DoM P Posté 16 juillet 2009 Signaler Posté 16 juillet 2009 « Je n'ai pas le fétichisme de l'orthographe, mais les candidats vraiment motivés font toujours relire leur lettre de motivation avant de l'envoyer. » Il est journaliste. Il devrait avoir, sinon le fétichisme de l'orthographe, du moins un niveau d'exigence tel que s'en excuser auprès d'une candidate de ce calibre ne lui viendrait pas à l'esprit. L'orthographe, maintenant que les journaux sont presque tous vides de sens, c(est tout ce qu'il leur reste…
Skeggjöld Posté 16 juillet 2009 Signaler Posté 16 juillet 2009 un entretien de motivation, une lettre de recommandation ou une lettre de motivation suffisent pour savoir qui est fait pour aller en université dans la filière souhaitée. C'est le système des IUT, il y a certes pas 70% de perte mais tout de même plus de 30%. Cela fait tout de même une grande différence… il est tout à fait possible de réussir dans sa vie et d'être intelligent sans avoir une seule fois dans sa vie posé son auguste postérieur sur un banc d'amphithéâtreTout est possible, mais là c'est fort improbable. Si le système éducatif français était plus exigeant dès les premières années d'école, nous aurions des diplômés du bac cultivés et intelligents. Sur ce point là, les entreprises ont également un grand travail à fournir ; quand je me renseigne pour des stages, je vois des aberrations, comme exiger un bac+5 pour faire un labeur administratif de deux mois payé une misère que même un lycéen idiot pourrait faire.Pourquoi choisir un Bac + 1 ou 2 quand on a une file de bac + 5. Les stages en dessous de Bac + 5 se font surtout par piston particulièrement pour moins de 6 mois. Et vous trouvez cela normal ? (désolé pour le charcutage du texte) Pas de souci…
dop Posté 16 juillet 2009 Signaler Posté 16 juillet 2009 Et vous trouvez cela normal ? http://www.jobdete.com/public/demande-emploi-95139.html Quand je vois ça, oui. http://www.jobdete.com/public/demande-emploi-78054.html Jeune fille souriante
john_ross Posté 16 juillet 2009 Signaler Posté 16 juillet 2009 MES PLUS :LES LANGUES : anglais , italien , français http://www.jobdete.com/public/demande-emploi-95139.html Il fallait oser! Je sais bien qu'il est d'usage de mentir sur son CV mais il faut quand même que cela reste crédible.
h16 Posté 16 juillet 2009 Signaler Posté 16 juillet 2009 http://www.jobdete.com/public/demande-emploi-78054.html Pardon, mais elle dit tout de même ayant l'expérience des saisons depuis 3ans Ca laisse rêveur.
Skeggjöld Posté 16 juillet 2009 Signaler Posté 16 juillet 2009 http://www.jobdete.com/public/demande-emploi-95139.htmlQuand je vois ça, oui. http://www.jobdete.com/public/demande-emploi-78054.html Vous citez des extrêmes, vous et moi savons qu'il existe encore des personnes intelligentes, qui connaissent le français et qui ont un minimum de goût dont le niveau est inférieur à bac+5. Je suis par exemple bac+3 et mon CV est soigneusement construit, dans un français juste et élégant. Contrairement à ces jeunes filles dont la photo est plus importante que le contenu du CV, je ne mets jamais de photographie sur le mien afin de ne pas être prise parce que j'ai de beaux yeux ou que sais-je encore. Il est vraiment dommage que les employeurs, pour ce type d'emploi, sélectionnent par rapport à un niveau d'études (d'ailleurs trop élevé pour les tâches qui sont demandées) et non par rapport à d'autres facteurs, comme la connaissances de la langue française (je connais des bac+5 qui font une faute par phrase, et il doit bien exister des CV de bac+5 à peine moins indigents que ceux que vous montrez). Ca laisse rêveur. C'est très poétique
Brock Posté 16 juillet 2009 Signaler Posté 16 juillet 2009 il existe des personnes intelligentes qui font plein de fottes dortograffe et des ultra-instruits completement cons.
Esperluette Posté 16 juillet 2009 Signaler Posté 16 juillet 2009 http://www.jobdete.com/public/demande-emploi-95139.htmlIl fallait oser! Cela dit, dans les domaines spécialisés, indiquer ses langues selon un certain ordre signifie les degrés de maîtrise.
Glockinette Posté 19 juillet 2009 Signaler Posté 19 juillet 2009 Voici un blog qui illustre ce que donnent, concrétement, les blocages dans les universités publiques de la douce Frônce. Ca se passe à Grenoble et ça date de 2006 (anti-CPE). Les locaux ont bien sûr été remis en etat aux frais du CONtribuable depuis, mais ont peut-être connus le même sort à nouveau en 2007 (anti-LRU), puis cette année. Les photos sont éloquentes; un bel exemple de l'exception française . http://blokeursquatteur.blogourt.fr/
Nirvana Posté 19 juillet 2009 Signaler Posté 19 juillet 2009 Ces gens n'ont RIEN à faire dans une université. Leur place est au cirque (celui où ce sont les lions qui vous mangent).
Glockinette Posté 19 juillet 2009 Signaler Posté 19 juillet 2009 Il y a de sérieux coups de pied au c** qui se perdent. Je ne comprends pas l'inertie des autres étudiants et de la société en général face à cette minorité de jeunes débilo-gauchistes.
Wallace Posté 19 juillet 2009 Signaler Posté 19 juillet 2009 Je ne comprends pas l'inertie des autres étudiants et de la société en général face à cette minorité de jeunes débilo-gauchistes. Ce que je ne comprend pas non plus c'est l'inertie étatique. Il serait très simple de rétablir l'ordre dans les facultés. Je me rappel bien de la crise du CPE, j'étais étudiant et j'étais allé voir dans la faculté de lettre en quoi consistaient les "fameuses" AG, c'était vraiment le cirque, le tout dirigé par de sérieux crétins. Ma fac (de droit) ne subissait aucune perturbation, dès que les troubles ont commencé, un service d'ordre a été mis en place, par exemple impossible de rentrer dans l'enceinte sans montrer carte d'étudiant. Là où je veux en venir, c'est que ces blocages à répétition sont entre autres, le fruit d'une mauvaise volonté bienveillante de la part des autorités. Et cela pour décrédibiliser le système universitaire français, et hâter l'idée de réformes nécessaires. Les crétins bloqueurs sont les idiots utiles du système qu'ils combattent. C'est vraiment navrant.
john_ross Posté 19 juillet 2009 Signaler Posté 19 juillet 2009 Non c'est juste parce que seul les enfants des classes moyennes et pauvres vont à la fac.
David Boring Posté 19 juillet 2009 Signaler Posté 19 juillet 2009 Non c'est juste parce que seul les enfants des classes moyennes et pauvres vont à la fac. On reconnaît bien là les machinations de la classe bourgeoise qui contrôle l'État pour maintenir dans l'ignorance les enfants du prolétariat alors même que la crise nous rapproche chaque jour un peu plus de l'effondrement du capitalisme sous ses contradictions internes (ceci est un smiley Karl Marx)
Glockinette Posté 19 juillet 2009 Signaler Posté 19 juillet 2009 Là où je veux en venir, c'est que ces blocages à répétition sont entre autres, le fruit d'une mauvaise volonté bienveillante de la part des autorités. Et cela pour décrédibiliser le système universitaire français, et hâter l'idée de réformes nécessaires. Les crétins bloqueurs sont les idiots utiles du système qu'ils combattent. C'est vraiment navrant. Sans-doute aussi, oui.
Glockinette Posté 19 juillet 2009 Signaler Posté 19 juillet 2009 Non c'est juste parce que seul les enfants des classes moyennes et pauvres vont à la fac. De plus en plus, c'est sûr. (hormis quelques filières où un passage en fac est inévitable). Edit: enfin, "pauvres", je ne sais pas, à la réflexion. Modestes et classes moyennes - avec un grand concentré d'enfants de fonctionnaires. Et avec des variations significatives en fonction des filières.
john_ross Posté 20 juillet 2009 Signaler Posté 20 juillet 2009 On reconnaît bien là les machinations de la classe bourgeoise qui contrôle l'État pour maintenir dans l'ignorance les enfants du prolétariat alors même que la crise nous rapproche chaque jour un peu plus de l'effondrement du capitalisme sous ses contradictions internes (ceci est un smiley Karl Marx) Non ça n'a rien à voir avec une machination c'est juste que nos élites ne sont pas passées par l'université et ne comprennent rien à ce qui s'y passe, a tel point qu'ils en arrivent à écouter les éructations de Julliard. Et pour la droite en plus elle reste marquée par le syndrome Malek Oussékine donc surtout pas bouger et attendre.
Nick de Cusa Posté 20 juillet 2009 Signaler Posté 20 juillet 2009 …Là où je veux en venir, c'est que ces blocages à répétition sont entre autres, le fruit d'une mauvaise volonté bienveillante de la part des autorités. Et cela pour décrédibiliser le système universitaire français, et hâter l'idée de réformes nécessaires. Les crétins bloqueurs sont les idiots utiles du système qu'ils combattent. C'est vraiment navrant. Puisses-tu dire vrai.
TODA Posté 22 juillet 2009 Signaler Posté 22 juillet 2009 Les gens intelligents ne font pas tous des études. En suisse, il y a un peu plus de 30% des jeunes gens qui passent le papier donnant accès aux universités, les autres apprenant un métier et bossant dans les entreprises depuis l'âge de 14, 15 ans. Et dans ceux qui font ce choix, il y en a une bonne partie qui n'a pas à se sentir bête par rapport à ceux qui partent directement aux universités. Une partie de ces anciens apprentis finit d'ailleurs par reprendre des études supérieures après coup. Ainsi, de nombreux ingénieurs ont d'abord appris un métier (mécanicien, électricien, etc) avant de faire des études d'ingénieur. Et ceux qui ont suivi cette voie sont en général préférés par les employeurs à ceux qui n'ont fait que des études plus un stage. Et c'est vraiment fort dommage qu'il n'en soit pas de même en France… Parce que ça, ça fonctionne réellement très efficacement En revanche, dans le sens inverse, les bachelier, voir bac+x qui désirent intégrer "les compagnons du devoir" doivent recommencer au début: apprentissage chez un patron et préparation d'un CAP… Les rares qui osent en bavent, et souvent proportionnellement avec leur niveau théorique…(leur éloignement avec les réalités du terrain?) Encore un paradoxe Français…la seule sélection française existante se fait à bac -4, mais rare sont les diplômés "supérieurs " capables de passer l'épreuve… Je ne connais aucun CAP, BEP, BAC Pro,et +tout ce qu'ils veulent, ayant des difficultés pour trouver du travail…
ShoTo Posté 22 juillet 2009 Signaler Posté 22 juillet 2009 Vous rendez-vous compte de la perte colossale d'argent engendrée par des jeunes qui ne sont simplement pas faits pour ça ? J'ai pas vérifié mais je suis pas sûr que ce soit vrai. Certes il y en a qui s'inscrivent pour les APL et ça je suis totalement contre mais à part ça je ne pense pas que le coùt d'un étudiant marginal soit élevé (à part peut être en science ou en SI où il faut du materiel).
Esperluette Posté 22 juillet 2009 Signaler Posté 22 juillet 2009 En revanche, dans le sens inverse, les bachelier, voir bac+x qui désirent intégrer "les compagnons du devoir" doivent recommencer au début: apprentissage chez un patron et préparation d'un CAP…Les rares qui osent en bavent, et souvent proportionnellement avec leur niveau théorique…(leur éloignement avec les réalités du terrain?) Je me pose depuis un moment la question de reprendre des études très différentes de ma formation universitaire. Il n'existe pas vraiment de dichotomie théorie / pratique en traduction - je suis sur le terrain. A vrai dire, ce qui m'effraie, ce n'est pas l'éloignement avec "les réalités du terrain" mais le temps consacré à l'apprentissage avant de pouvoir décrocher un job. Je me demande si ce n'est pas un principe applicable à d'autres : ils ont soif de bosser, pas de s'instruire en profondeur sur un domaine.
TODA Posté 22 juillet 2009 Signaler Posté 22 juillet 2009 J'ai pas vérifié mais je suis pas sûr que ce soit vrai. Certes il y en a qui s'inscrivent pour les APL et ça je suis totalement contre mais à part ça je ne pense pas que le coùt d'un étudiant marginal soit élevé (à part peut être en science ou en SI où il faut du materiel). Je connais même la théorie inverse… elle postulerait que: ça serait tout bénéf pour le système… Un étudiant couterait moins qu'un chômeur , un RMIste…
TODA Posté 22 juillet 2009 Signaler Posté 22 juillet 2009 Je me pose depuis un moment la question de reprendre des études très différentes de ma formation universitaire. Il n'existe pas vraiment de dichotomie théorie / pratique en traduction - je suis sur le terrain. A vrai dire, ce qui m'effraie, ce n'est pas l'éloignement avec "les réalités du terrain" mais le temps consacré à l'apprentissage avant de pouvoir décrocher un job. Je me demande si ce n'est pas un principe applicable à d'autres : ils ont soif de bosser, pas de s'instruire en profondeur sur un domaine. Serais- tu capable de traduire des trucs techniques, dans un but utilitaire? genre notice d'un antibiotique en woloff ou Soninké? Ma fille, architecte de formation, vis en Gréce…dans les balkans… actuellement, elle travaille pour un maçon, se confronte à la législation du pays, rédige des devis et des feuilles de paie, répond au téléphone et vends des petites pièces de rechange pour cheminées dans la boutique de son boss…elle entreprends de créer un site internet pour la boite, proposer des modèles de cheminées, et éventuellement un peu de son travail,propositions de décoration intérieure, création de patios et de jardins aménagés…tout cela en grec, bien entendu… A mon avis, la traduction doit être accolée à d'autres compétences, plus terre à terre… Tu dis "je suis sur le terrain" : réfléchis…as- tu des "collègues " sur ce terrain,exerçant de par le monde, entravés par le manque de traductions? hélas si, Il existe vraiment de dichotomie théorie / pratique en traduction Il n'existe pas vraiment de dichotomie théorie / pratique en traduction Des milliers de personnes formées pour traduire des chefs d'œuvre de la littérature Américaine, personne pour travailler pour une entreprise peu "glamour" désirant exporter des fosses septiques…
Esperluette Posté 22 juillet 2009 Signaler Posté 22 juillet 2009 Serais- tu capable de traduire des trucs techniques, dans un but utilitaire? Ben oui. Faut pas se laisser tromper par mon style fleuri. genre notice d'un antibiotique en woloff ou Soninké? En théorie oui ; en pratique 1) je ne connais pas ces langues (et on traduit toujours vers sa langue maternelle) 2) je préfère m'abstenir de tripoter le domaine médical. Ma fille, architecte de formation, vis en Gréce…dans les balkans…actuellement, elle travaille pour un maçon, se confronte à la législation du pays, rédige des devis et des feuilles de paie, répond au téléphone et vends des petites pièces de rechange pour cheminées dans la boutique de son boss…elle entreprends de créer un site internet pour la boite, proposer des modèles de cheminées, et éventuellement un peu de son travail,propositions de décoration intérieure, création de patios et de jardins aménagés…tout cela en grec, bien entendu… Ben c'est chouette. A mon avis, la traduction doit être accolée à d'autres compétences, plus terre à terre… Cultiver une spécialisation : l'évidence même. A défaut de la maîtriser dès l'origine, on l'apprend. Tu dis "je suis sur le terrain" : réfléchis…as- tu des "collègues " sur ce terrain,exerçant de par le monde, entravés par le manque de traductions? Um ? Non, pas en quantité, mais en qualité oui. Notamment les conditions du contrat. hélas si, Il existe vraiment de dichotomie théorie / pratique en traduction Des milliers de personnes formées pour traduire des chefs d'œuvre de la littérature Américaine, personne pour travailler pour une entreprise peu "glamour" désirant exporter des fosses septiques… Non, les traducteurs spécialisés dans le technique, le juridique, le financier, le médical existent, même si le tout-venant représente une grosse masse de boulot. Beaucoup de gens souhaitent lire des trucs sans spécialisation, genre article de magazine, mél commercial, rapport quelconque, résumé d'une conférence… Mais évidemment, un traducteur expert de haut niveau possède une double compétence, d'où la rareté des prestataires et les tarifs qu'ils exigent. Le littéraire généralement ne paie pas très bien. Les conditions de travail ne sont pas forcément reluisantes. Alors quand les clients essaient de recruter un traducteur hyper pointu avec des tarifs et conditions applicables aux romans + des échéances ridicules + un rabais en prestations accessoires, ben ils vont jamais trouver. Le traducteur pointu, il va juste rigoler puis s'affairer sur un autre contrat plus juteux. Lecture sur les préjugés : http://transtextuel.wordpress.com/2009/05/…es-traducteurs/ Dans mon cas, les deux obstacles majeurs sont le manque d'expérience et la volonté d'un boulot en interne. Les contrats en freelance ne manquent pas, j'en ai reçu même sans chercher vraiment. Pis je constate que c'est pas mon truc, voilà tout.
ShoTo Posté 22 juillet 2009 Signaler Posté 22 juillet 2009 Je connais même la théorie inverse…elle postulerait que: ça serait tout bénéf pour le système… Un étudiant couterait moins qu'un chômeur , un RMIste… En même temps, pour être chômeur faut avoir déjà cotisé et pour être RMIste faut avoir 25 ans.
TODA Posté 23 juillet 2009 Signaler Posté 23 juillet 2009 En même temps, pour être chômeur faut avoir déjà cotisé et pour être RMIste faut avoir 25 ans. Oui, c'est cela que j'ai entendu dire: en attendant d'avoir 25 ans et de pouvoir "prétendre " au RMI t'es étudiant pour faire plaisir à tes parents et pouvoir bénéficier de tas de trucs, SS, Allocs… Et si t'as un peu plus de courage, tu bosses juste ce qu'il faut pour t'ouvrir" tes droits"… Mais c'est trop injuste, c'est juste un truc pour pas raquer: Donc, c'est voulu en haut lieu, un étudiant, ça coute moins cher qu'un chômeur ou un RMiste… D'ailleurs il serait intéressant de connaitre le nombre de glandeurs de plus de 25 ans qui préfèrent le statut d'étudiant à celui de RMIste ….à mon avis, c'est du 100% subventions familiales…tant que mes vieux pensent que j'étudie, ils rackent, appart, bagnole…
Brock Posté 23 juillet 2009 Signaler Posté 23 juillet 2009 j'en connaissais un avant de partir, etudiant a vie qui tournait sur la police d'assurance de papa mort, allocs, bourses, rmi, etc… au dernieres nouvelles il fumait des joints oisif dans la maison de campagne de la tantine, a 30 ans je me demande ou il en est maintenant…
Randian shithead Posté 23 juillet 2009 Signaler Posté 23 juillet 2009 j'en connaissais un avant de partir, etudiant a vie qui tournait sur la police d'assurance de papa mort, allocs, bourses, rmi, etc…au dernieres nouvelles il fumait des joints oisif dans la maison de campagne de la tantine, a 30 ans je me demande ou il en est maintenant… 10 euros disent qu'il est maître de conf.
DiabloSwing Posté 23 juillet 2009 Signaler Posté 23 juillet 2009 j'en connaissais un avant de partir, etudiant a vie qui tournait sur la police d'assurance de papa mort, allocs, bourses, rmi, etc…au dernieres nouvelles il fumait des joints oisif dans la maison de campagne de la tantine, a 30 ans je me demande ou il en est maintenant… On connait le même
Brock Posté 23 juillet 2009 Signaler Posté 23 juillet 2009 en le cherchant sur facebook j'ai retrouve le bully de ma classe en terminale, un grand imbecile psychopathe qui se prenait pour un gangsta, il est medecin de campagne dans le sud-est…c'etait bien la peine de se la raconter
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