José Posté 26 octobre 2011 Signaler Posté 26 octobre 2011 Le procureur en charge de l'enquête a dit que, selon lui, il y avait eu sans nul doute possible, agression sexuelle dans cette affaire. Tu mens. Ça suffit maintenant. Le parquet a dit ceci : À l'issue de l'enquête confiée à la Brigade de Répression de la Délinquance contre la Personne (BRDP), il ressort que si faute d'éléments de preuve suffisants, les poursuites ne peuvent être engagées du chef de tentative de viol, des faits pouvant être qualifiés d'agression sexuelle sont quant à eux reconnus.
Invité Berti Posté 26 octobre 2011 Signaler Posté 26 octobre 2011 Tu mens. Ça suffit maintenant. Mais non, je ne mens pas. Regarde cette vidéo (interview de TB sur CANAL +). C'est marqué en toutes lettres : Il m'apparait en revanche que, s'agissant des faits reconnus par leur auteur, dont la conotation sexuelle n'est pas discutable, ceux-ci ne peuvent s'analyser autrement qu'en délit d'agression sexuelle http://www.canalplus.fr/c-infos-documentaires/pid3353-c-la-matinale.html?vid=531255&sc_cmpid=FBSharePlayer
François Posté 26 octobre 2011 Signaler Posté 26 octobre 2011 Non, pour le proc, il a un dossier sur lequel il aurai tenté l'agression sexuelle si elle n'était pas préscrite, ce n'est pas une condamnation, ce n'est pas parce que je pense que DSK est un violeur que je dois interpreter la réalité de travers. DSK n'a ni été 'blanchi' à New York, ni été 'reconnu coupable' a Paris… Très bonne interprétation.
José Posté 26 octobre 2011 Signaler Posté 26 octobre 2011 C'est marqué en toutes lettres… C'est du pipo/montage de la Banon, le communiqué du parquet repris partout dans la presse dit : À l'issue de l'enquête confiée à la Brigade de Répression de la Délinquance contre la Personne (BRDP), il ressort que si faute d'éléments de preuve suffisants, les poursuites ne peuvent être engagées du chef de tentative de viol, des faits pouvant être qualifiés d'agression sexuelle sont quant à eux reconnus. Tristane Banon est donc une menteuse quand elle prétend que le procureur considère DSK comme coupable d'agression sexuelle. (Tu comprends le sens de "pouvant" ?)
Invité Berti Posté 26 octobre 2011 Signaler Posté 26 octobre 2011 Tristane Banon est donc une menteuse quand elle prétend que le procureur considère DSK comme coupable d'agression sexuelle. Mais non c'est toi qui est soit : 1 - mal informé 2 - soit malhonnête, menteur Tu nous répètes en boucle le communiqué de presse (qui semble t'arranger). Mais c'est la lettre du procureur qui est citée dans la vidéo et qui apparait à l'écran : http://www.canalplus.fr/c-infos-documentaires/pid3353-c-la-matinale.html?vid=531255&sc_cmpid=FBSharePlayer Pourquoi veux tu à tout prix nier cette vérité ? La vérité te dérange ?
José Posté 26 octobre 2011 Signaler Posté 26 octobre 2011 Tu nous répètes en boucle le communiqué de presse (qui semble t'arranger) Ce communiqué de presse est celui qui apparaît partout dans la presse écrite : http://www.voici.fr/news-people/actu-people/le-parquet-classe-la-plainte-de-tristane-banon-contre-dsk-427565 http://www.liberation.fr/societe/01012365503-le-parquet-classe-sans-suite-la-plainte-de-tristane-banon-contre-dsk http://www.lepoint.fr/societe/dsk-banon-la-plainte-classee-mais-l-agression-sexuelle-reconnue-parquet-13-10-2011-1384149_23.php http://www.lexpress.fr/actualite/societe/justice/la-plainte-de-tristane-banon-contre-dsk-classee-sans-suite_1040317.html http://tempsreel.nouvelobs.com/l-affaire-dsk/20111013.OBS2400/banon-contre-dsk-l-agression-sexuelle-est-reconnue-mais-la-plainte-est-classee.html http://www.20minutes.fr/societe/805378-affaire-dsk-plainte-tristane-banon-classee-suite-avocat-salue-premiere-victoire etc. Et dit : À l'issue de l'enquête confiée à la Brigade de Répression de la Délinquance contre la Personne (BRDP), il ressort que si faute d'éléments de preuve suffisants, les poursuites ne peuvent être engagées du chef de tentative de viol, des faits pouvant être qualifiés d'agression sexuelle sont quant à eux reconnus. Par contre, le coup de la vidéo pue effectivement le montage. La phrase reprise dans le reportage n'apparaît nulle part dans le presse. Mais, bon on va dire que ça fait partie du complot, hein… Donc, la Banon ment lorsqu'elle elle prétend que le procureur considère DSK comme coupable d'agression sexuelle. Et si elle continue, dans le futur, a attaquer DSK sur ce point, elle risque fort de se manger un procès pour diffamation. Ce qui serait vraiment le comble de la connerie.
Invité Berti Posté 26 octobre 2011 Signaler Posté 26 octobre 2011 La phrase reprise dans le reportage n'apparaît nulle part dans le presse. C'est ce qui devrait t'inquiéter. C'est extrait de la lettre qu'a envoyé le procureur à TB (à moins que TB mente avec la complicité des journalistes de CANAL + bien sur).
José Posté 26 octobre 2011 Signaler Posté 26 octobre 2011 DSK/BANON: agression sexuelle reconnue ?Depuis que la plainte de Tristane Banon contre DSK a été classée sans suite, on peut lire ou entendre, partout, que DSK a été reconnu coupable du délit d'agression sexuelle, non poursuivi en raison de la prescription triennale. Certains, notamment Tristane Banon et son avocat Maître David Koubbi, parlent même d'une première victoire judiciaire dont Nafissatou Diallo pourrait se servir dans le volet civil de la procédure américaine. Info ou intox ? Moi, je penche plutôt pour la seconde hypothèse. Suivez-moi pour connaître le pourquoi du comment. Le communiqué de presse du parquet de Paris en bref Pour mémoire, voici pour l'essentiel ce que dit le parquet de Paris, dans un communiqué de presse daté du 13 octobre 2011, tel qu'il a été rapporté par la presse : «Il ressort que si faute d'éléments de preuve suffisants, les poursuites ne peuvent être engagées du chef de tentative de viol, des faits pouvant être qualifiés d'agression sexuelle sont quant à eux reconnus […] » « Néanmoins, commis en 2003 et n'ayant été révélés qu'en juillet 2011 ces faits ne peuvent être poursuivis, l'action publique étant éteinte en application de la prescription triennale en matière délictuelle […]» Or, ce communiqué de presse permet-il de conclure à la reconnaissance par la justice française des faits d'agression sexuelle qui auraient ainsi été commis par DSK à l'encontre de Tristane Banon en février 2003 ? Non, pour moi, rien n'est moins sûr… Quelle est la portée du communiqué du parquet de Paris ? Rappelons, tout d'abord, qu'il n'appartient pas au parquet de juger et de condamner une personne. Seuls les magistrats du siège, au cas particulier, ceux du tribunal correctionnel, ont le droit de dire qu'une personne est ou non coupable des faits délictueux dont elle serait accusée par une autre personne. En effet, selon une jurisprudence constante de la Cour de cassation, le classement sans suite d'une plainte ne constitue pas un acte juridictionnel. Autrement dit, le classement sans suite ne peut être considéré comme un jugement d'un tribunal et ne peut donc pas en produire les effets. Ainsi, le communiqué de presse publié par le parquet de Paris le 13 octobre dernier n'est qu'une prise de position comme une autre. En l'absence de poursuite et de condamnation par un tribunal, la parole du parquet n'a ni plus ni moins de valeur juridique que celle des avocats de DSK ou de Tristane Banon, par exemple. Que dit vraiment le communiqué du parquet de Paris ? Revenons maintenant sur ce que dit vraiment le communiqué de presse du parquet de Paris. Il dit en fait deux choses quant aux faits ayant fait l'objet de la plaine de Tristane Banon : - « des faits… sont quant à eux reconnus », - des faits « pouvant être qualifiés d'agression sexuelle ». · Des faits…ont été reconnus Bon, jusque là, il n'y a rien de bouleversant. D'après des informations rapportées par la presse, DSK a en effet reconnu qu'il avait essayé d'embrasser Tristane Banon, qu'il avait essuyé un refus et qu'il l'avait laissé partir sans insister. Mais cet aveu ne peut signifier : - ni que DSK ait reconnu avoir agressé sexuellement Tristane Banon, ce qu'il a d'ailleurs toujours nié. - ni que le parquet de Paris ait reconnu la réalité de l'agression sexuelle. Pas de quoi donc en tirer des conclusions sur une culpabilité éventuelle de DSK. En plus, il me semble plus que contestable de considérer que le seul fait d'essayer d'embrasser quelqu'un puisse constituer une agression sexuelle punie de 5 ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende. A moins que les faits reconnus par DSK aillent au-delà de ce qui a été rapporté par la presse (ce qui, pour l'instant, n'est pas encore le cas) ou que des décisions de justice ayant l'autorité de la chose jugée viennent me contredire (ce que je serais bien sûr prêt à admettre). Passons donc à la suite. · Des faits « pouvant être qualifiés d'agression sexuelle » Ainsi serait-ce là que le bât blesse ? Mais n'est-ce pas plutôt tordre le cou à la langue française que d'affirmer péremptoirement que ce petit bout de phrase revient à reconnaitre une agression sexuelle ? Il suffit pourtant de consulter un dictionnaire pour comprendre que le verbe « pouvoir », tel qu'il est utilisé ici, ne peut indiquer qu'une hypothèse ou au pire (ou au mieux, suivant le camp pour lequel on penche) une probabilité. Mais une probabilité, et a fortiori une hypothèse, ne peut être interprétée comme une certitude, et encore moins comme une condamnation, sous peine de se heurter, bon gré mal gré, au sacro-saint principe de la présomption d'innocence. En conclusion, on peut tout de même s'interroger sur les motifs qui ont poussé le parquet de Paris à diffuser un tel communiqué de presse qui a ainsi induit en erreur un grand nombre de professionnels de l'information. S'agit-il d'une simple maladresse ou d'une volonté délibérée ? Je laisse à chacun le soin d'imaginer la réponse qui lui convient le mieux. Quant à moi, j'opte volontiers pour la simple maladresse pour éviter de tomber dans la paranoïa en voyant partout, comme certains, l'ombre du complot… http://www.lepost.fr/article/2011/10/17/2615986_dsk-banon-agression-sexuelle-reconnue.html C'est extrait de la lettre qu'a envoyé le procureur à TB… Mon pauvre Berti, les montages photographiques sont les plus faciels à réaliser. Sinon, curieux de voir que toute la presse serait dans le complot sauf Canal+. Ben voyons.
Invité Berti Posté 26 octobre 2011 Signaler Posté 26 octobre 2011 Mon pauvre Berti, les montages photographiques sont les plus faciels à réaliser. Et tu penses que si TB (et les journalistes de CANAL + donc) s'étaient amusés à ce genre de choses, DSK ne porterait pas immédiatement plainte ?! Allons, allons. C'est si dur à admettre pour toi que, pour le procureur, il y a bien eu, sans doute possible, agression sexuelle dans cette affaire ?
Nirvana Posté 26 octobre 2011 Signaler Posté 26 octobre 2011 Ce que je remarque, vu ses innombrables apparitions télé et portraits sur Facebook, c'est que Banon aime se faire remarquer, attirer l'attention. Quand on se plaint de viol, on va en justice et basta, là c'est vraiment très difficile pour moi d'avoir de la sympathie pour elle ou de la prendre au sérieux.
José Posté 26 octobre 2011 Signaler Posté 26 octobre 2011 C'est si dur à admettre que pour le procureur, il y a bien eu, sans doute possible, agression sexuelle dans cette affaire ? Le communiqué de presse du parquet de Paris ne dit pas cela. Et même si dans son for intérieur, le procureur le pensait, on rappele que l'avis du procureur n'est pas un verdict de culpabilité. Bref, à Paris, dans l'affaire Banon, comme à New York dans l'affaire Nafissatou Diallo, DSK n'a été reconnu coupable de rien du tout. C'est si dur à admettre ?
Invité Berti Posté 26 octobre 2011 Signaler Posté 26 octobre 2011 Et même si dans son for intérieur, le procureur le pensait, Le procureur le pense. C'est ce que dit, sans doute possible, sa lettre.
José Posté 26 octobre 2011 Signaler Posté 26 octobre 2011 C'est ce que dit, sans doute possible, sa lettre. 1° Cette lettre présentée pue le montage. 2° Même si la phrase repiquée serait vraiment telle quelle dans la lettre du procureur, il s'agit d'une lettre privée ayant une valeur juridique proche du zéro absolu. En l'espèce, le seul document officiel est le communiqué de presse du parquet qui dit : À l'issue de l'enquête confiée à la Brigade de Répression de la Délinquance contre la Personne (BRDP), il ressort que si faute d'éléments de preuve suffisants, les poursuites ne peuvent être engagées du chef de tentative de viol, des faits pouvant être qualifiés d'agression sexuelle sont quant à eux reconnus. Donc, officiellement, le parquet de Paris indique simplement que des faits pouvant tomber sous le coup d'une qualification d'agression sexuelle ont été reconnus. Officiellement, le parquet ne dit pas qu'il y a eu agression sexuelle. Et même si le parquet avait inculpé DSK pour agression sexuelle, cela n'aurait pas équivalu pas à un jugement établissant sa culpabilité. End of the story. Et classement de l'affaire pour prescription.
LaFéeC Posté 26 octobre 2011 Signaler Posté 26 octobre 2011 De toute façon, j'ai l'impression qu'aujourd'hui sa réputation est faite… J'imagine mal son retour dans la vie politique après ces 2 histoires et les soupçons dans l'affaire du Carlton…
Invité Berti Posté 26 octobre 2011 Signaler Posté 26 octobre 2011 De toute façon, j'ai l'impression qu'aujourd'hui sa réputation est faite… J'imagine mal son retour dans la vie politique après ces 2 histoires et les soupçons dans l'affaire du Carlton… Bien entendu. Mais cette affaire va bien plus loin que la seule personne insignifiante de DSK. Elle va jusqu'à l'Elysée (qui a TOUT fait pour qu'il soit nommé au FMI).
Chitah Posté 26 octobre 2011 Signaler Posté 26 octobre 2011 De toute façon, j'ai l'impression qu'aujourd'hui sa réputation est faite… J'imagine mal son retour dans la vie politique après ces 2 histoires et les soupçons dans l'affaire du Carlton… Alain Carignon fait partie de l'équipe de 4 personnes qui prépare la stratégie de campagne de Sarkoko. DSK ministre, peut-être pas, mais dans un poste pas trop exposé, genre boss de la Cour des Comptes, Commissaire Européen, pourquoi pas. Ou boss du fond de secours européen.
h16 Posté 26 octobre 2011 Signaler Posté 26 octobre 2011 Elle va jusqu'à l'Elysée (qui a TOUT fait pour qu'il soit nommé au FMI). Heu. Tu sais qu'ils y sont MEME parvenus ? C'est dingue, quand on y pense. On dirait qu'ils l'ont fait exprès. Moi, je dis, c'est pas une coïncidence. Tu as pensé à mener l'enquête ?
Salatomatonion Posté 26 octobre 2011 Signaler Posté 26 octobre 2011 DSK ministre, peut-être pas, mais dans un poste pas trop exposé, genre boss de la Cour des Comptes, Commissaire Européen, pourquoi pas. Ou boss du fond de secours européen. Ouais ou un truc en lien avec les syndicats de l'hôtellerie aussi.
Chitah Posté 26 octobre 2011 Signaler Posté 26 octobre 2011 Ouais ou un truc en lien avec les syndicats de l'hôtellerie aussi. Le strike, ce serait ministre de la condition féminine, ou boss de l'observatoire des violences faites aux femmes.
Salatomatonion Posté 26 octobre 2011 Signaler Posté 26 octobre 2011 Le strike, ce serait ministre de la condition féminine, ou boss de l'observatoire des violences faites aux femmes. Si Berti le fait condamner (et il y arrivera), ça peut être une utilisation intelligente des TIG.
Johnnieboy Posté 26 octobre 2011 Signaler Posté 26 octobre 2011 Sa carrière n'est pas foutue. En France, une carrière politique n'est jamais foutue. Même lorsque vous posez un flingue sur la tempe d'une nana pour qu'elle vous suce la b… !
Tremendo Posté 26 octobre 2011 Signaler Posté 26 octobre 2011 Sa carrière n'est pas foutue. En France, une carrière politique n'est jamais foutue. Même lorsque vous posez un flingue sur la tempe d'une nana pour qu'elle vous suce la b… ! C'était pas le rêve américain, qui sont cons eux, c'était le rêve franchouille, tout est possible en France, c'est ça l'ascenseur social rrrépublicain. Tu passes de la zonzon à un poste ministériel.
Invité Berti Posté 30 octobre 2011 Signaler Posté 30 octobre 2011 http://www.lemonde.fr/politique/article/2011/10/29/la-strauss-kahnie-entre-rage-et-amertume_1595845_823448.html#ens_id=1522342&xtor=RSS-3208 Les Français doivent se dire, au choix, que nous étions complices, et c'est faux. Ou bien que nous sommes des cons C'est bien résumé. Et Nicolas Sarkozy ? Con ou Complice ?
Salatomatonion Posté 30 octobre 2011 Signaler Posté 30 octobre 2011 Et Nicolas Sarkozy ? Con ou Complice ? C'est plutôt Anne Sinclair qu'on a entendu dire "mon vieux complice".
Calvin Posté 30 octobre 2011 Signaler Posté 30 octobre 2011 C'est plutôt Anne Sinclair qu'on a entendu dire "mon vieux complice". T'es vraiment le spécialiste des blagues sur les vieilles, toi !!
Tremendo Posté 31 octobre 2011 Signaler Posté 31 octobre 2011 Et Nicolas Sarkozy ? Con ou Complice ? Obi Wan Kenobi
jabial Posté 31 octobre 2011 Signaler Posté 31 octobre 2011 Mouais la plus jeune mère au monde avait 5ans (elle avait ses règles à 3ans). http://fr.wikipedia.org/wiki/Lina_Medina Hors de ce cas (bon a aussi eu une russe mère à 6an) pas mal de filles ont leur règles avant 10ans. Suis pas un gros fan de la majorité sexuelle pour ces personnes. Aussi tôt ça s'appelle une maladie génétique hein. Je n'aime pas trop le concept de majorité (sexuelle ou commerciale ou électorale). Je pense que fixer un âge barrière a certes un sens, celui d'apporter une certaine sécurité juridique, mais qu'il ne doit pas avoir l'effet inverse en imposant une minorité automatique en deçà. À mon sens, la règle pour la majorité sexuelle devrait donc être la suivante : - Avant la puberté tout acte sexuel est un viol - Entre la puberté et un âge fixé arbitrairement (16 ans ?) c'est au juge d'en décider - Après cet âge fixe arbitrairement, il n'y a plus de viol par le simple fait de l'âge - Au surplus, il ne peut exister de viol par le simple fait de l'âge entre partenaires d'âges voisins. La majorité commerciale devrait être fixée à un âge arbitraire (16 ans ?) mais aussi pouvoir être accordée auparavant à tout mineur capable d'argumenter sa demande devant un juge seul à seul et par lui-même. Quant à la majorité électorale, il me semble logique qu'elle coïncide avec la majorité commerciale.
Nirvana Posté 7 novembre 2011 Signaler Posté 7 novembre 2011 Manifestation contre les violences faites aux femmesPar LEXPRESS.fr, publié le 05/11/2011 à 17:05, mis à jour à 17:05 Manifestation contre les violences faites aux femmes Tristane Banon et Clémentine Autain défilent, le 5 novembre 2011 à Paris, pour dénoncer les violences infligées aux femmes. Plusieurs milliers de militantes féministes, ainsi que Tristane Banon, Cécile Duflot ou encore Jean-Luc Mélenchon, ont défilé samedi à Paris pour dénoncer les violences infligées aux femmes, et réclamer une loi-cadre et de réels moyens d'appliquer la législation. Tristane Banon, Cécile Duflot, les candidats à la présidentielle Eva Joly (EELV) et Jean-Luc Mélenchon (Front de gauche), tous ont participé à une manifestation pour dénoncer les violences infligées aux femmes, et réclamer une loi-cadre et de réels moyens d'appliquer la législation. Le cortège, formé de plusieurs milliers de personnes, s'est ébranlé vers 15h00 de la place de la Bastille en direction de l'Hôtel de Matignon, à l'appel du Collectif national pour le droit des femmes. Ce collectif regroupe associations féministes, syndicats et partis politiques de gauche (NPA, EELV, PS, PCF, FG). En tête du défilé, une grande banderole proclamait "Violences faites aux femmes, ça suffit. Une loi-cadre, des moyens et des actions tout de suite". Tristane Banon, qui a accusé Dominique Strauss-Khan de tentative de viol, a plaidé pour l'adoption "à l'unanimité" de la proposition de loi de Marie-George Buffet portant à 10 ans la prescription dans les affaires d'agression sexuelle. "Dix ans c'est un minimum. Et pourquoi pas l'imprescriptibilité, cela existe au Canada", a-telle dit à l'AFP. De son côté, la secrétaire nationale des Verts, Cécile Duflot, a souligné auprès de l'AFP "le risque de régression" en matière de droits des femmes et appelé à "rester plus que jamais mobilisé" et à surtout "ne pas baisser la garde". Députée du Front de gauche, Martine Billard a insisté sur la nécessité de donner "des moyens aux tribunaux et aux commissariats" pour pouvoir appliquer réellement la loi de 2010. Suzy Rojtman, cofondatrice du Collectif, a rappelé le contexte des affaires Strauss-Kahn ou Tron, qui ont "un peu libéré la parole des femmes" mais à l'occasion desquelles "on a aussi vu se déchaîner une parole sexiste décomplexée". Sur les nombreuses banderoles déployées, on pouvait lire notamment: "Crime misogyne=crime contre l'Humanité"; "Pour un Grenelle des femmes"; "Quand une femme dit non, c'est non". http://www.lexpress.fr/actualite/societe/manifestation-contre-les-violences-faites-aux-femmes_1048034.html
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