neth Posté 11 juin 2010 Signaler Posté 11 juin 2010 Une vidéo édifiante pour les footeux (et pour les autres) A écouter ce scientifique, on se conforte dans l'idée que subordonner la volonté des peuples à de grands idéaux "universels", cela fonctionne rarement… Le bien-pensant Menard en reste béat. name="allowFullScreen" value="true"></param><param name="allowscriptaccess" value="always"></param><embed src=" type="application/x-shockwave-flash" allowscriptaccess="always" allowfullscreen="true" width="480" height="385"></embed></object>"> name="allowFullScreen" value="true"></param><param name="allowscriptaccess" value="always"></param><embed src=" type="application/x-shockwave-flash" allowscriptaccess="always" allowfullscreen="true" width="480" height="385"></embed></object>" type="application/x-shockwave-flash" width="400" height="300" wmode="transparent">
Rincevent Posté 11 juin 2010 Signaler Posté 11 juin 2010 neth a dit : A écouter ce scientifique, on se conforte dans l'idée que subordonner la volonté des peuples à de grands idéaux "universels", cela fonctionne rarement… Le bien-pensant Menard en reste béat. Parler de scientifique pour un historien est un peu exagéré, malgré tout le respect que j'ai pour la discipline qu'est l'histoire. Et puis, bon, Lugan…
neth Posté 11 juin 2010 Auteur Signaler Posté 11 juin 2010 Certes, du reste, je ne connais point ce monsieur.
Ash Posté 11 juin 2010 Signaler Posté 11 juin 2010 Rincevent a dit : Parler de scientifique pour un historien est un peu exagéré, malgré tout le respect que j'ai pour la discipline qu'est l'histoire. Et puis, bon, Lugan… Tu devrais l'aimer pourtant, c'est aussi lui qui démolit les thèses afrocentristes propres à Dieudonné.
Tremendo Posté 12 juin 2010 Signaler Posté 12 juin 2010 Ce qu'il dit est pourtant vrai, l'Afrique du sud économiquement devient progressivement une ruine, la situation s'est lentement détériorée depuis la fin de l'Appartheid, c'est un fait. Je passe sur sa vision idyllique de l'appartheid, il oublie de dire que les noirs n'avaient pas les mêmes droits que les blancs dans les lieux publics, ni que les peines appliquées étaient différentes, les uns et les autres n'étaient pas égaux devant la loi. En revanche, l'idée de l'Appartheid de séparer les communautés en ethnies-régions autonomes était loin d'être incensée, aujourd'hui le courant multiculturaliste l'a emporté et a voulu créer un melting-pot impossible, ceci couplé à la corruption intégrale de la Police et des institutions politiques, cela explique le degré rare de violence de ce pays. Les ethnies noires qui ne s'entendent pas entre elles, ont pris le pouvoir et doucement remplacé l'appartheid par un autre régime favorisant leurs intérêts, notamment en mettant en place des quotas de recrutement dans toutes les entreprises en instaurant un minimum de personnel noir. On assiste donc impunément à un renversement de situation lent mais sûr, ce qui incite beaucoup de blancs à partir du pays, car l'insécurité physique et entrepreunariale deviennent de plus en plus grandes.
h16 Posté 12 juin 2010 Signaler Posté 12 juin 2010 Tremendo a dit : Ce qu'il dit est pourtant vrai, l'Afrique du sud économiquement devient progressivement une ruine, la situation s'est lentement détériorée depuis la fin de l'Appartheid, c'est un fait.Je passe sur sa vision idyllique de l'appartheid, il oublie de dire que les noirs n'avaient pas les mêmes droits que les blancs dans les lieux publics, ni que les peines appliquées étaient différentes, les uns et les autres n'étaient pas égaux devant la loi. En revanche, l'idée de l'Appartheid de séparer les communautés en ethnies-régions autonomes était loin d'être incensée, aujourd'hui le courant multiculturaliste l'a emporté et a voulu créer un melting-pot impossible, ceci couplé à la corruption intégrale de la Police et des institutions politiques, cela explique le degré rare de violence de ce pays. Les ethnies noires qui ne s'entendent pas entre elles, ont pris le pouvoir et doucement remplacé l'appartheid par un autre régime favorisant leurs intérêts, notamment en mettant en place des quotas de recrutement dans toutes les entreprises en instaurant un minimum de personnel noir. On assiste donc impunément à un renversement de situation lent mais sûr, ce qui incite beaucoup de blancs à partir du pays, car l'insécurité physique et entrepreunariale deviennent de plus en plus grandes. Oh, de loin, on dirait du socialisme !
Rincevent Posté 12 juin 2010 Signaler Posté 12 juin 2010 Ash a dit : Tu devrais l'aimer pourtant, c'est aussi lui qui démolit les thèses afrocentristes propres à Dieudonné. Ah mais tu noteras que je ne l'ai pas démoli : connaissant son sujet sur le bout des doigts, il lui arrive de dire des choses justes. Mais pas tout le temps.
ShoTo Posté 13 juin 2010 Signaler Posté 13 juin 2010 Le livre dont il parle dans la vidéo c'est Histoire de l'Afrique du Sud : de l'Antiquité à nos jours ? Parce qu'il date de 1986…
free jazz Posté 15 juin 2010 Signaler Posté 15 juin 2010 Rincevent a dit : Et puis, bon, Lugan… Après les nouveaux historiens israëliens disqualifiés parce que pas assez sionistes, voilà le tour de Lugan, sans doute pas assez libéralement correct. D'autant qu'on peut difficilement adresser le reproche de subjectivisme à Lugan dont la marque de fabrique est la tentative d'inscrire les études africaines du côté quantitatif, de la durée, des faits, des populations et de la géographie, contre la captation marxiste et tiers-mondiste en vogue dans cette discipline. En l'occurence, mise à part la nostalgie des Bantoustans, il a raison sur toute la ligne : le symbole de la révolution arc-en-ciel de Mandela s'est soldé par un échec cuisant. Une oligarchie racialiste, celle de l'ANC, a remplacé la précédente, celle des Afrikaners, qui malgré la ségrégation, constituait le moteur économique du pays. En y ajoutant la corruption d'un parti démago et néo-marxiste qui a fait de l'expropriation des fermiers blancs le mot d'ordre de sa réforme agraire, d'où résulte un immense gâchis. La criminalité explose au point que l'Afrique du Sud soit devenu un des pays les plus dangereux du monde qui fait les beaux jours des compagnies de sécurité privées, où les blancs sont obligés de vivre dans des camps retranchés. Enfin cette coupe du monde s'annonce comme un cuisant échec commercial et l'Afrique du Sud ne s'en relèvera pas, tout comme la Grèce ne s'est jamais remise des Jeux olympiques d'Athènes. Citation Afrique du Sud : le gâchis des terres restituées aux NoirsLe gouvernement ANC s’est rendu à l’évidence : la réforme agraire est un échec. Il a ainsi renoncé à son objectif de redistribuer un tiers des surfaces arables aux Noirs d’ici à 2014. Reportage dans la province du Limpopo. Etienne Cannaerts, un Belge de 61 ans installé depuis six ans à Lephalale (province du Limpopo, nord de l’Afrique du Sud), avait-il été séduit par la beauté du paysage ? On ne le saura jamais. Le 26 janvier, il a été kidnappé sur sa ferme, ligoté et égorgé. Depuis le début de l’année, trois fermiers blancs sont tués chaque semaine en Afrique du Sud. «Depuis la fin de l’apartheid, cela fait 3367 morts», affirme Théo De Jager, le vice-président du syndicat Agri SA. Proies faciles en raison de leur isolement, les fermiers sont, après les policiers, les premières victimes de l’effroyable criminalité dans le pays. Le 8 mars, le ministre de la Police, Nathi Mthethwa, s’est engagé à renforcer la lutte contre «ces meurtres insensés, qui ne sont ni politiques, ni racistes» [sic]. Ce n’est pas l’avis des 38 000 fermiers blancs, qui ont l’impression de vivre en état de siège. «Chaque fois qu’une ferme est revendiquée par des Noirs, les agressions augmentent. Et certains hommes politiques jettent de l’huile sur le feu», dénonce Théo De Jager. Le très controversé président des Jeunes de l’ANC, Julius Malema, a ainsi entonné deux fois, ces derniers jours, la chanson de son prédécesseur, Peter Mokaba, « Tuez le boer! Tuez le fermier ». Un slogan pourtant condamné comme «incitation à la haine» par la Commission sud-africaine des droits de l’homme. "Tuez le Boer !!! Tuez le fermier" Une guerre de basse intensité se joue dans les vallées verdoyantes du Limpopo. Autour de la bourgade de Tzaneen, les «montagnes du dragon» (Drakensberg) surplombent des plantations d’agrumes, mangues, litchis, papayes et avocats. Toutes ces fermes prospères, qui exportent vers l’Europe, font l’objet de demandes de restitution des communautés noires chassées par les colons blancs. Depuis la fin de l’apartheid, le gouvernement a racheté près de 6 millions d’hectares au prix du marché : les Noirs contrôlent aujourd’hui 20% des terres arables du pays, contre 13% en 1994. Ancien conseiller en sécurité du président PW Botha, Théo De Jager a revendu en 2006 sa plantation de mangues. Cet homme au physique de rugbyman, qui ne cesse de sourire comme pour conjurer les épreuves à venir, ne retourne pas de gaieté de cœur dans son ancien domaine. Les manguiers sont desséchés, attaqués par un insecte. Il ne faudra pas longtemps pour que les arbres soient abattus et revendus comme bois de chauffe. Simon Mmola, un ancien ouvrier agricole en salopette verte trouée, est devenu le manager. Il montre l’ancienne maison de Théo, le hangar et le local des pompes à eau : des bâtiments aujourd’hui vides. Tout le matériel agricole a disparu. En plus des manguiers, Théo irriguait 18 hectares de cultures et employait 86 personnes. Simon Mmola et ses six employés cultivent à peine un demi-hectare, grâce aux quelques tuyaux d’irrigation qui n’ont pas été volés. Quant à la nouvelle ferme de Théo De Jager, elle est soumise à trois demandes de restitution. «Le gouvernement donne les fermes à des gens pauvres, qui n’ont pas forcément envie de faire de l’agriculture. Alors ils revendent tout ce qu’ils peuvent», explique Whiskey Kgabo, le regard grave. En 1992, ce fermier noir jadis prospère avait acheté une exploitation, grâce à l’aide du gouvernement d’apartheid. En 2005, il a été forcé de la revendre. «Mais je n’ai reçu que la moitié du prix convenu. Je me retrouve sur la paille à cause de l’ANC !» Le gouvernement a reconnu, le mois dernier, son échec : selon le ministre du Développement rural, Gugile Nkwinti, «plus de 90% des fermes (restituées à des communautés noires) ne sont plus productives». Il en est en grande partie responsable : l’aide financière et technique aux fermiers noirs arrive, en moyenne, avec trois ans de retard. La réforme agraire est aussi gangrenée par la corruption. Du coup, le gouvernement a renoncé à son objectif de redistribuer 30% des terres aux Noirs d’ici à 2014. Dans une vallée proche de Tzaneen, le planteur Alan Davson s’apprête à plier bagage. Quand il partira, il fermera l’usine de fruits séchés et de jus de fruit, qui employait 60 femmes noires des environs. Au gré des troubles politiques, Alan a vécu successivement au Kenya, en Zambie, au Zimbabwe et en Afrique du Sud : cette fois, il a décidé de jeter définitivement l’éponge. http://www.letemps.ch/Page/Uuid/e4e21d60-3…%a9es_aux_Noirs
Rincevent Posté 15 juin 2010 Signaler Posté 15 juin 2010 free jazz a dit : En l'occurence, mise à part la nostalgie des Bantoustans, il a raison sur toute la ligne : le symbole de la révolution arc-en-ciel de Mandela s'est soldé par un échec cuisant. Ah mais moi aussi, je pense qu'il à raison dans l'ensemble sur ce sujet précis. Mais la nostalgie du temps béni des bantoustans me reste en travers de la gorge.
Invité jabial Posté 15 juin 2010 Signaler Posté 15 juin 2010 L'oppression par la majorité est plus stable que l'oppression par la minorité, c'est pour ça que la démocratie ça marche dans le monde réel. Ce n'est qu'une façon comme une autre de prendre acte de la loi du plus fort. La nation arc-en-ciel n'est pas le problème. Le problème ce sont les énormes différences de niveau de vie. Les blancs pauvres qui vivent dans des caravanes (vu à la télé) n'ont pas besoin de camps retranchés. Dans la vraie vie, quand on a plus de mille fois ce qu'ont les gens qui vivent à moins d'un kilomètre, on a besoin d'une sécurité importante. Et oui, c'est le cas même dans les pays développés, simplement les gens concernés ne vivent pas ensemble.
Nono Posté 15 juin 2010 Signaler Posté 15 juin 2010 jabial a dit : La nation arc-en-ciel n'est pas le problème. Le problème ce sont les énormes différences de niveau de vie. Les blancs pauvres qui vivent dans des caravanes (vu à la télé) n'ont pas besoin de camps retranchés. Ou plutôt, n'en ont pas les moyens. Vu aussi à la télé, le fait que la criminalité ne touche pas que les riches blancs, avec notamment les patrouilles citoyennes organisées par les habitants des Townships excédés.
Tremendo Posté 15 juin 2010 Signaler Posté 15 juin 2010 jabial a dit : L'oppression par la majorité est plus stable que l'oppression par la minorité, c'est pour ça que la démocratie ça marche dans le monde réel. Ce n'est qu'une façon comme une autre de prendre acte de la loi du plus fort. Pourtant il y a davantage d'instabilité actuellement qu'il y a 20 ans. jabial a dit : La nation arc-en-ciel n'est pas le problème. Le problème ce sont les énormes différences de niveau de vie. Les deux sont liés, c'est l'idéologie arc-en-ciel qui a accrû les inégalités et poussé beaucoup de blancs à déguerpir du pays, appauvrissant le pays au passage. jabial a dit : Dans la vraie vie, quand on a plus de mille fois ce qu'ont les gens qui vivent à moins d'un kilomètre, on a besoin d'une sécurité importante. Eh bien ce théorème n'est pas prouvé à tous les coups dans la vie réelle loin de là, de nombreux exemples existent dans le monde de coexistence à quelques kilomètres près entre riches et pauvres et où la violence n'atteint pas des sommets. La violence vient des appels subliminaux du pouvoir et de la passivité des forces de police complètement corrompues.
free jazz Posté 15 juin 2010 Signaler Posté 15 juin 2010 Rincevent a dit : Ah mais moi aussi, je pense qu'il à raison dans l'ensemble sur ce sujet précis. Mais la nostalgie du temps béni des bantoustans me reste en travers de la gorge. Dans ce cas je ne comprends pas pourquoi ce même dégoût ne te noue pas la gorge lorsqu'Israël crée des Bantoustans dans la Palestine mandataire, en instaurant un régime d'apartheid (séparation éthnique et territoriale) similaire à celui qui prévalait en Afrique du Sud. De plus je me demande si Lugan n'a pas aussi raison lorsqu'il explique que les bonnes frontières font les bons voisins et que seule une confédération d'entités politiques séparées, certes sur la base d'Etats de droit, pourrait établir la paix civile entre les différentes ethnies et rétablir la prospérité économique en Afrique du Sud. Finalement la création de Bantoustans autonomes n'est-elle pas de ce point de vue la solution la plus compatible avec la philosophie libertarienne du chacun chez soi? Je précise que c'est une vraie question qui pourrait trouver des applications dans certaines de nos banlieues.
Nono Posté 15 juin 2010 Signaler Posté 15 juin 2010 free jazz a dit : Finalement la création de Bantoustans autonomes n'est-elle pas de ce point de vue la solution la plus compatible avec la philosophie libertarienne du chacun chez soi? Je précise que c'est une vraie question qui pourrait trouver des applications dans certaines de nos banlieues. Disons que le vrai problèmes des bantoustans, c'était qu'il s'agissait d'états in-name-only et d'entités politiques absolument non-viables. Une image vaut plus qu'un long discours : D'ailleurs, dans son interview, Lugan ne fait pas l'apologie des bantoustans. Il rappelle que les Afrikaners ont voulu le beurre, l'argent du beurre et ont tout perdu.
free jazz Posté 15 juin 2010 Signaler Posté 15 juin 2010 Nono a dit : Disons que le vrai problèmes des bantoustans, c'était qu'il s'agissait d'états in-name-only et d'entités politiques absolument non-viables. Une image vaut plus qu'un long discours : D'ailleurs, dans son interview, Lugan ne fait pas l'apologie des bantoustans. Il rappelle que les Afrikaners ont voulu le beurre, l'argent du beurre et ont tout perdu. Ces simulacres étant une image du péché colonial originel, avec sa mystique Afrikaner, sa volonté de contrôler l'économie locale en y décourageant le développement et l'esprit d'initiative individuel. Le propos de Lugan, promoteur des nations séparées parce qu'adversaire farouche de la colonisation, suggère que cette mentalité coloniale, traduite par une politique restrictive de harcèlement et de ségrégation, a détruit l'esprit libertarien et individualiste des propriétaires libres et des paysans néerlandais. A vouloir le beurre et l'argent du beurre, ils ont finalement tout perdu, politiquement et bientôt économiquement. Citation Vie des populations Les conditions de vie dans les bantoustans étaient particulièrement rudes : l'extrême pauvreté des populations noires était aggravée par la politique des bantoustans et par le fait que les frontières excluaient les meilleures terres et les industries des bantoustans. Le chômage était très répandu et les seuls vrais revenus provenaient des casinos et des spectacles de striptease, interdits en Afrique du Sud car jugés immoraux. De véritables villes du loisirs se construisirent, telle Sun City dans le Bophuthatswana, constituant une source de revenus très lucrative aux mains de l'élite noire. La pauvreté et le manque de ressources des bantoustans obligeaient le gouvernement sud-africain à maintenir à flot l'économie des bantoustans. Ainsi, en 1985, 85 % des revenus du Transkei étaient constitués par des subventions venant d'Afrique du Sud. Les gouvernements des bantoustans étaient généralement corrompus et très peu d'argent parvenait aux populations les plus pauvres, alors obligées de chercher du travail dans les zones blanches en tant que travailleur immigré. Ce sort fut celui de millions de personnes qui travaillaient pendant des mois loin de chez eux sans voir leur famille. 65 % de la population du Bophuthatswana était dans ce cas de figure. http://fr.wikipedia.org/wiki/Bantoustan
Rincevent Posté 15 juin 2010 Signaler Posté 15 juin 2010 free jazz a dit : De plus je me demande si Lugan n'a pas aussi raison lorsqu'il explique que les bonnes frontières font les bons voisins et que seule une confédération d'entités politiques séparées, certes sur la base d'Etats de droit, pourrait établir la paix civile entre les différentes ethnies et rétablir la prospérité économique en Afrique du Sud. Jabotinsky ne parlait pas d'autre chose avec son Mur de Fer.
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