Invité rogermila Posté 25 octobre 2008 Signaler Posté 25 octobre 2008 Le Sénat est actuellement dans le collimateur de la Cour des Comptes, en raison de privilèges exorbitants dont bénéficient ses membres et qui plombent les finances publiques. Le quotidien "Le Parisien" donne en exemple des appartements de 4 ou 5 pièces situés dans le quartier du JARDIN DU LUXEMBOURG qui sont généreusement loués 800 euros par mois aux membres du Sénat. L'hebdomadaire "Valeurs Actuelles" signale que les salaires les plus bas (pour les simples plantons sans diplomes ou les ouvriers des jardins) tournent autour de 2600 euros mensuels pour 33 h par semaine avec 10 semaines de congés par an. Tout ceci est scandaleux
Invité jabial Posté 27 octobre 2008 Signaler Posté 27 octobre 2008 On essaie de nous faire croire que ce sont les privilèges de quelques politicards qui plombent les finances publiques? Sérieux…. Qu'on fasse un peu les comptes. Bien sûr que c'est un scandale, mais c'est une goutte dans la mer par rapport au coût du logement social bolchevique par exemple.
john_ross Posté 27 octobre 2008 Signaler Posté 27 octobre 2008 Le budget du parlement national c'est "seulement" 1 million par parlementaire. Soit à peine 1 milliard d'euros. Oui c'est scandaleux mais ce n'est qu'un 1/1000 de la dépense publique de la Fraônce.
Nick de Cusa Posté 27 octobre 2008 Signaler Posté 27 octobre 2008 C'est hautement visible et symbolique et s'y attaquer aurait un fort impact. De plus, la raison pour laquelle l'industrie politique* cherche à croitre sans cesse, c'est pour accéder à ce genre de privilèges. Si on rendait les incitants (les privilèges) moins alléchants, la pression de toujours croître s'allègerait. Si bosser dans privé amène de meilleures récompenses que l'industrie politique, ne restera plus dans cette industrie que des cas désespérés (encore plus que maintenant, je veux dire. Et si, c'est possible) et il devient alors plus facile de démontrer que l'industrie politique c'est de la merde en barre qui nous appauvrit tous. * : J'y inclus tous ces innombrables postes qui vont aux amis, maitresses, cousins et clientèle, ou encore qui créent une clientèle et la réduisent à l'accoutumance (fonctionnariat et entreprises publiques).
Coldstar Posté 27 octobre 2008 Signaler Posté 27 octobre 2008 On essaie de nous faire croire que ce sont les privilèges de quelques politicards qui plombent les finances publiques? Sérieux…. Qu'on fasse un peu les comptes. Bien sûr que c'est un scandale, mais c'est une goutte dans la mer par rapport au coût du logement social bolchevique par exemple. Quelques politocards? Sil n'y avait qu'au Sénat qu'on trouve les rémunérations avantageuses, avantages de la fonction et autres joyeusetés défiscalisés, emplois de complaisance ou carrément fictifs grassement rémunérés… Ca se comprendrait. Mais là… De plus, je ne suis pas sûr qu'il soit si évident que ça, quand on regarde le coût des mesures politiques (comme le logement social par exemple), de distinguer au premier coup d'oeil ce qui va au bénéfice direct ou indirect des politiques, de tout le reste…. Tu t'encroûtes vieux.
Nick de Cusa Posté 27 octobre 2008 Signaler Posté 27 octobre 2008 Le logement social c'est intimement lié puisque c'est en grande partie pour les copains les cousins les maitresses et la clientèle. C'est à ça que ça sert en tout cas, même si on en donne parfois un à un pauvre ou un immigré par faute d'inattention ou pour se justifier.
Saxval Posté 27 octobre 2008 Signaler Posté 27 octobre 2008 Pour comparaison, le parlement suisse, les 2 chambres comprises, n'emploie que 197 équivalents plein temps .
A.B. Posté 27 octobre 2008 Signaler Posté 27 octobre 2008 D'accord avec Nick, ultimement, les fortunes depensees dans le logement social, dans l'education nationale, etc servent a fournir ce genre de privileges aux senateurs. Ca parait incroyable comme ca, vu la disproportion entre la richesse detruire et la richesse transferee, mais c'est helas assez vrai.
Harald Posté 27 octobre 2008 Signaler Posté 27 octobre 2008 Il est amusant de constater que deux journaux fassent feu quasi simultanément sur le Sénat, tous deux dénonçant le budget somptuaire de cette institution. Bien entendu il n'y a pas anguille sous roche. Bien entendu l'Assemblée Nationale n'est pas visée alors que son budget est autrement pharaonien. Que l'Assemblée soit le plus gros propriétaire immobilier du VIIème arrondissement ne semble pas peser dans la balance. Bien sûr, il n'y a que les soupçonneux de nature comme moi pour y voir une menée insidieuse contre le Sénat orchestrée par l'Élysée. Tout le monde sait que notre bon président n'a aucune envie de réformer nos institutions, surtout si cette réforme vise à concentrer encore plus de pouvoirs dans les mains présidentielles. Que le Sénat ne soit pas aux ordres, n'a strictement rien à voir avec cette campagne.
Calembredaine Posté 28 octobre 2008 Signaler Posté 28 octobre 2008 On essaie de nous faire croire que ce sont les privilèges de quelques politicards qui plombent les finances publiques? Sérieux…. C'est une réponse du berger à la bergère qui prétend que ce sont les rémunérations des banquiers et des grands patrons qui sont à l'origine de la crise…
Harald Posté 28 octobre 2008 Signaler Posté 28 octobre 2008 C'est une réponse du berger à la bergère qui prétend que ce sont les rémunérations des banquiers et des grands patrons qui sont à l'origine de la crise… Plus précisément le litige porte sur les plus que confortables indemnités que touchent ceux dont la mauvaise gestion a conduit l'entreprise au bord du gouffre. On notera que même ceux de la Caisse d'Epargne sont visés, notamment Nicolas Merindol qui en plus de ces indemnités devait prendre la direction du Crédit Foncier de France. Beau pays que la France où la pratique du vae victis est douce, sonnante et trébuchante.
climax Posté 28 octobre 2008 Signaler Posté 28 octobre 2008 Que le Sénat ne soit pas aux ordres, n'a strictement rien à voir avec cette campagne. Bien vu. Je me faisais la même réflexion à propos d'institutions belges qui font l'objet d'attaques et qui, elles aussi, ont un peu trop tendance à ruer dans les brancards.
neuneu2k Posté 28 octobre 2008 Signaler Posté 28 octobre 2008 Plus précisément le litige porte sur les plus que confortables indemnités que touchent ceux dont la mauvaise gestion a conduit l'entreprise au bord du gouffre. On notera que même ceux de la Caisse d'Epargne sont visés, notamment Nicolas Merindol qui en plus de ces indemnités devait prendre la direction du Crédit Foncier de France. Beau pays que la France où la pratique du vae victis est douce, sonnante et trébuchante. Sur ce point, je suis d'accord, il y a une asymétrie choquante entre les bonus en fonction des résultats et l’absence totale de malus quand ils sont mauvais. Mais derrière cette ‘moralisation’ des dirigeants se profile déjà la lutte contre les paradis fiscaux, alors moi, si je dois choisir entre un système de rémunération douteux et le big brother financier menaçant de sanctions tout pays ou l’on peut transmettre sa richesse a ses enfants, je sais ou est le moindre mal. Ce n’est pas une pente savonneuse hypothétique, ce sont les mêmes aujourd’hui qui mélangent les deux.
Harald Posté 28 octobre 2008 Signaler Posté 28 octobre 2008 Sur ce point, je suis d'accord, il y a une asymétrie choquante entre les bonus en fonction des résultats et l’absence totale de malus quand ils sont mauvais.Mais derrière cette ‘moralisation’ des dirigeants se profile déjà la lutte contre les paradis fiscaux, alors moi, si je dois choisir entre un système de rémunération douteux et le big brother financier menaçant de sanctions tout pays ou l’on peut transmettre sa richesse a ses enfants, je sais ou est le moindre mal. Ce n’est pas une pente savonneuse hypothétique, ce sont les mêmes aujourd’hui qui mélangent les deux. Ce sont deux choses différentes que l'on tente de lier eu égard à l'état de la réflexion de l'opinion publique. Autant l'existence de paradis fiscaux ne me gêne pas autant ce qu'il est stupidement convenu d'appeler parachutes dorés me dérange au plus haut point. Moralement c'est indéfendable même pour un libéral ou un nanarcap. C'est ni plus ni moins qu'une prime à la médiocrité qui va à l'encontre du principe de responsabilité, sans compter que c'est un fort mauvais exemple à offrir vu que l'air du temps est à la valorisation de celui qui en fait le moins, qui profite du système, etc. Même les plus béats défenseurs du capitalisme financier devrait s'en apercevoir. Faisons un rêve, comme disait Guitry.
José Posté 28 octobre 2008 Signaler Posté 28 octobre 2008 …ce qu'il est stupidement convenu d'appeler parachutes dorés me dérange au plus haut point. Moralement c'est indéfendable même pour un libéral ou un nanarcap. En moyenne, selon wikipedia, les indemnités de départ s'élèvent à trois années de salaire pour les PDG et entre une et deux années pour la direction générale. Je ne vois là rien de moralement indéfendable. Un employé licencié peut également, selon son ancienneté, recevoir jusqu'à deux ans de salaire, et même plus dans le cadre de restructuration.
neuneu2k Posté 28 octobre 2008 Signaler Posté 28 octobre 2008 En moyenne, selon wikipedia, les indemnités de départ s'élèvent à trois années de salaire pour les PDG et entre une et deux années pour la direction générale. Je ne vois là rien de moralement indéfendable. Un employé licencié peut également, selon son ancienneté, recevoir jusqu'à deux ans de salaire, et même plus dans le cadre de restructuration. Ce qui est douteux, c’est l’asymétrie entre les intéressements aux résultats positifs et l’immunité par rapport aux résultats négatifs, s’il y a un vrai sens à récompenser la réussite, ça doit être accompagné d’un risque, sinon ca favorise les prises de risque. Actuellement, l’espérance de gains pour un patron de grande entreprise est positive s’il augmente la volatilité de l’action, quel que soit l’effet sur la stabilité financière de l’entreprise. Je ne dis pas qu’ils sont tous pourris, mais le système les y incite plus qu’il ne les en éloigne.
Harald Posté 28 octobre 2008 Signaler Posté 28 octobre 2008 En moyenne, selon wikipedia, les indemnités de départ s'élèvent à trois années de salaire pour les PDG et entre une et deux années pour la direction générale. Je ne vois là rien de moralement indéfendable. Un employé licencié peut également, selon son ancienneté, recevoir jusqu'à deux ans de salaire, et même plus dans le cadre de restructuration. Je doute qu'un employé qui serait licencié pour avoir fait perdre une masse de fric à son entreprise toucherait une indemnité dépassant le minimum syndical. On agiterait bien vite la faute lourde et ce serait dehors avec que dalle ou presque. Selon que vous serez puissant ou misérable, Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir.
Invité jabial Posté 28 octobre 2008 Signaler Posté 28 octobre 2008 Les parachutes dorés ont été à l'origine prévus pour protéger les PDG contre les éliminations "politiques" ou à la suite d'une OPA. Dans la mesure où c'est un contrat dûment négocié et imposé par personne, ça n'a rien de choquant. Ce qui peut l'être, c'est que ce parachute doré joue lorsque le patron en question est viré pour une faute de gestion. Et il n'y a aucun besoin d'une législation pour que ça change : les prochains contrats de ce genre seront, vous pouvez me croire, nettement plus restrictifs quand aux conditions d'attribution de la prime de départ. En bref, toute cette concentration sur les "indemnités de licenciement" des patrons, c'est de l'illusionnisme : le but est de détourner les regards de l'essentiel.
neuneu2k Posté 28 octobre 2008 Signaler Posté 28 octobre 2008 Et il n'y a aucun besoin d'une législation pour que ça change : les prochains contrats de ce genre seront, vous pouvez me croire, nettement plus restrictifs quand aux conditions d'attribution de la prime de départ. Je crains que ce ne soit pas si simple, le copinage et les chaises musicales restent la regle. En bref, toute cette concentration sur les "indemnités de licenciement" des patrons, c'est de l'illusionnisme : le but est de détourner les regards de l'essentiel. Ca c’est certain, ce n’est pas franchement innocent si ca sors en pleine crise du crédit…
john_ross Posté 28 octobre 2008 Signaler Posté 28 octobre 2008 Le problème des parachutes dorés est qu'il sont négociés par le conseil d'administration et non par l'assemble des actionnaires si bien que les petits porteurs sont exclus du processus de décision.
Invité jabial Posté 28 octobre 2008 Signaler Posté 28 octobre 2008 Je crains que ce ne soit pas si simple, le copinage et les chaises musicales restent la regle. Ca dépend où. Le "capitalisme politique" à la française n'est pas la règle mondiale, loin de là. Le problème des parachutes dorés est qu'il sont négociés par le conseil d'administration et non par l'assemble des actionnaires si bien que les petits porteurs sont exclus du processus de décision. Encore un propos démagogique. Je ne vois pas en quoi les gros porteurs seraient moins concernés que les petits. Si dépense il y a, un gros porteur perd plus d'argent. La décision est prise à la majorité conformément aux statuts, ça me suffit. Celui qui n'est pas content est libre de vendre bien avant que le versement éventuel d'une telle indemnité ne soit d'actualité. C'est quoi l'étape suivante, un homme une voix au CA? Attendez, là… On est pas chez les cocos.
climax Posté 28 octobre 2008 Signaler Posté 28 octobre 2008 Et il n'y a aucun besoin d'une législation pour que ça change : les prochains contrats de ce genre seront, vous pouvez me croire, nettement plus restrictifs quand aux conditions d'attribution de la prime de départ.En bref, toute cette concentration sur les "indemnités de licenciement" des patrons, c'est de l'illusionnisme : le but est de détourner les regards de l'essentiel.
neuneu2k Posté 28 octobre 2008 Signaler Posté 28 octobre 2008 Encore un propos démagogique. Je ne vois pas en quoi les gros porteurs seraient moins concernés que les petits. Si dépense il y a, un gros porteur perd plus d'argent. La décision est prise à la majorité conformément aux statuts, ça me suffit. Celui qui n'est pas content est libre de vendre bien avant que le versement éventuel d'une telle indemnité ne soit d'actualité.C'est quoi l'étape suivante, un homme une voix au CA? Attendez, là… On est pas chez les cocos. Ce n'est pas parce que des statuts existent qu'on ne peut pas les discuter, il est tout a fait possible que les statuts aient à être modifiés, le point sur lequel je suis d’accord c’est que c’est aux propriétaires de le faire et pas a l’état, mais la gouvernance d’entreprise n’est pas un domaine qui n’a plus à évoluer.
Invité rogermila Posté 28 octobre 2008 Signaler Posté 28 octobre 2008 Un employé licencié peut également, selon son ancienneté, recevoir jusqu'à deux ans de salaire, et même plus dans le cadre de restructuration. Normalement, l'indemnité de licenciement est fixée à 1/5 de mois par année d'ancienneté. Donc l'employé qui a 20 ans d'ancienneté ne touche que 20 fois 1/5 = 4 mois de salaire ….et au revoir ! On est très loin de mirobolantes indemnités (2 ou 3 ans de salaire) que toucheraient certains privilégiés.
Harald Posté 28 octobre 2008 Signaler Posté 28 octobre 2008 Ca dépend où. Le "capitalisme politique" à la française n'est pas la règle mondiale, loin de là. Ce qui se passe ailleurs on s'en fout. Pour l'heure ce qui a cours dans l'hexagone c'est l'entente quasi maffieuse entre les patrons des grands groupes avec le monde politique. Ces messieurs ayant à peu près les mêmes cursus (Cf celui de J.M Messier ou les amitiés "désintéressées" de Nabotléon) ils s'entendent comme larrons en foire pour se refiler les bons plans et les bonnes planques.
Invité jabial Posté 28 octobre 2008 Signaler Posté 28 octobre 2008 Ce qui se passe ailleurs on s'en fout. Pour l'heure ce qui a cours dans l'hexagone c'est l'entente quasi maffieuse entre les patrons des grands groupes avec le monde politique. Ces messieurs ayant à peu près les mêmes cursus (Cf celui de J.M Messier ou les amitiés "désintéressées" de Nabotléon) ils s'entendent comme larrons en foire pour se refiler les bons plans et les bonnes planques. Personne ne t'oblige à mettre ton fric dans des boîtes françaises. À titre personnel, mon portefeuille n'en comporte aucune. Je compense le risque de change avec des options monétaires. Moi ce qui m'étonne c'est que certains réagissent parfois comme si c'était leur pognon qu'on distribuait. Bah non. C'est le pognon des actionnaires seulement. Et je serai actionnaire d'une boîte où le PDG est nommé par copinage le jour de la Saint Glinglin.
roubachov Posté 28 octobre 2008 Signaler Posté 28 octobre 2008 Je doute qu'un employé qui serait licencié pour avoir fait perdre une masse de fric à son entreprise toucherait une indemnité dépassant le minimum syndical. On agiterait bien vite la faute lourde et ce serait dehors avec que dalle ou presque.Selon que vous serez puissant ou misérable, Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir. Tout à fait d'accord avec ton analyse.
Harald Posté 28 octobre 2008 Signaler Posté 28 octobre 2008 Moi ce qui m'étonne c'est que certains réagissent parfois comme si c'était leur pognon qu'on distribuait. Bah non. C'est le pognon des actionnaires seulement. Et je serai actionnaire d'une boîte où le PDG est nommé par copinage le jour de la Saint Glinglin. En France, l'Etat détient des parts dans pas mal de grosses entreprises. Il y a donc une part de mon pognon là-dedans. Et puis comme je l'ai dit, ma position est avant tout morale. Récompenser les mauvais c'est tout sauf un bon exemple.
Calembredaine Posté 28 octobre 2008 Signaler Posté 28 octobre 2008 Le problème des parachutes dorés est qu'il sont négociés par le conseil d'administration et non par l'assemble des actionnaires si bien que les petits porteurs sont exclus du processus de décision. Ce n'est nullement un problème puisque personne ne te force à acheter des actions. Si tu en achètes peu tu sais que tu n'auras pas ton mot à dire. Tu les achètes pour ce qu'elles offrent: un cours et un dividende. Si elles ne te satisfont plus, tu les vends, si elles t'offrent ce que tu attends d'elles tu en achètes davantage.
john_ross Posté 28 octobre 2008 Signaler Posté 28 octobre 2008 Ce n'est nullement un problème puisque personne ne te force à acheter des actions. Si tu en achètes peu tu sais que tu n'auras pas ton mot à dire. Tu les achètes pour ce qu'elles offrent: un cours et un dividende. Si elles ne te satisfont plus, tu les vends, si elles t'offre ce que tu attends d'elles tu en achètes davantage. Les parachutes dorés sont versés grâce aux bénéfices de l'entreprise. Donc un parachute doré voté par le conseil d'administration c'est des dividendes en moins pour les actionnaires. Et le problème c'est bien que la lois fixe le nombre de représentants que doit comprendre un conseil d'administration ce qui aboutit quasi de facto à en exclure les petits porteurs.
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