Rincevent Posté 21 octobre 2007 Signaler Posté 21 octobre 2007 Un mythe, un mythe, y'a pas de fumée sans feu coco. Mouais. M'enfin si, sur tes photos, on n'identifie rien qui puisse permettre d'évaluer ta taille, alors le rapport outil/corps jouera en ta faveur.
h16 Posté 21 octobre 2007 Signaler Posté 21 octobre 2007 "…dans une atmosphère de débats libéraux en plus : si vous voulez vous faire tchatcher la tête sur l'avortement, la politique etrangère, l'entreprise, l'assurance, etc… pendant que vous besognez, n'hésitez pas!" Heu… Keep your day job, hein.
0100011 Posté 21 octobre 2007 Signaler Posté 21 octobre 2007 CITATION(Kassad @ 19-Oct-07, 12:47) *On ne saurait mieux dire. Mais cela ne répond pas tout à fait à la question : pourquoi est-ce si mal vécu ? Il y a bien sûr les aspects sexe et argents qui sont en eux même sulfureux. Je pense qu'il faut y ajouter une idée de trahison : en gros on est élevé dans le mythe du prince charmant (c'est vrai pour les femmes mais aussi pour les hommes) et c'est la prostitution qui pourfend ce mythe au delà de toute réparation possible. La prostitution représentant une réalité que même ses contempteurs les plus inconditionnels ne peuvent nier ils se sentent trahis par elle (cette dure et inflexible réalité) et refusent tout simplement de la voir en face. J'ajoute que cela ne préjuge pas du jugement moral qu'on peut avoir sur le sujet pour des milliers de raisons. Je pense que ton analyse est caduque : le mythe de "l'amour romantique" (avec tous les problèmes que cela peut entraîner et dont il fut question dans le fil "Sexual Behaviour" que tu cites par ailleurs) est d'apparition récente. Or la réprobation morale de prostitution est plus ancienne. C'est vrai dans une certaine mesure. La guerre de Troie à eu lieu, si l'on en croit Homère, pour les beaux yeux d'Hélène. Et l'"amour fou" est une réalité biologique incontournable. Mais effectivement le mariage n'était pas vu comme une concrétisation de ce sentiment. Je raffine donc ma proposition avec cet ajout : la prostitution est mal vue car elle entraîne une dépense des resources vécue comme injuste vis à vis de la femme "légitime".
Rincevent Posté 21 octobre 2007 Signaler Posté 21 octobre 2007 Je raffine donc ma proposition avec cet ajout : la prostitution est mal vue car elle entraîne une dépense des resources vécue comme injuste vis à vis de la femme "légitime". Ce qui explique pourquoi les femmes sont en tête des mouvements prohibitionnistes. Ni totalitaires, ni jalouses : tout simplement égoïstes et rationnelles.
A.B. Posté 21 octobre 2007 Signaler Posté 21 octobre 2007 Je raffine donc ma proposition avec cet ajout : la prostitution est mal vue car elle entraîne une dépense des resources vécue comme injuste vis à vis de la femme "légitime". précis, concis, parfait
walter-rebuttand Posté 21 octobre 2007 Signaler Posté 21 octobre 2007 Je pense que ton analyse est caduque : le mythe de "l'amour romantique" (avec tous les problèmes que cela peut entraîner et dont il fut question dans le fil "Sexual Behaviour" que tu cites par ailleurs) est d'apparition récente. Or la réprobation morale de prostitution est plus ancienne. C'est vrai dans une certaine mesure. La guerre de Troie à eu lieu, si l'on en croit Homère, pour les beaux yeux d'Hélène. Et l'"amour fou" est une réalité biologique incontournable. Mais effectivement le mariage n'était pas vu comme une concrétisation de ce sentiment. Je raffine donc ma proposition avec cet ajout : la prostitution est mal vue car elle entraîne une dépense des resources vécue comme injuste vis à vis de la femme "légitime". Si c'est le cas, le calcul est obsolète: dans la société du divorce généralisé, il est plus rentable de savoir qu'un mari peut assouvir ses pulsions au bordel plutôt qu'avec une jeune maîtresse. Le refus contemporain de la prostitution est purement idéologique: il s'agit de punir la sexualité masculine, qui opprime par définition.
Chitah Posté 21 octobre 2007 Signaler Posté 21 octobre 2007 Si c'est le cas, le calcul est obsolète: dans la société du divorce généralisé, il est plus rentable de savoir qu'un mari peut assouvir ses pulsions au bordel plutôt qu'avec une jeune maîtresse. Plutôt que "pulsions", je dirais "désir de nouveauté". Le refus contemporain de la prostitution est purement idéologique: il s'agit de punir la sexualité masculine, qui opprime par définition. C'est le sens de l'extrait d'interview posté plus haut dans le forum par je ne sais quelle féministe. LE POINT : Vous prenez vigoureusement position dans le débat en cours autour de la prostitution, qui oppose les partisans d'une réglementation aux défenseurs de l'abolition. Vous rejetez ces deux positions ? FRANÇOISE HÉRITIER : On objecte toujours qu'en matière de prostitution il n'y a rien à faire, qu'il s'agit d'un mal nécessaire, que c'est le plus vieux métier du monde, etc. Pourquoi ? Je réponds à cela qu'il s'agit simplement du fait que, par un accord tacite et dans tous les pays du monde, tout le monde s'accorde à penser que la pulsion sexuelle masculine n'a pas à être contenue, qu'elle doit suivre son cours, la seule limite étant celle de la convention sociale qui veut que l'on ne peut normalement user du corps des femmes qui sont sous le contrôle et l'autorité d'un autre homme, père, frère, mari - sauf en cas de guerre où l'attentat au corps de la femme est aussi une atteinte à l'honneur de l'homme ou à celui de la famille.On trouve normal que les jeunes gens jettent leur gourme, que les hommes s'épanchent dans des corps accueillants, parce qu'ils ne peuvent pas se retenir, que leur désir est irrépressible. Ce postulat inquestionnable est faux. C'est donc lui qu'il faut remettre en question, par l'éducation certes, mais aussi progressivement en maîtrisant de l'intérieur tous les systèmes d'expression tels que la publicité qui exploitent à la fois l'idée que le corps des femmes est offert et appartient à tous les hommes et que cette appropriation est leur droit d'homme parce que la pulsion sexuelle masculine est absolument licite et n'a pas à être maîtrisée. LE POINT : Et là, vous notez qu'un homme public est un homme de pouvoir, une femme publique, une prostituée ? FRANÇOISE HÉRITIER : Ce paradoxe terminologique a été relevé par l'historienne Michelle Perrot. C'est un chiasme parfait. La femme publique est celle qui fait de son corps le déversoir des humeurs sexuelles d'individus singuliers, activité considérée comme basse et méprisable. L'homme public est celui qui consacre sa pensée, son action, sa vie à l'action politique conçue comme une oblation au bien de la société. LE POINT : Revenons à la prostitution. Quelle réponse apportez-vous ? FRANÇOISE HÉRITIER : Il faut apprendre aux enfants que la pulsion sexuelle des hommes n'est pas irrépressible et que nombre d'entre eux savent la canaliser. Il faut aussi admettre que le désir féminin, quoique occulté, existe et qu'il a toujours été férocement réprimé, même s'il l'est moins à notre époque dans nos sociétés occidentales. Il faut aussi faire comprendre très tôt la différence entre pulsion et désir pour un partenaire choisi. Mon point de vue est qu'il n'y a pas de prostitution libre dans la mesure où elle n'existe que comme réponse à une demande qui tient à ce caractère inquestionnable de l'irrépressibilité et de la liciéité de la pulsion masculine. Par ailleurs, la punition du client n'est pas envisageable comme moyen éducatif tant que rien n'est fait pour faire comprendre aux intéressés qu'user, contre argent, du corps de quelqu'un est un abus de pouvoir. Cette femme ne se rend pas compte que les publics concernés par la prostitution sont loins de se limiter à des gens qui ont des "pulsions", au passage.
walter-rebuttand Posté 21 octobre 2007 Signaler Posté 21 octobre 2007 Plutôt que "pulsions", je dirais "désir de nouveauté".C'est le sens de l'extrait d'interview posté plus haut dans le forum par je ne sais quelle féministe. LE POINT : Vous prenez vigoureusement position dans le débat en cours autour de la prostitution, qui oppose les partisans d'une réglementation aux défenseurs de l'abolition. Vous rejetez ces deux positions ? Cette femme ne se rend pas compte que les publics concernés par la prostitution sont loins de se limiter à des gens qui ont des "pulsions", au passage. Oui pulsions, besoins, envies sexuels: tout cela n'est pas péjoratif chez moi.
Ronnie Hayek Posté 22 octobre 2007 Signaler Posté 22 octobre 2007 Je pense que ton analyse est caduque : le mythe de "l'amour romantique" (avec tous les problèmes que cela peut entraîner et dont il fut question dans le fil "Sexual Behaviour" que tu cites par ailleurs) est d'apparition récente. Or la réprobation morale de prostitution est plus ancienne. C'est vrai dans une certaine mesure. La guerre de Troie à eu lieu, si l'on en croit Homère, pour les beaux yeux d'Hélène. Et l'"amour fou" est une réalité biologique incontournable. Mais effectivement le mariage n'était pas vu comme une concrétisation de ce sentiment. Je raffine donc ma proposition avec cet ajout : la prostitution est mal vue car elle entraîne une dépense des resources vécue comme injuste vis à vis de la femme "légitime". "L'amour fou" n'est pas une réalité biologique, mais une construction romantique (et, bien sûr, surréaliste - qui n'est jamais que la queue de la comète romantique). Cela ne doit pas être confondu avec l'exclusivité conjugale (l'amour fou en est même l'exact contraire, puisqu'il base la vie de couple sur la passion, forcément extinguible). Il suffit de voir l'instabilité croissante de nos sociétés depuis que la famille normale est contestée idéologiquement comme une aberration réactionnaire.
Invité jabial Posté 22 octobre 2007 Signaler Posté 22 octobre 2007 La drogue, c'est mal parce que ça vous flingue physiquement. La prostitution, c'est mal parce que ça vous flingue psychologiquement. Il existe des cas de prostituées capables ensuite d'avoir une vie de famille normale, mais c'est plus que rare.
Chitah Posté 22 octobre 2007 Signaler Posté 22 octobre 2007 La prostitution, c'est mal parce que ça vous flingue psychologiquement.Il existe des cas de prostituées capables ensuite d'avoir une vie de famille normale, mais c'est plus que rare. Je vais essayer de confirmer ou d'infirmer cette thèse. Va bosser dans une fonderie, avec du métal liquide à moins de 5m de toi, et un bruit assourdissant qui te fait croire en enfer : ça te précipite dans la dépression, dans l'alcoolisme, ou les deux.
0100011 Posté 22 octobre 2007 Signaler Posté 22 octobre 2007 Si c'est le cas, le calcul est obsolète: dans la société du divorce généralisé, il est plus rentable de savoir qu'un mari peut assouvir ses pulsions au bordel plutôt qu'avec une jeune maîtresse.Le refus contemporain de la prostitution est purement idéologique: il s'agit de punir la sexualité masculine, qui opprime par définition. Mon raffinement portait sur le jugement de la prostitution avant que le mariage ne soit vu comme la réalisation de l'amour romantique (ce qui était le cas avant le 18eme pour faire simple). La raison étant donc celle du calcul. Aujourd'hui ce sont les aspects romantiques qui prennent le dessus sur l'aspect calcul.
Chitah Posté 22 octobre 2007 Signaler Posté 22 octobre 2007 Il suffit de voir l'instabilité croissante de nos sociétés depuis que la famille normale est contestée idéologiquement comme une aberration réactionnaire. Jamais entendu parler de ce genre de thèses autre part que dans la bouche et les écrits de marginaux….. Que plein de gens désormais vivent en couple et en famille hors mariage, c'est une chose; qu'ils dénoncent le mariage comme relevant d'une idéologie réactionnaire, c'en est une toute autre quand même.
Ronnie Hayek Posté 22 octobre 2007 Signaler Posté 22 octobre 2007 Jamais entendu parler de ce genre de thèses autre part que dans la bouche et les écrits de marginaux…..Que plein de gens désormais vivent en couple et en famille hors mariage, c'est une chose; qu'ils dénoncent le mariage comme relevant d'une idéologie réactionnaire, c'en est une toute autre quand même. Plus subtilement, nous en avons pourtant eu une illustration avec Timur qui contestait qu'il existât une légitimité à la notion de "famille normale".
0100011 Posté 22 octobre 2007 Signaler Posté 22 octobre 2007 "L'amour fou" n'est pas une réalité biologique, mais une construction romantique (et, bien sûr, surréaliste - qui n'est jamais que la queue de la comète romantique). Cela ne doit pas être confondu avec l'exclusivité conjugale (l'amour fou en est même l'exact contraire, puisqu'il base la vie de couple sur la passion, forcément extinguible). Il suffit de voir l'instabilité croissante de nos sociétés depuis que la famille normale est contestée idéologiquement comme une aberration réactionnaire. Si l'amour fou est principalement une réalité hormonale, par exemple (flemme de chercher des sources plus scientifiques mais qui seraient plus austères aussi) : http://www.psychologies.com/article.cfm/ar…d-etre-amoureux ou http://www.buzzle.com/editorials/3-27-2004-52238.asp D'autre part les transports type coup de foudre sont communs à toutes les sociétés connues (quelles fondent leur modèle social dessus ou pas est une autre histoire).
Chitah Posté 22 octobre 2007 Signaler Posté 22 octobre 2007 Plus subtilement, nous en avons pourtant eu une illustration avec Timur qui contestait qu'il existât une légitimité à la notion de "famille normale". D'accord, un membre de ce forum aurait tenu un propos dont on pourrait penser qu'il a un rapport plus ou moins lointain avec le concept dont tu parles.
melodius Posté 22 octobre 2007 Signaler Posté 22 octobre 2007 Si c'est le cas, le calcul est obsolète: dans la société du divorce généralisé, il est plus rentable de savoir qu'un mari peut assouvir ses pulsions au bordel plutôt qu'avec une jeune maîtresse.Le refus contemporain de la prostitution est purement idéologique: il s'agit de punir la sexualité masculine, qui opprime par définition. Ce que je trouve intéressant, c'est que tu ne sembles même pas envisager qu'on puisse être fidèle à sa femme ou ne pas se marier et mener une vie de libertin si on préfère ne pas s'engager. Je tiens quand même à signaler qu'on choisit de prendre une maîtresse ou de fréquenter des professionnelles, ce n'est pas un truc qui vous arrive. Et qu'on viole en ce faisant l'engagement qu'on a pris volontairement.
Ronnie Hayek Posté 22 octobre 2007 Signaler Posté 22 octobre 2007 D'accord, un membre de ce forum aurait tenu un propos dont on pourrait penser qu'il a un rapport plus ou moins lointain avec le concept dont tu parles. C'est un exemple, parmi d'autres, de l'idée dominante. Mais je conçois qu'il soit difficile de s'en rendre compte, puisque ce point de vue se confond avec l'esprit du temps.
Invité jabial Posté 22 octobre 2007 Signaler Posté 22 octobre 2007 Va bosser dans une fonderie, avec du métal liquide à moins de 5m de toi, et un bruit assourdissant qui te fait croire en enfer : ça te précipite dans la dépression, dans l'alcoolisme, ou les deux. J'ai peur de comprendre ce que tu as écrit. La personne dont tu m'avais parlé est devenue déprimée et alcoolique?
Chitah Posté 22 octobre 2007 Signaler Posté 22 octobre 2007 C'est un exemple, parmi d'autres, de l'idée dominante. Mais je conçois qu'il soit difficile de s'en rendre, puisque ce point de vue se confond avec l'esprit du temps. Tu ne trouves pas extrêmement arrogant ce ton "je vais t'aider à ouvrir les yeux sur la réalité du monde"? Alors que toi non, la vérité, pardon, la Vérité s'est présentée à toi toute entière pour t'éclairer sur la condition actuelle des hommes.
Ronnie Hayek Posté 22 octobre 2007 Signaler Posté 22 octobre 2007 Ce que je trouve intéressant, c'est que tu ne sembles même pas envisager qu'on puisse être fidèle à sa femme ou ne pas se marier et mener une vie de libertin si on préfère ne pas s'engager.Je tiens quand même à signaler qu'on choisit de prendre une maîtresse ou de fréquenter des professionnelles, ce n'est pas un truc qui vous arrive. Et qu'on viole en ce faisant l'engagement qu'on a pris volontairement. A la lecture de ce fil, je me demande bien pourquoi tant d'esprits se sont échauffés à la vue du mot "pute" dans un topic précédent, puisque ce métier semble d'une banalité à faire peur.
Chitah Posté 22 octobre 2007 Signaler Posté 22 octobre 2007 J'ai peur de comprendre ce que tu as écrit. La personne dont tu m'avais parlé est devenue déprimée et alcoolique? Les deux. Mais apparemment ça fait rire melodius.
melodius Posté 22 octobre 2007 Signaler Posté 22 octobre 2007 Tu ne trouves pas extrêmement arrogant ce ton "je vais t'aider à ouvrir les yeux sur la réalité du monde"? Alors que toi non, la vérité, pardon, la Vérité s'est présentée à toi toute entière pour t'éclairer sur la condition actuelle des hommes. Je trouve assez déplacé qu'un type qu'on qualifiera charitablement de "très sûr de lui" accuse d'autres d'arrogance.
Ronnie Hayek Posté 22 octobre 2007 Signaler Posté 22 octobre 2007 Tu ne trouves pas extrêmement arrogant ce ton "je vais t'aider à ouvrir les yeux sur la réalité du monde"? Je te parle comme tu le fais en général.
Chitah Posté 22 octobre 2007 Signaler Posté 22 octobre 2007 A la lecture de ce fil, je me demande bien pourquoi tant d'esprits se sont échauffés à la vue du mot "pute" dans un topic précédent, puisque ce métier semble d'une banalité à faire peur. Parce que c'est un mot vulgaire, comme "lardu", "condé", "BACtârds*" pour dénommer les policiers. Je peux comprendre qu'on n'apprécie pas ce type de termes. * BAC signifiant Brigade Anti Criminalité pour nos amis belges
Ronnie Hayek Posté 22 octobre 2007 Signaler Posté 22 octobre 2007 Parce que c'est un mot vulgaire, comme "lardu", "condé", "BACtârds*" pour dénommer les policiers. Je peux comprendre qu'on n'apprécie pas ce type de termes. Non, c'est bien le concept comme tel qui était visé.
0100011 Posté 22 octobre 2007 Signaler Posté 22 octobre 2007 A la lecture de ce fil, je me demande bien pourquoi tant d'esprits se sont échauffés à la vue du mot "pute" dans un topic précédent, puisque ce métier semble d'une banalité à faire peur. Mon explication ne te convainc pas ? Pour aujourd'hui tu peux bien admettre que nous sommes élevés au mythe de l'amour romantique et que chacun fait l'amère expérience que ce n'est qu'une utopie par le truchement de la prostitution. Quelle soit refusée ou acceptée cela ne change rien à l'affaire : le mythe est détruit intérieurement (on ne suit pas ce qu'on nous a enseigné) ou extérieurement (on voit qu'une énorme partie de la population ne fonctionne pas de cette manière quoiqu'on puisse dire et faire).
melodius Posté 22 octobre 2007 Signaler Posté 22 octobre 2007 Parce que c'est un mot vulgaire Ah d'accord, en fait nous assistons à une croisade équerrade contre la vulgarité.
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