comment juger ceux qui veulent s'en sortir, ceux qui saturent ? Charité bien ordonnée commence par soi-même, avant de s'occuper des autres on veut sauver ses fesses et sa famille, c'est normal. Face à une énième grève de train qui me prends en otage, que faire, songer à me casser ou rêver de changer la donne ? Bref est ce que vous n'avez pas le blues parfois en songeant à ce pays, et aussi au fait que nous devions subir chaque jour cette mentalité bidon ? Comment vous voyez votre avenir dans 7 ans ? Vous sentez vous, l'envie, la force, le courage voir la naïveté de changer quelque chose ou alors vous préférez sauter de ce navire qui coule ?

Posté

Avant d'etre liberal ,je voulais deja me barrer, c'est toujours le cas. Ce sera le japon pour moi. Et plus tard, Irlande ou Australie :doigt: .

Et comme je fais dans le commerce international et le marketing , pas de probleme pour trouver un job.

La France, j'y viendrai en vacances :icon_up:

Posté

Il n'y a pas de réponse : Je ne sais pas encore ?

Ca fait un an que je vis à l'étranger maintenant (Portugal et maintenant Allemagne) et la mentalité fraônçaise m'exaspère mais la France me manque quand même un peu. Qu'est ce aue je donnerai pas pour un VRAI pain au chocolat … :icon_up:

Posté

Et l'option pour ceux qui se sont deja barrés :icon_up: ?

NYC c'est une etape, mais les taxes restent elevees, d'ici 7 ans je ne sais pas trop… je suis attire par la cote Ouest des US mais aussi par l'Asie, peut-etre Hong-Kong.

Posté
Qu'est ce aue je donnerai pas pour un VRAI pain au chocolat … :icon_up:

istockphoto_425011_pain_au_chocolat_2.jpg

On en trouve de tres tres bon a NYC, ou il y a plein de patisseries Francaises, miam miam…

Sinon je m'en fais aussi moi meme… il suffit d'acheter de la pate feuilletee et un barre de chocolat, et hop c'est fait en 10 secondes et ca sort tout chaud du four…. mmmmmmmmmmmmmmmmmm

Posté
Des fois, un soir de blues, je me dis que le libéralisme sera en échec en France à cause entre autres de l'exode de ses partisans vers l'étranger. Je me dis aussi que on ne peu pas forcer un pays d'asservis à vouloir être libre, etc … S'en aller serait donner raison, mais en même temps comment juger ceux qui veulent s'en sortir, ceux qui saturent ? Charité bien ordonnée commence par soi-même, avant de s'occuper des autres on veut sauver ses fesses et sa famille, c'est normal. Face à une énième grève de train qui me prends en otage, que faire, songer à me casser ou rêver de changer la donne ? Bref est ce que vous n'avez pas le blues parfois en songeant à ce pays, et aussi au fait que nous devions subir chaque jour cette mentalité bidon ? Comment vous voyez votre avenir dans 7 ans ? Vous sentez vous, l'envie, la force, le courage voir la naïveté de changer quelque chose ou alors vous préférez sauter de ce navire qui coule ?

Et si se casser à l'étranger c'était aussi contribuer à changer la donne ?

Posté

J'ai coché 1 mais bon tous les pays actuelles libéraux iraient vers plus d'étatisme.En fait il n'y a pas un pays de liberté du passé et du future.

Invité jabial
Posté
Et si se casser à l'étranger c'était aussi contribuer à changer la donne ?

Si on se cassait tous au même endroit, peut-être : voir le FSP. Dans le cas contraire, non.

En ce qui me concerne je ne pense plus partir dans l'immédiat.

Posté

Mon prochain job va me forcer à rester ici un bon moment. Je réfléchis toutefois à une solution me permettant de ne vivre qu'une partie de l'année en France à terme.

Dans tous les cas je supporterai assez mal d'être éloigné durablement de mes proches.

Posté

Dès fois, je me dis "il faudrait sérieusement songer à se barrer", mais ça reste une vue de l'esprit, tellement je n'associe pas les moyens à la fin :icon_up: (comprendre je suis coupable de paresse).

Posté
Des fois, un soir de blues, je me dis que le libéralisme sera en échec en France à cause entre autres de l'exode de ses partisans vers l'étranger. Je me dis aussi que on ne peu pas forcer un pays d'asservis à vouloir être libre, etc … S'en aller serait donner raison, mais en même temps comment juger ceux qui veulent s'en sortir, ceux qui saturent ? Charité bien ordonnée commence par soi-même, avant de s'occuper des autres on veut sauver ses fesses et sa famille, c'est normal. Face à une énième grève de train qui me prends en otage, que faire, songer à me casser ou rêver de changer la donne ? Bref est ce que vous n'avez pas le blues parfois en songeant à ce pays, et aussi au fait que nous devions subir chaque jour cette mentalité bidon ? Comment vous voyez votre avenir dans 7 ans ? Vous sentez vous, l'envie, la force, le courage voir la naïveté de changer quelque chose ou alors vous préférez sauter de ce navire qui coule ?

Il y a une seule bonne réponse à ça : entreprendre à bon escient. Nous n'avons pas tous intérêt à partir et chaque situation est spécifique. Le coût d'opportunité est généralement élevé (en particulier en terme de liens sociaux). Bref, le navire importe peu, il faut bien analyser sa propre situation et choisir en entrepreneur.

De mon côté j'ai toujours pratiqué la "sortie par le haut" et je ne favorise en général pas les ruptures … donc je tente plutôt d'acquérir une position transverse, internationale. Après tout, celui qui a un bon salaire peut naviguer rapidement entre Londres, Paris, les US etc…

Dans 7 ans je serai heureux, riche, en couple avec des enfants :-D …

Sinon ce qui m'inquiète le plus, ce n'est pas les médias, les réformes à faire, les idées idiotes dans la cerveaux français… mais bien ce départ des plus entreprenants. Bizarrement j'expliquais cela à des hommes politiques et ils ne comprennent pas tous que c'est le premier des mouvements à inverser. D'ailleurs pour le moment je n'ai pas entendu parler de ce thème pdt la campagne.

Enfin, je trouve complètement incohérent de rester en France et de ne rien faire pour favoriser la liberté dans le pays… c'est suicidaire ou cynique.

Posté
[…] Enfin, je trouve complètement incohérent de rester en France et de ne rien faire pour favoriser la liberté dans le pays… c'est suicidaire ou cynique.

:icon_up:

Posté

Dans sept ans, à condition de faire bac+5 sans redoubler, j'aurai tout juste fini mes études, donc je ne sais pas s'il sera facile pour moi de m'en aller, mais je pense déjà fortement au trio Royaume-Uni - Irlande - Etats-Unis et je ne m'en cache auprès de personne, par ailleurs.

D'ailleurs, j'ai une question pour les expatriés ou ceux qui connaissent bien les pays que j'ai cité : est-ce que les diplômés français de cursus informatiques s'en sortent bien là-bas ? Par exemple, j'aimerais bien aller à l'UTC, qui délivre un diplôme d'ingénieur informatique (école qui semble appréciée des entreprises), mais dans les pays étrangers, quels rapports les entrerprises ont-elles en général avec les diplômes français ?

Posté
Dans sept ans, à condition de faire bac+5 sans redoubler, j'aurai tout juste fini mes études, donc je ne sais pas s'il sera facile pour moi de m'en aller, mais je pense déjà fortement au trio Royaume-Uni - Irlande - Etats-Unis et je ne m'en cache auprès de personne, par ailleurs.

D'ailleurs, j'ai une question pour les expatriés ou ceux qui connaissent bien les pays que j'ai cité : est-ce que les diplômés français de cursus informatiques s'en sortent bien là-bas ? Par exemple, j'aimerais bien aller à l'UTC, qui délivre un diplôme d'ingénieur informatique (école qui semble appréciée des entreprises), mais dans les pays étrangers, quels rapports les entrerprises ont-elles en général avec les diplômes français ?

on t'acceptera sans problème à condition de dire gloire aux états unis chaque matin et que chirac soit damné chaque soir. non j'en sait rien.

Posté
Dans sept ans, à condition de faire bac+5 sans redoubler, j'aurai tout juste fini mes études, donc je ne sais pas s'il sera facile pour moi de m'en aller, mais je pense déjà fortement au trio Royaume-Uni - Irlande - Etats-Unis et je ne m'en cache auprès de personne, par ailleurs.

D'ailleurs, j'ai une question pour les expatriés ou ceux qui connaissent bien les pays que j'ai cité : est-ce que les diplômés français de cursus informatiques s'en sortent bien là-bas ? Par exemple, j'aimerais bien aller à l'UTC, qui délivre un diplôme d'ingénieur informatique (école qui semble appréciée des entreprises), mais dans les pays étrangers, quels rapports les entrerprises ont-elles en général avec les diplômes français ?

Je ne sais pas vraiment ce qu'il en est pour les écoles d'ingé mais pour les écoles de commerce il y a deux possiblités :

- soit le DRH est un local, auquel cas que tu ais fait HEC ou l'ESC Dunkerque ne changera rien pour lui (il ne verra pas de différence entre deux dilplômes de même noms)

- soit (et c'est plus facile dans ce cas) tu postules dans une entreprise francaise ou alors le DRH est francais, ou encore mieux c'est un ancien de ton école. Dans ce cas ta candidature sera jugée sur des critères à la francaise.

Posté
- soit le DRH est un local, auquel cas que tu ais fait HEC ou l'ESC Dunkerque ne changera rien pour lui (il ne verra pas de différence entre deux dilplômes de même noms)

Arf arf arf. I beg to differ…

Posté
Dans sept ans, à condition de faire bac+5 sans redoubler, j'aurai tout juste fini mes études, donc je ne sais pas s'il sera facile pour moi de m'en aller, mais je pense déjà fortement au trio Royaume-Uni - Irlande - Etats-Unis et je ne m'en cache auprès de personne, par ailleurs.

D'ailleurs, j'ai une question pour les expatriés ou ceux qui connaissent bien les pays que j'ai cité : est-ce que les diplômés français de cursus informatiques s'en sortent bien là-bas ? Par exemple, j'aimerais bien aller à l'UTC, qui délivre un diplôme d'ingénieur informatique (école qui semble appréciée des entreprises), mais dans les pays étrangers, quels rapports les entrerprises ont-elles en général avec les diplômes français ?

Si tu a un diplôme UTC informatique, et veux vraiment quitter le pays tu n'auras aucun mal à le faire (les ingénieurs français sont reconnus - en moyenne - comme meilleurs que les locaux dans ces trois pays). Le plus simple est sans doute de faire un stage à l'étranger… sinon passer par une case "grosse boite internationale anglo-saxonne" en début de carrière.

Les entreprises anglo-saxonnes à l'étranger se fichent de ton diplôme à mon avis (je ne suis pas très bien renseigné).

Posté
Kannst du erklären ?

Les DRH sont pas si a la rue… HEC a une tres grosse reputation internationale, et il y a des bases de donnees qui evaluent le niveau des universites etrangeres auxquelles ils accedent.

Posté
On croit souvent que l'herbe est plus verte ailleurs, jusqu'au moment où on se rend compte que c'est du gazon artificiel.

Ca reste mieux que le ciment et l'acier des barreaux d'une prison, hein…

Posté
Qu'est ce aue je donnerai pas pour un VRAI pain au chocolat … :icon_up:

Une chocolatine, c'est ça ?

Posté
Une chocolatine, c'est ça ?

C'est quoi un pain au chocolat ?

(Question d'un vieux cadurcien.)

À propos de vocabulaire :

- déjeuner, dîner, souper,

ou bien :

- petit-déjeuner, déjeuner, dîner ?

Là est la question.

Posté
C'est quoi un pain au chocolat ?

(Question d'un vieux cadurcien.)

À propos de vocabulaire :

- déjeuner, dîner, souper,

ou bien :

- petit-déjeuner, déjeuner, dîner ?

Là est la question.

En fait, il y aurait :

- petit-déjeuner, déjeuner, dîner, souper.

Posté
En fait, il y aurait :

- petit-déjeuner, déjeuner, dîner, souper.

Non, non, non ! Déjeuner, dé-jeuner, c'est rompre le jeune de la nuit. Donc, pardon mais pardon mais pardon, c'est le premier repas du jour. Point trait.

Le dîner est le repas de midi. Le souper, c'est le soir.

Tous ceux qui prétendent le contraire ne sont pas des libéraux authentiques ! Na !

Posté
Non, non, non ! Déjeuner, dé-jeuner, c'est rompre le jeune de la nuit. Donc, pardon mais pardon mais pardon, c'est le premier repas du jour. Point trait.

Le dîner est le repas de midi. Le souper, c'est le soir.

Tous ceux qui prétendent le contraire ne sont pas des libéraux authentiques ! Na !

Tu as sémantiquement raison, mais pratiquement non : le petit-déjeûner se trouverait tôt (voire très tôt) le matin, suivi d'un déjeûner en bonne & due forme, un dîner plus ou moins roborratif, et un souper avant d'aller au dodo. Il y a aussi une question de coutumes. Si on doit compter le goûter, ou se référer aux repas hobbits, évidemment, ça fausse la donne.

Posté
[…] Si on doit compter le goûter, ou se référer aux repas hobbits, évidemment, ça fausse la donne.

Ou bien une collation toutes les deux heures pour maintenir la glycémie. :icon_up:

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