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Article 24 De La Dudhc Est Il Anti Libéral


Article 24 et libéralisme :  

34 membres ont voté

  1. 1. Faut il supprimer l'article 24 au nom du libéralisme ?

    • Oui
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Messages recommandés

Posté
Ils composent avec leurs propres principes. :icon_up:

La force du libéralisme est précisement de définir des droits qui ne se contredisent pas (n'en déplaise à Apollon). A partir du moment ou on compose, le concept de droit n'a plus de sens.

Posté
La force du libéralisme est précisement de définir des droits qui ne se contredisent pas (n'en déplaise à Apollon).

Une certaine version, plutôt.

A partir du moment ou on compose, le concept de droit n'a plus de sens.

Le concept de droits a moins de force, et non plus de sens.

Posté

Mais quels objectifs poursuivent la mise en place des droits créances selon vous ?

Ne sont ils pas une concession nécessaire à une plus grande stabilité du monde ?

Ne permettent ils pas une plus grande laicisation de la société ?

Posté
Mais quels objectifs poursuivent la mise en place des droits créances selon vous ?

- d'une part une sorte de quete absolue du bien de l'humanite, toujours berne par une conception purement rationaliste du monde

- d'autre part de repondre aux diverses demandes des corporations diverses qui cherchent a se proteger au depend des autres (tout en faisant croire le contraire bien sur)

Ne sont ils pas une concession nécessaire à une plus grande stabilité du monde ?

La stabilite du monde, c'est justement un concept purement deterministe. On y met ce que l'on veut.

Par la, si la stabilite du monde c'est la paix sociale et donc la recherche de la situation optimale pour tous, les droits creances creent des niches de privileges pouvant le cas echeant deboucher sur de grands mouvements de violence.

Ne permettent ils pas une plus grande laicisation de la société ?

Je suppose que c'est un autre de ces buts holistes, pousser bien loin la religion hors du terrain de jeu.

Quoiqu'il en soit, l'influence religieuse ayant ete evacuee de la societe, il n'y a pas de raison de se rejouir de la voir remplacee par l'action collectiviste.

Posté
J'en appelait à ton honnêteté intellectuelle

Ma réponse est honnête et demande une réponse honnête de ta part. Tu ne pourra rien prouver, et je pourrai te prouver que sans sécu, je serai mieux, en aussi bonne santé et probablement sensiblement plus riche. La charge de la preuve t'incombe compte tenu du prédicat que tu poses. Tu ne le fais pas, et tu réclames ensuite des arguments. Effectivement, comme le dit fort justement Largo, tu es social-démocrate. Ici, c'est plutôt un problème.

0

1. J'ai gagné.

Pas de problème voici les clefs de mon éthique personnelle :amour de la vérité, courage et bravoure, bienveillance envers l'humanité, sens de la justice, sincérité, honneur, loyauté…

… et une solide paire de chevilles gonflables.

Posté
Mais quels objectifs poursuivent la mise en place des droits créances selon vous ?

Ne sont ils pas une concession nécessaire à une plus grande stabilité du monde ?

Ne permettent ils pas une plus grande laicisation de la société ?

Mais c'est ici à toi de nous prouver (contre toutes les preuves qui s'accumulent pour montrer le contraire) que l'Etat apporte un plus sur ces éléments et que ces droits créances amènent le bonheur de tous.

Il y a suffisamment de fils dans ce forum, un wikibéral fort bien fait et des remarques déjà fort nombreuses directement en rapport avec tes questions pour que tu puisses déterminer exactement pourquoi ces fichus droits créances ne sont pas un bien du tout pour l'humanité !

Exemple parmi tant d'autres : le "droit au logement". Sur qui fait-il peser l'obligation ? Que va-t-il entraîner de façon mécanique ?

Tout le monde va le supporter, ce droit, ce qui veut dire que :

1/ l'état va devoir ponctionner tout le monde (et surtout les pauvres, par simple effet de nombre) pour le faire respecter : injustice

2/ que cette ponction sera redistribuée diminuée des coûts de fonctionnement (toujours élevés) de l'état : gaspillage

3/ que la redistribution ne sera pas, par définition, égalitaire, mais bien politiquement orientée : inégalité

4/ qu'il va se créer de fait un appel d'air entre ceux qui paieront pour un logement et ceux qui n'auront pas besoin : effet de seuil

5/ que le marché de l'immobilier va s'adapter en augmentant les barrières à l'entrée, à la sortie et à l'usage : pauvreté

Quel régal : injustice, gaspillage, inégalité, pauvreté et effet de seuil.

Tu te (nous) dois de faire un travail réel d'introspection et d'analyse si tu veux réellement passer pour un libéral et pas pour un n-ième avatar des étatistes fumeux qui hantent parfois (et peu longtemps) ces lieux.

Posté
Mais c'est ici à toi de nous prouver (contre toutes les preuves qui s'accumulent pour montrer le contraire) que l'Etat apporte un plus sur ces éléments et que ces droits créances amènent le bonheur de tous.

La question du bonheur est peut être une question plus individuelle car il me semble que chacun poursuit un chemin personnel lié en partie avec l'enfance qu'il a vécue, lié à son parcours affectifs.

L'Etat peut mettre en place des conditions qui font que nous puissions "gagner" du temps ! Le repos hebdomadaire de l'article 24 poursuit il peut être cet objectif ! Je t'assure que travailler 7j/7 ne permet pas trop de se poser de questions concernant le bonheur !

Il y a suffisamment de fils dans ce forum, un wikibéral fort bien fait et des remarques déjà fort nombreuses directement en rapport avec tes questions pour que tu puisses déterminer exactement pourquoi ces fichus droits créances ne sont pas un bien du tout pour l'humanité !

Tes fils ne vont pas tjs dans ce sens !

mais nous rappel des temps anciens et cette capacité que nous avons à faire marche arrière !

Exemple parmi tant d'autres : le "droit au logement". Sur qui fait-il peser l'obligation ? Que va-t-il entraîner de façon mécanique ?

Tout le monde va le supporter, ce droit, ce qui veut dire que :

1/ l'état va devoir ponctionner tout le monde (et surtout les pauvres, par simple effet de nombre) pour le faire respecter : injustice

2/ que cette ponction sera redistribuée diminuée des coûts de fonctionnement (toujours élevés) de l'état : gaspillage

3/ que la redistribution ne sera pas, par définition, égalitaire, mais bien politiquement orientée : inégalité

4/ qu'il va se créer de fait un appel d'air entre ceux qui paieront pour un logement et ceux qui n'auront pas besoin : effet de seuil

5/ que le marché de l'immobilier va s'adapter en augmentant les barrières à l'entrée, à la sortie et à l'usage : pauvreté

Quel régal : injustice, gaspillage, inégalité, pauvreté et effet de seuil.

ok, je prend note de la séparation en droits-libertés et de droits-créances bien que cela suppose quand même que la collectivité m'impose,(cad l'Etat qui en est sa représentation en Démocratie),

la reconnaissance de ce droit, des sociétés n'ont pas eut par le passé besoin de s'approprier la terre pour que les individus soient heureux !

Je suis d'accord que l'extention des droits et en l'occurence des "droits à" fait peser sur la collectivité une pression plus forte que les "droits de", bien que l'extermination des natifs aux us nous montre bien que ce droit peut être aussi extrêment prédateur !

La question que je pose ouvertement içi est : Les concessions faites à nos liberté individuelles par la DUDHC de 48 et l'incription de "droit à" n'est elle une nécessité pour que les peuples puissent vivre en paix et profiter plus pleinement de leurs autres droits fondamentaux : leurs "droits de" ?

Au sortir du 2eme conflit mondial n'est ce pas le message qu'ont voulu donner aux générations futures nos anciens ?

Maintenant concernant la nécessaire limitation de l'Etat est ce que la fixation d'un taux de prélêvement maximum ne serait pas la solution pour justement préserver l'équilibre et limiter cette croissance des "droits à" ?

Moi je serais intêressé par la publication d'un taux réel de prélevêment global de l'Etat sur la création de richesse ! Quelque chose de simple que puisse comprendre tout le monde, du style ragarde aujourd'hui si tu produit 10 kilos de tomates par mois l'Etat d'une manière directe ou indirecte va venir t'en prendre x kilo et t'en laisser y à la fin du mois.

Peut être que cet indice permettrait à beaucoup plus gens de se rendre véritablement compte du niveau de pression l'individu subit. il est vrai qu'aujourd'hui il est plus intelligent de travailler pour l'Etat ou pour une Multinationale que de faire des tomates dans son jardin !

Posté
Je suis d'accord que l'extention des droits et en l'occurence des "droits à" fait peser sur la collectivité une pression plus forte que les "droits de", bien que l'extermination des natifs aux us nous montre bien que ce droit peut être aussi extrêment prédateur !

:icon_up::warez::doigt:

La question que je pose ouvertement içi est : Les concessions faites à nos liberté individuelles par la DUDHC de 48 et l'incription de "droit à" n'est elle une nécessité pour que les peuples puissent vivre en paix et profiter plus pleinement de leurs autres droits fondamentaux : leurs "droits de" ?

comment pourrait-on plus "profiter" de nos droits fondamentaux via des dispositions ("droits à") qui les violent ? :warez:

Posté
La question du bonheur est peut être une question plus individuelle car il me semble que chacun poursuit un chemin personnel lié en partie avec l'enfance qu'il a vécue, lié à son parcours affectifs.

L'Etat peut mettre en place des conditions qui font que nous puissions "gagner" du temps ! Le repos hebdomadaire de l'article 24 poursuit il peut être cet objectif ! Je t'assure que travailler 7j/7 ne permet pas trop de se poser de questions concernant le bonheur !

Je t'assure que tu n'en sais rien. Je connais des gens qui ne peuvent pas se "reposer" et pour qui un jour de congé, de vacance, est un jour de misère. Chacun voit en ce domaine midi à sa porte et c'est le propre d'une forme spécifique de totalitarisme d'imposer sa vision du monde sur les individus qui sont tous des cas particuliers.

Tes fils ne vont pas tjs dans ce sens !

mais nous rappel des temps anciens et cette capacité que nous avons à faire marche arrière !

Je ne sais pas si tu réponds au 1er degré à ma réflexion très second degré sur le droit au sexe pour tous, ou si tu te places dans un 3ème degré un peu trop élevé compte tenu de la nature générale du débat jusqu'à présent. J'ose espérer cependant qu'il s'agit bien de cette dernière supposition…

ok, je prend note de la séparation en droits-libertés et de droits-créances bien que cela suppose quand même que la collectivité m'impose,(cad l'Etat qui en est sa représentation en Démocratie), la reconnaissance de ce droit, des sociétés n'ont pas eut par le passé besoin de s'approprier la terre pour que les individus soient heureux !

Rien compris. La phrase n'est pas correcte sur le plan ponctuation de surcroît.

Je suis d'accord que l'extention des droits et en l'occurrence des "droits à" fait peser sur la collectivité une pression plus forte que les "droits de", bien que l'extermination des natifs aux us nous montre bien que ce droit peut être aussi extrêment prédateur !

:icon_up:

Même si ton chichon vient de natifs aux US, il faut absolument se garder d'en fumer trop. Ca donne des trucs ou bien faux, ou bien incompréhensibles.

La question que je pose ouvertement ici est : les concessions faites à nos liberté individuelles par la DUDHC de 48 et l'incription de "droit à" n'est-elle une nécessité pour que les peuples puissent vivre en paix et profiter plus pleinement de leurs autres droits fondamentaux : leurs "droits de" ?

Mais qu'est-ce que ça veut dire ? Cette phrase n'a ni queue !

Au sortir du 2eme conflit mondial n'est ce pas le message qu'ont voulu donner aux générations futures nos anciens ?

Je n'en sais foutre rien. J'ai perdu le fil au moment où les verbes restaient au singulier pour des sujets au pluriel, les subordonnées se détachaient passablement de la principale pour aller mettre les voiles derrière une ponctuation créative…

Maintenant concernant la nécessaire limitation de l'Etat est ce que la fixation d'un taux de prélêvement maximum ne serait pas la solution pour justement préserver l'équilibre et limiter cette croissance des "droits à" ?

Limiter un vol, c'est certes mieux que laisser libre cours à ce dernier, mais ça reste un vol.

Moi je serais intéressé par la publication d'un taux réel de prélevêment global de l'Etat sur la création de richesse ! Quelque chose de simple que puisse comprendre tout le monde, du style ragarde aujourd'hui si tu produit 10 kilos de tomates par mois l'Etat d'une manière directe ou indirecte va venir t'en prendre x kilo et t'en laisser y à la fin du mois.

Ca existe déjà. Et ce taux actuel est un peu supérieur à 52% en France. En gros, plus de la moitié de ton travail est retiré de tes mains pour partir en redistribution, sachant qu'une part non-négligeable part en frais de fonctionnement (pure perte, donc). Cette perte est de plus totalement inévitable ; relire Bastiat.

Peut être que cet indice permettrait à beaucoup plus gens de se rendre véritablement compte du niveau de pression l'individu subit. il est vrai qu'aujourd'hui il est plus intelligent de travailler pour l'Etat ou pour une Multinationale que de faire des tomates dans son jardin !

Bof. Ce taux est assez connu, mais tout le monde s'en fiche. Le raisonnement est que "tant qu'on peut continuer à ponctionner les autres, on le fait" sans se rendre compte qu'on est systématiquement aussi dans "les autres".

Posté
La question du bonheur est peut être une question plus individuelle car il me semble que chacun poursuit un chemin personnel lié en partie avec l'enfance qu'il a vécue, lié à son parcours affectifs.

Chacun cherche ce qu'il veut, d'après ses besoins propres, que ce soit en bossant sept jours sur sept (pour gagner de l'argent ou fuir la maison, peu importe) ou en ne foutant rien et en vivant dans un tonneau.

Je n'ai besoin ni de Consocat, ni de l'État pour savoir ce qui est bon pour moi et m'organiser en conséquence.

Posté
Chacun cherche ce qu'il veut, d'après ses besoins propres, que ce soit en bossant sept jours sur sept (pour gagner de l'argent ou fuir la maison, peu importe) ou en ne foutant rien et en vivant dans un tonneau.

Je n'ai besoin ni de Consocat, ni de l'État pour savoir ce qui est bon pour moi et m'organiser en conséquence.

Exacte mais c'est aujourd'hui le cas, si tu es en profession libérale, si tu es ton propre patron, rien ne t'interdit de bosser 7 sur 7. Mais ce n'est pas de cela dont il s'agit ! La question est de savoir si tu peux imposer à quelqu'un de bosser 7 sur 7 ou faut il un cadre légal au travail ? Avec un temps de repos règlementé.

Posté
Exacte mais c'est aujourd'hui le cas, si tu es en profession libérale, si tu es ton propre patron, rien ne t'interdit de bosser 7 sur 7. Mais ce n'est pas de cela dont il s'agit ! La question est de savoir si tu peux imposer à quelqu'un de bosser 7 sur 7 ou faut il un cadre légal au travail ? Avec un temps de repos règlementé.

Bon, on va illustrer par l'exemple. Je vais prendre mon cas.

J'ai récemment été engagé dans une boîte. Or, en tant que petit nouveau sur le marché de l'emploi, je n'avais pas "droit à" des jours de vacances cette année. Pourtant, mes employeurs, généralement peu enclins à donner beaucoup de jours de congé à leurs employés par rapport à d'autres boîtes du même secteur, m'ont dit: "On vous donnera des jours d'absence autorisée. Nous savons très bien qu'il est impossible de travailler ici plusieurs mois d'affilée sans se reposer." Bien entendu, ce raisonnement peut être transposé dans le cadre hebdomadaire.

Il faut parfois arrêter d'avoir en soi l'image caricaturale des patrons: ils ne considèrent pas leurs employés comme des kleenex. Bien au contraire: ils investissent dans leurs employés, not. via une formation, de plusieurs années parfois. Ce n'est pas pour que ceux-ci leur claquent dans les mains après 6 mois de boulot.

Posté
Je t'assure que tu n'en sais rien. Je connais des gens qui ne peuvent pas se "reposer" et pour qui un jour de congé, de vacance, est un jour de misère. Chacun voit en ce domaine midi à sa porte et c'est le propre d'une forme spécifique de totalitarisme d'imposer sa vision du monde sur les individus qui sont tous des cas particuliers.

ok mais on ne parle pas des professions libérales, on parle du cadre léglale du travail qui permet à un employé d'avoir des journées de repos ! Sans ce droit n'est pas alors le système qui imposerait un non repos ? Alors qu'aujourd'hui il permet à celui qui veut bosser 7 sur 7 puisse le faire !

Rien compris. La phrase n'est pas correcte sur le plan ponctuation de surcroît.

ok, 2 types de droits : droits-libertés et de droits-créances.

Rq 1 : "droits-libertés", (ex : Droit de propriété) ces droits me sont aussi imposés comme les autres, leur existence suppose aussi ma reconnaissance c'est une convention pas un droit naturel. Preuve d'autres sociétés n'ont pas eut par le passé besoin de s'approprier la terre pour que les individus soient heureux !

Même si ton chichon vient de natifs aux US, il faut absolument se garder d'en fumer trop. Ca donne des trucs ou bien faux, ou bien incompréhensibles.

Qu'est ce qui est faux ? l'extermination des natifs aux us ? ou que cette extermination est eut pour cause le droit de propriété ?

Les droits-créances rejetés par les libéraux, ceux inscrits à la DUDHC de 1948 ne sont ils pas une nécessité pour que les peuples puissent vivre en paix et profiter plus pleinement de leurs autres droits fondamentaux ?

Ca existe déjà. Et ce taux actuel est un peu supérieur à 52% en France. En gros, plus de la moitié de ton travail est retiré de tes mains pour partir en redistribution, sachant qu'une part non-négligeable part en frais de fonctionnement (pure perte, donc). Cette perte est de plus totalement inévitable ; relire Bastiat.

Bof. Ce taux est assez connu, mais tout le monde s'en fiche. Le raisonnement est que "tant qu'on peut continuer à ponctionner les autres, on le fait" sans se rendre compte qu'on est systématiquement aussi dans "les autres".

Ouhais le taux que tu lance me semble vraiment bas il ne prend pas en compte toutes les taxes c'est sûre (taxes locales, ….).

Bon, on va illustrer par l'exemple. Je vais prendre mon cas.

J'ai récemment été engagé dans une boîte. Or, en tant que petit nouveau sur le marché de l'emploi, je n'avais pas "droit à" des jours de vacances cette année. Pourtant, mes employeurs, généralement peu enclins à donner beaucoup de jours de congé à leurs employés par rapport à d'autres boîtes du même secteur, m'ont dit: "On vous donnera des jours d'absence autorisée. Nous savons très bien qu'il est impossible de travailler ici plusieurs mois d'affilée sans se reposer." Bien entendu, ce raisonnement peut être transposé dans le cadre hebdomadaire.

Il faut parfois arrêter d'avoir en soi l'image caricaturale des patrons: ils ne considèrent pas leurs employés comme des kleenex. Bien au contraire: ils investissent dans leurs employés, not. via une formation, de plusieurs années parfois. Ce n'est pas pour que ceux-ci leur claquent dans les mains après 6 mois de boulot.

Ce n'était pas le sens de mon propos et je sais de quoi je parle ! je suis un patron !

Posté
Exacte mais c'est aujourd'hui le cas, si tu es en profession libérale, si tu es ton propre patron, rien ne t'interdit de bosser 7 sur 7. Mais ce n'est pas de cela dont il s'agit ! La question est de savoir si tu peux imposer à quelqu'un de bosser 7 sur 7 ou faut il un cadre légal au travail ? Avec un temps de repos règlementé.

La liberté de contracter (en dehors du cadre imposé par l'État paternaliste) me paraît une caractéstique essentielle du libéralisme. Si un employeur est prêt à donner sept jours de travail par semaine à un travailleur qui le souhaite, où est le mal ? On vit dans une société esclavagiste (= sous la férule d'un État spoliateur) où beaucoup, s'ils veulent accéder au logement sans devoir mendier, doivent bosser plus de 70 heures par semaine.

Ouhais le taux que tu lance me semble vraiment bas il ne prend pas en compte toutes les taxes c'est sûre (taxes locales, ….).

Le taux avancé par h16 est légèrement inférieur au ratio dépenses des administrations publiques/produit intérieur brut*.

*différence = déficit public

Posté
ok, 2 types de droits : droits-libertés et de droits-créances.

Rq 1 : "droits-libertés", (ex : Droit de propriété) ces droits me sont aussi imposés comme les autres, leur existence suppose aussi ma reconnaissance c'est une convention pas un droit naturel. Preuve d'autres sociétés n'ont pas eut par le passé besoin de s'approprier la terre pour que les individus soient heureux !

la reconnaissance du droit de propriété n'inclut pas automatiquement la définition de la propriété de chaque chose : il peut être moins coûteux de ne pas se préoccuper de savoir qui est propriétaire de tel bout de terrain, en particulier pour de grands espaces peu peuplés (voir Libéralisme de P. Salin)

quant à présupposer du bonheur des individus, vous êtes de nouveau totalement hors-sujet :icon_up:

Qu'est ce qui est faux ? l'extermination des natifs aux us ? ou que cette extermination est eut pour cause le droit de propriété ?

:doigt::warez::warez:

Posté
ok mais on ne parle pas des professions libérales, on parle du cadre léglale du travail qui permet à un employé d'avoir des journées de repos ! Sans ce droit n'est pas alors le système qui imposerait un non repos ? Alors qu'aujourd'hui il permet à celui qui veut bosser 7 sur 7 puisse le faire !

J'aime bien ce genre de raisonnement à moitié formé. Si tu es dans un pays où il n'y a pas de cadre légal du travail (mais, disons, au moins le DN disant que l'esclavage est interdit), le marché va donc proposer des entreprises qui offrent du travail 7j / 7 … et des entreprises qui offrent du travail avec 1 ou 2 jours par semaine. Et globalement, l'offre rencontrant la demande, il y a aura un consensus non légal sur un ouikande de 2 jours.

Exemple dans la plupart des autres pays que la France : le dimanche n'est pas fermé obligatoirement. Pourtant, beaucoup de magasins sont fermés. Tout le monde y trouve son compte et (très) rares sont ceux qui rouspètent. Exemple aussi des semaines de congés payés : la plupart des entreprises dans le monde ont des contraintes légales très inférieures aux contraintes françaises (rarement plus de 2 semaines p. ex). Eeeeet pourtant, des boîtes dans des environnements super-concurrentiels et très très libéraux méchants méchants agressifs proposent … 5 semaines de congés pays (je peux te citer des douzaines d'exemples si tu veux, allant de l'industrie minière, pétrolière en passant par les banques, le retail ou les jeux vidéos, etc…). Pourquoi ? Parce que pour attirer les meilleurs, on doit offrir un peu plus qu'un gros salaire : tickets restau, retraite, assurance maladie, jours de congés, femmes nues et j'en passe.

Dans un monde libéral, la vision gauchiste qui consiste à dire que les entreprises proposeraient des contrats du style "Corvéable A Merci, Signez Avec Votre Sang En Bas Du Contrat" n'existeraient pas. En revanche, les entreprises pourries qui pressurent existent, surtout dans les pays surétatisés qui ont un fort taux de chômage. Tiens tiens…

ok, 2 types de droits : droits-libertés et de droits-créances.

Rq 1 : "droits-libertés", (ex : Droit de propriété) ces droits me sont aussi imposés comme les autres, leur existence suppose aussi ma reconnaissance c'est une convention pas un droit naturel. Preuve d'autres sociétés n'ont pas eut par le passé besoin de s'approprier la terre pour que les individus soient heureux !

Eh beh non. Mais là, on rentre dans la philo lourde et dure. Wikiberal & grands auteurs. Lis.

Qu'est ce qui est faux ? l'extermination des natifs aux us ? ou que cette extermination est eut pour cause le droit de propriété ?

Les deux.

Les droits-créances rejetés par les libéraux, ceux inscrits à la DUDHC de 1948 ne sont ils pas une nécessité pour que les peuples puissent vivre en paix et profiter plus pleinement de leurs autres droits fondamentaux ?

Non. Il t'appartient toujours (et ça devient lassant de le dire) de prouver qu'ils apportent un mieux. C'est ta thèse.

Ouhais le taux que tu lance me semble vraiment bas il ne prend pas en compte toutes les taxes c'est sûre (taxes locales, ….).

Mondieumondieumondieu.

Ce n'était pas le sens de mon propos et je sais de quoi je parle ! je suis un patron !

Tu veux dire qu'on se sert de toi pour tailler des costards ?

Le taux avancé par h16 est légèrement inférieur au ratio dépenses des administrations publiques/produit intérieur brut*.

*différence = déficit public

C'est possible. Mes chiffres ne sont peut-être plus tout à fait exacts. Disons autour de 55%…

Posté
C'est possible. Mes chiffres ne sont peut-être plus tout à fait exacts. Disons autour de 55%…

Tes chiffres sont bons : 54 % de dépenses - 3%*54% = 52.3% (Et il ne trouve pas ça assez, ConsoCat :icon_up: )

Posté
ok, enfin des arguments qui tiennent !!! merci

Pour que ça soit clair : je ne suis pas d'accord avec vous, sur l'essentiel des points sur lesquels vous vous opposez aux autres intervenants de ce fil. Et puis, ça n'est pas parce qu'un argument va vaguement dans votre sens qui "se tient" pour autant, ni, d'ailleurs, que ceux qui ne vont pas dans l'autre ne se tiennent pas.

Posté
Les droits-créances rejetés par les libéraux, ceux inscrits à la DUDHC de 1948 ne sont ils pas une nécessité pour que les peuples puissent (…) profiter plus pleinement de leurs autres droits fondamentaux ?

de leurs esclaves.

Ce n'était pas le sens de mon propos et je sais de quoi je parle ! je suis un patron !

En tout cas, ça répond fort bien à ton interrogation "un cadre légal est-il nécessaire?"

N.B. Tu es patron… De par tes doutes, tu ne serais pas en train de nous dire que tu ferais bosser tes employés 7 jours sur 7 s'il n'y avait pas de cadre légal quand même???

Posté
N.B. Tu es patron… De par tes doutes, tu ne serais pas en train de nous dire que tu ferais bosser tes employés 7 jours sur 7 s'il n'y avait pas de cadre légal quand même???

Non, lui est superpatron, ce qu'un superman est au héros, ce qu'un tounuman(*) est au pervers ! Il emploie ses salariés aux 25H hebdo, les paye toujours en avance et un salaire de cadres sups de la finance internationale et en plus, distribue des petits chocolats à Noël.

Tounuman™® est un superhéros (Demaerd Inc.) méconnu qui a l'étrange pouvoir de voir toujours tout le monde tout nu, sauf les gens qui sont réellement tout nus qu'il voit alors avec un costume croisé et joli cravate rayée ou tailleur et jupe de couturier. Une plage de nudistes ressemble pour lui à une réunion corporate, et ça l'émoustille.

Posté
Tounuman® est un superhéros (Demaerd Inc.) méconnu qui a l'étrange pouvoir de voir toujours tout le monde tout nu, sauf les gens qui sont réellement tout nus qu'il voit alors avec un costume croisé et joli cravate rayée ou tailleur et jupe de couturier. Une plage de nudistes ressemble pour lui à une réunion corporate, et ça l'émoustille.

Mais où va-t-il chercher tout ça ? :icon_up:

Posté
N.B. Tu es patron… De par tes doutes, tu ne serais pas en train de nous dire que tu ferais bosser tes employés 7 jours sur 7 s'il n'y avait pas de cadre légal quand même???

Moi je le ferais. Ce n'est pas une question de gentillesse. Seulement de fait je ne trouverais pas d'employés avec ces conditions ou alors il faudrait que je monte tellement le salaire que ca ne vaudrait plus le cout.

Posté
Tounuman® est un superhéros (Demaerd Inc.) méconnu qui a l'étrange pouvoir de voir toujours tout le monde tout nu, sauf les gens qui sont réellement tout nus qu'il voit alors avec un costume croisé et joli cravate rayée ou tailleur et jupe de couturier. Une plage de nudistes ressemble pour lui à une réunion corporate, et ça l'émoustille.

:icon_up:

Posté
Alors là c'est vraiment le genre de remarques qui me font trépigner, et me donnent envie de bourrer mes murs de coups de poing. :icon_up::doigt::warez:.

Moi monsieur je suis étudiant, à cause de la réglementation du marché du travail, je peu que très difficilement trouver un job le dimanche (jour ou il y a pas cours), donc je vis grâce à la générosité parentale. La Secu m'entube environ 150 euros par ans, je vais en moyenne 2 fois chez le dermatologue par ans (et jamais chez le médecin), mes frais sont remboursés à moitié, et en plus il sont remboursé bien après ( par la Secu, la part remboursée par ma mutuelle l'est très rapidement), donc je dois avancer l'argent (pour les petits budgets avancer 25 euro, c'est chiant), en plus bon nombres des produits prescrits ne me sont pas remboursé. Pour en rajouter quand je me suis fait opéré des dents de sagesse, jai du payer 150 euros de rajout (j'ai été opéré dans une clinique privée, par un bon chirurgien), à la fin de l'opération et non remboursé.

Donc en gros la Secu me vole environ 200 euros par ans (pour un étudiant cette somme est considérable), si j'étais libre d'user de cet argent librement, je pourrais soit faire des économies, soit aller cher le médecin quand j'ai le rume, soit cotiser à système de santé privé.

Sans la Secu, je vivrais mieux, en conséquence vous n'avez pas le droit de dire cela.

Votre cas n'est pas une généralité. Puis qui vous dit que le privé vous offrirait de meilleures garanties ?

certes il est vrai que la suécu n'est pas exempte de reproches et que sa gestion est calamiteuse, mais nombre de boites privées aussi ont des modes de gestion / administration tout aussi nuls.

Posté
Votre cas n'est pas une généralité. Puis qui vous dit que le privé vous offrirait de meilleures garanties ?

certes il est vrai que la suécu n'est pas exempte de reproches et que sa gestion est calamiteuse, mais nombre de boites privées aussi ont des modes de gestion / administration tout aussi nuls.

Mais elles, elles disparaissent, au moins.

Posté
Votre cas n'est pas une généralité. Puis qui vous dit que le privé vous offrirait de meilleures garanties ?

certes il est vrai que la suécu n'est pas exempte de reproches et que sa gestion est calamiteuse, mais nombre de boites privées aussi ont des modes de gestion / administration tout aussi nuls.

Tout a fait, mais l'avantage c'est que quand une entreprise privee coule, elle n'entrainne pas toutes les autres avec elle, ni tous les consomateurs dans son puit sans fond…

Et accesoirement elle demontre par l'absurde ce qu'il ne faut pas faire, ce qui est l'une des principale vertue de la concurrence.

SInon sur l'avantage prive/public: suffit de regarder disons les prix d'amariz ou d'autres. Tu y seras bien gagnant.

Sans compter le cote profondement immoral de la chose.

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