Lameador Posté 20 janvier 2016 Signaler Posté 20 janvier 2016 Personnellement je ne demande pas l'honnêteté de l'aveu, mais l'honnêteté de la fidélité. Une fois la faute commise, qu'il y ait aveu ou non ne relève plus de l'honnêteté mais de la façon de gérer l'après et de réparer la relation. Pour ma part, j'ai une préférence pour l'attitude suivante de la part du trompeur : s'en vouloir en silence, tout faire pour réparer la relation en s'assurant de travailler sur ce qui a pu faciliter la faute, et tout faire pour ne pas recommencer. En fait, je considère que l'aveu crée une souffrance supplémentaire et donc un obstacle supplémentaire à surmonter. La tromperie en elle-même abîme déjà suffisamment le couple comme ça... Pour le coup, je suis plutôt d'accord avec ça.
Bisounours Posté 20 janvier 2016 Signaler Posté 20 janvier 2016 Je comprends bien cet argument, je ne dis pas le contraire, mais je trouve que vous balayez d'un revers de main le fait que dans ce genre de situation on n'est pas pleinement rationnel. Réfléchir au fait qu'on ne peut pas tout lâcher c'est plus facile à dire derrière son clavier que lorsqu'on y est vraiment confronté. Moi je pense qu'on ne sait pas comment on réagira dans ce genre de situation où on se sent trahi. Le socialisme aussi c'est plus facile, qui cause toujours ici de rationalité et tout le tremblement ?
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