Ronnie Hayek Posté 23 octobre 2007 Signaler Posté 23 octobre 2007 Sérieusement cette fois : la figure de la prostituée au grand coeur n'a jamais été évoquée dans ce fil. Pourtant c'est une figure qui revient souvent dans le cinéma, le théatre, la littérature et qui semble traverser les époques. Je le vois comme une manifestation de la tolérance de la société envers cette activité, tolérance qui s'éxerce de tout temps contrairement à ce que certains soutiennent ici. Melo avait cité Irma la douce… (dans le genre Paris de carton-pâte, c'est pas triste !) "Tolérance" dit bien ce que cela veut dire. En clair : "je veux bien fermer les yeux sur ce que je considère être une erreur ou une faute". Cela suppose qu'un jugement de désapprobation existe au départ.
Librekom Posté 23 octobre 2007 Signaler Posté 23 octobre 2007 Certaines personnes n'acceptent pas que d'autres participants émettent des réserves sur l'absence de caractère immoral de cette activité. Dès lors, elles les accusent éhontément de vouloir interdire cette profession. certaines personnes n'acceptent pas que d'autres participants émettent des réserves sur l'absence de caractère moral de cette activité. Dès lors, elles les accusent éhontément de vouloir banaliser cette profession.
Chitah Posté 23 octobre 2007 Signaler Posté 23 octobre 2007 Voici le résultat de l'étude du Mouvement du Nid (association catholique je crois) sur la base de 95 interviews de clients de prostituées (je passe les détails comme quoi ce sont des gens de 25-50 ans, avec de l'argent, etc..), qui recense plusieurs profils : * Les isolés affectifs et sexuels regroupent tous les hommes qui, pour diverses raisons (timidité, rupture douloureuse, peur de ne pas être à la hauteur), n'ont pas accès à la rencontre avec d'autres femmes. Clients réguliers ou occasionnels, ils déclarent rechercher ce qu'ils ne parviennent pas à rencontrer par ailleurs. Leur demande paradoxale de tendresse et de communication conduit généralement à de l'insatisfaction et de la déception, qui les pousseraient à recommencer. Cité comme la première cause du "recours répété", elle participe sans aucun doute à une justification "les clients se présentent donc comme victimes afin de donner un sens acceptable à leurs pratiques" ; * Les décalés de l'égalité désignent les clients qui sont insatisfaits des relations vécues en dehors de la prostitution. Eprouvant un besoin de domination qui se heurte aux postures féminines contemporaines, ils recherchent une soumission de la femme qui par ailleurs les intimide. Cette catégorie est fortement représentée dans la catégorie des divorcés qui présentent leur attitude comme un "bilan d'une expérience" ; * Les acheteurs de marchandise reproduisent une sexualité découverte par la pornographie basée sur une image de la femme-objet. On les retrouve notamment parmi les hommes mariés, ou vivant en couple. En renonciation à un équilibre sexuel dans la relation durable, ils cherchent un complément par une consommation de marchandise sexuelle. Pour ces hommes, une distinction simpliste est à l'oeuvre : la compagne sans sexe et la prostituée réduite au sexe ; * Les allergiques à l'engagement et à la responsabilité sont des clients ayant vécu une déception amoureuse et évaluant le coût affectif d'une relation nouvelle. La prostitution leur apparaît comme une possibilité de sécurité, une relation sans risque. Paradoxalement, on y trouve des hommes mariés "ne souhaitant pas courir le danger de tromper leur femme du fait du risque d'engagement affectif que supposerait une infidélité". Ils comptent également parmi les "insatisfaits" ; * Les compulsifs de la sexualité sont une minorité des clients qui expliquent leur fréquentation des prostituées par une impossible frustration, une dépendance au besoin physique immédiat, un report inimaginable du "plaisir" et de l'acte.
Bob Posté 23 octobre 2007 Signaler Posté 23 octobre 2007 Dans une "société idéale" la prostitution n'existerait certainement pas, - parce que dans une "société idéale" nul ne devrait subir de travail pénible et humiliant - la prostitution peut être un vecteur important de MST - elle est source d'externalités négatives, pour les voisins ou riverains par exemple - on n'est jamais du degré de consentement réel des prostitués qui peuvent être soumises à un mac etc, etc… La question est de savoir comment améliorer la situation dans le monde réel et en accord total avec les principes de libertés. Or proposer de stigmatiser encore plus les prostituées comme cela a été proposé sur le fils, les ostraciser davantage, c'est rajouter de l'humiliation c'est une souffrance supplémentaire : je ne vois pas en quoi cela participe d'une avancée ?
Invité jabial Posté 23 octobre 2007 Signaler Posté 23 octobre 2007 Oui mais on peut dire ça d'un tas de truc qui ne pose aucun problème problème pour qui que ce soit. Se faire prendre en photo avec dingo a Disney World c'est un plaisir pour les uns et un travail pour l'autre. Allez dans un salon de massage (je ne parle pas de faux salons/bordel) c'est un plaisir pour l'un et un travail pour l'autre. Oui bien sûr, mais c'est comme tout, quand tu mélanges ces deux problématiques, ça crée d'autres questions. Il ne faudrait quand même pas oublier que le sexe est aussi le mode d'expression de l'amour. Tu es si sûr que cela de ce que tu avances? J'ai eu l'occasion de lire une étude sur le sujet, ce n'est pas ce que j'ai vu. Tu trouves ça récréatif d'aller voir une prostituée de base, dans la rue, et de faire un acte sexuel là où cent sont passés avant toi? Tu trouves ça agréable de sauter une fille qui n'y prend aucun plaisir? Franchement, je préfère le sexe en solo. Bien sûr, avec la prostitution haut de gamme, la question se pose différemment, ne serait-ce que parce que les professionnelles sont mieux douées pour faire semblant et savent bien qu'une grande partie de l'intérêt du sexe réside dans l'attirance perçue et le sentiment d'être désiré. Et les profils que tu viens de poster n'ont rien de récréatifs, ça représente exactement ce à quoi je m'attendais. Pour conclure, je crois qu'il y a du malheur et de la souffrance à la fois chez les clients et les prostituées, et je trouve vraiment moralement répréhensible - en tant que manque de charité - de créer les conditions d'aggraver leur souffrance.
Chitah Posté 23 octobre 2007 Signaler Posté 23 octobre 2007 Voila, c'est exactement ça.En plus il y a assez d'alternatives au sexe d'un point de vue récréatif (échangisme, club SM,… porno ) C'est exactement cela? Non, voir étude ci-dessus, le profil (pulsionnel) dont tu parles c'est le dernier, soit un sur cinq, déclaré minoritaire par une association qui pourtant combat comme toi la prostitution.
Ash Posté 23 octobre 2007 Signaler Posté 23 octobre 2007 C'est exactement cela? Non, voir étude ci-dessus, le profil (pulsionnel) dont tu parles c'est le dernier, soit un sur cinq, déclaré minoritaire par une association qui pourtant combat comme toi la prostitution. Je ne combat pas la prostitution, ça commence à bien faire ! Par ailleurs je ne vois pas sur quoi baser le sérieux de cette "étude". Je pense qu'il n'ait pas besoin de grandes études pour découvrir que le client majoritaire est de l'ordre du Je veux tirer un coup, je vais chez les putes de l'est où c'est le moins cher.
Chitah Posté 23 octobre 2007 Signaler Posté 23 octobre 2007 Tu trouves ça récréatif d'aller voir une prostituée de base, dans la rue, et de faire un acte sexuel là où cent sont passés avant toi? Tu trouves ça agréable de sauter une fille qui n'y prend aucun plaisir? Franchement, je préfère le sexe en solo.Bien sûr, avec la prostitution haut de gamme, la question se pose différemment, ne serait-ce que parce que les professionnelles sont mieux douées pour faire semblant et savent bien qu'une grande partie de l'intérêt du sexe réside dans l'attirance perçue et le sentiment d'être désiré. Regarde donc l'étude ci-dessus, et n'hésite pas à la compléter par d'autres infos. Et concernant tes questions préliminaires, j'avoue que ne m'étant jamais posé la question, j'aurais du mal à te répondre.
Ronnie Hayek Posté 23 octobre 2007 Signaler Posté 23 octobre 2007 certaines personnes n'acceptent pas que d'autres participants émettent des réserves sur l'absence de caractère moral de cette activité. Dès lors, elles les accusent éhontément de vouloir banaliser cette profession. Ben, tu sais, à partir du moment où quelqu'un estime que c'est une profession qui en vaut bien une autre (pardon, qui est préférable à celle de caissière chez Auchan), ce serait faire preuve d'aveuglement que de ne pas y voir une entreprise de banalisation. Ne penses-tu pas ? Ensuite, les gens sceptiques ne poussent pas des cris d'orfraie, puisqu'ils savent bien que leur position est minoritaire. Et j'ajoute, à titre personnel, que ce débat m'a fait avancer dans ma réflexion sur cette question épineuse.
Chitah Posté 23 octobre 2007 Signaler Posté 23 octobre 2007 Je ne combat pas la prostitution, ça commence à bien faire ! Par ailleurs je ne vois pas sur quoi baser le sérieux de cette "étude".Je pense qu'il n'ait pas besoin de grandes études pour découvrir que le client majoritaire est de l'ordre du Je veux tirer un coup, je vais chez les putes de l'est où c'est le moins cher. J'ai vainement essayé d'en trouver une autre d'étude. Mais apparemment tu sais déjà tout, tu connais les clients, ce qui m'étonne beaucoup d'ailleurs, j'en viendrais presque à penser que tu as déjà eu recours à de tels types de services ou que tu connais des gens très proches qui t'en ont parlé. (pour ma part je suis très loin d'avoir toutes ces infos malheureusement) Si tu en trouves une plus crédible, n'hésite pas à la poster ici.
melodius Posté 23 octobre 2007 Signaler Posté 23 octobre 2007 Ben, tu sais, à partir du moment où quelqu'un estime que c'est une profession qui en vaut bien une autre (pardon, qui est préférable à celle de caissière chez Auchan) Notez au passage qu'on dévalorise un métier honnête, un peu comme la gauche le fait avec les "McJobs". Tout cela n'est pas innocent.
Taisei Yokusankai Posté 23 octobre 2007 Signaler Posté 23 octobre 2007 J'aimerais qu'on cesse de donner dans l'exégèse de qualité plus que variable des propos de ses contradicteurs et qu'on se concentre sur le sujet, hors procès d'intentions. C'est valable pour tous.
melodius Posté 23 octobre 2007 Signaler Posté 23 octobre 2007 Dans une "société idéale" la prostitution n'existerait certainement pas,- parce que dans une "société idéale" nul ne devrait subir de travail pénible et humiliant - la prostitution peut être un vecteur important de MST - elle est source d'externalités négatives, pour les voisins ou riverains par exemple - on n'est jamais du degré de consentement réel des prostitués qui peuvent être soumises à un mac etc, etc… La question est de savoir comment améliorer la situation dans le monde réel et en accord total avec les principes de libertés. Or proposer de stigmatiser encore plus les prostituées comme cela a été proposé sur le fils, les ostraciser davantage, c'est rajouter de l'humiliation c'est une souffrance supplémentaire : je ne vois pas en quoi cela participe d'une avancée ? Le problème est qu'il y a nécessairement une vision sociale de la prostitution; ce n'est pas un truc qu'on ignore ou qu'on traite de manière neutre. A choisir, je préfère de loin la désapprobation; ça ne signifie pas au demeurant qu'on doive jeter la pierre à un individu, c'est plus subtil que cela.
walter-rebuttand Posté 23 octobre 2007 Signaler Posté 23 octobre 2007 Je ne crois pas qu'aller voir une prostituée soit si récréatif que ça, sauf cas rares.C'est l'assouvissement de pulsions. Et je pense que, s'il est sain qu'il existe un tel exutoire, ce n'est pas du même niveau. Tu n'y es pas. Il s'agit d'une alternative à la masturbation pour ceux qui en ont les moyens. Le sujet semble moins tabou en Belgique (une plus grande partie de la population masculine est prête à admettre s'être offert les services d'une prostituée) ce qui permet d'avoir une vue moins théorique de la question.
Leepose Posté 23 octobre 2007 Auteur Signaler Posté 23 octobre 2007 Ceci dit, il y a des raisons précises pour désapprouver la prostitution : faire commerce de ses charmes peut être considéré comme se reléguer au rang d'un tas de viande. Je reprends le fil en route, mais il me semble que la société a du mal a s'élever au dessus de ce qu'est l'opinion moyenne, ou majoritaire. Si une majorité de gens désapprouve la prostitution, la "société" la désapprouve, et met donc des batons dans les roues a l'exercice de cette activité. De ce point de vue là, on est bien en démocratie, et je suis bien dans la minorité qui approuve cette activité, dans tous les sens du terme. Hmmm… C'est un sujet compliqué.
jubal Posté 23 octobre 2007 Signaler Posté 23 octobre 2007 A choisir, je préfère de loin la désapprobation; ça ne signifie pas au demeurant qu'on doive jeter la pierre à un individu, c'est plus subtil que cela. Mais concretement la desapprobation se manifeste comment ? Par exemple tu n'invitera plus un ami si il est marie a une prostitue ?
LaFéeC Posté 23 octobre 2007 Signaler Posté 23 octobre 2007 Dans une "société idéale" la prostitution n'existerait certainement pas,- parce que dans une "société idéale" nul ne devrait subir de travail pénible et humiliant Pétition de principe.
Leepose Posté 23 octobre 2007 Auteur Signaler Posté 23 octobre 2007 C'est clair. Quoique si une fille est prète à payer 1000€ pour coucher avec moi, je ne trouve plus ça si dégradant que cela. Perso, je le ferai gratuitement si la fille est mignonne. (ou meme tout juste correcte…)
Librekom Posté 23 octobre 2007 Signaler Posté 23 octobre 2007 Et bien honnètement, je trouve qu'il est plus souhaitable d'petre caissière à Auchan que sur le trottoire, mais le métier de prostituée réclames plus de compétence et un vrai courage. Je trouve nul de dévaloriser cette profession.
melodius Posté 23 octobre 2007 Signaler Posté 23 octobre 2007 Mais concretement la desapprobation se manifeste comment ?Par exemple tu n'invitera plus un ami si il est marie a une prostitue ? Ca dépend de chacun. Il se fait que je connais quelqu'un qui a épousé une ex-prostituée. Je suis content pour elle qu'elle s'en soit sortie et j'admire le type en question de l'avoir fait. Jamais tu ne les entendra d'ailleurs dire que la prostitution c'est top et vachement épanouissant.
Bob Posté 23 octobre 2007 Signaler Posté 23 octobre 2007 Pétition de principe. C'est plus une tautologie qu'une pétition de principe, mais ne chipotons pas. Ma question était comment concrètement manifester sa désapprobation, qu'est-ce que ça apporte, n'est-ce pas une humiliation donc une souffrance supplémentaire ?
melodius Posté 23 octobre 2007 Signaler Posté 23 octobre 2007 C'est plus une tautologie qu'une pétition de principe, mais ne chipotons pas. Ma question était comment concrètement manifester sa désapprobation, qu'est-ce que ça apporte, n'est-ce pas une humiliation donc une souffrance supplémentaire ? As-tu lu ma réponse ?
Leepose Posté 23 octobre 2007 Auteur Signaler Posté 23 octobre 2007 Après lecture de quelques pages, vers la page 20, je vous signale que certains d'entre vous enfoncent des portes ouvertes (depuis la page 2 ou 3) en cherchant a dire que la prostitution N'EST PAS une activité commerciale comme une autre. C'est parfaitement évident, et ca ne sera surement jamais le cas. Encore une fois, meme a Amsterdam, la prostitution n'est pas du tout regardée comme quelque chose d'ordinaire. Mais alors pas du tout. Chacun a son point de vue, son éthique personnelle, mais PERSONNE ne trouve que c'est une activité comme une autre. Ni les passants, ni les clients, ni les intéressées elles memes.
Librekom Posté 23 octobre 2007 Signaler Posté 23 octobre 2007 c'est vrai que le métier de caissière est top et vachement épanouissant, est ce que ça en fait une profession immorale ou non respectable ? Après lecture de quelques pages, vers la page 20, je vous signale que certains d'entre vous enfoncent des portes ouvertes (depuis la page 2 ou 3) en cherchant a dire que la prostitution N'EST PAS une activité commerciale comme une autre.C'est parfaitement évident, et ca ne sera surement jamais le cas. Encore une fois, meme a Amsterdam, la prostitution n'est pas du tout regardée comme quelque chose d'ordinaire. Mais alors pas du tout. Chacun a son point de vue, son éthique personnelle, mais PERSONNE ne trouve que c'est une activité comme une autre. Ni les passants, ni les clients, ni les intéressées elles memes. Oui, mais tenancier de sex shop ou embaumeur non plus ! Et pourtant, …
Ronnie Hayek Posté 23 octobre 2007 Signaler Posté 23 octobre 2007 c'est vrai que le métier de caissière est top et vachement épanouissant, est ce que ça en fait une profession immorale ou non respectable ? Tu as pourtant toi-même reconnu plus haut qu'être caissière était plus souhaitable que de devenir prostituée.
Librekom Posté 23 octobre 2007 Signaler Posté 23 octobre 2007 Tu as pourtant toi-même reconnu plus haut qu'être caissière était plus souhaitable que de devenir prostituée. Souhaitable et repsectable ne sont pas synonimes. Il est plus souhaitbale d'être CEO chez Mircosoft que vendeur chez H&M. Ce n'est poutant pas plus respectable.
Leepose Posté 23 octobre 2007 Auteur Signaler Posté 23 octobre 2007 La question que je pose est :Quid de la simple sexualité récréative, justement sans amour*? Celle qui n'a pas pour but la procréation? Question dont j'ai l'impression que c'est la mère de toutes les autres, prostitution comprise. A vue de nez je dirais que la sexualité récréative (??) n'a pas de rapport avec la prostitution, puisque les motivations n'ont rien a voir. L'argent dans un cas, le plaisir dans l'autre. Donc hors sujet, mais intéressant. Je me mets a distribuer les bons points, moi aussi!
Ronnie Hayek Posté 23 octobre 2007 Signaler Posté 23 octobre 2007 Souhaitable et repsectable ne sont pas synonimes. Il est plus souhaitbale d'être CEO chez Mircosoft que vendeur chez H&M. Ce n'est poutant pas plus respectable. Le sens de ma question était : tu établis bien une hiérarchie entre ces deux professions. Il y a donc une raison à cela, non ?
jubal Posté 23 octobre 2007 Signaler Posté 23 octobre 2007 c'est vrai que le métier de caissière est top et vachement épanouissant, est ce que ça en fait une profession immorale ou non respectable ? Le fait que ca soit epanouissant ou pas n'a rien a voir la dedans en fait, meme si c'etait epanouissant je crois que ceux qui trouve ca immoral ne changerai pas d'avis pour autant. Ils ont d'ailleurs le droit de desapprouver et de pas conseiller a leurs enfants le metier de prostitue, j'ai du mal a voir l'objet du conflit ici.
Leepose Posté 23 octobre 2007 Auteur Signaler Posté 23 octobre 2007 Il existe des gens qui se font beaux pour aller voir les dames, sais-tu? Au minimun, on prend une douche. Ca a l'air con, mais c'est assez apprécié par ces demoiselles!!
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