Hakill Posté 22 novembre 2007 Signaler Posté 22 novembre 2007 On va bien s'amuser quand l'UOIF demandera aux Renseignements généraux de ne pas trop surveiller les mosquées de notre cher pays C'est vrai, que ferait-on sans Big Brother…
melodius Posté 22 novembre 2007 Signaler Posté 22 novembre 2007 QUOI????? Ca surprend hein ? On n'imagine pas comme le nombre de flics est faible aux States. Les State Troopers sont donc à peu près toujours seuls dans leurs véhicules. Sinon, ce qui est rassurant, c'est qu'ici il y a eu débat et que la police a fini par renoncer à l'idée. En Europe par contre… C'est vrai, que ferait-on sans Big Brother… BOUM !
teabag Posté 22 novembre 2007 Signaler Posté 22 novembre 2007 N'oubliez pas que le patrolman est seul dans son véhicule. Et dire qu'en France il faille un escadron gendarmerie complet pour procéder à un contrôle radar (en Pologne, le flic est seul avec son véhicule et son radar sur le bord de la route). Sans parler des patrouilles de police en France, où là, les fonctionnaires sont entassés à 5 dans une fourgonnette. Et ça arrive même qu'un fourgonnette suive une autre fourgonnette.
Hakill Posté 22 novembre 2007 Signaler Posté 22 novembre 2007 Et dire qu'en France il faille un escadron gendarmerie complet pour procéder à un contrôle radar (en Pologne, le flic est seul avec son véhicule et son radar sur le bord de la route).Sans parler des patrouilles de police en France, où là, les fonctionnaires sont entassés à 5 dans une fourgonnette. Et ça arrive même qu'un fourgonnette suive une autre fourgonnette. Cela dit, la France est l'un des pays européens où le budget de la sécurité intérieure est le plus bas (par rapport au PIB). Les britanniques dépensent deux fois plus par exemple.
Harald Posté 22 novembre 2007 Signaler Posté 22 novembre 2007 Et dire qu'en France il faille un escadron gendarmerie complet pour procéder à un contrôle radar (en Pologne, le flic est seul avec son véhicule et son radar sur le bord de la route).Sans parler des patrouilles de police en France, où là, les fonctionnaires sont entassés à 5 dans une fourgonnette. Et ça arrive même qu'un fourgonnette suive une autre fourgonnette. A titre indicatif un escadron de gendarmerie c'est un effectif de 75 personnes. Concernant l'activité contrôle routier, il m'apparaît comme normal d'être plusieurs. En premier lieu, vous ne savez jamais à qui vous avez affaire. Il y a quelques années deux collègues ont été tués à l'occasion d'un contrôle tout ce qu'il y a de plus banal. A l'époque, le gilet pare-balle individuel relevait du domaine du rêve. Pour le reste, tant que la France n'aura pas tranché sur le modèle police (community policing vs solving policing)qu'elle veut, on verra toujours des anomalies comme celles que vous relevez.
Harald Posté 22 novembre 2007 Signaler Posté 22 novembre 2007 Cela dit, la France est l'un des pays européens où le budget de la sécurité intérieure est le plus bas (par rapport au PIB). Les britanniques dépensent deux fois plus par exemple. Merci. On ne le dira jamais assez. Seulement attention. En France plus de moyens signifie invariablement plus d'hommes. Le gros problème de la France ne se situe pas au niveau des effectifs, au contraire le ratio flic/habitant est plutôt élevé. En revanche, ce qui pêche c'est clairement l'investissement technologique. Matériel bas de gamme (comparez nos véhicules avec ceux du R-U, de l'Allemagne, de la Belgique, …), un manque évident d'outils informatiques permettant de diffuser de l'info en temps réel, le tout lié à des blocages idéologiques qui empêchent d'accéder à des informations importantes quant à la composition sociale d'un quartier.
Cochon Posté 22 novembre 2007 Signaler Posté 22 novembre 2007 C'est vrai, que ferait-on sans Big Brother… Et que ne feraient pas certains pour un petit remake des feux d'artifice de 1995 dans le métro parisien…
José Posté 22 novembre 2007 Auteur Signaler Posté 22 novembre 2007 Et que ne feraient pas certains pour un petit remake des feux d'artifice de 1995 dans le métro parisien… La solution pour que cela n'arrive plus est très simple : que le gouvernement français ne soutienne plus à l'avenir un coup d'État dans un pays étranger visant à empêcher un parti à accéder au pouvoir de manière démocratique.
Rincevent Posté 22 novembre 2007 Signaler Posté 22 novembre 2007 La solution pour que cela n'arrive plus est très simple : que le gouvernement français ne soutienne plus à l'avenir un coup d'État dans un pays étranger visant à empêcher un parti à accéder au pouvoir de manière démocratique. Ca me semble un peu rapide. Aurait-il fallu s'abstenir de soutenir un coup d'Etat dans l'Allemagne de 1934 ?
José Posté 22 novembre 2007 Auteur Signaler Posté 22 novembre 2007 Ca me semble un peu rapide. Aurait-il fallu s'abstenir de soutenir un coup d'Etat dans l'Allemagne de 1934 ? Il n'y aurait pas eu lieu de se lamenter, dès lors, si des attentats nazis se seraient produits en France.
phantom_opera Posté 22 novembre 2007 Signaler Posté 22 novembre 2007 Personnellement je suis un peu d'accord avec Harald, c'est vrai que l'idée que la police locale patrouille un peu plus dans les quartiers arabo-musulmans peut paraître choquante, de l'extérieur on peut y voir un traitement inégal entre communautés ethniques, mais si la police de los angeles s'est fixé comme but d'apporter une contribution à la lutte contre le terrorisme islamiste c'est une mesure "normale" à prendre comme une autre. Je pense que ce n'est pas par méfiance envers la communauté musulmane américaine, mais si un terroriste islamiste étranger devait s'installer aux USA, je pense qu'il y a de forte chance pour qu'il s'intègre au sein de la communauté musulmane locale, ce serait un réflexe naturel de sa part.
Chitah Posté 22 novembre 2007 Signaler Posté 22 novembre 2007 Je pense que ce n'est pas par méfiance envers la communauté musulmane américaine, mais si un terroriste islamiste étranger devait s'installer aux USA, je pense qu'il y a de forte chance pour qu'il s'intègre au sein de la communauté musulmane locale, ce serait un réflexe naturel de sa part. Ce qui irait à l'encontre des enseignements des écoles et manuels pour terroristes, indiquant clairement qu'il fallait se raser, éviter de se déguiser en arabe, ne pas faire de prosélytisme, etc…. Les terroristes du 11-09 n'habitaient pas spécialement des quartiers de ce type je crois. Si j'étais islamiste à Paris, on me verrait essentiellement dans le VIème, certainement pas à Barbès.
Cochon Posté 22 novembre 2007 Signaler Posté 22 novembre 2007 La solution pour que cela n'arrive plus est très simple : que le gouvernement français ne soutienne plus à l'avenir un coup d'État dans un pays étranger visant à empêcher un parti à accéder au pouvoir de manière démocratique. Petit rappel historique: Juppé qui était au pouvoir avait très peu de sympathie (on reste dans l'euphémisme) pour la dictature algérienne et réciproquement. Juppé soutenait d'ailleurs a tentative de réconciliation nationale effectuée sous l'égide du Vatican- à tel point que certains comme Jean Louis Debré ont implicitement accusé la Sécurité Militaire algérienne d'avoir manigancé les attentats en France. Il faut arrêter de donner toutes les bonnes raisons aux islamistes à chaque fois qu'ils mettent leur idéologie en oeuvre.
José Posté 22 novembre 2007 Auteur Signaler Posté 22 novembre 2007 Petit rappel historique: Juppé qui était au pouvoir avait très peu de sympathie (on reste dans l'euphémisme) pour la dictature algérienne et réciproquement. Ben, voyons… c'est bien ça qui a empêché le gouvernement et les médias français d'applaudir et d'appuyer le coup d'État.
Chitah Posté 22 novembre 2007 Signaler Posté 22 novembre 2007 Intéressant cet article en effet : La personnalité d'Ali Touchent, dont l'ombre a sans cesse plané sur le procès de Paris, en témoigne. Présenté comme "le vrai responsable des attentats", cet "émir" des GIA est vite devenu un agent des "services" algériens (Libération des 16 février 1998 et 5 octobre 2002). Sa faculté d'échapper à au moins trois rafles de la police en France et en Belgique, alors que tous ceux qui l'ont approché étaient tués ou arrêtés, n'est qu'une partie du mystère qui l'entoure. Comment expliquer ainsi que ce "terroriste islamiste", recherché par toutes les polices après les attentats en France, se réfugie… à Alger où, non seulement il ne se cache pas, mais habite dans une cité de CNS (équivalent des CRS) proche de la caserne de Châteauneuf, une zone parmi les plus sécurisées de la capitale. La "gestion" par Alger de sa mort "au cours d'un accrochage avec les forces de l'ordre" dans un hôtel du centre de la capitale algérienne en mai 1997 a encore donné du crédit à ces accusations. Paris n'a en effet été prévenu de son décès que… neuf mois après, en février 1998. "Recherches incessantes", avançait laconiquement le communiqué algérien pour expliquer un tel délai.
José Posté 22 novembre 2007 Auteur Signaler Posté 22 novembre 2007 Petit rappel historique: Juppé qui était au pouvoir avait très peu de sympathie…Jean Louis Debré ont implicitement accusé la Sécurité Militaire algérienne d'avoir manigancé les attentats en France. Aaaahhh… mais ça change tout : si Debré l'a dit, c'est que ça doit vrai !
phantom_opera Posté 22 novembre 2007 Signaler Posté 22 novembre 2007 Ce qui irait à l'encontre des enseignements des écoles et manuels pour terroristes, indiquant clairement qu'il fallait se raser, éviter de se déguiser en arabe, ne pas faire de prosélytisme, etc….Les terroristes du 11-09 n'habitaient pas spécialement des quartiers de ce type je crois. Si j'étais islamiste à Paris, on me verrait essentiellement dans le VIème, certainement pas à Barbès. Arf, c'est vrai que les attentats islamistes récents (d'Al Qaida) suivent un peu cette logique…
Cochon Posté 22 novembre 2007 Signaler Posté 22 novembre 2007 Ben, voyons… c'est bien ça qui a empêché le gouvernement et les médias français d'applaudir et d'appuyer le coup d'État. Vous m'affirmiez que l'Etat français soutenait l'Etat algérien en 1995, ce qui expliquerait les attentats. Pour Juppé, qui excusez du peu, était chef de gouvernement, vous avez tort et vous pourriez le reconnaître Quand à dire que "le gouvernement" (Juppé donc?) et les médias français ont tous applaudi, c'est une vision globalisante. Certains ont applaudi, d'autres non. Il a fallu attendre les attentats pour que Paris s'aligne effectivement complètement sur les généraux algériens (encore que Lionel Jospin n'était pas un chaud partisan de ceux-ci). Aaaahhh… mais ça change tout : si Debré l'a dit, c'est que ça doit vrai ! Sauf votre respect, Debré connaît certainement mieux la question que vous ou moi.
Hakill Posté 22 novembre 2007 Signaler Posté 22 novembre 2007 Petit rappel historique: Juppé qui était au pouvoir avait très peu de sympathie (on reste dans l'euphémisme) pour la dictature algérienne et réciproquement. Juppé soutenait d'ailleurs a tentative de réconciliation nationale effectuée sous l'égide du Vatican- à tel point que certains comme Jean Louis Debré ont implicitement accusé la Sécurité Militaire algérienne d'avoir manigancé les attentats en France. Dans les faits, le gouvernement algérien était soutenu par la France, avec des aides financières, un soutien à l'international que ce soit auprès du FMI ou de l'ONU. Ce ralliement est devenu clair à partir du moment où des français ont été attaqués par les terroristes en Algérie (avant 1995). Cependant, on peut effectivement dire que Juppé n'appréciait pas spécialement les généraux au pouvoir en Algérie et que c'était plus le gouvernement algérien qui demandait le soutien français.
Cochon Posté 22 novembre 2007 Signaler Posté 22 novembre 2007 Dans les faits, le gouvernement algérien était soutenu par la France, avec des aides financières, un soutien à l'international que ce soit auprès du FMI ou de l'ONU. Ce ralliement est devenu clair à partir du moment où des français ont été attaqués par les terroristes en Algérie (avant 1995). Cependant, on peut effectivement dire que Juppé n'appréciait pas spécialement les généraux au pouvoir en Algérie et que c'était plus le gouvernement algérien qui demandait le soutien français. On peut dire qu'il y avait un axe Chevènement-Pasqua-Chirac , qui était totalement pour les généraux algériens, dussent-ils exterminer la moitié de leur population. Mais ni Balladur, ni Juppé, ni même Mitterrand n'étaient totalement convaincus de la justesse de leur cause. Bref, on retrouve les partisans classiques de la politique arabe de la France, pour qui les "arabes" ne sont pas assez laïques pour être démocrates. Soulignons soit dit en passant qu'à part la France et BHL, la dictature algérienne était largement infréquentable jusqu'au 11 septembre 2001.
José Posté 23 novembre 2007 Auteur Signaler Posté 23 novembre 2007 Quand à dire que "le gouvernement" (Juppé donc?) et les médias français ont tous applaudi, c'est une vision globalisante. Non. It's a fact. Tous les médias grands publics et le gouvernement français ont accueilli le coup d'État sans moufter, et en présentant les choses de la manière la plus complaisante pour la dictature algérienne.
Cochon Posté 23 novembre 2007 Signaler Posté 23 novembre 2007 Non. It's a fact. Tous les médias grands publics et le gouvernement français ont accueilli le coup d'État sans moufter, et en présentant les choses de la manière la plus complaisante pour la dictature algérienne. Balladur/Juppé/Jospin: chefs de gouvernement successifs, en froid avec les généraux algériens. Le Monde, Libération, Le Figaro, Nouvel Observateur, France Inter, France culture…: Autant de médias parfois très critiques avec le pouvoir algérien dans les années 1990. Vous trouvez que ça donne une position "globalement" homogène de la France sur cette période? De toute façon, on s'éloigne du propos initial: en 1995, le gouvernement français était au moins pour ses deux dirigeants successifs en froid avec la dictature algérienne, donc l'argument "attentats: causés par le soutien du gouvernement français" n'est pas tenable. Point barre
melodius Posté 23 novembre 2007 Signaler Posté 23 novembre 2007 Et que ne feraient pas certains pour un petit remake des feux d'artifice de 1995 dans le métro parisien… Bravo, tu as répondu de manière brillante à l'objection qu'on t'a faite ! Ca me semble un peu rapide. Aurait-il fallu s'abstenir de soutenir un coup d'Etat dans l'Allemagne de 1934 ? Et si je parvenais à le trouver, ce serait même plutôt le smilie qui se tape la tête contre un mur. T'en as pas marre de nous sortir les nazis à toutes les sauces ? Tu les aimes tant que cela ? Non. It's a fact. Tous les médias grands publics et le gouvernement français ont accueilli le coup d'État sans moufter, et en présentant les choses de la manière la plus complaisante pour la dictature algérienne. De fait.
Rincevent Posté 23 novembre 2007 Signaler Posté 23 novembre 2007 Et si je parvenais à le trouver, ce serait même plutôt le smilie qui se tape la tête contre un mur.T'en as pas marre de nous sortir les nazis à toutes les sauces ? Tu les aimes tant que cela ? Alors prenons un autre exemple, sans doute y seras-tu plus sensible. Fallait-il soutenir les armées blanches lors de la guerre civile russe ?
José Posté 23 novembre 2007 Auteur Signaler Posté 23 novembre 2007 Fallait-il soutenir les armées blanches lors de la guerre civile russe ? Quelle rapport avec un régime dictatorial qui fait un auto-coup d'État pour empêcher un parti d'arriver au pouvoir suite à des élections ?
Harald Posté 23 novembre 2007 Signaler Posté 23 novembre 2007 Alors prenons un autre exemple, sans doute y seras-tu plus sensible. Fallait-il soutenir les armées blanches lors de la guerre civile russe ? Les Partisans Blancs Par le froid et par la famine,Par les villes et par les champs,A l'appel de Dénikine,Marchaient les Partisans Blancs. Sabrant les troupes bolcheviques,En ralliant les Atamans.Dans leurs campagnes épiques,Ils traquaient Trotsky tremblant.C'est pour la Sainte Russie,Pour la vieille tradition,Pour la gloire et la patrie,Que luttaient ces bataillons.Votre gloire est immortelle,Volontaires et Officiers Blancs,Et votre agonie cruelle,La honte de l'Occident.
Sous-Commandant Marco Posté 23 novembre 2007 Signaler Posté 23 novembre 2007 Alors prenons un autre exemple, sans doute y seras-tu plus sensible. Fallait-il soutenir les armées blanches lors de la guerre civile russe ? Oui bien sûr. Tout homme de bien aurait dû soutenir les Russes blancs. Mais comme les gouvernements sont rarement constitués d'hommes de bien, il est recommandé qu'ils se tiennent à l'écart de ce qui se passe dans les autres pays.
Cochon Posté 23 novembre 2007 Signaler Posté 23 novembre 2007 De fait. Non, il n'y a pas de fait précisément. Debré était très clair sur l'état déplorable des relations entre France et Algérie en 1995.
Sous-Commandant Marco Posté 23 novembre 2007 Signaler Posté 23 novembre 2007 Non, il n'y a pas de fait précisément. Debré était très clair sur l'état déplorable des relations entre France et Algérie en 1995. Les Français ont très bien pu soutenir la junte algérienne quand même, à la recherche du moindre mal. C'est précisément cette dichotomie entre les faits et les paroles qui est gênante. D'un côté, on nous rebat les oreilles avec les élections, le processus démocratique, la pluralité des partis politiques, la liberté, etc… De l'autre, dès que le dit processus démocratique produit un résultat qu'on n'aime pas, on le désavoue par les armes. Il vaudrait mieux que les gouvernements continuent leurs exactions en affichant clairement la couleur: "oui, nous sommes une mafia institutionalisée et nous estimons avoir tous les droits". Au moins, cela aurait le mérite de la franchise.
Chitah Posté 23 novembre 2007 Signaler Posté 23 novembre 2007 Les Français ont très bien pu soutenir la junte algérienne quand même, à la recherche du moindre mal. C'est précisément cette dichotomie entre les faits et les paroles qui est gênante. D'un côté, on nous rebat les oreilles avec les élections, le processus démocratique, la pluralité des partis politiques, la liberté, etc… De l'autre, dès que le dit processus démocratique produit un résultat qu'on n'aime pas, on le désavoue par les armes. Il vaudrait mieux que les gouvernements continuent leurs exactions en affichant clairement la couleur: "oui, nous sommes une mafia institutionalisée et nous estimons avoir tous les droits". Au moins, cela aurait le mérite de la franchise. Laisse tomber, ce que raconte Cochon est surréaliste, ce que tu racontes a même fait l'objet d'études complètes et passionnantes, j'ai lu les deux livres que je mentionne là, ils sont tout à fait convaincants. Sihem Bensédrine, en gros, applique la théorie du second livre (le syndrome autoritaire) sur le modèle tunisien. Tu connais ce pays, SCM, la Tunisie, ce pays des droits de l'homme pas du tout soutenu par la France depuis l'indépendance. Mais alors vraiment pas du tout, même quand Ben Ali fait 99% de score à la présidentielle.
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