Aller au contenu

Film: Le Pianiste (polanski)


Antoninov

Messages recommandés

Posté

Je viens de le voir en DVD. Très très bien.

Dans toute la première partie du film, on voit comment les persécutions ont commencé à Varsovie, pour se terminer par la déportation. On suit ce talentueux pianiste, échappant à la déportation, et tentant de survivre dans Varsovie, divisée.

Posté

Ultra-prévisible, aucun enjeu dramatique, absence totale d'immersion, trop centré sur le personnage, trop de bons sentiments, trop long, irréel. A bien y réfléchir, Monsieur Klein avec Delon est un excellent film sur la persécution des juifs.

Posté

L'une des scènes finales, où l'on voit le ghetto totalement dévasté en vue plongeante, est restée gravée dans ma mémoire.

Posté

La reconstitution du ghetto de Varsovie m'a vraiment impressionné. Le spectateur se sent notamment oppressé par la raréfaction administrative et arbitraire de l'espace imposée par l'occupant nazi.

Posté

En effet Ronnie, c'est pourquoi je trouve que ce film est tout de même très très bon.

Posté

Oui, la reconstitution du ghetto est impressionante. Mais on ne fait pas un film avec une reconstitutions et basta. C'est l'impression que j'ai eu, mais je ne serai pas aussi radical que Gadrel.

Posté

Oui, la reconstitution du ghetto est impressionante. Mais on ne fait pas un film avec une reconstitutions et basta. C'est l'impression que j'ai eu, mais je ne serai pas aussi radical que Gadrel.

Posté

A mon sens, il ne faut pas confondre film et décors. Sinon, au hasard, Cliffhanger est un chef-d'oeuvre absolu du cinéma, tout comme le sont Pee-wee's Big Adventure et Anaconda.

Posté

Je ne l'ai pas vu et n'en ai d'ailleurs aucune envie.

J'ai suffisamment lu sur la Shoah pour faire des cauchemars haut en couleurs jusqu'à la fin de mes jours, merci bien.

D'ailleurs, j'ai détesté la plupart des films que j'ai vu sur le sujet, avec mention particulière pour le summum de mauvais goût mielleux et cucul-la-praline de Roberto Benigni et l'ultra-sentimental devoir de Spielberg.

Je conseille pour ma part "Si c'est un homme" de Primo Levi (dont les autres livres, hélas méconnus, sont également très bons) et la BD "Maus" de Art Spiegelman.

Posté
Je ne l'ai pas vu et n'en ai d'ailleurs aucune envie.

J'ai suffisamment lu sur la Shoah pour faire des cauchemars haut en couleurs jusqu'à la fin de mes jours, merci bien.

D'ailleurs, j'ai détesté la plupart des films que j'ai vu sur le sujet, avec mention particulière pour le summum de mauvais goût mielleux et cucul-la-praline de Roberto Benigni et l'ultra-sentimental devoir de Spielberg.

Je conseille pour ma part "Si c'est un homme" de Primo Levi (dont les autres livres, hélas méconnus, sont également très bons) et la BD "Maus" de Art Spiegelman.

Moi j'avais été soufflé par "La mort est mon métier" de Robert Merle.

Posté
Je ne l'ai pas vu et n'en ai d'ailleurs aucune envie.

J'ai suffisamment lu sur la Shoah pour faire des cauchemars haut en couleurs jusqu'à la fin de mes jours, merci bien.

D'ailleurs, j'ai détesté la plupart des films que j'ai vu sur le sujet, avec mention particulière pour le summum de mauvais goût mielleux et cucul-la-praline de Roberto Benigni et l'ultra-sentimental devoir de Spielberg.

Je conseille pour ma part "Si c'est un homme" de Primo Levi (dont les autres livres, hélas méconnus, sont également très bons) et la BD "Maus" de Art Spiegelman.

En 6e primaire, j'ai été récompensé à un concours de rédaction.

Cadeau : "le livre des camps". Un tome exhaustif. Illustré de multiples photographies bien entendu.

A 12 ans merci bonsoir.

15 jours de cauchemars toutes les nuits.

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.

×
×
  • Créer...