philippulus Posté 23 juin 2010 Signaler Posté 23 juin 2010 Vous pensez quoi de cette information (fichier ppt à télécharger). Si cela se confirme, c'est un article explosif à poster sur Contrepoints.
Tremendo Posté 23 juin 2010 Signaler Posté 23 juin 2010 Ou avais-je la tête ? Dans le cul? Cette information demande confirmation et peut-être un article contrepoints moi je dis.
José Posté 23 juin 2010 Signaler Posté 23 juin 2010 …peut-être un article contrepoints moi je dis. C'est malheureusement plutôt vieux comme info : 2007. http://fr.altermedia.info/general/le-parac…ites_10569.html Si cela se confirme… Il semble que non : Cette information n’est pas tout à fait exacte ni tout à fait nouvelle:La mesure à laquelle vous faites référence a été prise par arrêté du Bureau de l’Assemblée nationale en octobre 2003. Elle prévoit que les députés, qui ne seront pas réélus aux élections législatives le 17 juin, pourront bénéficier pendant cinq ans d’une indemnité dégressive, financée par une cotisation spécifique créée à cet effet et payée par les députés. Auparavant, ces derniers se voyaient assurés de percevoir pendant six mois l’équivalent de leur indemnité de base, soit 5400,32 euros brut, s’ils ne retrouvaient pas toute de suite une activité. S’ils avaient d’autres mandats ou d’autres revenus, l’Assemblée ne versait que la différence entre ces sommes et l’indemnité. En 2003, le Bureau de l’Assemblée nationale a décidé de changer les règles : les six premiers mois restent identiques. Le deuxième semestre, les députés percevront l’équivalent de 70% de l’indemnité de base, 50% au quatrième semestre, soit deux ans après. Ensuite, pendant six semestres (soit trois ans), le niveau baisse de 5% tous les semestres jusqu’à 20% de l’indemnité de base, soit 1080 euros brut. Bien évidemment, les autres mandats et/ou revenus continuent d’être pris en compte sur toute cette période. Une cotisation des députés de 0,5% de leur indemnité de base a été créée au même moment pour financer ce système. Ni en catimini, ni juste avant de quitter l’assemblée ! http://fr.altermedia.info/general/le-parac…ml#comment-1201 Allocation d'aide au retour à l'emploiL'allocation d'aide au retour à l'emploi (AARE), est un dispositif spécifique d'assurance chômage à l'instar de ce qui existe pour les salariés du secteur privé, les députés ne relevant pas, en effet, du régime des Assedic. Ce dispositif d'allocation comporte quatre caractéristiques : L'allocation est versée aux anciens députés sans emploi et à eux seuls, cela en application des décisions prises en 2003 et précisées en 2007, L'allocation repose sur le principe de solidarité entre les députés. Le dispositif est financé par une cotisation – 0,5 % de l'indemnité parlementaire de base – prélevée chaque mois à cet effet sur l'indemnité parlementaire des députés en fonction et reversée au Fonds de garantie de ressources des anciens députés. L'allocation est temporaire et dégressive. L'allocation est versée pendant une durée maximum de 3 ans. Le montant du plafond représente 100 % de l'indemnité parlementaire de base pendant les 6 premiers mois, 70 % pendant le 2ème semestre, 50 % pendant le 3ème semestre, 40 % pendant le 4ème semestre, 30 % pendant le 5ème semestre, puis 20 % pendant le dernier semestre. L'allocation est différentielle. L'allocation est égale à la différence entre un pourcentage - dégressif dans le temps - de l'indemnité parlementaire et le total des ressources personnelles de l'allocataire. Les indemnités liées à l'exercice de fonctions ou de mandats locaux, comme les autres revenus de quelque nature qu'ils soient, sont ainsi déduits du montant de l'allocation. http://www.assemblee-nationale.fr/connaissance/indemnite.asp
Lameador Posté 23 juin 2010 Signaler Posté 23 juin 2010 Ou est le problème ? Un député est un individu souvent assez talentueux qui abandonne sa carrière pour le haserd d'une élection, qu'il peut gagner ou perdre. Et ensuite, il risque de ne pas être RE-élue Face à cette situation, les concurrents sont très inégaux * Pour les gens issus de la sphère publqiue, aucun problème, ils retrouvent leur poste à l'issue de leur mandat * Pour les professions libérales (comme avocat, médecin ou avocat) ou les rentiers, il est possible de reprendre son ancienne activité avec une période d eréadaptation plus ou moins simple * Pour d'hypothétiques salariés/ouvriers/…. l'interruption de carrière occasionne un préjudice professionnel grave, qui se retrouve partiellement indemnisé. Avec environ 1% de députés (à 1% près) salariés du secteur privé marchand (i.e hors associatifs/permanents syndicaux), il me semble que cette mesure va plutôt dans le bon sens. L'alternative étant que les députés organisent leur "recasage" au frais du cotnribuable "à la Christine Boutin"
José Posté 23 juin 2010 Signaler Posté 23 juin 2010 Ou est le problème ? Le problème est que c'est déjà une perversion du système que de payer des députés pour siéger. Alors les payer encore 3 ans après qu'ils siègent, c'est le moquage de figure complet. Un député est un individu souvent assez talentueux qui abandonne sa carrière…
Invité Posté 23 juin 2010 Signaler Posté 23 juin 2010 L'alternative étant que les députés organisent leur "recasage" au frais du cotnribuable "à la Christine Boutin" Wahou, dans tous les cas, les deputes spolient tout le monde pour un rien. Super. nan franchement, je prefere encore qu'ils se cassent a faire pondre un rapport par des stagiaires pour justifier leurs milliers d'euro mensuels plutot que d'utiliser l'excuse : bah j'ai rate les elections, je vais devoir reprendre ma talentueuse carriere dans le prive. Alors payez moi a rien foutre ou plutot payons nous (les deputes) nous-meme a ne rien faire, ce sera plus simple que de chercher un vrai job ou pondre un rapport pipo
Tremendo Posté 23 juin 2010 Signaler Posté 23 juin 2010 Un député est un individu souvent assez talentueux qui abandonne sa carrière pour le haserd d'une élection, qu'il peut gagner ou perdre. Et ensuite, il risque de ne pas être RE-élue Oui euh enfin, quand on est député, c'est pour se dévouer gratuitement, servir et pas se servir. J'aimerais savoir réellement combien de députés sont chômeurs après leur mandat? Quand ils ne sont plus députés, les types ont quasi tous déjà un job assuré dans une commission théodule, généralement ils sont réélus réélus quelques mois après à la tête d'autre chose, peuvent occupent un poste rémunéré dans leur parti politique, ou s'en vont faire carrière dans le privé, donc je ne vais pas pleurer pour eux.
Alxandr Posté 27 juin 2010 Signaler Posté 27 juin 2010 Je me souviens d'une interview télévisée de Mélanchon, au cours de laquelle quelque journaliste a eu le malheur d'évoquer les avantages de tous ordres dont bénéficient députés et sénateurs (avantages assez peu "front de gauchement corrects" dirons-nous). Mélanchon a alors démarré au quart de tour, élevant (encore plus) la voix, et balayant la question d'un génial "ah eh bien avec cette présidence bling bling, il ne manquait plus que votre anti-parlementarisme !". La journaliste est immédiatement repartie se cacher dans ses questions de bon ton (les soucis internes au PS et le dernier scandale people à l'Elysée). Oui euh enfin, quand on est député, c'est pour se dévouer gratuitement, servir et pas se servir. J'aimerais savoir réellement combien de députés sont chômeurs après leur mandat? Quand ils ne sont plus députés, les types ont quasi tous déjà un job assuré dans une commission théodule, généralement ils sont réélus réélus quelques mois après à la tête d'autre chose, peuvent occupent un poste rémunéré dans leur parti politique, ou s'en vont faire carrière dans le privé, donc je ne vais pas pleurer pour eux. Et surtout, les précieux réseaux qu'ils se sont constitués leur offrent des carrières aussi lucratives que peu pénibles de consultants, intermédiaires, lobbyistes, ou tout à la fois, etc.
Théo31 Posté 27 juin 2010 Signaler Posté 27 juin 2010 J'aimerais savoir réellement combien de députés sont chômeurs après leur mandat? Une prostituée ne peut pas se retrouver au chômage.
Invité rogermila Posté 27 juin 2010 Signaler Posté 27 juin 2010 J'aimerais savoir réellement combien de députés sont chômeurs après leur mandat? Pratiquement aucun. Ceux qui viennent de la Fonction Publique ou assimilée ont leur poste qui est "gardé au chaud" aussi longtemps qu'ils restent députés et ils peuvent le reprendre s'ils sont battus aux élections. Dans le privé, il y a de nombreux dispositifs dans les conventions collectives de branches qui empêchent leur licenciement. Seuls ceux qui sont dans les professions libérales (médecins avocats etc…) ont, peut-être, plus de problèmes. En revanche, les "petits personnels" qui sont à leur service, comme les secrétaires-parlementaires et autres, sont mal lotis
José Posté 27 juin 2010 Signaler Posté 27 juin 2010 En revanche, les "petits personnels" qui sont à leur service, comme les secrétaires-parlementaires et autres, sont mal lotis… Tu vois, si j'avais le temps, je les plaindrais bien. Mais, là, je suis assez occupé.
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