jubal Posté 27 octobre 2010 Signaler Posté 27 octobre 2010 De plus je trouve plus motivant de se battre pour décrocher un 15, un 16 voire un 20/20 plutôt qu'une série de remarques laconiques très technocratiques avec "acquis" seulement. Quand je ramenais une note de ouf à un contrôle, j'étais impatient de pouvoir le dire à mes parents, ça marquait, ça flashait, j'avais des félicitations courtoises mais j'étais tranquille après, m'enfin… Oui la fierte qu'on a d'avoir un bon resultat peut etre tres stimulante, il ne faut pas enlever ca. Je ne sais pas quelle forme peut prendre la notation par competence au college, je ne l'ai vu appliquee qu'en maternelle ou en primaire. En primaire l'enfant est fier de montrer ses nouvelles competences a ses parents ("regarde je sais lire ca", "donne moi des soustractions a faire", etc.), mais au college ca se presente sans doute differemment.
jubal Posté 27 octobre 2010 Signaler Posté 27 octobre 2010 Donc nous sommes d'accord pour dire que ça n'a aucun intérêt : les travailleurs continueront de travailler, les glandeurs de glander, les mauvais de se planter. La cible du machin, ceux que ça pourrait vraiment aider, existe certainement, mais ils représentent une portion minuscule des élèves. Mon experience me dit l'inverse. Si ça a été bénéfique pour eux, c'est très bien. Mais ce n'est pas une raison pour souhaiter l'imposer à presque tout le monde. Je ne souhaite rien imposer a personne, on discute de ce qu'on pense etre un bon systeme de notation ou pas. Ca peut aider a choisir une bonne ecole pour ses enfants par exemple. De plus ce systeme n'a absolument pas besoin qu'on l'impose, il est choisi naturellement par de tres bonnes ecoles. Je pense par exemple a une ecole qui a ete fondee il y a 40 ans par sa directrice actuelle, qui est une lady anglaise royaliste qu'on peu tres difficilement qualifier de progressiste. Tient ca me fait penser que le systeme anglo-saxo n'a jamais utilise de note sur 20 il me semble (a verifier).
Tremendo Posté 27 octobre 2010 Signaler Posté 27 octobre 2010 Tient ca me fait penser que le systeme anglo-saxo n'a jamais utilise de note sur 20 il me semble (a verifier). C'est pas faux, A, B, C, D etc…
Hank Rearden Posté 27 octobre 2010 Signaler Posté 27 octobre 2010 Je dirais que c'est encore un truc fait au nom d'un égalitarisme qui ne dit pas son nom dans le but de gommer un peu les différences par une notation plus laxe (les fourchettes de notations seront larges, bien moins précises que la note); les meilleurs le paraitront un peu moins; les plus mauvais aussi. Un truc socialiste donc….A gerber donc….
POE Posté 27 octobre 2010 Signaler Posté 27 octobre 2010 En fait, ce sont deux systèmes de notation complémentaires, ils n'ont pas les mêmes fonctions, les mêmes effets. Les notes sur 20 sont un bon stimulant pour l'élève qui vise une certaine excellence ou pour faire un classement des élèves. L'autre notation me semble plus utile pour les élèves moyens ou mauvais qui ne savent pas trop dans quelle direction porter leurs efforts, ce qu'ils doivent travailler pour s'améliorer.
Tremendo Posté 27 octobre 2010 Signaler Posté 27 octobre 2010 En fait, ce sont deux systèmes de notation complémentaires, ils n'ont pas les mêmes fonctions, les mêmes effets.Les notes sur 20 sont un bon stimulant pour l'élève qui vise une certaine excellence ou pour faire un classement des élèves. L'autre notation me semble plus utile pour les élèves moyens ou mauvais qui ne savent pas trop dans quelle direction porter leurs efforts, ce qu'ils doivent travailler pour s'améliorer. +1, on pourrait en plus des notes normales, envoyer aux élèves et aux parents tous les mois ou tous les trimestres cet espèce de bilan complémentaire.
Lancelot Posté 27 octobre 2010 Signaler Posté 27 octobre 2010 Mon expérience me dit l'inverse. En primaire c'est tout à fait possible. D'ailleurs je ne me souviens pas avoir été noté sur 20 avant le CM2, et c'était justement pour nous préparer au collège. Je ne souhaite rien imposer a personne, on discute de ce qu'on pense être un bon système de notation ou pas. Ça peut aider à choisir une bonne école pour ses enfants par exemple. Oui, mais au final par le biais de l'éducation nationale ça se retrouvera bien imposé à presque tous. Ce qui me pose problème puisqu'à titre personnel je pense que c'est un des rares cas où le statu quo est satisfaisant (à défaut d'avoir une éducation libre bien entendu). Tiens, ça me fait penser que le système anglo-saxo n'a jamais utilisé de note sur 20 il me semble (à vérifier). Ça varie selon les pays, je crois que ce n'est pas le cas en Allemagne non plus. Mais ça reste quand même des systèmes de notation au même sens que nos notes sur 20. On pourrait en plus des notes normales, envoyer aux élèves et aux parents tous les mois ou tous les trimestres cet espèce de bilan complémentaire. C'est un travail qui est déjà fait dans les copies par les profs sérieux. Et les profs pas sérieux le feront de toute manière n'importe comment si on essaie de les y forcer.
Esperluette Posté 27 octobre 2010 Signaler Posté 27 octobre 2010 C'est un travail qui est déjà fait dans les copies par les profs sérieux. Et les profs pas sérieux le feront de toute manière n'importe comment si on essaie de les y forcer. Sans compter que ça ne fonctionne guère si les parents ne prennent pas le relai. Je ne sais pas comment ça se passait pour vous mais ma mère a oeuvré assidument dans le comité des PE pour ses mouflets et prenait spontanément des RV périodiques avec le personnel éducatif & administratif pour bavarder sur ses gamins jusqu'en terminale. Même en l'absence d'un problème apparent.
Tremendo Posté 27 octobre 2010 Signaler Posté 27 octobre 2010 Sans compter que ça ne fonctionne guère si les parents ne prennent pas le relai. C'est à mon avis le coeur du problème, sans suivi des parents, peu importe le système de notation, un gamin bête le restera et un gamin assidu le restera, même si des profs essaient de faire bouger les choses ponctuellement. D'autre part, le gamin doit avoir un but, une émulation, ramener un 20 à ses parents ça en jète plus qu'un "acquis". Ceci étant, pourquoi pas utiliser les deux systèmes en même temps au début pour tester.
Esperluette Posté 27 octobre 2010 Signaler Posté 27 octobre 2010 peu importe le système de notation, un gamin bête le restera et un gamin assidu le restera, même si des profs essaient de faire bouger les choses ponctuellement. Ce n'est pas forcément une question de bêtise ou d'assiduité. Je ne verrais pas le problème de systèmes de notation concurrentiels. Je connais un type qui a échoué lamentablement ses études jusqu'au bac (je ne sais même pas s'il l'a). Bête ? Il est maintenant chef d'entreprise et ses affaires tournent bien, il ne compte pas ses heures de boulot, il se démène et ça paie. Il n'était pas scolaire, voilà tout. Et des gens comme ça, j'imagine qu'on en connaît tous.
Tremendo Posté 27 octobre 2010 Signaler Posté 27 octobre 2010 Ce n'est pas forcément une question de bêtise ou d'assiduité. Je ne verrais pas le problème de systèmes de notation concurrentiels. De toute façon dans un contexte d'éducation libre, le problème ne se poserait pas, les parents jugeraient par eux-mêmes et le meilleur système de notation s'imposerait… c'est-à-dire que le système de notation actuel gagnerait Je connais un type qui a échoué lamentablement ses études jusqu'au bac (je ne sais même pas s'il l'a). Bête ? Il est maintenant chef d'entreprise et ses affaires tournent bien, il ne compte pas ses heures de boulot, il se démène et ça paie. Il n'était pas scolaire, voilà tout. Et des gens comme ça, j'imagine qu'on en connaît tous. Ah mais ça je ne dis pas, l'un n'empêche pas l'autre, j'ai peut-être été excessif en disant "bête" mais attention sorti de l'Ednat, lors des études supérieures on a changé déjà et on est plus à même de se prendre en charge sans papa et maman. Et puis en entreprises, plus rien à voir non plus avec la routine scolaire.
Groucho Marx Posté 27 octobre 2010 Signaler Posté 27 octobre 2010 La question soulève un point qui est intéressant: les décisions de "réformes" de l'EN sont en principe prisent pour améliorer la performance globale de notre système éducatif. L'objectif étant de former de plus en plus d'étudiants de mieux en mieux. (enfin je suppose). Il est quand même curieux que toutes ces pseudo-réformes ne remettent jamais en cause la compétence des enseignants, et l'implication des parents dans l'éducation. Donc à mes yeux, le changement de système de notation/évaluation des élèves est une ènième cautère sur une jambe de bois.
Yul Posté 27 octobre 2010 Signaler Posté 27 octobre 2010 La question soulève un point qui est intéressant: les décisions de "réformes" de l'EN sont en principe prisent pour améliorer la performance globale de notre système éducatif. L'objectif étant de former de plus en plus d'étudiants de mieux en mieux. (enfin je suppose). s'il s'agit depuis le début d'améliorer la performance globale du système éducatif, il est temps que tout le monde en son sein se remette gravement en question, moi je croyais qu'il s'agissait de le saboter au nom de la lutte des classes, et je dois admettre que là les objectifs ont été plus que dépassés. Il est quand même curieux que toutes ces pseudo-réformes ne remettent jamais en cause la compétence des enseignants, et l'implication des parents dans l'éducation. Donc à mes yeux, le changement de système de notation/évaluation des élèves est une ènième cautère sur une jambe de bois. et aussi casser le thermomètre, mettre la poussière sous le tapis, augmenter la dose de bureaucratie inhumaine (mais habillée de jolis smileys).
pilgrim Posté 27 octobre 2010 Signaler Posté 27 octobre 2010 J'ai de plus en plus l'impression qu'on est en train de faire une école pour les débiles. Si j'ai des enfants j'essayerai de les faire étudier à la maison.
Lancelot Posté 27 octobre 2010 Signaler Posté 27 octobre 2010 Je ne sais pas comment ça se passait pour vous mais ma mère a oeuvré assidument dans le comité des PE pour ses mouflets et prenait spontanément des RV périodiques avec le personnel éducatif & administratif pour bavarder sur ses gamins jusqu'en terminale. Même en l'absence d'un problème apparent. Eh ben… Chez moi nous prônions plutôt une saine distance entre les parents et le travail scolaire (sous réserve de résultats non alarmants bien entendu). Du genre très grande, la distance .
pilgrim Posté 27 octobre 2010 Signaler Posté 27 octobre 2010 Egalement mes parents n'ont jamais ouvert mon agenda (quand j'en avais), ni demandé un rdv aux profs et c'était moi qui signait les documents scolaires. C'était basé sur la confiance.
Roxxestar Posté 28 octobre 2010 Signaler Posté 28 octobre 2010 Faut dire que les notes c'est pas ce qu'il y a de meilleur non plus. Mais alors les smileys… J'attends bien de voir ça.
Invité Posté 28 octobre 2010 Signaler Posté 28 octobre 2010 ça revient au même, que soit dessiné un 0 ou un facepalm, un 18 ou un sourire… ça ne changera rien.
Tremendo Posté 28 octobre 2010 Signaler Posté 28 octobre 2010 ça revient au même, que soit dessiné un 0 ou un facepalm, un 18 ou un sourire… ça ne changera rien. Ah ce serait extraordinaire de se faire noter avec un facepalm ou un rolleyes apollonnien
Chitah Posté 20 novembre 2010 Signaler Posté 20 novembre 2010 Aujourd'hui, j'ai appris l'existence de la docimologie. La docimologie, l'étude des épreuves, est une discipline consacrée à l'étude du déroulement des évaluations en pédagogie.En 1922, Henri Piéron introduit le terme de docimologie, il le définira en 1951 par « l’étude systématique des examens (modes de notation, variabilité interindividuelle et intra-individuelle des examinateurs, facteurs subjectifs, etc.) ». Avec sa femme et Henri Laugier, il pose les fondements de cette nouvelle discipline avec l'« Étude critique de la valeur sélective du certificat d'études et comparaison de cet examen avec une épreuve par tests. Contribution à une docimastique rationnelle », présentée lors de la IVème Conférence Internationale de psychotechnique. Inspirée par la psychologie expérimentale et la physiologie, la docimologie apparait dans le sillage du mouvement de l'éducation nouvelle, en recherchant des arguments scientifiques permettant la remise en cause des schémas traditionnel d'enseignement.
Invité jabial Posté 20 novembre 2010 Signaler Posté 20 novembre 2010 Je trouve ça très bien de remplacer les notes par des smileys. In fine, on se dirige vers la nullité de l'enseignement public. C'est la politique du pire mais le résultat sera toujours plus de privé, jusqu'au jour où ça concernera 90% de la population, et ce jour là, le système public sera fini.
Lancelot Posté 20 novembre 2010 Signaler Posté 20 novembre 2010 la docimologie apparait dans le sillage du mouvement de l'éducation nouvelle, en recherchant des arguments scientifiques permettant la remise en cause des schémas traditionnel d'enseignement. J'adore la "nouvelle science" avec un agenda idéologique
Roxxestar Posté 20 novembre 2010 Signaler Posté 20 novembre 2010 Ceci dit, le système des notes actuel est déjà assez nul, pas besoin de smileys pour que l'Education Nationale montre ses faiblesses.
Tremendo Posté 20 novembre 2010 Signaler Posté 20 novembre 2010 In fine, on se dirige vers la nullité de l'enseignement public.C'est la politique du pire mais le résultat sera toujours plus de privé, jusqu'au jour où ça concernera 90% de la population, et ce jour là, le système public sera fini. In fine, l'éducation nationale mourra d'elle-même, un peu comme l'URSS, sous le poids de sa nullité, les élèves iront dans le privé de plus en plus jusqu'au jour où on se demandera si cela vaut le coup de garder un machin que plus personne ne fréquente.
Invité jabial Posté 20 novembre 2010 Signaler Posté 20 novembre 2010 Le pire dans cette histoire est qu'entre temps, les plus pauvres (hors marginaux) vont morfler car ils seront incapables de payer une école privée en plus de leurs impôts.
Tremendo Posté 20 novembre 2010 Signaler Posté 20 novembre 2010 Le pire dans cette histoire est qu'entre temps, les plus pauvres (hors marginaux) vont morfler car ils seront incapables de payer une école privée en plus de leurs impôts. C'est bien ça le problème, pas que les écoles privées puissent coûter cher, mais qu'il faille en plus payer des impôts pour l'éducation nationale, ceci étant ça arrête de moins en moins les parents puisque le nombre d'inscription dans le privé augmente d'année en année. Si une solution transitoire devait exister avant la privatisation totale de l'éducation, c'est bien celle consistant à supprimer la part d'impôt qui va à l'éducation nationale aux parents qui mettent leurs enfants dans le privé. Mais bon, on peut toujours rêver.
Jiplasse Posté 20 novembre 2010 Signaler Posté 20 novembre 2010 Si une solution transitoire devait exister avant la privatisation totale de l'éducation, c'est bien celle consistant à supprimer la part d'impôt qui va à l'éducation nationale aux parents qui mettent leurs enfants dans le privé. Mais bon, on peut toujours rêver. En France, l'immense majorité des écoles privés du primaire et du secondaire sont "sous contrat" avec l'Éducation Nationale et sont donc subventionnées, pas autant que les écoles publiques bien sur mais ca représente une partie importante de leur budget.
dracir Posté 26 novembre 2010 Signaler Posté 26 novembre 2010 En France, l'immense majorité des écoles privés du primaire et du secondaire sont "sous contrat" avec l'Éducation Nationale et sont donc subventionnées, pas autant que les écoles publiques bien sur mais ca représente une partie importante de leur budget. Bonjour, Concerné par la question en cette rentrée, j'ai du faire un petit tour des "boutiques" et.. je n'ai pas trouver d'écoles privée sous le joug contrat qui soit clairement différente de la glorieuse Ecole publique Française.. Alors je me suis renseigner, et en fait, je crois avoir compris que les écoles sous contrat sont hélas, comme c'est dit, Sous contrat, et quel contrat ! Les enseignants (pour ce qui me concerne, ce sont des écoles primaires qui m’intéressaient ) sont sortis des iufm ( traduire des centres nationaux de lavage de cerveaux en masse, nid de fonctionnaires "communistisé", de terroristes intellectuel, etc ) et sont payés directement par l' ED NAT, le directeur n'est pas leur directeur, quoi.. Ils doivent respecter la liberté totale des enseignants de faire ce qu'il savent et pense devoir faire, l' inspecteur de l'académie est leur seul angoisse guide ( le directeur n'est q'un chargé administratif, au mieux un disciplinaire, un chouette médiateur, organisateur de vacances d'hiver "hors du commun!!" .. Mais pour ce qui est de la pédagogie, ils doivent se plier à la mafia, l'omerta oppressante, les évaluations des inspecteurs de l’académie.. Directeurs comme professeurs..Affligeant. Je pense qu'on a moins de 0.05 % d'écoles hors contrat en France ( elle se font tabasser de charges, et peu de français ont les moyen intellectuel de voir qu'elle sont nécessaire pour leur rejetons, ET les moyen de sortir 10 000 euro par ans (parfois un peu moins mais quand même ) Voilà. c'est triste je trouve.
neuneu2k Posté 26 novembre 2010 Signaler Posté 26 novembre 2010 Voilà. c'est triste je trouve. Bonjour, ce que tu dit est vrai, mais exagéré, il y a tout de même une différence fondamentale, les enseignants du privé sous contrat ont choisi d'enseigner dans le privé plutôt que dans le public, ça n'est pas rien, de même, les parents ont choisi de mettre leurs enfants dans le privé plutôt que dans le public, ce qui implique qu'ils sont un chouia plus impliqués dans l'éducation de leurs enfants. Enfin, les écoles privées sont souvent confesionnelles, ce qui d'office élimine les pires gauchistes. Donc les principes sont les mêmes, mais les gens sont différents, et c'est les gens qui comptent le plus.
wpe Posté 26 novembre 2010 Signaler Posté 26 novembre 2010 C'est bien ça le problème, pas que les écoles privées puissent coûter cher, mais qu'il faille en plus payer des impôts pour l'éducation nationale, ceci étant ça arrête de moins en moins les parents puisque le nombre d'inscription dans le privé augmente d'année en année. Si une solution transitoire devait exister avant la privatisation totale de l'éducation, c'est bien celle consistant à supprimer la part d'impôt qui va à l'éducation nationale aux parents qui mettent leurs enfants dans le privé. Mais bon, on peut toujours rêver. En fait, l'Etat français serait encore plus vicieux : il supprimerait les écoles publiques tout en conservant la part d'impôt qui va à l'éducation nationale. La "cagnotte" (hinhin) ainsi générée servirait à alimenter le clientélisme politique jusqu'à ce que les caisses soient vides le pays soit revenu à son niveau abyssal d'endettement habituel. Ainsi, on se retrouverait dans la même situation qu'avec la vignette automobile, c'est à dire payer un impôt qui ne servirait à rien (oui je sais c'est déjà le cas actuellement).
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