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Interventionnisme Presidentiel Chez Eads


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Il est tout à fait étonnant de voir que le premier déplacement de Sarkozy en province cet après-midi à Toulouse chez EADS sera dans un but d'interventionnisme d'Etat dans une société cotée en bourse.

Qu'est'ce qu'il compte obtenir ?

et surtout qu'est-ce que vous en pensez ?

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Il est tout à fait étonnant de voir que le premier déplacement de Sarkozy en province cet après-midi à Toulouse chez EADS sera dans un but d'interventionnisme d'Etat dans une société cotée en bourse.

Qu'est'ce qu'il compte obtenir ?

et surtout qu'est-ce que vous en pensez ?

Que ça n'a strictement rien d'étonnant. Sarko n'a jamais été et ne sera jamais libéral.

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Il est tout à fait étonnant de voir que le premier déplacement de Sarkozy en province cet après-midi à Toulouse chez EADS sera dans un but d'interventionnisme d'Etat dans une société cotée en bourse.

Qu'est'ce qu'il compte obtenir ?

et surtout qu'est-ce que vous en pensez ?

L'Etat français est actionnaire à 15% au minimum. Il est donc tout à fait naturel qu'un tel actionnaire puisse peser dans le débat. C'est le contraire qui serait étonnant.

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Que ça n'a strictement rien d'étonnant. Sarko n'a jamais été et ne sera jamais libéral.

SARKO, GAUCHO, LES LIBERAUX AURONT TA PEAU !

:icon_up::doigt:

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Le pacte d'actionnaires d'EADS doit évoluer, dit Sarkozy

18/05/2007 - 12h39

TOULOUSE (Reuters) - Le président Nicolas Sarkozy se prononce en faveur d'une évolution du pacte d'actionnaires au sein du groupe européen EADS, la maison mère d'Airbus.

A l'issue d'une rencontre avec les syndicats à Toulouse, où se trouve le siège d'Airbus, il a déclaré en outre que l'Etat, qui détient aujourd'hui 15% d'EADS, ferait "son devoir" si une augmentation de capital de la société était nécessaire pour faire face à ses lourds investissements dans le très gros porteur A380 et dans le futur moyen porteur A350.

Nicolas Sarkozy a également indiqué aux syndicats qu'il reviendrait à Toulouse début juillet en compagnie de la chancelière allemande Angela Merkel. Ils se rendra ensuite en Allemagne pour faire un nouveau point sur EADS avec la chancelière.

Pour sa première visite officielle en Allemagne mercredi, quelques heures après son intronisation, Nicolas Sarkozy avait déjà évoqué avec Angela Merkel le dossier EADS dans l'optique d'une réorganisation en profondeur du groupe d'aéronautique, spatial et de défense.

"Il me paraissait nécessaire que nous ne perdions pas une minute", avait-t-il déclaré à Berlin à ce propos et concernant les relations franco-allemandes en général.

Nicolas Sarkozy a préconisé à plusieurs reprises avant son élection la renégociation du pacte d'actionnaires franco-allemand chez EADS, maison mère d'Airbus, et dit qu'il ne se sentait pas tenu par le plan Power 8. Ce plan de restructuration prévoit de supprimer 10.000 emplois chez Airbus et ses sous-traitants en Europe.

L'Etat français détient 15% des parts dans le capital d'EADS et n'a pas le pouvoir de décision qui, en vertu du pacte d'actionnaires, échoit aux grands partenaires industriels que sont Lagardère en France et DaimlerChrysler en Allemagne.

A la radio il disait que l'Etat devrait aussitôt vendre ses parts dès que la situation sera meilleure, un peu comme avec Alstom il y a quelques années.

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A la radio il disait que l'Etat devrait aussitôt vendre ses parts dès que la situation sera meilleure, un peu comme avec Alstom il y a quelques années.

Effectivement:

Nicolas Sarkozy a déclaré que la France était prête à faire son devoir d'actionnaire pour aider financièrement EADS, ajoutant toutefois que l'Etat n'avait pas vocation à rester dans le capital du groupe aéronautique européen une fois que celui-ci aura retrouvé une bonne santé.

"L'Etat français fera son devoir s'il doit y avoir une augmentation de capital, avec pour objectif de remettre un jour les parts de l'Etat sur le marché. L'objectif n'est pas une nationalisation partielle d'EADS", a-t-il dit lors d'une rencontre avec les syndicats au siège d'Airbus à Toulouse, où il était accompagné par le président de la société, Louis Gallois, et le nouveau ministre de l'Economie, des Finances et de l'Emploi, Jean-Louis Borloo.

"Quand l'entreprise ira bien, on pourra s'en séparer", a-t-il ajouté.

L'Etat français détient actuellement 15% du capital d'EADS.

Nicolas Sarkozy a estimé qu'il était trop tôt pour se prononcer sur le montant d'une augmentation de capital d'EADS, qui doit faire face aux lourds investissements de sa filiale Airbus dans le très gros porteur A380 et le moyen porteur A350.

Je trouve qu'il commence bien son mandat… une bonne vieille privatisation. Vous êtes méchant avec le petit Nicolas. Après, au sujet de cette histoire de recapitalisation, tout le monde sait qu'Airbus n'en a pas vraiment besoin, mais il faut bien vendre la privatisation à l'opinion publique.

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