Kevinz Posté 8 décembre 2010 Signaler Posté 8 décembre 2010 Mais alors : Anna Ardin, une des nanas qui dénoncent le mec qui a une gueule de vieille lesbienne, a travaillé à l\'ambassade suédoise de Buenos Aires, est kichneriste et vante le modèle national-socialiste argentin. La raie alitée dépasse l\'affliction.http://annaardin.wordpress.com/2010/10/28/…-leve-kirchner/ lol aussi, si l'on en croit les rumeurs parues un peu partout et qui sembleraient indiquer que l'une d'elle est une féministe qui "published a guide on how to get revenge on men and make them “suffer”. http://globalpoliticalawakening.blogspot.c…-operative.html While a research assistant at a local university she had not only been the protegee of a militant feminist academic, but held the post of ‘campus sexual equity officer’. Fighting male discrimination in all forms, including sexual harassment, was her forte. http://www.lewrockwell.com/spl2/wikileaks-sex-files.html
jubal Posté 8 décembre 2010 Signaler Posté 8 décembre 2010 Franchement, si c’est vrai, pour moi, il n’y a aucun doute, il y a viol. Si il ne l'a pas force, je vois pas pourquoi ca serait un viol. Elle a pris elle-meme la decision de continuer, elle pouvait aussi faire le choix d'arreter. Pourquoi est ce que la decision d'arreter la relation sexuelle devrait uniquement etre la responsabilite de l'homme ? La reponse feministe c'est "parceque c'est lui qui a le pouvoir moral sur la femme", mais bon …
neuneu2k Posté 8 décembre 2010 Signaler Posté 8 décembre 2010 Si il ne l'a pas force, je vois pas pourquoi ca serait un viol. Elle a pris elle-meme la decision de continuer, elle pouvait aussi faire le choix d'arreter. Si elle a dit non, c'est clair. Pourquoi est ce que la decision d'arreter la relation sexuelle devrait uniquement etre la responsabilite de l'homme ? Aucune raison, c'est totalement symétrique de mon point de vue, non ça veut dire non, stop ça veut dire stop, je ne m'intéresse pas aux organes de celui qui a dit stop. Soyons clairs, la situation en question n'est pas limpide du tout, je n'était pas la, je n'ai pas d'interet particulier pour les turpitudes de ces gens qui me semblent aussi pourris d'un coté que de l'autre, mais si la situation est réellement "la femme veut arrêter la relation, Assange refuse", il y a viol.
jubal Posté 8 décembre 2010 Signaler Posté 8 décembre 2010 mais si la situation est réellement "la femme veut arrêter la relation, Assange refuse", il y a viol. Mais ca se fait a deux ce genre de chose. Si elle voulait arreter, elle pouvait le faire. Elle n'avait pas besoin de demander a Assange d'arreter, elle pouvait arreter elle-meme. Je cois que le message du magistrat ici c'est qu'elle ne pouvait pas arreter car sous l'emprise mentale (la "domination") de l'Homme. (mais je suis comme toi, j'ai pas le detail de ce qui s'est passe)
Jaimepasmonpseudo Posté 8 décembre 2010 Signaler Posté 8 décembre 2010 Mais alors : Anna Ardin, une des nanas qui dénoncent le mec qui a une gueule de vieille lesbienne, a travaillé à l'ambassade suédoise de Buenos Aires, est kichneriste et vante le modèle national-socialiste argentin. La raie alitée dépasse l'affliction.http://annaardin.wordpress.com/2010/10/28/…-leve-kirchner/ Ba elle est plutôt pas mal :
Invité Arn0 Posté 8 décembre 2010 Signaler Posté 8 décembre 2010 C'est pas un peu déplacé de donner le nom et d'afficher la photo d'une femme qui se plaint d'un viol ? Le culte de la transparence encore ? <–<
0100011 Posté 8 décembre 2010 Signaler Posté 8 décembre 2010 Soyons clairs, la situation en question n'est pas limpide du tout, je n'était pas la, je n'ai pas d'interet particulier pour les turpitudes de ces gens qui me semblent aussi pourris d'un coté que de l'autre, mais si la situation est réellement "la femme veut arrêter la relation, Assange refuse", il y a viol. Effectivement la situation est tellement peu limpide qu'il a fallu trois procureurs et quatre mois d'instruction pour arriver à faire un dossier qui tienne, un peu, la route par l'invocation étrange (tout du moins unique dans le monde occidental) de "sexe par surprise" et en effet quelle surprise dis donc quand on lit les comptes rendus des soirées qui sont reconnus comme véridiques par toutes les parties… Ce qui est clair dans cette affaire est que ce sont les diptères qui se font enculer à longueur de temps.
Invité Arn0 Posté 8 décembre 2010 Signaler Posté 8 décembre 2010 Effectivement la situation est tellement peu limpide qu'il a fallu trois procureurs et quatre mois d'instruction pour arriver à faire un dossier qui tienne, un peu, la route par l'invocation étrange (tout du moins unique dans le monde occidental) de "sexe par surprise" et en effet quelle surprise dis donc quand on lit les comptes rendus des soirées qui sont reconnus comme véridiques par toutes les parties… Ce qui est clair dans cette affaire est que ce sont les diptères qui se font enculer à longueur de temps. Le viol par surprise existe en France, et dans la majorité des pays. Tout acte de pénétration sexuelle, de quelque nature qu'il soit, commis sur la personne d'autrui par violence, contrainte, menace ou surprise est un viol.Le viol est puni de quinze ans de réclusion criminelle. http://www.lexinter.net/Legislation2/viol.htm
0100011 Posté 8 décembre 2010 Signaler Posté 8 décembre 2010 Le viol par surprise existe en France, et dans la majorité des pays. http://www.lexinter.net/Legislation2/viol.htm Mais là ce n'est pas viol par surprise, mais sexe par surprise. Il n'est fait nulle part mention de viol dans l'accusation.
Invité Arn0 Posté 8 décembre 2010 Signaler Posté 8 décembre 2010 Mais là ce n'est pas viol par surprise, mais sexe par surprise. Il n'est fait nulle part mention de viol dans l'accusation. C'est le motif officiel du mandat d’arrêt européen (qui ne pourrait de toutes façons pas être émis pour une infraction purement suédoise).
Esperluette Posté 8 décembre 2010 Auteur Signaler Posté 8 décembre 2010 Le retour de la vengeance, on ne s'en lasse pas. * chips * Attaques de sites en rafale pour "venger" Julian Assange
G7H+ Posté 9 décembre 2010 Signaler Posté 9 décembre 2010 Si elle a dit non, c'est clair. Sauf si "non" n'est pas le safe word (et c'est souvent le cas) Blague à part (ou pas), mon opinion sur le dossier "viol". Une fan (femme plutôt mignonne) échange des mails et des coups de fil avec une célébrité (homme plutôt moche). Hmm. Malgré le fait que la célébrité n'est pas financièrement à la dèche, elle lui propose de loger chez elle pendant qu'elle est en voyage. Hmm. Elle revient un jour plus tôt Hmmet ne va pas loger chez une amie ou ne demande pas à la célébrité de loger à l'hôtel mais elle décide plutôt de loger avec la célébrité. Hmm. C'est donc la première fois qu'il se rencontrent physiquement. Un dîner plus tard, ils baisent. Hmm. [La fan est une activiste féministe Chrétienne. Je lole. ] Le préservatif craque. La fan est toujours contente car elle organise une petite fête pour la célébrité le lendemain. Sur Twitter, elle parle de la fête comme “with the coolest people” et elle dit qu'elle se sent “amazing”. Hmm. L'autre cas est dans la même veine. Une fan fait des pieds et des mains pour aider gratuitement le staff d'une conf où se rend la célébrité. Hmm. Déboutée, elle se rend à la conf, vêtue de manière flashy, s'installe au premier rang et prend une tonne de photos de la célébrité. Hmm. Elle déjeune avec lui le midi et flirtent devant témoins. Hmm. Puis ils vont au cinéma. Hmm. La célébrité doit partir pour se rendre à la fête organisée par la fan n°1. Quelques jours plus tard, la fan n°2 fixe rdv à Assange à Stockholm. Hmm. Elle lui paie son billet de train jusqu'à l'autre ville où elle habite. Hmm. Le soir même, ils baisent Hmm (avec protection). Le matin, ils baisent sans protection (elle dit qu'elle a demandé à la célébrité d'en porter, il refuse, elle écarte les cuisses Hmm). Le jour suivant, elle offre le restaurant et le billet de train à la célébrité. Hmm. Et ce sont des viols. J'applaudis des genoux. Donc tous les hommes qui ont vu leur préservatif craquer, qui ont couché avec plus d'une fille par weekend ou qui ont couché sans protection avec une fille consentante sont des violeurs.
0100011 Posté 9 décembre 2010 Signaler Posté 9 décembre 2010 Blague à part (ou pas), mon opinion sur le dossier "viol".Une fan (femme plutôt mignonne) échange des mails et des coups de fil avec une célébrité (homme plutôt moche). Hmm. Malgré le fait que la célébrité n'est pas financièrement à la dèche, elle lui propose de loger chez elle pendant qu'elle est en voyage. Hmm. Elle revient un jour plus tôt Hmmet ne va pas loger chez une amie ou ne demande pas à la célébrité de loger à l'hôtel mais elle décide plutôt de loger avec la célébrité. Hmm. C'est donc la première fois qu'il se rencontrent physiquement. Un dîner plus tard, ils baisent. Hmm. [La fan est une activiste féministe Chrétienne. Je lole. ] Le préservatif craque. La fan est toujours contente car elle organise une petite fête pour la célébrité le lendemain. Sur Twitter, elle parle de la fête comme “with the coolest people” et elle dit qu'elle se sent “amazing”. Hmm. L'autre cas est dans la même veine. Une fan fait des pieds et des mains pour aider gratuitement le staff d'une conf où se rend la célébrité. Hmm. Déboutée, elle se rend à la conf, vêtue de manière flashy, s'installe au premier rang et prend une tonne de photos de la célébrité. Hmm. Elle déjeune avec lui le midi et flirtent devant témoins. Hmm. Puis ils vont au cinéma. Hmm. La célébrité doit partir pour se rendre à la fête organisée par la fan n°1. Quelques jours plus tard, la fan n°2 fixe rdv à Assange à Stockholm. Hmm. Elle lui paie son billet de train jusqu'à l'autre ville où elle habite. Hmm. Le soir même, ils baisent Hmm (avec protection). Le matin, ils baisent sans protection (elle dit qu'elle a demandé à la célébrité d'en porter, il refuse, elle écarte les cuisses Hmm). Le jour suivant, elle offre le restaurant et le billet de train à la célébrité. Hmm. Et ce sont des viols. J'applaudis des genoux. Donc tous les hommes qui ont vu leur préservatif craquer, qui ont couché avec plus d'une fille par weekend ou qui ont couché sans protection avec une fille consentante sont des violeurs. T'a rien compris c'est la surprise qui compte !
Esperluette Posté 9 décembre 2010 Auteur Signaler Posté 9 décembre 2010 Les potins continuent : et si la prochaine diffusion par WL concernait Guantanamo ? Vivement le prochain épisode.
José Posté 10 décembre 2010 Signaler Posté 10 décembre 2010 Ouaip, c'est sûr, grâce à Wikileaks, il y aura un avant et un après dans les relations internationales. Friday, 19 September 2008, 16:13S E C R E T SECTION 01 OF 02 LONDON 000368 NOFORN SIPDIS DOE FOR GPERSON, CHAYLOCK EO 12958 DECL: 09/18/2018 TAGS EPET, ENRG, PGOV, RS">RS, NI SUBJECT: ENGLAND: RELIABILITY AND LONGEVITY OF UK-US RELATIONSHIP CONFIRMED REF: A. LONDON 365 B. LONDON 366 Classified By: Consul General Donna M. Blair for reasons 1.4 (B ) and (D ) 1. (S/NF) Summary: We're no strangers to love. You know the rules and so do I. A full commitment's what I'm thinking of. You wouldn't get this from any other guy. I just wanna tell you how I'm feeling. Gotta make you understand. 2. (C/NF) Chorus: Never gonna give you up, never gonna let you down, never gonna run around and desert you. Never gonna make you cry, never gonna say goodbye, never gonna tell a lie and hurt you. 3. (S/NF) We've known each other for so long Your heart's been aching but You're too shy to say it Inside we both know what's been going on We know the game and we're gonna play it And if you ask me how I'm feeling Don't tell me you're too blind to see 4. (C/NF) Chorus: Never gonna give you up, never gonna let you down, never gonna run around and desert you. Never gonna make you cry, never gonna say goodbye, never gonna tell a lie and hurt you. 5. (C/NF) Chorus: Never gonna give you up, never gonna let you down, never gonna run around and desert you. Never gonna make you cry, never gonna say goodbye, never gonna tell a lie and hurt you. 6. (C/NF) Background Singers: (Ooh, give you up) (Ooh, give you up) (Ooh) Never gonna give, never gonna give (Give you up) (Ooh) Never gonna give, never gonna give (Give you up) 7. (S/NF) We've know each other for so long Your heart's been aching but You're too shy to say it Inside we both know what's been going on We know the game and we're gonna play it I just wanna tell you how I'm feeling Gotta make you understand 8. (C/NF) Never gonna give you up, never gonna let you down, never gonna run around and desert you. Never gonna make you cry, never gonna say goodbye, never gonna tell a lie and hurt you. 9. (C/NF) Never gonna give you up, never gonna let you down, never gonna run around and desert you. Never gonna make you cry, never gonna say goodbye, never gonna tell a lie and hurt you. 10. (C/NF) Never gonna give you up, never gonna let you down, never gonna run around and desert you. Never gonna make you cry, never gonna say goodbye, never gonna tell a lie and hurt you. ASTLEY http://www.ding.net/wikileaks/234867.txt
Stephdumas Posté 10 décembre 2010 Signaler Posté 10 décembre 2010 Le journaliste Richard Martineau du Journal de Montréal ajoute son grain de sel sur le sujet http://martineau.blogue.canoe.ca/2010/12/0…_honte#comments Pauvres démocraties occidentales…Pendant que les dictatures du monde entier se pètent les bretelles et bombent fièrement le torse, nous passons notre temps à nous flageller, à nous critiquer et à douter de nous-mêmes. LE « COURAGE » DE WIKILEAKS Au lieu de défendre bec et ongles nos valeurs, nous défendons les « droits » des gens qui utilisent les largesses de notre système pour faire reculer NOS droits et NOS libertés. Nous donnons généreusement des munitions aux gens qui souhaitent notre perte et aiguisons vigoureusement la lame de ceux qui veulent scier la branche sur laquelle nous sommes assis. Regardez ce qui s’est passé avec WikiLeaks. Le directeur de WikiLeaks a-t-il et le courage de dévoiler des secrets d’État de la Corée du Nord, de l’Iran ou de l’Arabie Saoudite ? Bien sûr que non : il s’en est pris seulement aux démocraties. Il sait que s’il avait eu l’audace de trahir les secrets de Kim Jong-il ou de Mahmoud Ahmadinejad, il croupirait actuellement dans une geôle infecte ou balancerait doucement au bout d’une corde. MEA CULPA Contrairement aux dictatures, qui ne baissent jamais les yeux malgré les crimes horribles qu’elles ont commis, les démocraties croulent sous la honte. Au lieu de dire : « Nous avons mis fin à l’esclavage », nous disons : « Nous avons eu des esclaves, mea culpa, mea maxima culpa. » Au lieu de dire : « Nos femmes et nos hommes ont les mêmes droits », nous disons : « Longtemps, nos femmes ont vécu dans la soumission, mea culpa, mea maxima culpa. » Toujours en train de souligner nos mauvais coups plutôt que nos bons, et de rappeler les bassesses notre passé plutôt que les grandeurs de notre présent.
Skit Posté 10 décembre 2010 Signaler Posté 10 décembre 2010 Euh… C'est moi ou la majorité ici pense que le motif "sexe par surprise" fait référence au viol? Nan parce que j'avais lu que le motif "sexe par surprise" faisait référence à une loi suédoise interdisant de se retirer au dernier moment pour motif contraceptif afin de privilégier l'usage de la capote (une histoire de santé publique et de sida probablement)
jubal Posté 10 décembre 2010 Signaler Posté 10 décembre 2010 Le journaliste Richard Martineau du Journal de Montréal ajoute son grain de sel sur le sujethttp://martineau.blogue.canoe.ca/2010/12/0…_honte#comments Encore cette idée que wikileaks ne s'attaque qu'a l'occident, c'est faux. Ils publient ce qu'on leur donne d’intéressant, et dans le passe ca a été la chine (vidéos/photos très dures sur la répression au tibet), le sri lanka, le liberia, etc. Contrairement aux previsions de Richard Martineau les chinois n'ont pas pendu Assange pour autant, et c'est marrant mais a ce moment la wikileaks n'avait aucun probleme. Rien sur la coree du nord certes, mais il n'y a rien d’étonnant a ce qu'aucun fonctionnaire coréen n'ait contacte wikileaks … Et puis l’idée que les démocraties seront plus fortes si on ne dénonce pas la corruption et les saloperies qu'elles font, je n'y crois pas.
Esperluette Posté 10 décembre 2010 Auteur Signaler Posté 10 décembre 2010 Pakistan - Fausses fuites WikiLeaks Plusieurs journaux pakistanais ont reconnu le 10 décembre avoir été victimes d'un canular après avoir publié la veille des révélations fondées sur de faux télégrammes Wikileaks contenant de la propagande anti-indienne. Les faux scoops révélaient notamment que des espions indiens apportaient leur soutien logistique aux talibans dans les Zones Tribales et au Balouchistan. L'armée indienne y était également accusée par les Etats-Unis de mener un "génocide comme en Bosnie" au Cachemire et de soutenir les "groupes hindous fanatiques". "Une recherche approfondie sur la base de données de Wikileaks menée par le Guardian en fonction des dates, des noms et des mots-clés n'a pas permis de retrouver trace de ces allégations" avait précisé The Guardian le 9 décembre. Le quotidien pakistanais The Express Tribune a publié ses excuses et le journal pakistanais The News a retiré son article. http://www.courrierinternational.com/breve…uites-wikileaks
john_ross Posté 10 décembre 2010 Signaler Posté 10 décembre 2010 Si elle a dit non, c'est clair. Si seulement comprendre une femme était aussi simple que vous le dites!
ShoTo Posté 10 décembre 2010 Signaler Posté 10 décembre 2010 Pakistan - Fausses fuites WikiLeaks Plusieurs journaux pakistanais ont reconnu le 10 décembre avoir été victimes d'un canular après avoir publié la veille des révélations fondées sur de faux télégrammes Wikileaks contenant de la propagande anti-indienne. Les faux scoops révélaient notamment que des espions indiens apportaient leur soutien logistique aux talibans dans les Zones Tribales et au Balouchistan. L'armée indienne y était également accusée par les Etats-Unis de mener un "génocide comme en Bosnie" au Cachemire et de soutenir les "groupes hindous fanatiques". "Une recherche approfondie sur la base de données de Wikileaks menée par le Guardian en fonction des dates, des noms et des mots-clés n'a pas permis de retrouver trace de ces allégations" avait précisé The Guardian le 9 décembre. Le quotidien pakistanais The Express Tribune a publié ses excuses et le journal pakistanais The News a retiré son article. http://www.courrierinternational.com/breve…uites-wikileaks J'ai du mal à comprendre, l'Inde serait la première cible si les talebs s'emparent du pouvoir au Pakistan non ?
Esperluette Posté 10 décembre 2010 Auteur Signaler Posté 10 décembre 2010 J'ai du mal à comprendre, l'Inde serait la première cible si les talebs s'emparent du pouvoir au Pakistan non ? Je suppute que les tensions historiques éclairent d'un certain jour ces canulars ou infos. Un esprit complotiste pourrait imaginer que, sans viser un renversement en particulier, chaque voisin joue à l'autre des tours de cochon mine de rien. Grouik grouik.
Hobbart Posté 11 décembre 2010 Signaler Posté 11 décembre 2010 State Department To Columbia University Students: DO NOT Discuss WikiLeaks On Facebook, TwitterTalking about WikiLeaks on Facebook or Twitter could endanger your job prospects, a State Department official warned students at Columbia University's School of International and Public Affairs this week. An email from SIPA's Office of Career Services went out Tuesday afternoon with a caution from the official, an alumnus of the school. Students who will be applying for jobs in the federal government could jeopardize their prospects by posting links to WikiLeaks online, or even by discussing the leaked documents on social networking sites, the official was quoted as saying. "[The alumnus] recommends that you DO NOT post links to these documents nor make comments on social media sites such as Facebook or through Twitter," the Office of Career Services advised students. "Engaging in these activities would call into question your ability to deal with confidential information, which is part of most positions with the federal government." http://www.huffingtonpost.com/2010/12/04/s…m_n_792059.html
SocialLiberal Posté 11 décembre 2010 Signaler Posté 11 décembre 2010 Je suppute que les tensions historiques éclairent d'un certain jour ces canulars ou infos. Un esprit complotiste pourrait imaginer que, sans viser un renversement en particulier, chaque voisin joue à l'autre des tours de cochon mine de rien. Grouik grouik. Bonjour, je suis nouveau sur Liberaux.org ! Sauf qu'au Pakistan, on ne mange pas de cochon mdr !
Esperluette Posté 11 décembre 2010 Auteur Signaler Posté 11 décembre 2010 Bonjour, je suis nouveau sur Liberaux.org ! Bonjour bonjour nouveau, je t'invite à venir voir par ici.
SocialLiberal Posté 11 décembre 2010 Signaler Posté 11 décembre 2010 Bonjour bonjour nouveau, je t'invite à venir voir par ici. Merci !
Esperluette Posté 13 décembre 2010 Auteur Signaler Posté 13 décembre 2010 Le gouvernement français décidera «prochainement» s'il interdit l'hébergement du site WikiLeaks sur des serveurs basés en France http://www.20minutes.fr/article/638199/web…interdit-france Et les procédures judiciaires classiques, c'est pour les péquenots ?
Punu Posté 13 décembre 2010 Signaler Posté 13 décembre 2010 Un texte pas mal. http://www.lemonde.fr/idees/article/2010/1…52738_3232.html Fin du secret diplomatique ?LEMONDE | 13.12.10 | 14h12 • Mis à jour le 13.12.10 | 14h56 Le rapprochement surprendrait Hillary Rhodam Clinton. Mais en diffusant largement des télégrammes diplomatiques du département d'Etat destinés à rester secrets, WikiLeaks pourrait à bon droit se réclamer des Pères fondateurs de la diplomatie américaine. Entre l'indépendance de 1776 et la Constitution de 1787, George Washington, Benjamin Franklin, George Mason, d'autres républicains encore, posèrent en principe le refus du secret dans les négociations internationales. Ce refus traduisait le rejet américain des habitudes de la diplomatie européenne d'alors, coutumière des tractations obscures et des traités secrets passés au nom de monarques n'ayant de comptes à rendre à personne. Depuis la Renaissance italienne, laquelle inventa l'ambassadeur en résidence, s'était conforté un paradigme dans lequel les affaires étrangères constituaient une res privata du Prince, voilée derrière la raison d'Etat. Pour les révolutionnaires américains, au contraire, ce secret-là nourrissait l'absolutisme, autorisait toutes les turpitudes entre nations et expliquait le bellicisme qui déchirait le Vieux Continent. Indépendante, l'Amérique se voyait mettre en actes une diplomatie nouvelle, réalisant ainsi une ambition des Lumières que Gabriel Bonnot de Mably résumait ainsi, en 1757, dans l'introduction de son Droit public de l'Europe : "Il serait bien digne de la sagesse des peuples dont le gouvernement n'admet aucun engagement secret, d'en proscrire l'usage de l'Europe entière." Qu'advint-il de cette ambition ? Ambassadeur - on disait alors commissaire - des Etats-Unis en France de 1776 à 1785, et à ce titre considéré comme le véritable précurseur de la diplomatie américaine, Benjamin Franklin devait négocier, à Paris, un traité d'amitié et de commerce contre l'ennemi anglais commun. Réfléchissant à sa manière de procéder, il écrivit : "J'ai longtemps observé une règle (…). C'est simplement celle-ci, de ne m'occuper d'aucune affaire dont je puisse rougir en la rendant publique." Lors des débats constitutionnels de 1787, les républicains américains réaffirmèrent leur préférence pour l'exposition des négociations diplomatiques et la publicité des dépêches. Analysant cette période dans son ouvrage (L'Evolution de la diplomatie, idéologie, moeurs et techniques, 1938), Corneliu S. Blaga observait ainsi avec raison : "Contrairement aux textes diplomatiques européens, ceux des Américains étaient destinés à la publicité la plus large. Les dépêches étaient écrites avec l'intention et la conviction que les circonstances devraient les placer un jour sous les yeux des citoyens américains et du monde entier." On le constate en lisant aujourd'hui les télégrammes diffusés par WikiLeaks : l'intention et la conviction ont disparu, et avec elles la simple précaution dans le choix de la formule. Pour comprendre l'effacement des principes devant les réalités de la négociation internationale, il faut rappeler un autre moment historique essentiel. C'est encore aux héritages des Lumières et de la révolution de 1776 que puisait le président américain Woodrow Wilson quand il présenta au Congrès, le 8 janvier 1918, ses fameux "Quatorze points", au tout premier rang desquels il plaça l'interdiction de la diplomatie secrète. Or, quelques mois plus tard, c'est en secret que ce même président négocia le traité de Versailles, enfermé avec le Français Clemenceau, le Britannique Lloyd George et (pour la forme) l'Italien Orlando, à l'écart de toutes les autres délégations, à l'écart même de leurs propres entourages. Car les faits sont têtus : la négociation - en général, et diplomatique en particulier - ne se conduit pas au grand jour, sous l'observation de tiers. Les diplomates le savent, s'en accommodent et en jouent. Ambassadeur de Louis XIV, François de Callières écrivait déjà en 1716 : "Le secret est l'arme de la négociation." Ministre français des affaires étrangères dans l'entre-deux-guerres, Jules Cambon constatait en 1926 : "Pour si peu que l'on ait été responsable des intérêts de son pays à l'étranger, on se rend compte que le jour où il n'y aurait plus de secret dans la négociation il n'y aurait plus de négociation du tout." Plus près de nous, de Henry Kissinger à Hubert Védrine, il n'est pas un diplomate qui ne sache l'utilité et la légitimité de la discrétion en négociation. C'est à l'écart que s'engagent des négociations indispensables mais pourtant inacceptables aux yeux des opinions publiques - pensons au processus secret d'Oslo qui permit, en 1993, de rendre un espoir à la paix entre Palestiniens et Israéliens. Une fois engagée, la négociation fut protégée de soubresauts extérieurs grâce à ce même secret. Ainsi, du 24 au 26 juillet 1993, se tint en Norvège une séance secrète de négociation, cinquante-cinq heures durant. Au même moment, les combats reprirent dans le sud du Liban : mais ni les Palestiniens ni les Israéliens, isolés du terrain, n'eurent à interrompre les négociations. Comment imaginer que des négociations officielles auraient pu se poursuivre dans un tel contexte ? De même, c'est à l'écart que s'échangent patiemment des concessions et s'imaginent des solutions qui seraient, dans l'instant, perçues comme un aveu de faiblesse ou une trahison, alors qu'elles sont indispensables au cheminement vers un point d'équilibre. C'est à l'écart que l'on peut espérer qu'un adversaire reconnaisse vos arguments - alors que, placé dans la lumière, il refuserait de peur de perdre la face. C'est dans la confidentialité que bien souvent se construit la confiance, ingrédient clé de toute négociation. En particulier, le secret protège la négociation de ces "effets d'audience" que les praticiens connaissent bien et que les chercheurs ont analysés. Ainsi les ancrages excessifs prononcés de part et d'autre, destinés avant tout à donner des gages aux opinions publiques, dégénèrent en escalades qui enveniment les situations conflictuelles au point de les rendre incontrôlables par des voies négociées. Sans aller jusqu'à ces escalades, l'exposition médiatique favorise le recours à une tactique aux conséquences difficilement maîtrisables : le "lock-in", qui consiste pour le négociateur à s'enfermer publiquement dans une option, de façon irrémédiable, afin de forcer l'autre négociateur à s'y soumettre - ce qui risque d'aboutir à une impasse coûteuse pour tous. En diminuant l'intérêt d'effets de posture et d'ancrage extrême, le secret permet au négociateur de s'extraire, momentanément du moins, de cette pression publique et des mécanismes dramatiques de polarisation que celle-ci lui impose. Pour ces raisons, dès lors qu'une enceinte de négociation se trouve exposée à l'observation de tiers, le véritable travail de négociation se déplace : il se tient avant ou pendant, mais ailleurs. L'enceinte en question devient un théâtre où se joue un spectacle défini dans les coulisses. Mais cette tradition du secret se heurte de façon croissante à une injonction contemporaine de transparence, mue par un double moteur. Le moteur politique demeure dans les grandes lignes celui pensé lors des Lumières : le droit de savoir des gouvernés et le devoir de responsabilité des gouvernants ; ce moteur gagne en puissance à mesure que se démocratisent les sociétés. A ce moteur s'en ajoute désormais un second : l'essor des nouvelles technologies de l'information et de la communication, lesquelles démultiplient l'impact de toute rupture du secret. L'affaire WikiLeaks en apporte la dernière illustration en date - pour retentissante qu'elle soit, gageons que ce n'est pas l'ultime. Pour l'heure, le scandale WikiLeaks comporte une conséquence et présente un risque. La conséquence, c'est que les chancelleries diplomatiques et les grandes enceintes de négociations multilatérales doivent continuer de rechercher un meilleur équilibre entre l'utilité maintenue du secret et la légitimité avérée de la transparence vis-à-vis de tiers. Le défi n'est pas nouveau : il était déjà présent, en 1995, dans l'échec de l'accord multilatéral sur l'investissement, puis, en 1999, dans l'échec des négociations de l'Organisation mondiale du commerce (OMC) à Seattle, où la société civile condamna par principe la légitimité de négociations tenues à huis clos dans le secret des "green rooms" (salons verts). Le risque, c'est qu'à la faveur du scandale WikiLeaks la transparence se trouve stigmatisée à la légère. On en vient à déplorer "la dictature de la transparence", alors qu'elle constitue précisément, lorsqu'elle s'applique au pouvoir politique, une condition de la société démocratique. La transparence offre un antidote aux abus que permet le secret du pouvoir : conflits d'intérêt, arbitraire des nominations et des sanctions, détournement de l'intérêt collectif par des intérêts particuliers, corruption et concussion. Tout cela prospère dans le secret, mais dépérit lorsque des mécanismes de transparence l'exposent à la lumière du jour. George Washington le savait bien, qui fit de l'information des citoyens le thème de son dernier discours présidentiel. Aurélien Colson, professeur de science politique à l'Essec (Le grand débat)
Apollon Posté 13 décembre 2010 Signaler Posté 13 décembre 2010 Un texte pas mal. +1 Duquel il faut déduire au final que les révélations de wikileaks sont condamnables, elles qui visent une transparence absolue au détriment non seulement du secret diplomatique mais aussi de l'équilibre de cette dernière préoccupation et de la démocratie..
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