Aller au contenu

PC ou MAC ?


NQH

Mac ou PC ?  

68 membres ont voté

  1. 1. Mac ou PC?

    • PC sous Windows
      41
    • PC sous autre (Linux, etc. ?)
      17
    • Mac sous OS X
      18
    • Mac sous autre (préciser)
      3


Messages recommandés

Posté

Je suis d'accord sur à peu près tout sauf sur le fait que la taille du tas ne changerait pas rapidement. Ce qui forcerait à demander et à rendre de la mémoire à l'OS ce qui est on est bien d'accord une perte de temps.

free() ne rend pas de mémoire à l’OS dès que possible (en fait, certaines implémentations ne la rendent même jamais), et malloc() contient des heuristiques pour ne pas avoir à demander plus de tas à chaque malloc() (par exemple, si le tas est de 2 Mo dont 512 ko libres, que l’application demande 1 Mo supplémentaires, malloc() demandera plus que les 512 ko manquants pour éviter que le prochain malloc() doive à nouveau demander de la mémoire à l’OS).

Les VMs ne sont pas magiques, toute heuristique appliquable à une VM peut de toute façon s’appliquer à malloc/free.

Posté

free() ne rend pas de mémoire à l’OS dès que possible (en fait, certaines implémentations ne la rendent même jamais), et malloc() contient des heuristiques pour ne pas avoir à demander plus de tas à chaque malloc() (par exemple, si le tas est de 2 Mo dont 512 ko libres, que l’application demande 1 Mo supplémentaires, malloc() demandera plus que les 512 ko manquants pour éviter que le prochain malloc() doive à nouveau demander de la mémoire à l’OS).

Les VMs ne sont pas magiques, toute heuristique appliquable à une VM peut de toute façon s’appliquer à malloc/free.

Heureusement que malloc est capable d'anticiper sur ce genre de scénario, par contre cela ne change pas le problème de la libération de cette mémoire.

Je connais pas de dev qui change de libc juste pour avoir une heuristique différente, peut-être que ce sont des tocards, mais ça me semble pas être le lot commun d'un développeur C.

Posté

Heureusement que malloc est capable d'anticiper sur ce genre de scénario, par contre cela ne change pas le problème de la libération de cette mémoire.

Ben, même topo avec free, il a des heuristiques du même type que tu trouves dans les VMs. Typiquement, quand tu fais un free, au lieu de bêtement rendre la mémoire à l’OS, il le garde dans un coin pour un malloc subséquent. Exactement comme les VMs, quoi.

Je connais pas de dev qui change de libc juste pour avoir une heuristique différente, peut-être que ce sont des tocards, mais ça me semble pas être le lot commun d'un développeur C.

Et alors ? Je ne connais pas non plus de dev qui change de VM juste pour avoir une heuristique différente non plus.

Posté

En l'occurrence si, c'est même un critère l'efficacité de la gestion de la mémoire dans le choix d'un langage.

Posté

Plus ou moins, dans le sens où certains langages n'ont pas de garbage collector officiel mais permettent quand même son existence (le plus typique étant C++, ou je crois Java mais dans le sens inverse).

Quant au critère d'efficacité, je ne suis pas vraiment d'accord. Il y a souvent plusieurs implémentations d'un langage, ou même suivant les versions, qui changent les performances du garbage collector.

Posté
Et alors ? Je ne connais pas non plus de dev qui change de VM juste pour avoir une heuristique différente non plus.

Alors tu ne connais pas de développeur Java :)

En fait même pas besoin de changer de VM, le GC d'une JVM s'ajuste avec des paramètres en ligne de commande (non standards).

Posté

En fait même pas besoin de changer de VM, le GC d'une JVM s'ajuste avec des paramètres en ligne de commande (non standards).

Je ne le sais que trop bien. Brrrr.

Posté

Déjà vu. Ce qui est amusant c'est de voir les fans d'Apple essayer de justifier TOUS les points, alors que…

SSD Samsung avec un format spécial

Injustifiable. Le mSATA est standard et prend autant de place, d'ailleurs il est très similaire. A noter qu'ASUS n'a pas fait mieux sur ce plan là…

une batterie indécollable

Pas trop justifiable.

une mémoire vive soudée à la carte mère

Complètement justifiable.

et le fameux écran Retina 15,4″ directement incrusté dans la coque.

Pourquoi pas. Mais c'est un compromis qui risque d'impacter la fiabilité.

Ils ont oublié un autre truc injustifiable, les vis dont le tournevis est breveté rien que pour t'empêcher de les enlever. Avant, c'était utilisé sur les iTruc, maintenant c'est aussi le cas sur les Mac.

Ah ça, j'avais pas vu. Mais visiblement les problèmes du Claude ne posent aucun problème à leurs utilisateurs-apologistes. Pertes de données par Danger, Amazon, indisponibilités à répétition, faillites… rien n'y fait.

Ou alors c'est encore un autre syndrome de Stockholm, plus c'est nul, plus il y a de défenseurs.

Posté

Ah ça, j'avais pas vu. Mais visiblement les problèmes du Claude ne posent aucun problème à leurs utilisateurs-apologistes. Pertes de données par Danger, Amazon, indisponibilités à répétition, faillites… rien n'y fait.

Ou alors c'est encore un autre syndrome de Stockholm, plus c'est nul, plus il y a de défenseurs.

Parce qu’il n’y a jamais aucun souci dans l’informatique avant le cloud. Jamais. Les mots bugs, indisponibilité, crash ont été inventé avec le cloud, on connaissait pas avant.

Posté

Non, mais le marketing du Claude c'est que ça va disparaître comme par magie.

Non. Par exemple, pour S3 c’est le pay-per-use des prix faibles, pour EC2 la capacité à moduler simplement et rapidement la puissance d’une instance.

Posté

prix faibles :rolleyes:

Je gère mes sauvegardes avec duplicity, que j’utilise avec S3. Ça me coûte 30 centimes par mois pour un volume d’environ 3 Go. Si tu as une offre moins chère, je suis preneur.

Posté
Richard Stallman: «L'utilisateur doit avoir le contrôle sur le programme, pas l'inverse»

WEB – Le père du logiciel libre était à Paris jeudi dans le cadre d’une rencontre co-organisée par la FIDH et Reporters Sans Frontières…

Cheveux longs hirsutes, barbe de druide et chemise rouge entrouverte moulant une bedaine de (très) bon vivant: pas de doute, c’est bien Richard Stallman qui vient de prendre place face à un ventilo -question de survie ce jeudi à Paris- au premier plan, et un public attentif au second.

Richard Stallman ou «rms», 59 ans, est connu comme le loup blanc dans le monde de l’informatique. Moins ailleurs. On lui doit pourtant le premier système d’exploitation libre, le projet GNU, lancé en 1984. Et d’innombrables autres projets de la Free Software Fondation (FSF) qui ont fait progresser la cause du logiciel libre depuis 30 ans.

Le logiciel libre, Stallman n’hésite pas à en redéfinir, en militant infatigable, les contours. «Est libre un logiciel qui implique quatre libertés essentielles: celle d’exécuter le programme comme tu le veux, celle de développer le code source, celle de redistribuer les copies et celle de redistribuer ses propres versions modifiées.» Et n’allez pas assimiler Linux au logiciel libre sans que le gourou ne s’emporte: «Linux rejette notre philosophie, il ne croit pas que tu mérites d’avoir le contrôle de ton informatique».

Car qui dit logiciel libre ne dit pas open-source, martèle Richard Stallman tout aussi insistant: «Ceux qui ont inventé l’expression open-source ont une unique valeur: celle d’améliorer le code», ce qu’il qualifie avec un certain mépris d’«avantage pratique secondaire». De même, qui dit logiciel gratuit ne dit pas libre car «gratuit veut dire que le programme n’exige pas que les utilisateurs payent pour être abusés» lance-t-il avec malice.

Microsoft, Apple, Facebook, Google… tous ennemis

Le Web dont rêve Richard Stallman, celui dont il se sert à titre individuel, comme ses disciples partout dans le monde, est exclusivement composé de logiciels libres. Tout le reste est à bannir. Plus exactement, tous «les programmes privateurs» qui non seulement ont le contrôle de l’utilisateur «alors que cela devrait être l’inverse», mais peuvent en plus «introduire des fonctionnalités malveillantes».

Sous l’approbation de ses adeptes reconnaissables dans la salle aux autocollants «Pirate Bay» de leurs ordinateurs, le gourou n’épargne personne. A commencer par «un que vous connaissez peut-être de nom», lance-t-il amusé: Microsoft Windows, «un malware (‘’logiciel malveillant’’) universel». Puis Macintosh, Apple et ses «Ithings» qui «portent les menottes numériques les plus serrées car l’utilisateur n’est pas libre de choisir ses applications». Le Kindle d’Amazon ne s’en sort pas mieux, en partie parce qu’il «ne respecte pas l’anonymat» et «nie la liberté de donner un livre en cadeau à un ami», ce qui est pour lui «une attaque directe à la solidarité».

Quid de Google? Le géant du Web développe certes des logiciels libres, mais aussi beaucoup de services qui fonctionnent en JavaScript et récupèrent toutes les données. Idem pour Facebook «qui sait dès que tu likes». Intrusion que combat «en ce moment» sa fondation en développant un moyen de bloquer tous les boutons «Like», explique Stallman. Enfin, comment se fier aux téléphones portables qui ont tous des «portes dérobées» pour permettre de faire des changements à distance… «Comment puis-je parler au téléphone si celui-ci peut-être transformé en dispositif d’écoute?» lance le programmeur.

«Aux Etats-Unis, Twitter et Facebook seraient au service de l’Etat»

En mai dernier, Richard Stallman s’est rendu en Tunisie pour rendre une visite à Bull et sa filiale Amesys, une entreprise française dont on a découvert qu’elle avait commercialisé un système qui permettait à Khadafi d’espionner les dissidents libyens. Coiffé d’une auréole, le gourou avait procédé à un «exorcisme»…

Même s’il n’en parlera pas au cours de sa conférence, l’exemple de Bull concrétise son discours, certes radical, sur «les logiciels malveillants». La Fédération Française des Droits de l’Homme (FIDH) et Reporters Sans Frontières (avec d'autres) n’ont pas co-organisé la rencontre par hasard. La FIDH rappelle par exemple l’histoire de Nabil Rajab, emprisonné pour deux simples tweets contre le gouvernement du Bahreïn.

Pour Stallman, les quatre libertés du logiciel libre sont «quatre nouveaux droits de l’homme» apparus en même temps que l’informatique. Il rejoint les objectifs de la FIDH et de RSF en voulant les faire respecter. Un membre de RSF rappelle toutefois combien les révolutions arabes ont consacré l’importance de Facebook et Twitter. Réponse de Stallman: «Bien sûr, même ces programmes privateurs peuvent apporter du bon. Mais ils n’avaient pas de bureaux locaux en Tunisie ou en Egypte. Aux Etats-Unis, ils seraient au service de l’Etat».

Trêve de pessimisme, Stallman lance une vente aux enchères d’un gnou en peluche (le projet GNU, rappelez-vous), au bénéfice de sa fondation, la FSF. Il orchestre ça d’une main de maître, tentant d’amadouer le public à force d’enthousiastes et répétés «Qui veut un adoraaaable petit gnou, il a besoin d’une famille!». Le gnou part pour 65 euros. Un modeste encouragement financier au très ambitieux combat pour le logiciel libre.

Annabelle Laurent

http://www.20minutes.fr/web/963175-richard-stallman-l-utilisateur-doit-avoir-controle-programme-inverse

Posté

Stallman va quand même un peu loin car l'important c'est la prestation de service. Qu'une entreprise sache un tas de chose sur moi ne me gène absolument pas (mon boulanger en sait probablement autant). Si on le suit complètement das ses délire, alors vive l’ascétisme 2.0.

Posté

Il y a une personne dans le monde, je dis bien une, qui parle à son téléphone pour lui demander la météo ?

(À part ceux qui sont dans un asile psychiatrique, évidemment.)

Posté

Il y a une personne dans le monde, je dis bien une, qui parle à son téléphone pour lui demander la météo ?

(à part ceux qui sont dans un asile psychiatrique, évidemment.)

EHQCvSbHW-k

Posté

Il y a une personne dans le monde, je dis bien une, qui parle à son téléphone pour lui demander la météo ?

(à part ceux qui sont dans un asile psychiatrique, évidemment.)

Tu ne parles pas au téléphone, toi? Mais tu en fais quoi? :dentier:

Posté

http://esr.ibiblio.org/?p=4441

This is also why people who make excuses for or actively advocate closed-source OSs and network software (and yes, Apple/iOS fanboys, I’m looking at you) are not merely harmlessly misguided cultists. They are enemies of liberty – enablers and accomplices before the fact in vendor schemes to spy on you, control you, and imprison you. Treat them, and the vendors they worship, accordingly.

:chine:

Posté

Après avoir passe ces 10 dernières années a dire que mac os x c’était pourri, j'ai acheté un macbook pro la semaine dernière.

A l'usage c'est vraiment très bien, je recommande a ceux qui hésite d'essayer.

A la fois le hardware (c'est le premier trackpad que j'arrive a utiliser !) et le software.

On est beaucoup plus libre que sur windows, l'image du tricycle et de la moto devrait être inversé.

Je trouve le système un peu bordélique et il y a trop de process qui tournent, mais dans l'ensemble c'est bien plus facile a comprendre et a modifier que windows (pour moi en tout cas).

Je suis très content et ça risque fort de remplacer mon windows (pas mon linux par contre).

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
×
×
  • Créer...