Brock Posté 15 janvier 2009 Signaler Posté 15 janvier 2009 http://www.iht.com/articles/2009/01/15/america/15venez.php# CARACAS: President Hugo Chávez, buffeted by falling oil prices that threaten to damage his efforts to establish a Socialist-inspired state, is quietly courting Western oil companies once again. Until recently, Chávez had pushed foreign oil companies here into a corner by nationalizing their oil fields, raiding their offices with tax authorities and imposing a series of royalties increases. of course…
xavdr Posté 15 janvier 2009 Signaler Posté 15 janvier 2009 http://www.iht.com/articles/2009/01/15/america/15venez.php# of course… Avec le pic des prix pétroliers, Chavez s'était pris pour le roi du pétrole! Aujourd'hui il doit assumer sa réputation de dirigeant malhonête qui, entre autres exactions, nationalise de façon crapuleuse.
h16 Posté 15 janvier 2009 Signaler Posté 15 janvier 2009 http://www.iht.com/articles/2009/01/15/america/15venez.php# of course… [hint]Sincèrement, je pense qu'il y a des moyens de modifier cette image pour la rendre vraiment intéressante.[/hint]
Stephdumas Posté 17 janvier 2009 Signaler Posté 17 janvier 2009 [hint]Sincèrement, je pense qu'il y a des moyens de modifier cette image pour la rendre vraiment intéressante.[/hint] le doigt de Chavez tire un rayon laser et fait exploser la tête de Chavez
TeNDRo. Posté 17 janvier 2009 Signaler Posté 17 janvier 2009 Les nationalisations auxquelles se prête Chávez ne sont que l’illustration de l’échec de sa politique économique. Plus inquiétant semble être son profond mépris pour la démocratie. En effet, bien que mise en échec en 2007, la réforme de la consitution sera représentée au peuple vénézuélien – avec de nouvelles clauses* – le mois prochain. * Vraisemblablement, le personnage souhaite étendre la fin de la limitation des mandats aux autres bureaucrates du pays. Nul doute qu’en agissant de la sorte, il espère trouver les moyens de fortifier sa base et de s’assurer un certain confort sur la durée. Venezuela votará el 15 de febrero si Chávez puede volver a presentarse La presidenta del Consejo Nacional Electoral (CNE), Tibisay Lucena, anunció que el 15 de febrero se celebrará en Venezuela el referéndum sobre la enmienda constitucional para la reelección ilimitada de los cargos de elección popular. Lucena hizo el anuncio tras recibir de manos de la oficialista Asamblea Nacional (AN) el proyecto de enmienda constitucional, que impulsa el presidente venezolano, Hugo Chávez, para poder optar a seguir en el cargo, por tercera vez consecutiva, en 2012. Chávez perdió el referéndum del 2 diciembre de 2007 cuando se votaba una reforma de la constitución que incluía la reelección ilimitada. La oposición denuncia que quiere perpetuarse en el poder La enmienda constitucional promovida por Chávez ha suscitado reacciones de rechazo por parte de los partidos de la oposición, que la denuncian como un "engaño" y acusan al presidente de querer perpetuarse en el poder. Los opositores argumentan que la propuesta de Chávez es "ilegal" y que no es una simple enmienda sino una reforma, ya que altera el principio de "alternatibidad", y la ley prohíbe replantear en el mismo período presidencial un cambio constitucional ya rechazado popularmente. La presidenta de la AN, la oficialista Cilia Flores, entregó al Poder Electoral el proyecto de enmienda, que el Parlamento venezolano adoptó el pasado miércoles y que, según la Ley, debe ser sometido a la consulta popular en los siguientes 30 días. En una breve alocución tras recibir el texto, Lucena ratificó que la fecha del referendo será el 15 de febrero, aunque el Poder Electoral, siguiendo las normas establecidas, debe ahora mantener una reunión antes de proclamar oficialmente la fecha. Chávez: 'Debo quedarme al menos 10 años más' La entrega del texto tuvo lugar en la sede del Consejo Nacional Electoral, al que llegó la presidenta de la Asamblea acompañada por un grupo de diputados oficialistas, mientras una multitud de seguidores de Chávez gritaba lemas a favor de su permanencia en el poder. La AN, de 167 miembros, casi todos oficialistas, aprobó el miércoles en segundo debate el proyecto de enmienda de la Constitución, y el Poder Electoral ya anunció el jueves que preveía que la campaña del referéndum comenzase oficialmente el sábado 17 de enero y concluyese a medianoche del viernes 13 de febrero. En diciembre pasado, Chávez pidió a sus aliados en el Parlamento presentar de inmediato un proyecto de enmienda para la reelección ilimitada presidencial, con el argumento de que solo su permanencia en el poder garantiza el avance de la "revolución" que lidera desde hace una década. "Debo quedarme al menos 10 años más al frente del Gobierno (…) para echar las bases sólidas de nuestra revolución bolivariana, de la transformación del capitalismo al socialismo", ha dicho el mandatario de Venezuela, quinto exportador mundial de crudo. http://www.elmundo.es/elmundo/2009/01/16/i…1232124189.html Chávez fait toujours recours aux mêmes procédés pour perpétuer l’espoir de la révolution socialiste et montrer un semblant d’opposition aux Etats-Unis. Son anti-américanisme polymorphe, avec dernièrement l’expulsion de l’ambassadeur israëlien, lui offre d’ailleurs la sympathie de quelques-uns. Il reste toutefois difficile de nier ses qualités de politicien puisque malgré la hausse des crimes et l’appauvrissement du pays, ses actions sont approuvées par 60% des Vénézuéliens (j’ai le souvenir que c’était le cas l’an passé, peut-être que la tendance s’est inversée depuis).
h16 Posté 25 janvier 2009 Signaler Posté 25 janvier 2009 … Je ne sais pas si les derniers mamours entre Chavez et Uribe illustrent l'état de décrépitude avancée du Vénézuéla, mais voici l'info "brute" : http://www.boursorama.com/infos/actualites…dbcfe67856af56a Le président vénézuélien Hugo Chavez et le colombien Alvaro Uribe se sont réunis samedi à Cartagena (Colombie) pour mettre en place un plan de travail commun face à la crise économique, enterrant définitivement la hache de guerre après les tensions de l'année 2008."Je me sens Colombien", a dit le président vénézuélien au terme d'une conférence de presse au cours de laquelle le socialiste Chavez et le conservateur Uribe ont rivalisé de courtoisies mutuelles. Moins d'un an après la plus sévère crise diplomatique entre les deux pays, entraînée notamment par le bombardement par l'armée colombienne d'un camp de la guérilla des Farc en Equateur, allié du Venezuela, Hugo Chavez et Alvaro Uribe ont annoncé la création d'une "commission économique" commune "pour mettre en place de nouveaux instruments" qui permettent de propulser encore les échanges commerciaux. En tout cas, il est symptomatique que Chavy se rapproche de la Colombie en ouvrant encore plus ses frontières (pour que les Colombiens exportent encore plus vers le Vénézuéla) - le libre-échange, finalement, c'est pas si mal - juste au moment - pure coïncidence bien sûr - où le prix du baril de pétrole est très bas et où (cette file en témoigne) il a des soucis pour faire revenir les sociétés d'exploitations compétentes sur son sol. Le socialisme vénézuélien serait-il sous-optimal ?
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