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Les limites de la mondialisation


ikichi

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Posté
J'ai dit "délicat à financer", pas impossible. Comme vous dites, l'exemple de Hill est une exception parmi une série de banqueroute… Et à l'heure actuelle pensez vous qu'il y aurait de quoi financer sur des fonds privé une infrastructure ferroviaire de 20milliards d'euro à la suite de l'exemple d'eurotunnel ? Chat échaudé….

Oh, il y a plus d'un siècle, on a bien réussi à financer sur fonds privés des canaux de plusieurs dizaines de kilomètres, canaux qui servent encore aujourd'hui.

Posté

Le tunnel sous la manche est le genre d'infrastructure totalement inutile que seul un état peut financer.

Pour relier La Grande Bretagne au continent ce qu'il faut c'est un pont pas un vulgaire tunnel à 2 voix.

Posté
Et sur le fond ?

Le régime nazi était un régime abominable… Mais je rapelle que dans les fait, déménagé c'est bien ce qu'ont fait les juifs allemand dès 1933, en étant spolié au passage, et pas que par l'impôt :icon_up: , et malheureusement leur fuite n'a de loin pas toujours été facilité par les états voisins. (cf http://www.aidh.org/Racisme/2e_guerre/rapp_final_17.htm )

Comparer la situation du contribuable français des années 2000 à la situation du juif allemand dans les année 30 en allemagne est tout simplement abjecte.

http://pagesperso-orange.fr/d-d.natanson/l…e_nuremberg.htm

Posté
Comparer la situation du contribuable français des années 2000 à la situation du juif allemand dans les année 30 en allemagne est tout simplement abjecte.

Si le degré est différent, la nature est la même (haine du riche, ce profiteur des inégalités sociales).

Cette comparaison à tout à fait lieu d'être, tout comme comparer la sociale démocrassie, le communisme et le fascisme.

Hayek t'en parlera mieux que moi.

Posté
Si le degré est différent, la nature est la même (haine du riche, ce profiteur des inégalités sociales).

Cette comparaison à tout à fait lieu d'être, tout comme comparer la sociale démocrassie, le communisme et le fascisme.

Hayek t'en parlera mieux que moi.

Oui et on aura tous remarqué que Saxval, à part jouer à l’offusqué, s’est bien gardé de répondre. Et pour cause, la seule réponse en ligne avec sa propre logique serait de dire "eh bien oui, ils n’avaient qu’à déménager". :icon_up:

Les exemples extrêmes ont le mérite de bien faire comprendre les choses.

Posté
Si le degré est différent, la nature est la même (haine du riche, ce profiteur des inégalités sociales).

En fRance cela va bien au-delà de la haine du riche, c'est la haine du possédant qu'il soit riche ou pauvre, comme en témoigne les réactions lors de la quasi suppression des droits de succession.

Mais surtout il y a le financement du RSA ou toute la classe politique considère comme normal de spolier les épargnants qui sont forcément des nanties car si quelqu'un arrive à épargner en fRance c'est qu'il ne paye pas assez d'impôt.

Pour un comparatif avec l'Allemagne nazie:

En Allemagne nazi on spoliait les juifs, en fRance aujourd'hui on a une partie de la classe politique qui quand Total fait 14Geuro de bénéfice voudrait faire une loi d'exception pour s'accaparer une partie des bénéfices en spoliant les méchants propriétaires (riches ou pauvres) de Total.

Posté

La comparaison avec les nazis a aussi été faite la semaine dernière par Jean-Claude Juncker:

Secret bancaire: Junker évoque l’occupation nazie

Le premier ministre du Luxembourg riposte aux attaques du ministre allemand Peer Steinbrück

La guerre des mots se poursuit entre l’Allemagne et le Luxembourg. Le premier ministre du Grand-Duché, Jean-Claude Jun­cker, n’a pas mâché ses mots en répliquant aux références guerrières, et en particulier à l’évocation de l’envoi de soldats et de cavaleries, utilisées contre les paradis fiscaux par le ministre allemand des finances, Peer Steinbrück, ainsi que par Franz Müntefering, chef du Parti social démocrate: «Nous ne trouvons pas cela amusant. Nous avons déjà été occupés, et avons souffert de l’occupation allemande pendant la dernière guerre», a dit le président de l’Eurogroupe au magazine Spiegel. Une tirade qui rappelle celle de Pierre Mirabaud, président de l’Association suisse des banquiers, lorsqu’en février 2008 il avait comparé l’attaque allemande contre le Liechtenstein à «des méthodes de la Gestapo».

http://www.letemps.ch/Page/Uuid/d0d763e8-3…ccupation_nazie

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Eh oui. Le socialisme soft à la Saxval et consorts, c'est soft, mais ça reste du collectivisme avec, au final, toujours la même rhétorique ("si t'es pas content casse-toi") et les mêmes méthodes (au début, le poing levé, puis jeté, puis les armes).

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Eh oui. Le socialisme soft à la Saxval et consorts, c'est soft, mais ça reste du collectivisme avec, au final, toujours la même rhétorique ("si t'es pas content casse-toi") et les mêmes méthodes (au début, le poing levé, puis jeté, puis les armes).

En fait le libéralisme c'est "si t'es pas content casse-toi de chez moi", alors que le socialisme c'est "si t'es pas content casse-toi de chez toi".

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Le libéralisme c'est "si t'es pas content casse-toi de chez moi", alors que le socialisme c'est "casse toi, ça ne t'appartient pas".

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Le libéralisme c'est "si t'es pas content casse-toi de chez moi", alors que le socialisme c'est "casse toi, ça ne t'appartient plus".

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