Bastiat Posté 17 juin 2007 Signaler Posté 17 juin 2007 Dites je veux bien, mais là on sombre à nouveau en absurdie les gars. Quel intérêt d'aller voir une compétition sportive si c'est le mieux dopé qui gagne ? Découvrir quels sont les meilleurs labos pharmaceutiques ! Blagues à part je pense qu'il y a un probléme de monopoles des fédérations sportives. Le fait de savoir si l'on authorise ou non la créatine ou tel ou telle pratique dopante, ainsi que les moyens que l'on met pour verifier le respect des rêgles internes pour garder sa crédibilité vis à vis des spectateurs et des médias releve de la concurence.
h16 Posté 17 juin 2007 Signaler Posté 17 juin 2007 Attention à ne pas confondre les pratiques dopantes et les pratiques daubantes. Certaines incommodent plus que d'autres.
walter-rebuttand Posté 17 juin 2007 Signaler Posté 17 juin 2007 Plus un sport se professionalise, moins il devient passionnat.
Mike Posté 17 juin 2007 Signaler Posté 17 juin 2007 Plus un sport se professionalise, moins il devient passionnant. J'ai l'opinion inverse.
walter-rebuttand Posté 17 juin 2007 Signaler Posté 17 juin 2007 J'ai l'opinion inverse. Je serais curieux d'entendre pourquoi.
Mike Posté 17 juin 2007 Signaler Posté 17 juin 2007 Je serais curieux d'entendre pourquoi. Une raison bêtement pratique tout d'abord: un sportif professionnel est un sportif qui peut tirer des revenus du sport, et donc consacrer davantage de temps à la pratique, l'entrainement… il y a une élévation du niveau global. C'est particulièrement visible dans le football, le niveau d'aujourd'hui est incomparable par rapport à il y a 40 ans. La seconde raison est que la professionalisation va avec la médiatisation et l'industrialisation, et ce qui me passione dans le sport c'est l'enthousiasme collectif qu'il suscite. Je ne pratique aucun sport en tant qu'acteur hormis le ski, la marche et la natation… mais je suis capable de me passionner pour à peu près n'importe quoi en tant que spectateur. C'est simple si demain le curling devient professionnel et médiatique il est pas du tout impossible que je suive un sport aussi ridicule. Les sports peu médiatiques comme le polo ou autre ont un petit côté "noble" car réservés à un microcosme, mais même si mon meilleur ami arrive en finale d'une compétition locale de polo il ne me verra pas sur les bords du terrain en train de l'encourager. Par contre une bande d'inconnus sur un terrain de foot, de rugby, ou de tennis sera susceptible de m'enthousiasmer.
walter-rebuttand Posté 17 juin 2007 Signaler Posté 17 juin 2007 Une raison bêtement pratique tout d'abord: un sportif professionnel est un sportif qui peut tirer des revenus du sport, et donc consacrer davantage de temps à la pratique, l'entrainement… il y a une élévation du niveau global. C'est particulièrement visible dans le football, le niveau d'aujourd'hui est incomparable par rapport à il y a 40 ans.La seconde raison est que la professionalisation va avec la médiatisation et l'industrialisation, et ce qui me passione dans le sport c'est l'enthousiasme collectif qu'il suscite. Je ne pratique aucun sport en tant qu'acteur hormis le ski, la marche et la natation… mais je suis capable de me passionner pour à peu près n'importe quoi en tant que spectateur. C'est simple si demain le curling devient professionnel et médiatique il est pas du tout impossible que je suive un sport aussi ridicule. Les sports peu médiatiques comme le polo ou autre ont un petit côté "noble" car réservés à un microcosme, mais même si mon meilleur ami arrive en finale d'une compétition locale de polo il ne me verra pas sur les bords du terrain en train de l'encourager. Par contre une bande d'inconnus sur un terrain de foot, de rugby, ou de tennis sera susceptible de m'enthousiasmer. En fait un peu de professionalisme tel qu'on le voyait dans le foot des années 70 ou le rugby il y a qqs années, c'était le top: des mecs du cru qui passent leur vie à ça mais sans être des mercenaires ultra-pro et qui savaient boire un coup avec leurs supporters.
Sous-Commandant Marco Posté 9 juillet 2007 Signaler Posté 9 juillet 2007 http://www.liberation.fr/actualite/ecrans/262594.FR.php
wapiti Posté 9 juillet 2007 Signaler Posté 9 juillet 2007 Dans un monde libre il y aurait probablement des compétitions dopées et non-dopées. J'en doute … S'il était facile d'organiser des compétitions non dopées, des entrepreneurs se seraient déjà lancé sur ce marché, d'autant plus que l'Etat mène la vie dure aux sportifs dopés. Personnellement, pour le spectacle, je m'en fous que les cyclistes soient dopés ou non.
melodius Posté 10 juillet 2007 Auteur Signaler Posté 10 juillet 2007 Tiens, j'ai entendu que les droits TV sont en chute libre. Les Allemands ont par ailleurs fait savoir aux organisateurs qu'il arrêteraient la retransmission s'il y avait le moindre problème de dopage. Ca c'est ce qu'on appelle mettre un pistolet sur la tempe.
h16 Posté 10 juillet 2007 Signaler Posté 10 juillet 2007 Personnellement, pour le spectacle, je m'en fous que les cyclistes soient dopés ou non. A la limite, dopés, ça donne un petit côté "claquera ? claquera pas ?" à la course assez morbide et voyeur qui met du sel dans la performance…
Sous-Commandant Marco Posté 10 juillet 2007 Signaler Posté 10 juillet 2007 A la limite, dopés, ça donne un petit côté "claquera ? claquera pas ?" à la course assez morbide et voyeur qui met du sel dans la performance… Se fera choper ou pas? Dopé ou chopé, en somme.
Ronnie Hayek Posté 10 juillet 2007 Signaler Posté 10 juillet 2007 Se fera choper ou pas? Dopé ou chopé, en somme. Une bonne chope, et ça repart !
Sous-Commandant Marco Posté 10 juillet 2007 Signaler Posté 10 juillet 2007 Une bonne chope, et ça repart ! Pour les cyclistes, une bonne chope, ça coupe plutôt les jambes.
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