Rémy Posté 2 octobre 2007 Signaler Posté 2 octobre 2007 A suivre… Les Echos, mardi 2 octobreMarcel Rohner La surprise fut totale quand UBS annonça cet été que son nouveau patron serait ce jeune docteur en économie de quarante-trois ans, père de deux enfants, qui a gardé le fort accent de son canton natal, l'Aargau, tout contre la frontière allemande. Un penseur, disent ses amis, féru des économistes philosophes autrichiens comme Ludwig von Mises ou Friedrich von Hayek, dont la principale détente est une partie de jass, la belote suisse, chaque jeudi soir avec ses vieux amis d'Aarau. Il continue de vivre, très simplement, dans l'ancienne capitale médiévale de la République helvétique, loin des cercles influents ou branchés de Zurich. Ce style de vie effacé rend encore plus étonnante la trajectoire météorique de ce professeur, dont toute la carrière, depuis son entrée en 1992 chez UBS, s'est déroulée dans la finance suisse. Spécialiste du risque, cet homme chaleureux a franchi plusieurs niveaux dans les organigrammes après la débacle du fond LTCM, qui coûta déjà leurs postes à quelques hauts dirigeants du groupe. On le dit précis et fiable comme une montre suisse, mais il reste encore à prouver que ce banquier, qui ne s'est jamais beaucoup éloigné de son chef lieu de canton, et désormais en charge de la destinée de sa banque à Wall Street, saura s'exporter aussi bien (lire page 32).
Chitah Posté 2 octobre 2007 Signaler Posté 2 octobre 2007 N'oublions pas Xavier Fontanet, PDG d'Essilor, et authentique libéral.
Rincevent Posté 2 octobre 2007 Signaler Posté 2 octobre 2007 N'oublions pas Xavier Fontanet, PDG d'Essilor, et authentique libéral. En effet. Son interview, il y a peut-être deux ans, sur BFM, ne laissait absolument aucun doute sur le sujet.
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