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The Simpsons... the movie


Mike

Messages recommandés

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Le film sort le 25 juillet, en attendant on a droit à une très bonne campagne médiatique qui a déjà créé son mini scandale en Angleterre à cause de ceci:

h_3_ill_936526_ssssssssssssss.jpg

A part ça la bande annonce du film (en français, une fois n'est pas coutume je préfère la VF)

Sinon le site officiel, très bien foutu

Où l'on peut créer son avatar en simpson (allez sur Creer son "moi" Simpson=>Nouveau personnage )… moi:

avatarmp5.jpg

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@ A.B. : tu es moins bronzé et moins baraqué que ça. :icon_up:

A mon tour :

avatarsimpsonxe5.jpg

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@ A.B. : tu es moins bronzé et moins baraqué que ça. :icon_up:

Je suis aussi baraqué que ca mais bien plus gras :doigt: Y'a pas gras & baraqué dans les options :warez:

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C'est moi ou vous avez tous la même tête?

Non, on a juste tous les mêmes lunettes. :icon_up:

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Une paire pour plusieurs…

Ca explique bien des choses sur le contenu de vos interventions, au passage.

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Une paire pour plusieurs…

Ca explique bien des choses sur le contenu de vos interventions, au passage.

C'est vrai qu'un masque à gaz offre en comparaison une visibilité excellente. :icon_up:

(Edit : tiens, j'ai oublié de fêter ton 10 000 ème post. J'en suis désolé : en route pour les 10 000 suivants !)

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Je suis seul, dedans.

A douze dans votre paire de lunettes, je ne suis pas sûr que la visibilité soit meilleure.

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http://www.lalibre.be/article.phtml?id=5&a…p;art_id=361175

Les Simpson - le Film **

L'épisode le plus long

A. Lo.

Mis en ligne le 25/07/2007

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Un festival de gags le temps d'un épisode, puis une histoire qui se traîne un peu. Mais on rit beaucoup.

Fox

Dès le prégénérique, le ton est donné : Ralph Wiggum, le condisciple un peu borné de Bart, vient livrer une interprétation très personnelle du choeur des cuivres de la 20th Century Fox. "Les Simpson - Le film" démarre sur des chapeaux de roue… avec une aventure interplanétaire d'Itchy et Scratchy. "Nul !", clame Homer, qui se lève dans la salle et s'indigne : "Pourquoi payer au cinéma alors qu'on peut voir la même chose gratuitement à la télé ? Vous êtes stupides !" Oui, Homer, mais on avait envie de vous voir en grand, en très grand.

DÉBUT EFFRÉNÉ

Allez, zou : générique ! C'est le plus célèbre de la télévision et Matt Groening n'allait pas nous priver du plaisir de le voir sur grand écran. La sempiternelle "colle" de Bart, en fin de parcours, est aussi un avertissement au spectateur : "Je ne téléchargerai pas ce film sur Internet" - vous me la copierez cent fois. Et ça continue à ce rythme pendant vingt bonnes minutes (la durée réelle d'un épisode, moins les pubs - la Fox parvient même à en caser une sur un bas d'écran défilant). Tiendra-t-on près d'une heure trente à ce rythme ?

Et l'histoire dans tout ça ? C'est vrai : elle peine à venir. C'est par le biais de Lisa qu'on trouve un prétexte : la pasionaria de la famille s'évertue cette fois à sauver de la pollution le lac de Springfield. Elle trouve un allié inespéré en la personne de Colin, un nouveau venu qui connaît la consommation d'eau moyenne d'une famille américaine et sait, comme Lisa, jouer de cinq instruments de musique. Inutile de dire que le grand coeur de la petite va se mettre à battre très fort… Bart, pendant ce temps, poursuit sa petite vie. Son dernier défi en date : traverser Springfield nu sur son skateboard. Au terme de ce périple culotté (façon de parler), il va découvrir ce qu'est un vrai père : le voisin Flanders ! Homer, lui, s'entiche d'un cochon. Idylle porcine qui va être à l'origine de la plus grande catastrophe qu'ait connu Springfield, d'une intervention de quarantaine massive ordonnée par le président des Etats-Unis (Arnold Schwarzenegger) et de l'exil des Simpson.

MAGGIE PARLE !

On n'en dira pas plus. Sauf qu'à partir de là, même si les gags continuent à s'enchaîner comme Moe enfile les demis, le film s'enlise un peu. On est même surpris : avec tant d'amorces dans le ton existentialo-politique de la série (la menace écologique, le premier amour de Lisa, la quête affective de Bart…), on pressentait un épisode géant, pas seulement par la dimension de l'écran mais aussi par l'ampleur de son propos. Pouf ! Le soufflé retombe dans le seau de pop-corn. Peut-être qu'en s'éloignant de Springfield, les Simpson ont perdu un peu de leur âme. Ou alors les onze scénaristes ont déjà tant donné en 394 épisodes télévisés qu'ils ont séché cette fois-ci.

Restent l'humour - imparable- et l'animation - impeccable. Et aussi le premier mot de Maggie en bout de générique fin ! Chut, ne le répétez à personne !

J'ai vraiment l'impression que le journaliste s'attendait à voir une sorte de brûlot politique… Ah, ces journaleux de gauche ! :icon_up:

Sinon, j'ai vraiment la confirmation que le pauvre Homer devient de plus en plus timbré à mesure que la série avance. :doigt:

Enfin, erreur dans l'article: ce n'est pas la première fois que Maggie parle. Il y a un vieil épisode de la série qui se termine par les mots "Daddy" prononcés par le bébé (doublé par Liz Taylor, en l'occurrence).

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Moi. Je trouve cette série beaucoup plus drôle et moins sottement anarcho-nihiliste que South Park.

attend de voir drawn together

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Invité Arn0
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Et surtout insupportable de correction politique.

Les Simpson ou South Park ?

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Et surtout insupportable de correction politique.

South Park, absolument.

Je ne nie évidemment pas que les Simpsons soient (parfois, pas systématiquement) PC, mais ce n'est pas l'essentiel de la série, heureusement… au contraire de South Park - une série conçue par des anars de gauche que la sinistrisation de l'époque fait passer pour de vilains "républicains" de "droite".

Posté
Enfin, erreur dans l'article: ce n'est pas la première fois que Maggie parle. Il y a un vieil épisode de la série qui se termine par les mots "Daddy" prononcés par le bébé (doublé par Liz Taylor, en l'occurrence).

C'était trop mignon… (Homer désespérait parce que ses enfants l'appelaient Homer et pas Daddy).

Posté
J'ai vraiment l'impression que le journaliste s'attendait à voir une sorte de brûlot politique… Ah, ces journaleux de gauche ! :icon_up:

Idem dans Le Soir d'aujourd'hui… qui se réjouit du parti pris écolo du film et croit déceler une critique de Bush, "qui a refusé de signer le protocole de Kyoto".

L'honneur est donc sauf et le long-métrage plaira aux Européens.

Posté
Idem dans Le Soir d'aujourd'hui… qui se réjouit du parti pris écolo du film et croit déceler une critique de Bush, "qui a refusé de signer le protocole de Kyoto".

Pînaise !! J'imagine bien la réaction d'Homer s'il tenait Le Swâââr entre ses mains. Il s'écrierait: "Ispice de sale coco, grrrr !!"

:icon_up:

Je viens de comprendre la première image du fil.

Tsss… Même moi qui ai l'esprit pur et innocent, j'avais compris l'astuce de l'anar !

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South Park, absolument.
The news isn’t the only place on cable where conservatives will feel at home. Lots of cable comedy, while not traditionally conservative, is fiercely anti-liberal, which as a practical matter often amounts nearly to the same thing. Take South Park, Comedy Central’s hit cartoon series, whose heroes are four crudely animated and impossibly foul-mouthed fourth-graders named Cartman, Kenny, Kyle, and Stan. Now in its seventh season, South Park, with nearly 3 million viewers per episode, is Comedy Central’s highest-rated program.

Many conservatives have attacked South Park for its exuberant vulgarity, calling it “twisted,” “vile trash,” a “threat to our youth.” Such denunciations are misguided. Conservative critics should pay closer attention to what South Park so irreverently jeers at and mocks. As the show’s co-creator, 32-year-old Matt Stone, sums it up: “I hate conservatives, but I really fucking hate liberals.”

Not for nothing has blogger and former New Republic editor Andrew Sullivan praised the show for being “the best antidote to PC culture we have.” South Park sharpens the iconoclastic, anti-PC edge of earlier cartoon shows like The Simpsons and King of the Hill, and spares no sensitivity. The show’s single black kid is called Token. One episode, “Cripple Fight,” concludes with a slugfest between the boys’ wheelchair-bound, cerebral-palsy-stricken friend Timmy and the obnoxious Jimmy, who wants to be South Park’s Number One “handi-capable” citizen (in his cringe-making PC locution). In another, “Rainforest Schmainforest,” the boys’ school sends them on a field trip to Costa Rica, led by an activist choir group, “Getting Gay with Kids,” which wants to raise youth awareness about “our vanishing rain forests.” Shown San José, Costa Rica’s capital, the boys are unimpressed:

Cartman [holding his nose]: Oh my God, it smells like ass out here!

Choir teacher: All right, that does it! Eric Cartman, you respect other cultures this instant.

Cartman: I wasn’t saying anything about their culture, I was just saying their city smells like ass.

But if the city is unpleasant, the rain forest itself is a nightmare: the boys get lost, wilt from the infernal heat, face deadly assaults from monstrous insects and a giant snake, run afoul of revolutionary banditos, and—worst of all—must endure the choir teacher’s New-Agey gushing: “Shhh! Children! Let’s try to listen to what the rain forest tells us, and if we use our ears, she can tell us so many things.” By the horrifying trip’s end, the boys are desperate for civilization, and the choir teacher herself has come to despise the rain forest she once worshiped: “You go right ahead and plow down this whole fuckin’ thing,” she tells a construction worker.

The episode concludes with the choir’s new song:

Doo doo doo doo doo. Doo doo doo wa.

There’s a place called the rain forest that truly sucks ass.

Let’s knock it all down and get rid of it fast.

You say “save the rain forest” but what do you know?

You’ve never been there before.

Getting Gay with Kids is here

To tell you things you might not like to hear.

You only fight these causes ‘cause caring sells.

All you activists can go fuck yourselves.

As the disclaimer before each episode states, the show is so offensive “it should not be viewed by anyone.”

One of the contemporary Left’s most extreme (and, to conservatives, objectionable) strategies is its effort to draw the mantle of civil liberties over behavior once deemed criminal, pathological, or immoral, as a brilliant South Park episode featuring a visit to town by the North American Man-Boy Love Association—the ultra-radical activist group advocating gay sex with minors—satirizes:

NAMBLA leader [speaking at a group meeting, attended by the South Park kids]: Rights? Does anybody know their rights? You see, I’ve learned something today. Our forefathers came to this country because they believed in an idea. An idea called “freedom.” They wanted to live in a place where a group couldn’t be prosecuted for their beliefs. Where a person can live the way he chooses to live. You see us as being perverted because we’re different from you. People are afraid of us, because they don’t understand. And sometimes it’s easier to persecute than to understand.

Kyle: Dude. You have sex with children.

NAMBLA leader: We are human. Most of us didn’t even choose to be attracted to young boys. We were born that way. We can’t help the way we are, and if you all can’t understand that, well, then, I guess you’ll just have to put us away.

Kyle [slowly, for emphasis]: Dude. You havesex. With children.

Stan: Yeah. You know, we believe in equality for everybody, and tolerance, and all that gay stuff, but dude, fuck you.

Another episode—“Cherokee Hair Tampons”—ridicules multiculti sentimentality about holistic medicine and the “wisdom” of native cultures. Kyle suffers a potentially fatal kidney disorder, and his clueless parents try to cure it with “natural” Native American methods, leaving their son vomiting violently and approaching death’s door:

Kyle’s mom: Everything is going to be fine, Stan; we’re bringing in Kyle tomorrow to see the Native Americans personally.

Stan: Isn’t it possible that these Indians don’t know what they’re talking about?

Stan’s mom: You watch your mouth, Stanley. The Native Americans were raped of their land and resources by white people like us.

Stan: And that has something to do with their medicines because . . . ?

Stan’s mom: Enough, Stanley!

South Park regularly mocks left-wing celebrities who feel entitled to pontificate on how the nation should be run. In one of the most brutal parodies, made in just several days during the 2000 Florida recount fiasco, loudmouth Rosie O’Donnell sweeps into town to weigh in on a kindergarten election dispute involving her nephew. The boys’ teacher dresses her down: “People like you preach tolerance and open-mindedness all the time, but when it comes to middle America, you think we’re all evil and stupid country yokels who need your political enlightenment. Just because you’re on TV doesn’t mean you know crap about the government.”

South Park has satirized the sixties counterculture (Cartman has feverish nightmares about hippies, who “want to save the earth, but all they do is smoke pot and smell bad”); anti-big-business zealots (a “Harbucks” coffee chain opens in South Park, to initial resistance but eventual acclaim as everyone—including the local coffee house’s owners—admits its bean beats anything previously on offer in the town); sex ed in school (featuring “the Sexual Harassment Panda,” an outrageous classroom mascot); pro-choice extremists (Cartman’s mother decides she wants to abort him, despite the fact that he’s eight years old, relying on the “it’s my body” argument); hate-crime legislation, anti-discrimination lawsuits, gay scout leaders, and much more. Conservatives do not escape the show’s satirical sword—gun-toting rednecks and phony patriots have been among those slashed. But there should be no mistaking the deepest thrust of South Park’s politics.

http://www.city-journal.org/html/13_4_were_not_losing.html

Voir aussi :

http://techcentralstation.com/100702A.html

http://techcentralstation.com/111402A.html

Posté
South Park - une série conçue par des anars de gauche que la sinistrisation de l'époque fait passer pour de vilains "républicains" de "droite".

Gnié? Matt Stone se dit libertarien si je ne m'abuse.

Posté

Pour être franc, je me réfère aux premiers épisodes de la série, les seuls que j'ai vus en entier. Ils tiraient sur tout ce qui bougeait, sans discernement. En particulier, ô grande trouvaille politiquement incorrecte: sur Jésus. C'est tout ce que je veux dire. A ce train-là, même le bon A.B. est "anti-politiquement correct".

D'ailleurs, très franchement, je ne suis même pas convaincu que les auteurs soient aussi anti-soixante-huitards que certains commentateurs le pensent. J'ai même l'impression que ce sont des modals qui parodient la manière dont les conservateurs voient les liberals.

Posté
…ô grande trouvaille politiquement incorrecte: sur Jésus.

Tous les politiquement corrects tirent sur Jésus. Mais tous ceux qui tirent sur Jésus ne sont pas forcément politiquement corrects.

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