Drake Posté 6 janvier 2009 Signaler Posté 6 janvier 2009 La dernière version des faits en date par un analyste qui ne goûte que modérément l'inventivité lexicographique de nos amis autoréducteurs : http://www.maitre-eolas.fr/2009/01/05/1263…on-ou-extorsion Les faits seraient, en bon français et en toute logique juridique, de l'extorsion en bande organisée passible de 20 ans de réclusion. Quel rabat-joie ce Maître Eolas !
Noodles Posté 6 janvier 2009 Signaler Posté 6 janvier 2009 Je ne supporte pas les gauchistes qui assimilent ces voleurs à Robin des Bois, voir même le qualifie de communiste.J'ai heureusement trouvé la lumière sur ce site : Excellent !!
Stan Selene Posté 7 janvier 2009 Signaler Posté 7 janvier 2009 La dernière version des faits en date par un analyste qui ne goûte que modérément l'inventivité lexicographique de nos amis autoréducteurs :http://www.maitre-eolas.fr/2009/01/05/1263…on-ou-extorsion Les faits seraient, en bon français et en toute logique juridique, de l'extorsion en bande organisée passible de 20 ans de réclusion. Quel rabat-joie ce Maître Eolas ! Tres tres instructif.
Apollon Posté 7 janvier 2009 Signaler Posté 7 janvier 2009 La dernière version des faits en date par un analyste qui ne goûte que modérément l'inventivité lexicographique de nos amis autoréducteurs :http://www.maitre-eolas.fr/2009/01/05/1263…on-ou-extorsion Les faits seraient, en bon français et en toute logique juridique, de l'extorsion en bande organisée passible de 20 ans de réclusion. Quel rabat-joie ce Maître Eolas ! Quand je vois cet article du même, je me dis qu'il doit nous lire. Il utilise deux illustrations qui avaient été postées à la suite dans un fil.
Samizdat Posté 7 janvier 2009 Signaler Posté 7 janvier 2009 Tres tres instructif. En effet. Dans un des liens de l'article, on peut lire que la direction de Monoprix porte plainte et rappelle que les salariés,"tous interressés aux résultats", sont également parmis les victimes. Ironie du sort, les caissières précaires défendus par le mouvement en font partis. http://www.rue89.com/2009/01/03/autoreduct…ol-ou-extorsion
eclipse Posté 7 janvier 2009 Signaler Posté 7 janvier 2009 En effet. Dans un des liens de l'article, on peut lire que la direction de Monoprix porte plainte et rappelle que les salariés,"tous interressés aux résultats", sont également parmis les victimes. Ironie du sort, les caissières précaires défendus par le mouvement en font partis.http://www.rue89.com/2009/01/03/autoreduct…ol-ou-extorsion Les commentaires de rue89 sont priceless ; les gens de gauche peuvent justifier n'importe quoi tant que « c'est pour la bonne cause » et que l'on s'attaque à cet « infâùe grande distribution ».
eclipse Posté 7 janvier 2009 Signaler Posté 7 janvier 2009 Quand je vois cet article du même, je me dis qu'il doit nous lire. Il utilise deux illustrations qui avaient été postées à la suite dans un fil. Son dernier article me parle plus : http://www.maitre-eolas.fr/2009/01/07/1266…tes-en-vacances Juste une petite illustration d'un thème qui m'est cher : l'insupportable infantilisation des citoyens par l'État. Alors que la République est un régime de citoyens adultes et majeurs qui désignent certains d'entre eux pour assumer les indispensables fonctions de la Cité, depuis plusieurs décennies, l'État se comporte comme le tuteur de 60 millions d'incapables. La première de ces manifestations est le recours à la comm', l'art de ne rien dire tout en anesthésiant. La seconde est le recours au mensonge plutôt qu'assumer une vérité qui n'a pas forcément quoi que ce soit de honteux, juste par commodité. Qu'on me mente pour cacher une faute, je le comprends, sans le pardonner.
Saucer Posté 7 janvier 2009 Signaler Posté 7 janvier 2009 Quand je vois cet article du même, je me dis qu'il doit nous lire. Il utilise deux illustrations qui avaient été postées à la suite dans un fil. C'est du cyber-centrisme. Je me souviens qu'il s'était un peu plus enthousiasmé de l'élection d'Obama qu'en ces lieux.
jmserigny Posté 7 janvier 2009 Signaler Posté 7 janvier 2009 Les grenoblois ne sont pas en reste. Article du dauphiné liberé GRENOBLEUne plainte contre X après la "réquisition" au Monoprix par La Rédaction du DL | le 07/01/09 à 06h58 Petit rappel des faits: le 27 décembre dernier, une trentaine de personnes - chômeurs, Rmistes, membres d'associations - entraient dans le magasin Monoprix, situé rue Lafayette à Grenoble. Après avoir distribué des tracts et discuté avec le directeur de l'enseigne, ils remplissaient alors leurs chariots de marchandises, passaient en caisse sans payer et repartaient distribuer les biens «à des sans-papiers et à des familles vivant dans la précarité», notamment lors d'une manifestation organisée deux jours après devant les locaux de l'ANPE Denfert-Rochereau. Pour les militants, c'était une "réquisition" ou une "autoréduction". Pour la direction de Monoprix, c'était tout simplement un "vol"… Et maintenant qu'une plainte a été déposée (lire ci-dessous), il revient à la justice de trancher. En attendant, les deux parties restent sur leurs positions. Chrystelle, qui a participé à la "réquisition", explique: «Au moment où tout le monde parlait de la crise et du réveillon, au moment où les grands patrons de la grande distribution expliquaient que, ouf, les Français allaient quand même acheter, on a voulu rappeler qu'il y avait de nombreuses personnes qui ne pouvaient pas consommer ni faire la fête». La jeune femme poursuit: «Qu'est-ce que c'est que 900 euros pour une entreprise qui fait des bénéfices monstres? Une goutte d'eau. En revanche, c'est beaucoup pour des sans-papiers qui vivent entassés à l'hôtel et qui n'ont pas de quoi se faire chauffer un petit-déjeuner». Pour Geneviève de AC! (Agir ensemble contre le chômage), l'action menée «était une forme de résistance face à ce qu'offre la société, à savoir le chômage et la précarité. C'est aussi l'occasion d'ouvrir le débat, de sensibiliser l'opinion. D'ailleurs je peux vous dire que les clients du magasin ont tout à fait compris notre démarche. Nous n'avons rencontré aucune hostilité de leur part». Concernant la plainte déposée, les deux militantes affirment que l'action «a été menée en toute connaissance de cause. Ce n'est pas un vol. Nous avons négocié notre sortie avec le directeur. La police, présente à l'extérieur, n'est pas intervenue». Des arguments que ne peut entendre la direction nationale de Monoprix. Contactée hier au téléphone, elle a déclaré: «Nous nous attachons strictement aux faits. Des personnes sont ressorties de notre magasin grenoblois, avec des marchandises sans payer. Ça s'appelle un vol et ça s'arrête là. Et si notre directeur est venu discuter avec le collectif, c'est pour éviter que les choses dégénèrent en conflit à l'intérieur du magasin». Nous aussi nous luttons pour la justice sociale !
Noodles Posté 7 janvier 2009 Signaler Posté 7 janvier 2009 Les grenoblois ne sont pas en reste.Article du dauphiné liberé Nous aussi nous luttons pour la justice sociale ! Punaise mais c'est dingue, ces gens sont persuadés de mener une bonne action en plus ! Je suis toujours sur le cul face à la morale à géométrie variable de ce genre de militants, bien souvent anticapitalistes. C'est concrètement du vol, mais tel des mythomanes pour eux ça ressort du délire à la robin des bois. Pas mal pour des gens qui luttent soit disant pour l'égalité, parce que l'égalité des droits dans ce cas précis ils l'ont piétinée.
h16 Posté 8 janvier 2009 Auteur Signaler Posté 8 janvier 2009 Punaise mais c'est dingue, ces gens sont persuadés de mener une bonne action en plus ! Je suis toujours sur le cul face à la morale à géométrie variable de ce genre de militants, bien souvent anticapitalistes. C'est concrètement du vol, mais tel des mythomanes pour eux ça ressort du délire à la robin des bois. Pas mal pour des gens qui luttent soit disant pour l'égalité, parce que l'égalité des droits dans ce cas précis ils l'ont piétinée. Oh, si tu savais. Sur chaque forum de France et de Navarre, tu dois avoir un fil ouvert sur ce sujet. Et mis à part sur lib.org, l'écrasante majorité des posts doit être trustée par quelques collectivistes qui s'empressent de plussoyer vivement.
Volkhen Posté 8 janvier 2009 Signaler Posté 8 janvier 2009 Punaise mais c'est dingue, ces gens sont persuadés de mener une bonne action en plus ! Je suis toujours sur le cul face à la morale à géométrie variable de ce genre de militants, bien souvent anticapitalistes. C'est concrètement du vol, mais tel des mythomanes pour eux ça ressort du délire à la robin des bois. Pas mal pour des gens qui luttent soit disant pour l'égalité, parce que l'égalité des droits dans ce cas précis ils l'ont piétinée. La géométrie variable. C'est extrêment puissant et si simple à utiliser sur tout forum où sévissent des collectivistes. Un pur bonheur.
Drake Posté 29 janvier 2009 Signaler Posté 29 janvier 2009 Courses au supermarché avant la manif : Une soixantaine de personnes se sont retrouvées peu avant le passage de la manifestation pour réaliser une auto-réduction au Leader Price. Après être rentrées et s'être servies abondamment, elles ont bloqué les caisses afin de négocier la gratuité de leur butin. Le gérant du supermarché, refusant toutes négociations, a tout de suite fermé les portes avec la plupart de nous à l'intérieur. Aussitôt une dizaine de flics de la Bac et une trentaine de nationaux sont arrivés. L'expulsion s'est faite manu-militari, non sans nombre de coups et de menaces. Malgré nos quelques bleus et nos ventres vides, nous nous obstinons à vouloir guillotiner l'argent roi et sa reine marchandise et à poursuivre les actions que cela implique. Piller un leader price, faut-il qu'ils soient cons !
Drake Posté 29 janvier 2009 Signaler Posté 29 janvier 2009 ps : Il manque le lien. (badurl) http://nantes.indymedia.org/article/16076 (badurl) Je remarque qu'un gérant de Leader Price c'est pas une petite tapette des Galeries Lafayette.
Saucer Posté 29 janvier 2009 Signaler Posté 29 janvier 2009 Malgré nos quelques bleus et nos ventres vides, nous nous obstinons à vouloir guillotiner l'argent roi et sa reine marchandise et à poursuivre les actions que cela implique. La question reste : sont-ils dupes et réellement cons, ou hypocrites et réellement cyniques ?
Baltar Posté 29 janvier 2009 Signaler Posté 29 janvier 2009 Malgré nos quelques bleus et nos ventres vides Ah la la, comme si ces gens là étaient des crève-la-dalle. J'ai occasionnellement aidé une association qui distribuait de la nourriture en provenance de banques alimentaires aux clochards parisiens. Ce n'est pas la nourriture qui faisait défaut mais des bras de volontaires pour faire la distribution. Étrange dans un pays où autant de gens se gargarisent de principes solidaires et citoyens, contre l'argent roi et le capitalisme sauvage.
Winston Posté 13 février 2009 Signaler Posté 13 février 2009 (badurl) http://www.rue89.com/2009/01/03/autoreduction-au-monoprix-simple-vol-ou-extorsion (badurl) De plus en plus loin dans la connerie ! La qualification de "vol" peut-elle être retenue? Pas sûr…C'est un paradoxe détaillé aux étudiants de première année de droit: le délit de vol doit forcément se réaliser par une "soustraction frauduleuse". "En clair, confirme l'avocat blogueur maître Eolas, s'il y a remise de la marchandise, il n'y a pas de vol." Dans le cas présent, les marchandises ont bien été "remises" aux militants par la direction. Sous l'oeil de la police, comme l'a relaté Charlotte Rouault, témoin de la scène. La police n'est pas intervenue pour éviter qu'il n'y ait pas d'autres incidents", répond la porte-parole de Monoprix. Quid des violences ? Là encore, la direction du groupe est formelle: les militants du collectif "Les empêcheurs d'encaisser en rond" ont bousculé les salariés C'est pas du vol c'est de l'autoréduction ou de la réquisition citoyenne.
h16 Posté 13 février 2009 Auteur Signaler Posté 13 février 2009 Blabla bla. Cf Eolas, qui parle de droit en connaissance de cause.
Luis Posté 13 février 2009 Signaler Posté 13 février 2009 C'est pas parce que c'est une extorsion et non un vol que c'est beaucoup mieux, hein !
Invité jabial Posté 13 février 2009 Signaler Posté 13 février 2009 En effet, c'est pas du vol mais de l'extorsion. Les peines sont plus lourdes : il ne s'agit pas seulement d'un délit contre les biens mais aussi contre les personnes.
Drake Posté 13 février 2009 Signaler Posté 13 février 2009 C'est la mode en ce moment. il semble que les grands magasins aient vocation à se transformer en aires de jeux pour militants violents. Ici une bande de poufiasses névrosées manifestants en lutte contre le sexisme des jouets : Un putsch anti-jouets sexistes dans un magasin parisienPar Guillemette Faure | Rue89 | 16/12/2007 | 16H29 C’est la récré samedi après-midi à La Grande Récré. Devant le grand magasin du boulevard Barbès, des manifestants hurlent " Princesse un jour ! Boniche toujours ! Princesse un jour ! Boniche toujours ! " A l’intérieur du supermarché de jouets, le personnel du magasin tente de bloquer un petit groupe qui s’est mis dans la tête de déplacer des jouets de garçons au rayon des petites filles et inversement. Un grand blond s'agite devant une pile de Docteur Maboule. Il a rempli un panier de magasins de flingues en plastique et armes en tout genre, et brandit un signe " jouets toxiques" . Des agents de sécurité et des vendeurs qui portent des bonnets rouges à pompon tentent de l’emmener vers la sortie, quand il se jette au sol devant les boites de poupons Calinou. Là-dessus, un enfant effrayé se met à pleurer. Ouiiiin. C’est la deuxième " action" contre les jouets sexistes du " collectif contre le publi-sexisme" , un groupe d'associations qui s’inquiètent à l’idée que les jouets des petites filles " évoquent la maternité et les tâches ménagères" quand ceux des garçons légitiment la violence. Ils ont notamment édité un " catalogue" brocardant les clichés véhiculés par les fabricants. C’est vrai que les aspirateurs (à partir de 3 ans) et les pelles à poussières (2,49 euros) sont au rayon des petites filles. Mais l’étiquette du seau vendu avec son balai serpillère précise " pour faire le ménage comme maman et papa" . (On imagine les discussions au sein de l’entreprise avant de décider de rajouter " et papa" .) Mais, filles ou garçons, pourquoi offrir un égouttoir à vaisselle en plastique à des enfants pour Noël ? Pas très loin, il y a la poupée Nicole avec ses longues jambes, ses dim-up, ses sous-vêtements en dentelles rouges et ses sacs de course, la poupée Pam dont l’emballage dit " j’aime me maquiller et faire du shopping" , des kits à tatouage pour les filles (avec des cœurs) et pour les garçons (avec des altères), une poupée dont les poils des jambes repoussent et qu’on peut épiler comme maman (non, ça on l’a inventé). Sur le boulevard Barbès, les membres du collectif continuent à distribuer leurs tracts réclamant que les garçons et les filles aient accès aux mêmes jouets. " Y a des masques de Sarkozy ? " demande un passant, qui semble s’être trompé de manif. A l’intérieur du magasin, un bambin interdit demande des explications à sa mère. " C’est pour que les petites filles n’aient pas des fers à repasser à Noël" , répond t-elle, pleine d’empathie. Le fils hoche la tête, planté devant des " shotguns" pour ressembler au GIGN américain. " Ils veulent qu’on puisse donner des jouets de filles aux garçons" , résume une femme pour son mari. N’importe quoi… Les garçons voudront jamais de poupées" . " Espèces de chiens" , crie un client aux manifestants. " Cédric est demandé à la caisse 2" , répète une voix qui sort des hauts-parleurs. " C’est pas à vous de le faire" , lâche le jeune de tout à l’heure à l’attention du personnel du magasin qui l’escorte vers la porte. " Si vous croyez que ça m’amuse, faut que je travaille comme tout le monde" , lui répond un vendeur tandis que les sapins verts brodés sur son bonnet de père noël clignotent au dessus de son front. Les putschistes ont tous été reconduits dehors. " Ben moi, faut que je remette les jouets des filles chez les filles" , dit un vendeur. " Ben oui, fais le" , lui répond quelqu’un qui a le ton d’un supérieur devant un stock de " coiffeuses interactives" . Deux fourgons de police viennent d’arriver. Un des agents se dirige vers le gérant du magasin " vous avez déjà eu des précédents ? " (badurl) http://publisexisme.samizdat.net/ (badurl) (badurl) http://www.rue89.com/2007/12/16/un-putsch-anti-jouets-sexistes-dans-un-magasin-parisien (badurl) Comment leur faire comprendre à tous que la violence politique est inacceptable dans un Etat de droit ?
Jiplasse Posté 13 février 2009 Signaler Posté 13 février 2009 C'est pas nouveau ce genre de truc, si on parle c'est surtout que ca fait (très vaguement) écho aux "autoréductions" aux yeux des journalistes.
Herbert West Posté 13 février 2009 Signaler Posté 13 février 2009 Comment leur faire comprendre à tous que la violence politique est inacceptable dans un Etat de droit ? Quel Etat de droit ? vive le taser Tout de suite… Le taser. Pour équilibrer, je propose la matraque.
Saucer Posté 13 février 2009 Signaler Posté 13 février 2009 C'est la mode en ce moment. il semble que les grands magasins aient vocation à se transformer en aires de jeux pour militants violents. Ici une bande de poufiasses névrosées manifestants en lutte contre le sexisme des jouets : Le sens du ridicule se perd, mes amis. L'esprit de sérieux nous tuera tous.
Nick de Cusa Posté 13 février 2009 Signaler Posté 13 février 2009 Activisme libéral : aller prendre 20% de la valeur du contenu d'un magasin (de gauche si ça existe) pour nous rembourser de la spoliation coercitive que représente la TVA.
Brock Posté 13 février 2009 Signaler Posté 13 février 2009 Tout de suite… Le taser. Pour équilibrer, je propose la matraque. UN coup de poing, UNE gifle
Jesrad Posté 14 février 2009 Signaler Posté 14 février 2009 Le sens du ridicule se perd, mes amis.L'esprit de sérieux nous tuera tous. Hélas. Il est loin le temps où des Discordiens collaient simplement de discrets stickers sur les boîtes de poupées "action man" pour le changer en "middle-age corporate drone", et transformer son "uppercut action" (quand on appuie dans le dos) en "ass-groping action".
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