Nicolas Azor Posté 6 avril 2011 Auteur Signaler Posté 6 avril 2011 Lucilio a dit : ah ça c'est pas sympa
Aurel Posté 6 avril 2011 Signaler Posté 6 avril 2011 teabag a dit : Pourquoi ? ça reviendrait pourtant à responsabiliser les usagers pour les rendre responsable de leur sécurité. Être arrêté par un feu rouge, en pleine nuit et alors que les rues sont désertes, je trouve ça très dirigiste et anti-libéral.Le PLD ferait parler de lui avec une telle proposition. C'est une proposition arbitraire. A chaque municipalité de décider de son modèle de signalisation en attendant une privatisation complète des routes…et une vraie libéralisation des assurances afin qu'elles assument aussi cet aspect du risque.
neuneu2k Posté 6 avril 2011 Signaler Posté 6 avril 2011 Nicolas Azor a dit : Un peu pour les même raisons qu'on oblige les gens à porter la ceinture de sécurité. Porter une arme serait considéré comme une sorte de devoir citoyen pour contribuer à la sécurité publique. Ce n'est pas liberhallal au sens anarcap, mais ça n'a rien d'aberrant, et dans l'hypothèse minarchiste ou le maintien de la paix est de la responsabilité de la collectivité, c’est une meilleure solution que la conscription ou un impôt nettement plus élevé pour payer plus de soldats professionnels. Les milices citoyennes ont l’avantage majeur par rapport a une armée organisée étatiquement d’être plus résilientes en défense et moins faciles à mobiliser en attaque.
Métazét Posté 6 avril 2011 Signaler Posté 6 avril 2011 Nicolas Azor a dit : Un peu pour les même raisons qu'on oblige les gens à porter la ceinture de sécurité. Porter une arme serait considéré comme une sorte de devoir citoyen pour contribuer à la sécurité publique.Bon maintenant je le dis mais je ne milite pas pour ça non plus. Je voulais juste dire que c'est une idée intéressante et que ça se défend. Mais comment fait-on à la piscine ?
Chitah Posté 6 avril 2011 Signaler Posté 6 avril 2011 Nicolas Azor a dit : ah ça c'est pas sympa Tiens le coup camarade!
Tremendo Posté 6 avril 2011 Signaler Posté 6 avril 2011 Nicolas Azor a dit : Un peu pour les même raisons qu'on oblige les gens à porter la ceinture de sécurité. Porter une arme serait considéré comme une sorte de devoir citoyen pour contribuer à la sécurité publique.Bon maintenant je le dis mais je ne milite pas pour ça non plus. Je voulais juste dire que c'est une idée intéressante et que ça se défend. C'est pas con..pour un Yabon Nonosse Bon sérieusement c'est une bonne réflexion, pour moi le truc c'est qu'en voiture tu ne contrôles pas la conduite des autres , et les passagers ne contrôlent pas la conduite du conducteur, dès lors la ceinture permet de parer à cette incertitude, m'enfin c'est peut-être une justification bidon. En revanche, si on t'agresse, tu as diverses manières de te défendre, pas seulement un flingue, même si c'est plus efficace, m'enfin c'est juste ma réflexion.
Invité Posté 6 avril 2011 Signaler Posté 6 avril 2011 Métazét a dit : Mais comment fait-on à la piscine ? Fusil harpon… A ne pas utiliser contre les grosses sinon le Sea Shepherd va débarquer.
Théo31 Posté 6 avril 2011 Signaler Posté 6 avril 2011 Sanksion a dit : A ne pas utiliser contre les grosses Ca va encourager la pêche aux thons. Bizarrement personne n'a parlé de supprimer des impôts. Alors je commence : tout ce qui a trait au patrimoine et et à sa transmission.
Kevinz Posté 6 avril 2011 Signaler Posté 6 avril 2011 Suppression des legal tender laws (comment on dit en français ?) C'est bon ? c'est Liberhalal Jabial ? ^^
Tremendo Posté 6 avril 2011 Signaler Posté 6 avril 2011 Théo31 a dit : Ca va encourager la pêche aux thons. Bizarrement personne n'a parlé de supprimer des impôts. Alors je commence : tout ce qui a trait au patrimoine et et à sa transmission. D'abord équilibrer les bilans, comment? En augmentant les recettes sans toucher aux impôts et en baissant la dépense. Comment augmenter les recettes? En abolissant les réglementations vexatoires qui empêchent l'investissement (code du travail, code de l'environnement, législations bidons, heures de travail etc…) on permet de relancer l'activité et donc les recettes de l'Etat. Ensuite on coupe dans les dépenses et on interdit les emprunts par l'Etat et les collectivités locales, une fois en excédent on fait la réforme fiscale tant attendu.
artemis Posté 6 avril 2011 Signaler Posté 6 avril 2011 Drake a dit : des Républiques maritimes italiennes, etc +1000000 Je dirai un retour à la mosaïque de principautés duchés et cités-Etats qu'était l'Italie, la plus florissante période de son histoire. Bon sinon privatisation des océans.
Chitah Posté 6 avril 2011 Signaler Posté 6 avril 2011 Tremendo a dit : D'abord équilibrer les bilans, comment? En augmentant les recettes sans toucher aux impôts et en baissant la dépense. Comment augmenter les recettes? En abolissant les réglementations vexatoires qui empêchent l'investissement (code du travail, code de l'environnement, législations bidons, heures de travail etc…) on permet de relancer l'activité et donc les recettes de l'Etat. Ensuite on coupe dans les dépenses et on interdit les emprunts par l'Etat et les collectivités locales, une fois en excédent on fait la réforme fiscale tant attendu. J'imagine que, pour la partie soulignée, tu proposes dans le même temps et en parallèle de libérer les esclaves de l'assistanat, ne serait-ce que pour remettre sur le marché du travail les gens qui accompagneront la remontée d'activité. J'imagine que les seuls demandeurs d'emploi actuels n'y suffiront pas, il va falloir de nouvelles personnes, il n'y a qu'à voir le secteur de la restauration, qui manque apparemment de dizaines de milliers de bras, tout de suite aujourd'hui en 2011.
Métazét Posté 6 avril 2011 Signaler Posté 6 avril 2011 Bon, soyons sérieux : - supprimer le SMIC - supprimer les lois contre le licenciement - supprimer les quotas et autres embauches forcées - supprimer les charges patronales - supprimer le "droit à" la grève - supprimer la TVA et autres taxes sur la consommation - supprimer les subventions aux entreprises - interdire le néo-corporatisme Bon, avec ça y devrait déjà y avoir de quoi relancer le marché de l'emploi et l'économie (et me faire traiter de méchant ultra-libéral mangeur d'enfant par mes amis socialistes…)
Chitah Posté 6 avril 2011 Signaler Posté 6 avril 2011 Métazét a dit : - supprimer les charges patronales On ne peut pas supprimer des choses qui n'existent pas. Les charges patronales cela n'existe pas. Ensuite : Citation - supprimer le SMIC- supprimer les quotas et autres embauches forcées - supprimer les subventions aux entreprises - interdire le néo-corporatisme OK. Je ne sais pas ce qu'est le dernier mais OK. Citation - supprimer le "droit à" la grève- supprimer les lois contre le licenciement Attention à ce genre de formulations. Elles laissent penser qu'il s'agit de rendre du pouvoir aux employeurs, on a déjà assez de mal avec ça, tout le monde croit que nous sommes les suppôts du patronat. Il vaudrait mieux dire qu'il s'agit de remettre le contrat au centre de la relation. Et dans les contrats il y a des clauses de ruptures, de suspension de celui-ci, etc.
Nicolas Azor Posté 6 avril 2011 Auteur Signaler Posté 6 avril 2011 Métazét a dit : Bon, soyons sérieux :- supprimer le SMIC - supprimer les lois contre le licenciement - supprimer les quotas et autres embauches forcées - supprimer les charges patronales - supprimer le "droit à" la grève - supprimer la TVA et autres taxes sur la consommation - supprimer les subventions aux entreprises - interdire le néo-corporatisme Bon, avec ça y devrait déjà y avoir de quoi relancer le marché de l'emploi et l'économie (et me faire traiter de méchant ultra-libéral mangeur d'enfant par mes amis socialistes…) La règle du jeu c'était : une proposition par personne. Choisis-en une.
Métazét Posté 6 avril 2011 Signaler Posté 6 avril 2011 Chitah a dit : On ne peut pas supprimer des choses qui n'existent pas. Les charges patronales cela n'existe pas. Oui, tu as entièrement raison en fait. Dans la précipitation j'ai repris le vocabulaire - si répandu hélas - de l'ennemi bolchévique. Chitah a dit : OK. Je ne sais pas ce qu'est le dernier mais OK. Par néo-corporatisme (le terme est peut-être mauvais…) j'entends la collusion du pouvoir et de l'économie : soit que le patronat dicte aux politiques des lois qui font son intérêt ou réclame des subventions, soit que ce soit les syndicats qui font passer dans la législation des prétendues "lois sociales". Chitah a dit : Attention à ce genre de formulations. Elles laissent penser qu'il s'agit de rendre du pouvoir aux employeurs, on a déjà assez de mal avec ça, tout le monde croit que nous sommes les suppôts du patronat. Il vaudrait mieux dire qu'il s'agit de remettre le contrat au centre de la relation.Et dans les contrats il y a des clauses de ruptures, de suspension de celui-ci, etc. Exact. Nicolas Azor a dit : La règle du jeu c'était : une proposition par personne.Choisis-en une. Bien. Appelons l'ensemble des propositions précédentes "le métazétisme". Mon unique proposition est donc celle-ci : instaurer le métazétisme
(V) Posté 6 avril 2011 Signaler Posté 6 avril 2011 Nicolas Azor a dit : mais… euh.. t'as pas respecté la règle du jeu, là… libéralisation des règles du jeu ! Nicolas Azor a dit : La règle du jeu c'était : une proposition par personne.Choisis-en une. ma première proposition libérale c'est de te démettre de tes fonctions de président du jeu, parce que tu commences vraiment à entraver notre libre expression ! Dehors Azor !
Bisounours Posté 6 avril 2011 Signaler Posté 6 avril 2011 Supprimer, ou réduire un max les allocations familiales et autres aides sociales ?
Nicolas Azor Posté 6 avril 2011 Auteur Signaler Posté 6 avril 2011 (V) a dit : libéralisation des règles du jeu !ma première proposition libérale c'est de te démettre de tes fonctions de président du jeu, parce que tu commences vraiment à entraver notre libre expression ! Dehors Azor ! C'est une boutade, mais elle soulève une vraie question. La vie n'est pas un jeu. 1. tu n'es pas obligé de jouer à un jeu. Si t'es pas content, tu abandonnes ou tu arrêtes de jouer. La vie en société ça marche pas trop comme ça. 2. Dans un jeu, les règles sont ce qui donne de l'intérêt au jeu. Si aux échecs tu peux bouger toutes les pièces comme tu veux, ça n'a pas d'intérêt. 3. Dans un jeu quand tu perds, tu ne meurs pas. Un jeu ne t'engage jamais dans quelque chose remettant sérieusement en question ton intégrité ou tes aspirations fondamentales en tant qu'être humain. La vie, si. je fais court là mais je suis sûr qu'il y a bien plus à dire sur ce thème. En tout cas : non, vos propositions libérales ne peuvent pas s'appliquer au jeu qu'est cette file.
Chitah Posté 6 avril 2011 Signaler Posté 6 avril 2011 Nicolas Azor a dit : 1. tu n'es pas obligé de jouer à un jeu. Si t'es pas content, tu abandonnes ou tu arrêtes de jouer. La vie en société ça marche pas trop comme ça.2. Dans un jeu, les règles sont ce qui donne de l'intérêt au jeu. Si aux échecs tu peux bouger toutes les pièces comme tu veux, ça n'a pas d'intérêt. 3. Dans un jeu quand tu perds, tu ne meurs pas. Un jeu ne t'engage jamais dans quelque chose remettant sérieusement en question ton intégrité ou tes aspirations fondamentales en tant qu'être humain. La vie, si. Mouais mouais, tu cesses de parler du fond et commence à papoter sur le débat lui-même, ça me rappelle quelqu'un tiens.
Invité Posté 6 avril 2011 Signaler Posté 6 avril 2011 Nicolas Azor a dit : La vie n'est pas un jeu. Bah …. si.
Mathieu_D Posté 6 avril 2011 Signaler Posté 6 avril 2011 Une seule proposition ? Laisser les Bouilleurs de cru en paix. Tout le reste suivra.
Métazét Posté 6 avril 2011 Signaler Posté 6 avril 2011 Mathieu_D a dit : Une seule proposition ?Laisser les Bouilleurs de cru en paix. Tout le reste suivra. +1
milka Posté 6 avril 2011 Signaler Posté 6 avril 2011 jabial a dit : Pas de label pour toi. Les politiciens ont le droit d'être jugés en vertu du droit naturel, comme tout le monde. Peu ont tué, et il faut tuer pour mériter la mort, sans même évoquer l'épineux problème de l'applicabilité de la peine de mort devant le risque d'erreur judiciaire.. La question me semble épineuse car par leurs actions et au travers de l'état et de sa force de coercition, les politiques surtout en haut de la hiérarchie organisent et provoquent parfois des morts, mais des morts par l'économie c'est invisible (cf bastiat).
Nicolas Azor Posté 6 avril 2011 Auteur Signaler Posté 6 avril 2011 milka a dit : mais des morts par l'économie c'est invisible (cf bastiat). ton "cf. bastiat" est un peu vague là, tu fais allusion à "ce qui est visible et ce qui ne l'est pas" ou bien à quelque chose de plus précis ?
Invité Arn0 Posté 6 avril 2011 Signaler Posté 6 avril 2011 Un moratoire de dix ans sur toute nouvelle loi, hors lois de finance annuelles.
Simon Ovronnaz Posté 6 avril 2011 Signaler Posté 6 avril 2011 Etape 1: supprimer l'Etat. Etape 2: regarder ce qui se passe.
Chitah Posté 6 avril 2011 Signaler Posté 6 avril 2011 Arn0 a dit : Un moratoire de dix ans sur toute nouvelle loi, hors lois de finance annuelles. Il faut une loi pour privatiser telle ou telle boite non? Ou alors le gouvernement peut-il procéder par ordonnances?
henriparisien Posté 6 avril 2011 Signaler Posté 6 avril 2011 Chitah a dit : Il faut une loi pour privatiser telle ou telle boite non? Ou alors le gouvernement peut-il procéder par ordonnances? Tout dépend du statut de la boite. Pour la Poste, il faut une loi pour la transformer en SA (encore que c'est peut-être déjà fait). Pareil pour la RATP et la SNCF (peut-être le CEA). Mais pour les autres, c'est déjà des SA. Donc il suffit que le gouvernement décide de vendre ces parts. Et ça, rentre bien dans la gestion d'actif du gouvernement. Par contre, il y a sans doute impossibilité de vendre un certain nombre de trucs, comme par exemple la joconde.
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