Tremendo Posté 16 juin 2010 Signaler Posté 16 juin 2010 Bien sûr que non. On croyait aussi que la libéralisation de la contraception permettrait de faire diminuer le nombre d'avortements. Or, cela n'a pas été le cas, car c'était toujours la même logique déshumanisante, déresponsabilisante qui était à l'oeuvre. La libéralisation de la contraception? J'aurais dit autorisation pour utiliser certains moyens contraceptifs. Ceux-ci ont effectivement eu des conséquences sur les naissances, elles ont baissé, mais cela va bien dans le même sens que l'avortement qui réduit aussi le nombre de naissances. Pas vraiment, tu oublies une question importante : qui du droit de harponner le foetus-passager-clandestin-parasite indésirable avec une aiguille à tricoter? Strawman éhonté, 2P2M, wishful thinking et attaque ad hominem en même temps, tu fais fort!!
Invité Posté 16 juin 2010 Signaler Posté 16 juin 2010 Attends. Il y a aussi le coïtus interruptus, la vasectomie, la castration… Tu vois : un monde de possibilités nouvelles s'offre à toi. J'te booke un rendez-vous avec le Dr. Mamba, qui s'occupe justement de ça ? Non ? Si castrer les politiciens incite les would-be-politician à plutôt trouver un vrai job, et empêche ceux qui préfèraient quand même faire de la politique de se reproduire, je suis preneur.
Brock Posté 16 juin 2010 Signaler Posté 16 juin 2010 Pas vraiment, tu oublies une question importante : qui du droit de harponner le foetus-passager-clandestin-parasite indésirable avec une aiguille à tricoter? ca ne fait pas l'affaire, il faut un petit crochet au bout comme sur un vrai harpon, je propose le degorgeoir a requin.
Tremendo Posté 16 juin 2010 Signaler Posté 16 juin 2010 et les parents, ainsi que les grands parents dans certains cas, comme celui d'Aubry. N'oublions pas que son père était Jacques Delors, donc effectivement il faut remonter aux grands-parents aussi d'urgence. Il faut avorter des vieux avant qu'ils naissent.
Tremendo Posté 16 juin 2010 Signaler Posté 16 juin 2010 il y a une faute a 'cervelle' dans ta sig Elle n'est pas de moi elle est de son auteur Leepose. J'ai voulu restituer la citation telle quelle
TODA Posté 16 juin 2010 Signaler Posté 16 juin 2010 Vala, plus rien à ajouter, il suffit d'assumer les conséquences éventuelles de relations sexuelles, protégées ou non.Le reste est du strawman, être contre l'avortement n'implique pas que les parents élèvent le gamin, ils peuvent le faire adopter pour « trouver un foyer aimant » comme tu dis. Faudrait demander à Timur, il a toujours des idées innovantes sur plein de sujets. dans la vraie vie, à une période de leur vie, les enfants adoptés , conçus grâce à des donneurs, etc….veulent très souvent connaître leurs origines génétiques… Nous vivons à l'ère des bébés éprouvettes, du décryptage du génome humain, de l'avortement et de la contraception, des mères porteuses et des parents homos….Nous perdons nos "repères naturels", nous sommes confrontés à des situations humaines inimaginables voilà encore quelques décennies les problèmes se complexifient, et à mon humble avis, cela ne rends que plus pertinent le principe libéral de subsidiarité: C'est aux personnes concernées par les conséquences d'un choix de l'effectuer, pas à une autorité arbitraire quelconque… à notre époque, les conséquences éventuelles de relations sexuelles, protégées ou non., cela comprends aussi l'option avoir à faire le choix,d' un avortement ou pas… heureusement,les options: je me suicide car j'ai déshonoré ma famille, je répare et j'épouse, ,je m'engage chez les paras ou je me fais descendre par le frère…sont de moins en moins usitées … même les "bases "de l'abandon sous X sont ébranlées( anonymat)… Désolée de vous enquiquiner, mais oui, à mon avis, le problème de l'avortement mériterai lui aussi une réflexion renouvelée sur des bases "libérales"…et non étatistes….minimum de législations, surtout en ce domaine! pour réfléchir, un paradoxe: J'ai été une fois confrontée à un choix très douloureux…un jeune couple d'étudiants musulmans, issus de familles très pratiquantes, ont du avorter de leur premier enfant , conçu avant leur mariage….ils sont toujours ensemble, ont fini leurs études, sont installés, ont des enfants qui font la joie de leurs familles respectives…. ils étaient cousins lointains, engagés( fiancés) l'un envers l'autre depuis leur plus jeune âge… Ils étaient tout à fait aptes à supporter le "scandale", le courroux de leurs familles se sentant trahies de les avoir laissé partir faire des études en France….de toutes façons,vu la situation politique de leur pays , eux savaient qu'ils ne rentreraient pas , et vivraient à l'occidentale….seulement, plus aucune jeune fille n'aurait pu venir étudier en Europe pour de longues années…
Johnnieboy Posté 16 juin 2010 Signaler Posté 16 juin 2010 dans la vraie vie, à une période de leur vie, les enfants adoptés , conçus grâce à des donneurs, etc….veulent très souvent connaître leurs origines génétiques…Nous vivons à l'ère des bébés éprouvettes, du décryptage du génome humain, de l'avortement et de la contraception, des mères porteuses et des parents homos….Nous perdons nos "repères naturels", nous sommes confrontés à des situations humaines inimaginables voilà encore quelques décennies les problèmes se complexifient, et à mon humble avis, cela ne rends que plus pertinent le principe libéral de subsidiarité: C'est aux personnes concernées par les conséquences d'un choix de l'effectuer, pas à une autorité arbitraire quelconque… à notre époque, les conséquences éventuelles de relations sexuelles, protégées ou non., cela comprends aussi l'option avoir à faire le choix,d' un avortement ou pas… heureusement,les options: je me suicide car j'ai déshonoré ma famille, je répare et j'épouse, ,je m'engage chez les paras ou je me fais descendre par le frère…sont de moins en moins usitées … même les "bases "de l'abandon sous X sont ébranlées( anonymat)… Désolée de vous enquiquiner, mais oui, à mon avis, le problème de l'avortement mériterai lui aussi une réflexion renouvelée sur des bases "libérales"…et non étatistes….minimum de législations, surtout en ce domaine! pour réfléchir, un paradoxe: J'ai été une fois confrontée à un choix très douloureux…un jeune couple d'étudiants musulmans, issus de familles très pratiquantes, ont du avorter de leur premier enfant , conçu avant leur mariage….ils sont toujours ensemble, ont fini leurs études, sont installés, ont des enfants qui font la joie de leurs familles respectives…. ils étaient cousins lointains, engagés( fiancés) l'un envers l'autre depuis leur plus jeune âge… Ils étaient tout à fait aptes à supporter le "scandale", le courroux de leurs familles se sentant trahies de les avoir laissé partir faire des études en France….de toutes façons,vu la situation politique de leur pays , eux savaient qu'ils ne rentreraient pas , et vivraient à l'occidentale….seulement, plus aucune jeune fille n'aurait pu venir étudier en Europe pour de longues années… C'est sûr que depuis, les mariages sont beaucoup plus stables qu'avant.
aludosan Posté 16 juin 2010 Signaler Posté 16 juin 2010 De toute façon, quand ils ont commencé à regarder les simpson, il est beaucoup trop tard pour décider d'avorter! Ah bon ?
Brock Posté 16 juin 2010 Signaler Posté 16 juin 2010 heureusement,les options: je me suicide car j'ai déshonoré ma famille, je répare et j'épouse, ,je m'engage chez les paras ou je me fais descendre par le frère…sont de moins en moins usitées … C'est sûr que depuis, les mariages sont beaucoup plus stables qu'avant. euh excuse moi mais la stabilite des mariages, en regard de ce que Toda cite, on s'en contrefout.De toute facon avec ou sans avortement la culture moderne ne favorise ni la perseverance ni la responsabilite.
Johnnieboy Posté 16 juin 2010 Signaler Posté 16 juin 2010 euh excuse moi mais la stabilite des mariages, en regard de ce que Toda cite, on s'en contrefout.De toute facon avec ou sans avortement la culture moderne ne favorise ni la perseverance ni la responsabilite. Pourtant, elle sous-entend qu'il y aurait un mieux de ce côté-la puisqu'on a "plus le choix".
TODA Posté 16 juin 2010 Signaler Posté 16 juin 2010 pas mieux, pas plus mauvais, ni bien, ni mal…. Plus de possibilités, Plus de choix Donc , en effet, plus de risques de faire des conneries… moi, je dis juste pour l'éducation de mes fillottes, encore plus faire gaffe à leur ouverture d'esprit… plus elles feront leurs propres choix en connaissance de cause, mieux cela vaudra… Les horreurs de la morale bourgeoise XVIIIIème, cantonnées à la bibliothèque, dans les oeuvres de Barbey d'Aurevilly ou de Maupassant…
Brock Posté 16 juin 2010 Signaler Posté 16 juin 2010 Pourtant, elle sous-entend qu'il y aurait un mieux de ce côté-la puisqu'on a "plus le choix". il y a clairement un mieux dans la mesure ou il est liberal-casher de privilegier la liberte de la responsabilite a une contrainte externe par la force. Il est seulement dommage que la responsabilite necessaire aux choix individuels sains ne soit pas valorisee dans notre societe, ce qui revient a ce que j'ai deja dit. Le probleme n'est pas d'avoir le choix mais bien d'avoir les outils pour s'en servir. De toute facon je prefererais toujours la morale fonctionnelle de TODA-qui-s-y-colle aux theories conservatrices parfois promptes au "y-a-qu'a".
Johnnieboy Posté 16 juin 2010 Signaler Posté 16 juin 2010 pas mieux, pas plus mauvais,ni bien, ni mal…. Plus de possibilités, Plus de choix Donc , en effet, plus de risques de faire des conneries… moi, je dis juste pour l'éducation de mes fillottes, encore plus faire gaffe à leur ouverture d'esprit… plus elles feront leurs propres choix en connaissance de cause, mieux cela vaudra… Les horreurs de la morale bourgeoise XVIIIIème, cantonnées à la bibliothèque, dans les oeuvres de Barbey d'Aurevilly ou de Maupassant… On devrait donc considérer comme un bien un acte qui n'apporte rien de mieux alors qu'il devrait être considéré, avec humilité, comme un meurtre ? Et ça n'a rien a voir mais la morale bourgeoise et Barbey d'Aurevilly ou Maupassant, ça fait deux.
TODA Posté 16 juin 2010 Signaler Posté 16 juin 2010 Il ne peut pas y avoir deux poids, deux mesures. Ou bien c’est l’Etat qui décide pour l’individu, ou bien c’est l’individu qui décide pour lui-même dans le cadre de la loi.Mais aujourd’hui, la législation sur l’IVG est, selon certains juristes, tout au plus une "tolérance" et non un "droit". Le mépris rencontré par les femmes auprès de certains médecins, et par les médecins qui travaillent dans les centres d’IVG témoignent d’une conception ( !) de la liberté qui remonte au XIXe siècle. Si l’on veut que les femmes ne recourent pas à l’IVG il est indispensable - 1° de leur donner accès à la contraception ; or, il suffit de surfer sur les sites de forums féminins pour voir à quel point beaucoup de femmes sont sous-informées sur le sujet - 2° de faire en sorte que les IVG soient pratiquées dans les meilleures conditions possibles afin, justement, de ne stigmatiser personne et d’assurer, en plus de l’IVG, l’accompagnement nécessaire qui leur permettra de ne plus y avoir recours. Pour cela, il faut des professionnels de santé bien formés et bien payés. Médecins, sage-femmes, infirmières, assistantes sociales, etc. On est malheureusement loin du compte. Pour un pays qui se dit démocratique, il y a encore du travail à faire. Martin WInckler Ou bien c’est l’Etat qui décide pour l’individu, ou bien c’est l’individu qui décide pour lui-même dans le cadre de la loi.
Johnnieboy Posté 16 juin 2010 Signaler Posté 16 juin 2010 Vous noterez qu'a aucun moment je n'ai parlé d'intervention étatique. Si on pouvait déja considérer l'avortement comme une chose grave et immorale, on aura déja fait un pas de géant.
Brock Posté 16 juin 2010 Signaler Posté 16 juin 2010 une chose grave et immorale, on aura déja fait un pas de géant. ah bon, dans quel sens?
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