Calembredaine Posté 23 novembre 2007 Signaler Posté 23 novembre 2007 Sarkozy, le "libéral" nous fait comprendre que les seules réformes envisageables sont celles qui consistent à augmenter les taxes. Notez qu'il continue malgré tout prétendre améliorer le pouvoir d'achat des français tout en oeuvrant pour surenchérir les prix. Très fort. PARIS (AFP) - Nicolas Sarkozy a une nouvelle fois plaidé jeudi pour l'instauration par l'Union européenne (UE) d'une taxe carbone visant les importations des pays industriels qui, comme la Chine, l'Inde ou les Etats-Unis, ne font pas assez d'efforts en matière d'environnement."L'Europe doit avoir un message très clair sur ce sujet: si des pays ne font pas d'efforts, leurs produits devront acheter des quotas de CO2 ou payer une taxe en entrant en Europe", a déclaré M. Sarkozy en recevant à l'Elysée les entrepreneurs du club franco-japonais. "La question de l'attitude de la Chine, de l'Inde et des grands pays émergents, comme l'attitude des Etats-Unis, est essentielle. Je suis pour que l'Europe donne un prix au CO2 sur un marché de quotas, que l'industrie européenne et les producteurs énergétiques européens ne reçoivent pas gratuitement ces quotas mais les achètent", a-t-il poursuivi. "Je suis pour la concurrence mais la concurrence loyale. La concurrence déloyale ce n'est pas pour nous. Je veux la réciprocité et les mêmes règles", a insisté le chef de l'Etat. Nicolas Sarkozy quitte samedi Paris pour une visite d'Etat de trois jours en Chine, considérée comme le premier pollueur de la planète, au cours de laquelle il doit évoquer les questions de lutte contre le réchauffement climatique. Le président doit également y prôner, selon l'Elysée, des "relations harmonieuses et justes entre le dollar, l'euro, le yen et le yuan", la monnaie chinoise dont il défend une réévaluation. Fondé en 1987, le club franco-japonais, coprésidé par les patrons français Henri Lachmann (Schneider Electric) et nippon Yoshiharu Fukuhara (Shiseido, cosmétiques) réunit 30 membres représentatifs des secteurs industriel et tertiaire des deux pays.
Sous-Commandant Marco Posté 23 novembre 2007 Signaler Posté 23 novembre 2007 Heureusement, comme il n'est pas président de l'Europe, ce n'est pas lui qui décide.
José Posté 23 novembre 2007 Signaler Posté 23 novembre 2007 Finalement, les libéraux français vont vraiment regretter que Couscous Royal ne soit pas devenue présidente.
Jesrad Posté 23 novembre 2007 Signaler Posté 23 novembre 2007 Le problème étant néanmoins que quelqu'un décide
vincponcet Posté 23 novembre 2007 Signaler Posté 23 novembre 2007 Le problème étant néanmoins que quelqu'un décide à noter que le business du "carbon" semble lucratif pour certains http://www.bloomberg.com/apps/news?pid=206…id=ayq1nbYcdsco un type qui a participé à l'écriture du protocole de kyoto a une boite climate change capital qui fait de l'arbitrage de crédit CO2, en finançant des réductions d'émissions dans des pays comme la chine pour revendre ces crédits en europe. The EU also permitted the companies to buy and sell allowances -- the ``trade'' in cap and trade. If companies think they might exceed their annual CO2 allowance, they can buy rights from companies that pollute less. Under the Kyoto accord, the UN has issued similar credits from emission-reduction projects in 49 countries.Importing Cheap Credits This dual system enables European corporations to buy indulgences from those in developing countries rather than mend their polluting ways, up to varying limits. It's simply cheaper to reduce emissions in, say, China, than it is in Europe.
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