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Prix EdNat! C'est quoi ce film?


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Prix de l'Education Nationale pour "Che"

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"Che", dans lequel Ernesto Guevara est incarné par Benicio del Toro, retrace en deux parties le parcours du révolutionnaire argentin: la révolution cubaine aux côtés de Fidel Castro puis la fin du guérillero en Bolivie. Les films sortiront successivement en France en octobre et novembre.

Je crains le pire…

Quelqu'un a-t-il plus d'infos?

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Vous avez pourtant bien écrit "je trouve", comme c'est bizarre…humm, très bizarre…

Je crois que l'on tient "notre" palme d'or, le président Penn ayant prévenu en substance qu'elle serait nécessairement décernée à un film politique. Je fais fabriquer de ce pas de monstrueux stocks de tee-shirts, ça va être une folie!

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ANNULATION: le "Che" de Soderbergh, Prix de l'Education nationale 2008

CANNES, 24 mai 2008 (AFP) - 24/05/2008 13h52 - Merci annuler notre dépêche Cinéma-Festival-Cannes, intitulée: Le "Che" de Soderbergh, Prix de l'Education nationale 2008.

Le communiqué reçu par l'AFP à l'entête du ministère de l'Education nationale est un faux émanant d'une personne ayant usurpé l'identité d'un fonctionnaire de l'Education nationale. Le jury délibère dans l'après-midi a indiqué à l'AFP le ministère.

Ici

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Chapeau au farceur.

Je ne serai pas étonné que ce soit un libéral comique.

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Une critique du film en question :

La projection de Che constitua un événement de taille considérable. Comme les grognards de Napoléon, nous aurons le droit de proclamer, buste gonflé : «J'y étais !». Quatre heures et demie à crapahuter dans la Sierra Maestra, cela n'était rien à côté de l'attente, de l'impatience, de la bousculade qui régnaient devant la salle. Mais quoi, la lutte armée exige quelques sacrifices, companeros. Quand on voit que Soderbergh a eu besoin de toute cette pellicule pour raconter le destin d'un guérillero mort à trente-neuf ans, on frémit à l'idée qu'il choisisse maintenant de s'attaquer à la biographie de Castro. À l'entracte, un sachet-repas était fourni. Cela permit de vérifier que décidément la révolution n'était pas un dîner de gala.

http://www.lefigaro.fr/festival-de-cannes/…-un-comique.php

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Le Che, icône des collectivistes romantiques, auquel on aura eu la présence d'esprit de retrancher les morceaux les plus sombres pour n'en conserver que la viande bien tendre, celle qui fait pleurnicher dans les chaumières.

Et qui en profite pour s'inspirer débat sur le remballage ! Il passe son temps à écrire des vannes, mais en vrai il est fortiche ce H16. :icon_up:

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La viande avariée fiche la diarrhée. Le Che a dépassé la date limite depuis plus de 40 ans mais on s'en sert encore comme logo sur les T-shirts. Même remballé par Soderbergh, même s'il était découpé en kebab avec beaucoup de harissa, c'est un peu normal qu'il fiche la logorrhée.

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Et qui en profite pour s'inspirer débat sur le remballage ! Il passe son temps à écrire des vannes, mais en vrai il est fortiche ce H16. :icon_up:

Captain blame, isn't he? :doigt:

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Le Che, icône des collectivistes romantiques, auquel on aura eu la présence d'esprit de retrancher les morceaux les plus sombres pour n'en conserver que la viande bien tendre, celle qui fait pleurnicher dans les chaumières.

You make my day :icon_up:

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Bon ben meme si Libe ecrit ca

Ainsi, les films ne disent rien sur la prise de pouvoir à Cuba, rien sur la période sombre du Che quand il est nommé commandant de la prison de la Cabaña, à La Havane, où il fait exécuter quelque 200 opposants , rien sur sa politique industrielle (qui ruine le pays en 1962), rien sur son souhait de lancer des missiles nucléaires contre les Etats-Unis, rien sur l’échec de son expérience africaine au Congo (où il qualifie les rebelles qu’il est censé coacher d’«armée de parasites»), rien sur sa passion pour Staline, rien sur son silence coupable quand le fameux guérillero Huber Matos est condamné à vingt ans de prison en 1959 pour avoir dénoncé la dérive autocratique du pouvoir… Le film trahit surtout la naïveté d’une certaine intelligentsia hollywoodienne.

La messe est dites.

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Le film trahit surtout la naïveté d’une certaine intelligentsia hollywoodienne.

La preuve par l'exemple:

FILMS EN COMPETITION

«Che»: Benicio del Toro attend les commentaires de Castro

L'acteur américain Benicio del Toro qui joue le «Che» dans le film de Steven Soderbergh en compétition au 61e Festival de Cannes, a souhaité que l'ancien leader cubain Fidel Castro donne son avis sur sa performance, jeudi lors d'une conférence de presse.

«Je l'ai rencontré cinq minutes, il connaissait le projet, il savait ce que nous faisions et il m'a dit qu'il était très heureux que nous consacrions autant de temps à effectuer une recherche sur cette période», a déclaré Del Toro.

«J'aimerais bien qu'il voie ce film, j'accepterais très volontiers tous ses commentaires car personne ne connaissait le +Che+ aussi bien que lui je suppose», a-t-il ajouté.

Steven Soderbergh n'a pas eu non plus l'occasion d'avoir l'avis de l'ancien leader cubain, qui s'est retiré du pouvoir en février au profit de son frère Raul pour des raisons de santé.

«Je suis allé cinq fois à Cuba, Castro est légendaire pour appeler les gens à deux heures du matin mais il ne nous a pas appelés pendant notre séjour», a-t-il dit.

«Peut-être ne pourrait-il pas survivre à ces deux films, je ne sais pas», a plaisanté le réalisateur américain devant la presse.

Le Parisien , jeudi 22 mai 2008, 14h02

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:icon_up:

Quelle réunion de bisounours!

Le marxisme ne réussit pas dans le réel mais triomphe dans la fiction *. Son quart d'heure de gloire, sans doute.

* tout jugement sur le film mis à part.

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