Invité rogermila Posté 1 janvier 2010 Signaler Posté 1 janvier 2010 Il n'a pas perdu de temps pour exhiber ses muscles. Avec plus de 1 100 voitures cramées durant la Nuit de la St Stylvestre, il n'y a pas de quoi pavoiser. M. Sarkozy en recevant à l'Elysée plusieurs centaines de policiers, gendarmes, sapeurs-pompiers, agents de la SNCF, de la RATP, médecins ou personnels de santé. "Nous allons nous occuper de ces bandes cette année. Nous devons repenser notre politique en ce domaine et adopter des mesures sévères pour combattre la possession et l'utilisation d'armes à feu par des voyous", a-t-il ajouté. "Le projet de loi anti-bandes sera voté par le Parlement dans les jours prochains", a également déclaré le chef de l'Etat. http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/01/…-des-bandes.php
Saucer Posté 1 janvier 2010 Signaler Posté 1 janvier 2010 Ah il a des muscles ? Le projet de loi anti-bandes Je crains fort que ce projet de loi ne se montre impuissant.
Sous-Commandant Marco Posté 1 janvier 2010 Signaler Posté 1 janvier 2010 La technique de Sarkozy n'a pas changé. Chaque semaine, il va trouver un nouveau sujet médiatique, en fonction de l'actualité, pour empêcher les médias de parler d'autres sujets déplaisants, en particulier ceux des semaines précédentes, oubliés ou en échec complet.
john_ross Posté 1 janvier 2010 Signaler Posté 1 janvier 2010 Il ne fallait pas arrêter la prime à la casse le 31/12.
Calembredaine Posté 1 janvier 2010 Signaler Posté 1 janvier 2010 Je crains fort que ce projet de loi ne se montre impuissant.
Baltar Posté 1 janvier 2010 Signaler Posté 1 janvier 2010 Il n'a pas perdu de temps pour exhiber ses muscles.Avec plus de 1 100 voitures cramées durant la Nuit de la St Stylvestre, il n'y a pas de quoi pavoiser. 10 voitures de moins que l'an dernier, un peu léger pour le super dispositif policier spécial réveillon. Et les journalistes qui évoquent une nuit particulièrement "calme"…
Esperluette Posté 1 janvier 2010 Signaler Posté 1 janvier 2010 Des voeux sobres après une année laborieuse pour Sarkozy POLITIQUE - Le président a présenté ses vœux aux Français, ce jeudi soir, après une année 2009 plutôt sombre, sans annonce particulière… Retour sur les voeux: Peu de choses sur la protection de l'environnement. Un rappel du sommet de Copenhague dont le bilan n'est pourtant pas flatteur pour le président mais qui a permis d'ouvrir «une porte sur l'avenir» et une brève évocation du Grenelle qui va permettre de «relever le défi de la protection de l'environnement». En tout cas, Sarkozy n'est pas prêt à jeter l'éponge, surtout après le rejet de la taxe carbone par le Conseil constitutionnel. «Je ne suis pas un homme qui renonce à la première difficulté», a-t-il affirmé alors que les «mentalités et les comportements» sont dures à faire «évoluer». Bref la fiscalité verte reste un enjeu majeur, qui se verra proposer par le gouvernement un nouveau dispositif dès le 20 janvier. Sans jamais citer le dossier brûlant de l'identité nationale mais en y faisant clairement référence, Nicolas Sarkozy a exhorté les Français à rester unis et à débattre sans se «déchirer» ni s'«insulter». Un appel certainement utile alors que de nombreuses réunions du débat sur l'Identité nationale s'achèvent dans des envolées limite xénophobes. Et que l'idée même d'un débat est critiquée dans les rangs de l'UMP. «Respectons-nous les uns les autres, faisons l'effort de nous comprendre, évitons les mots et les attitudes qui blessent. Soyons capables de débattre sans nous déchirer, sans nous insulter, sans nous désunir», a-t-il demandé. «C'est cette unité qui nous a permis de prendre l'initiative, d'entraîner les autres. Les idées que la France défend vont pouvoir s'imposer dans la recherche d'un nouvel ordre mondial: plus d'équilibre, plus de régulation, davantage de justice et de paix», a assuré le président. Sur l'économie, Nicolas Sarkozy a promis que 2010 serait une «année de renouveau» sur le front économique et social et que, malgré les «épreuves», les efforts consentis allaient «porter leur fruits». «La France a continué à se transformer», a dit le chef de l'Etat, citant les réformes du lycée, des universités ou de la formation professionnelle, la suppression de la taxe professionnelle, l'instauration du revenu de solidarité active (RSA) et le grand emprunt. «Il nous reste encore bien du travail», a poursuivi Nicolas Sarkozy en énumérant parmi ses objectifs de 2010 la nécessité de «faire reculer le chômage et l'exclusion», «réduire nos dépenses courantes pour nous permettre nos dépenses d'avenir», «relever le défi de la dépendance» ou encore «consolider notre système de retraites». Des vœux sous le signe de l’innovation. La prestation du chef de l'Etat de ce 31 décembre a pour objectif de trancher avec les précédentes. Cette année, le message présidentiel enregistré est enrichi d'un court générique et consultable, en même temps qu'à la télévision, sur Internet ou téléphone portable. D'une vingtaine de secondes, le clip d'ouverture sera constitué d'images «qui symbolisent la France», explique la présidence: patrouille de France ou le dernier 11 novembre. Une façon de faire oublier une année couleur charbon pour Nicolas Sarkozy, douze mois ponctués de nombreuses polémiques, et de plusieurs déconvenues. Echecs Ainsi, le seul mois de décembre a vu trois revers majeurs infligés au président. Lundi dernier, le fleuron de l'industrie nucléaire française, le réacteur de 3e génération EPR n'a pas su convaincre les décideurs d'Abou Dhabi. Le coût du réacteur construit par Areva aurait pesé lourdement dans le choix de l’Emirat en faveur de l'offre proposée par le sud-coréen Kepco. Et mardi, le Conseil constitutionnel a rejeté la «taxe carbone», mesure phare du budget 2010 et fer de lance du nouveau penchant écologique de Nicolas Sarkozy. Un camouflet qui doit rappeler au Président le fiasco du sommet de Copenhague sur le climat, en faveur duquel il s'était personnellement impliqué. Image négative Ces derniers échecs font écho à d’autres revers qui ont eu plus tôt dans l’année, à l’image de la très difficile et très décriée fusion ANPE-Unedic au sein de Pôle emploi. De plus, les promesses non tenues en matière de pouvoir d’achat du fait de la crise, le chômage persistant qui doit continuer de progresser en 2010, la dette et les déficits publics (84% et 8,5% du PIB pour 2010), sans compter le débat sur l'identité nationale qui a généré des dérapages anti-musulman, donnent indubitablement une image négative de Nicolas Sarkozy aux Français. Certaines polémiques, comme celle déclenchée par la tentative avortée de Jean Sarkozy de se faire élire à la tête de l’Epad, ont également eu un impact négatif sur le chef de l’Etat, accusé de vouloir tout contrôler et de remettre à l’ordre du jour le droit du sang en politique. Et le désaccord, voir la fronde au sein de son propre parti contre certains projets de réforme (taxe professionnelle, réforme territoriale) sont autant de cailloux dans la chaussure du président, qui a vu inexorablement sa côte de popularité baisser au fil des mois. Une popularité qu’il ne peut se permettre de laisser s’effriter encore, notamment avec le «test» que constituent les élections régionales, prévues pour le mois de mars. Les sondages sont pour le moment favorables à la gauche, à la tête de 20 des 22 régions métropolitaines depuis 2004. Bérénice Dubuc
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