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La grippe porcine


Invité

Atchoum  

77 membres ont voté

  1. 1. Votre sentiment sur la grippe porcine ?

    • On va tous y passer.
      18
    • Autant de chance que le virus soit pandémique que le conflit israëlo-palestinien de s'arrêter.
      32
    • Je vis dans une grotte, pas entendu parler.
      19
    • On doit exterminer des millions de porcs.
      11


Messages recommandés

Posté

Et cliquez là aussi, histoire de faire monter ce magnifique morceau de bravoure dans les niouzes wikio - ça les fera braire un peu :icon_up: .

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Et bien sûr, la théorie du complot qui va bien : http://h16.free.fr/index.php?2009/05/04/56…nts-de-l-espace

Moi ce que j'en dis, c'est qu'ici tu es le seul à porter un masque… c'est louche.

Sérieusement ce matin je suis passé à CDG j'ai vu quelques masques, ça permet de dépister les névroses c'est déjà ça… En plus cette ambiance de fin du monde pour deux pauvres cas identifiés en France (le chiffre écrit en gros sur plein d'écran partout, des images des réunions presse) : je me demande combien d'énergie est dépensé comme ça en pure perte comme une version moderne du sacrifice fait aux dieux de la grippe pour qu'ils ne soient pas trop méchants.

sacrifice-isaac.jpg

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Il semblerait que les milieux hospitaliers soient complètement paniqués par ce qu'ils pensent les attendre dans les prochaines semaines : des centaines de milliers de cas de "grippe A", des milliers de morts… Il y a déjà un début de psychose dans certains établissements ou certains services. Auto-intoxication ?

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C'est le bon moment pour des vacances pas cher au Mexique. Enfin… si il y a des avions pour y décoller…

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N'importe quoi.

Des fois, franchement, on en vient à souhaiter un virus génétiquement modifié qui attaquerait les abrutis. Y'aurait des dégâts.

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N'importe quoi.

Des fois, franchement, on en vient à souhaiter un virus génétiquement modifié qui attaquerait les abrutis. Y'aurait des dégâts.

Oh que oui!

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Le meilleur remède contre la grippe A? La sécu ! Bernard Maris

Avec France Inter, la chronique de Bernard Maris, journaliste et écrivain. Parce que la France a un système de protection des plus faibles, parce qu'elle les soigne, elle est beaucoup moins vulnérable face aux épidémies de tout poil. Explications.

Quels pays résisteront le mieux à la grippe ? Les pays libéraux, ou les pays socio-démocrates ? Le journal « Le Monde » avait produit autrefois un bel article dont le thème était : la social démocratie allonge la vie. Les pays du Nord, Suède, Danemark etc. ont un sytème social et de santé qui favorise l’allongement de l’espérance de vie. Alors que dans les pays brutaux, les Etats-Unis, la Russie, l’espérance de vie est plutôt stationnaire voire en régression. Je précise que l’espérance de vie est une moyenne : c’est surtout parce que les nourrissons ne meurent plus, entre 0 et un an, que la vie moyenne des hommes augmente. C’est parce que la mortalité infantile diminue que la vie moyenne des populations augmente.

Vive la social-démocratie !

C'est une victoire du progrès technique et de la social-démocratie, c’est-à-dire de la protection des faibles. La technique permet d’accroitre la productivité des hommes, mais permet aussi de les protéger. Le capitalisme c’est plutôt, comme le libéralisme, le darwinisme social, la disparition des faibles et la survie des forts. Cette loi de la nature s’applique à tout sauf à l’espèce humaine, qui a toujours protégé les faibles, et qui en intégrant la morale dans son mode de fonctionnement est sortie précisément de la nature, de la loi naturelle propre aux animaux et est devenue superpuissance.

Quel rapport avec la grippe porcine? Celui-là : les pays qui protègent les faibles ont des systèmes comme la CMU. La couverture maladie universelle. Or, la CMU est un rempart très efficace contre la maladie, car elle permet aux plus faibles et aux plus pauvres de se déclarer, de ne pas se cacher. Or les plus pauvres sont les plus contaminés et les plus contaminants. Il est donc probable que la France résistera beaucoup mieux à une épidémie qu’un pays de darwinisme social, comme les Etats-Unis où les plus pauvres ne peuvent pas être soignés. La protection des faibles est une arme redoutablement efficace.

(badurl) http://www.marianne2.fr/Le-meilleur-remede-contre-la-grippe-A-La-secu-!_a179342.html (badurl)

J'espère que c'est une blague :icon_up:

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J'espère que c'est une blague :icon_up:

La France sociale-démocrate ? C'est encore combien de 'tits vieux qui claquent lors d'un été un peu plmus chaud ? Combien de victimes de sang contaminé ?

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C'est tellement cher les antibiotiques que si l'état n'était pas là je ne pourrait pas m'en payer.

Question quelqu'un a-t-il une idée du coût d'un traitement à la pénicilline sur 5 à 7 jours?

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La France sociale-démocrate ? C'est encore combien de 'tits vieux qui claquent lors d'un été un peu plmus chaud ? Combien de victimes de sang contaminé ?

Finalement, je crois que c'est le 1 er avril pour Marianne:

Merci de laisser l'Etat dans l'état où vous l'avez trouvé

Par le Vrai Débat. L'affaiblissement de l'Etat, même dans ses fonctions régaliennes comme la sécurité, s'inscrit dans une tendance longue de déconcentration vers l'Europe et les régions. Jusqu'où iront les libéraux pour casser les services publics?

(badurl) http://www.marianne2.fr/Merci-de-laisser-l-Etat-dans-l-etat-ou-vous-l-avez-trouve_a179346.html (badurl)

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A ce sujet, la phrase que j'entends le plus souvent autour de moi: "…moi, ça me fait peur, et si ça se propageait, tu crois pas?" (venant de gens généralement rationnels). C'est terrible comme l'époque est au doute sur à peu près tout, alors que nous devrions avoir de plus en plus de certitudes puisque la science ne cesse de progresser (air connu). Défiance de tout, aussi bien de l'économie que de la science, de l'avenir, de son identité propre, de l'autre, sans même parler de Dieu. Il en faudrait peu (un peu plus de sensationnel médiatique) pour que ce soit le sauve-qui-peut général, et le pire, sans raisons véritables. Ce n'est pas la grippe la véritable maladie contemporaine (il n'y a d'ailleurs pas de pandémie), c'est la peste du doute qui fait ses ravages. Et si en plus on mourait, vous vous imaginez?

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Bernard Maris. Tout est dit.

Il est utile de rappeler que ce Monsieur a fait parti du conseil scientifique (sic) de ATTAC qui maintenant s'appelle Simply Market.

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Ce n'est pas la grippe la véritable maladie contemporaine (il n'y a d'ailleurs pas de pandémie), c'est la peste du doute qui fait ses ravages. Et si en plus on mourait, vous vous imaginez?

En tout cas ça me rend cyclothymique cette nouvelle maladie, ça me donne des envie de rire et de pleurer en même temps.

Aujourd'hui j'ai entendu dans 3 ou 4 flashs un truc du style "l'épidémie se répand, un 4ème cas constaté en France, il se porte bien et est rentré chez lui". CPEF signifie aujourd'hui : Ce Pays Est Fou.

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Au moins on aura bien ri, on aura un peu mieux cerné la mentalité du nanarcap et on aura vu la puissance de frappe des médias. On peut établir une typologie d'un mouvement médiatique de ce type :

1/ découverte du mal, certains journaux en parlent vaguement en page 25, d'autant plus que ça se passe chez des barbares ;

2/ l'état national où a surgi le mal commence à s'occuper de la chose, les articles s'intensifient (là, la question est pourquoi ? Parce que l'administration en charge de la santé se met soudain à envoyer des communiqués de presse) ;

3/ un organisme (para-)étatique supranational s'empare de l'affaire, et là c'est la déferlante, d'abord parce qu'on a la caution dudit organisme, mais surtout parce que son service de communication entre en contact direct avec les agences de presse internationales (ce que ne faisait pas l'administration nationale), déverse sur elles de nombreux communiqués de presse et met à disposition des journalistes des "spécialistes". Or les médias vivent principalement des dépêches et des images/vidéos des agences ;

4/ toutes les administrations nationales, y compris dans les pays épargnés, reprennent à leur compte l'antienne, augmentant encore la pénétration du message car elles ont des contacts avec les professionnels de la santé et les médias nationaux. Ceux-ci peuvent ainsi créer du contenu local, qui vaut toujours mieux qu'un contenu écrit ailleurs. On atteint à ce moment le sommet de l'alarmisme, des scientifiques obscurs évoquant des millions de décès et les contenus locaux donnant l'impression à la population qu'elle est cernée par le mal ;

5/ apparaissent ensuite des émissions/dossiers spéciaux, c'est-à-dire que le mal quitte la sphère de l'actualité éphémère pour entrer dans celle de l'actualité à moyen terme. Toutefois, cette transition marque en fait une décrue de l'intérêt pour le mal, qu'on essaie de prolonger avec des informations plus détaillées. Apparition des premiers avis divergents dans les médias les plus riches en contenu (journaux) ;

6/ faute de nouvelles informations (c'est-à-dire de nombreux décès), l'intérêt continue à diminuer mais parce que les médias ont constaté une hausse de l'audimat/des ventes et qu'ils ont peur de perdre le public captif, ils doivent broder sur le fait que le mal n'est pas mort, qu'il en cache un autre qui sera lui, comme promis, très très terrible, si seulement il avait la bonne idée de muter. On écrit encore l'un ou l'autre article de catastrophe-fiction, mais le coeur n'y est plus et on hésite à signer de son nom. On note l'apparition des avis divergents à la télévision ;

7/ les médias sont bien obligés de constater que le mal n'est pas aussi maléfique qu'annoncé. Face à cette publicité mensongère qui vaudrait la prison à un directeur du marketing, les médias s'interrogent sur leur action. N'ont-ils pas été trop loin dans l'alarmisme ? Interrogation purement rhétorique, bien sûr : tout le monde sait que les médias sont les garants de la démocratie, qu'on ne peut rien leur reprocher, qu'ils n'ont fait que répercuter l'avis des spécialistes, et puis un homme prévenu en vaut deux, et si jamais le mal avait tenu ses promesses, on leur aurait reproché de n'avoir pas suffisamment averti la population. Les politiciens et les fonctionnaires sont d'accord avec eux ;

8/ tout est bien qui finit bien. Les fous et les idiots enlèvent leurs masques chirurgicaux et les rangent dans leur armoire pour la prochaine épidémie.

À noter que dans ce cas-ci, les étapes étaient évidentes parce que la crise n'a pas duré longtemps. Avec la vache folle, chaque étape représentait plusieurs semaines.

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Oui il y a de l'agitation dans les media et le gouvernement aime faire peur, mais une pendule arretee a raison deux fois par jour.

Je porte un masque dans les lieux publics et je me lave regulierement les mains a l'alcohol. Je veix eviter les sorties au resto pendant un moment. J'attends de voir l'evolution.

La grippe contrairement au SIDA dont on a fait tout un foin a le potentiel de zapper la moitie de la plante. Ca se propage tres vite et tres facilement.

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Au moins on aura bien ri, on aura un peu mieux cerné la mentalité du nanarcap et on aura vu la puissance de frappe des médias. On peut établir une typologie d'un mouvement médiatique de ce type :

Tu as oublié la phase conspirationniste , qui intervient entre le moment 6 et 7 , c'est-à-dire dans la période où le danger perçu décroît; qui repose au fond sur l'idée qu'un tel événement ne peut arriver par hasard, qu'un tel enchaînement est déterminé par une volonté occulte.

Mais tu fais bien de souligner l'accélération de ces cycles d'hystérie collective, à la fois parce que la vitesse de désinformation augmente, mais aussi parce que les réflexes hygiénistes et la peur sont de plus en plus ancrés dans la psychologie du troupeau de citoyens.

Posté
À noter que dans ce cas-ci, les étapes étaient évidentes parce que la crise n'a pas duré longtemps. Avec la vache folle, chaque étape représentait plusieurs semaines.

En ce qui concerne les téléphones mobiles ça se compte en mois/années… On va encore en voir des vertes et des pas mûres, au hasard : http://www.lefigaro.fr/actualite-france/20…nne-relais-.php

Tu as oublié la phase conspirationniste , qui intervient entre le moment 6 et 7 , c'est-à-dire dans la période où le danger perçu décroît; qui repose au fond sur l'idée qu'un tel événement ne peut arriver par hasard, qu'un tel enchaînement est déterminé par une volonté occulte.

Je crois que ce point est central : la perte de la notion que la règle est que les choses arrivent par hasard et que ce n'est que dans l'exception qu'on peut fournir une explication. C'est le règne de la métaphysique des experts

Posté
7/ les médias sont bien obligés de constater que le mal n'est pas aussi maléfique qu'annoncé. Face à cette publicité mensongère qui vaudrait la prison à un directeur du marketing, les médias s'interrogent sur leur action. N'ont-ils pas été trop loin dans l'alarmisme ? Interrogation purement rhétorique, bien sûr : tout le monde sait que les médias sont les garants de la démocratie, qu'on ne peut rien leur reprocher, qu'ils n'ont fait que répercuter l'avis des spécialistes, et puis un homme prévenu en vaut deux, et si jamais le mal avait tenu ses promesses, on leur aurait reproché de n'avoir pas suffisamment averti la population. Les politiciens et les fonctionnaires sont d'accord avec eux ;

Autrement appelée : la phase Schneiderman.

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Au moins on aura bien ri, on aura un peu mieux cerné la mentalité du nanarcap et on aura vu la puissance de frappe des médias. On peut établir une typologie d'un mouvement médiatique de ce type :

1/ découverte du mal, certains journaux en parlent vaguement en page 25, d'autant plus que ça se passe chez des barbares ;

2/ l'état national où a surgi le mal commence à s'occuper de la chose, les articles s'intensifient (là, la question est pourquoi ? Parce que l'administration en charge de la santé se met soudain à envoyer des communiqués de presse) ;

3/ un organisme (para-)étatique supranational s'empare de l'affaire, et là c'est la déferlante, d'abord parce qu'on a la caution dudit organisme, mais surtout parce que son service de communication entre en contact direct avec les agences de presse internationales (ce que ne faisait pas l'administration nationale), déverse sur elles de nombreux communiqués de presse et met à disposition des journalistes des "spécialistes". Or les médias vivent principalement des dépêches et des images/vidéos des agences ;

4/ toutes les administrations nationales, y compris dans les pays épargnés, reprennent à leur compte l'antienne, augmentant encore la pénétration du message car elles ont des contacts avec les professionnels de la santé et les médias nationaux. Ceux-ci peuvent ainsi créer du contenu local, qui vaut toujours mieux qu'un contenu écrit ailleurs. On atteint à ce moment le sommet de l'alarmisme, des scientifiques obscurs évoquant des millions de décès et les contenus locaux donnant l'impression à la population qu'elle est cernée par le mal ;

5/ apparaissent ensuite des émissions/dossiers spéciaux, c'est-à-dire que le mal quitte la sphère de l'actualité éphémère pour entrer dans celle de l'actualité à moyen terme. Toutefois, cette transition marque en fait une décrue de l'intérêt pour le mal, qu'on essaie de prolonger avec des informations plus détaillées. Apparition des premiers avis divergents dans les médias les plus riches en contenu (journaux) ;

6/ faute de nouvelles informations (c'est-à-dire de nombreux décès), l'intérêt continue à diminuer mais parce que les médias ont constaté une hausse de l'audimat/des ventes et qu'ils ont peur de perdre le public captif, ils doivent broder sur le fait que le mal n'est pas mort, qu'il en cache un autre qui sera lui, comme promis, très très terrible, si seulement il avait la bonne idée de muter. On écrit encore l'un ou l'autre article de catastrophe-fiction, mais le coeur n'y est plus et on hésite à signer de son nom. On note l'apparition des avis divergents à la télévision ;

7/ les médias sont bien obligés de constater que le mal n'est pas aussi maléfique qu'annoncé. Face à cette publicité mensongère qui vaudrait la prison à un directeur du marketing, les médias s'interrogent sur leur action. N'ont-ils pas été trop loin dans l'alarmisme ? Interrogation purement rhétorique, bien sûr : tout le monde sait que les médias sont les garants de la démocratie, qu'on ne peut rien leur reprocher, qu'ils n'ont fait que répercuter l'avis des spécialistes, et puis un homme prévenu en vaut deux, et si jamais le mal avait tenu ses promesses, on leur aurait reproché de n'avoir pas suffisamment averti la population. Les politiciens et les fonctionnaires sont d'accord avec eux ;

8/ tout est bien qui finit bien. Les fous et les idiots enlèvent leurs masques chirurgicaux et les rangent dans leur armoire pour la prochaine épidémie.

À noter que dans ce cas-ci, les étapes étaient évidentes parce que la crise n'a pas duré longtemps. Avec la vache folle, chaque étape représentait plusieurs semaines.

Il me semble que vous avez oublié la phase où les médias laissent induire que c'est de la faute au libre échangisme.

Posté
S'il y a encore quelques cas et que le truc ne retombe pas immédiatement comme un soufflé, il y a un max de pognon à faire avec la vente de masques chirurgicaux.
La grippe A dope le chiffre d'affaires des fabricants de masques

Reuters, il y a 3 heures 31 min

La grippe A(H1N1) dope le chiffre d'affaires du groupe nordiste MacoPharma, spécialisé dans le matériel médical, qui annonce augmenter sa production de masques respiratoires en prévision de commandes massives.

L'entreprise a reçu depuis le déclenchement de la crise de la grippe de nombreuses sollicitations et des commandes fermes.

"Nous allons passer à partir de juin à une production de trois millions de masques par semaine alors qu'aujourd'hui nous en produisons environ 250.000", explique Véronique Lutun, directrice de la communication de MacoPharma, qui annonce également son intention d'embaucher 45 personnes.

Le groupe MacoPharma est installé sur trois sites dans le Nord de la France, à Mouvaux, Tourcoing et Neuville-en-Ferrain.

Dans les deux premiers sites, le groupe fabrique des poches de perfusion et de transfusion, le troisième site de Neuville-en-Ferrain est spécialisé dans la fabrication de masques.

MacoPharma a ouvert cette usine de production de masques en raison de la forte demande en 2005, lors de la crise de la grippe aviaire. En 2006, elle a fourni 100 millions de masques.

La production avait été ensuite ralentie, avant la décision d'une relance massive.

Le groupe MacoPharma a été récemment approché par la Direction Générale de la Santé pour connaître sa capacité de production et les stocks de masques disponibles.

On dénombre désormais sept cas avérés de grippe A(H1N1) en France, après l'annonce mercredi de trois nouveaux cas par les autorités sanitaires.

Si l'on retire ces trois cas de la liste des sept cas probables annoncés mardi, il en reste deux en Île-de-France, un dans le Limousin et un en Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Posté

Au fait, est-ce que y'a des histoires avec emprunt massif, programme de mise sous tutelle administrative, perfusion économique et autres capitaux du FMI pour indemniser la chaîne de production porcinesque en perte de chiffre d'affaires ? Ca doit chouiner de leur côté.

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