Eriul Posté 15 octobre 2015 Signaler Posté 15 octobre 2015 "L'autorité a décidé de frapper fort." Que de prétentions voilées.
Rusty Posté 15 octobre 2015 Signaler Posté 15 octobre 2015 Ce sujet d'abrogation d'autorisation de Numéro23 est hallucinant ! http://www.csa.fr/Espace-Presse/Communiques-de-presse/Numero-23-abrogation-de-l-autorisation
Flashy Posté 15 octobre 2015 Signaler Posté 15 octobre 2015 Je suis assassiné.Je sais que ce pays est foutu, qu'il y a une atmosphère liberticide. Mais agir ainsi, en toute décontraction? Putain. La loi prévoit déjà une clause de conscience pour les journalistes.Pour mémoire, une clause de conscience c'est "la stipulation en vertu de laquelle le salarié peut quitter son employeur, à l'occasion d'un changement notable d'orientation ou de philosophie de l'entreprise, la rupture du contrat étant alors considérée imputable à l'employeur." La déontologie, c'est une affaire qui ne concerne pas l'Etat ni l'employeur : cela concerne l'individu et éventuellement son ordre professionnel. Si l'indépendance ou la conscience du journaliste sont en danger ==> clause de conscience.Il y a d'ailleurs d'autres dispositions dans nos lois pour garantir l'indépendance du journaliste en cas de changement d'actionnaires. Bref, ce que nous vivons-là est un pur scandale. J'aime bien gueuler gentiment, mais là, on tape dans le dur au niveau foutage de gueule.
Rincevent Posté 15 octobre 2015 Signaler Posté 15 octobre 2015 Le 15/10/2015 à 11:52, Vincent Andrès a dit : et patron des taxis parisiens.Non, "uniquement" des Taxis Bleus et des Taxis G7 (bon, OK, ça fait 80 % du marché). Restent des indépendants, mais aussi les taxis Alpha. Pour ma part, j'essaie de ne plus prendre de G7 ou de Bleus, et j'ai installé l'appli Taxis Alpha sur mon phone. C'est peut-être un poil plus long, mais le service est toujours impeccable. Le 15/10/2015 à 12:54, Flashy a dit : Je suis assassiné. Je sais que ce pays est foutu, qu'il y a une atmosphère liberticide. Mais agir ainsi, en toute décontraction? Putain. La loi prévoit déjà une clause de conscience pour les journalistes. Pour mémoire, une clause de conscience c'est "la stipulation en vertu de laquelle le salarié peut quitter son employeur, à l'occasion d'un changement notable d'orientation ou de philosophie de l'entreprise, la rupture du contrat étant alors considérée imputable à l'employeur." La déontologie, c'est une affaire qui ne concerne pas l'Etat ni l'employeur : cela concerne l'individu et éventuellement son ordre professionnel. Si l'indépendance ou la conscience du journaliste sont en danger ==> clause de conscience. Il y a d'ailleurs d'autres dispositions dans nos lois pour garantir l'indépendance du journaliste en cas de changement d'actionnaires. Bref, ce que nous vivons-là est un pur scandale. J'aime bien gueuler gentiment, mais là, on tape dans le dur au niveau foutage de gueule. Ponds un article pour CP en tant que juriste, au sujet de toutes ces affaires. S'il te plait.
Rusty Posté 15 octobre 2015 Signaler Posté 15 octobre 2015 Comme le dit un commentaire sur CP, on n'entend pas Elise Lucet sur ce sujet, qui est d'habitude si prompt à combattre les injustices.
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