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NicolasB

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Tout ce qui a été posté par NicolasB

  1. Merci mais j'avais peur de trouver un avis pas forcément libéralo compatible en dehors du forum… en tout cas, c'était très drôle!
  2. Nous ne sommes pas au Pays des Merveilles mais en France… Je ne vois pas ce qui vous choque! OK
  3. Excusez mon inculture mais qu'est ce que la Fitna?
  4. Mais alors c'est qui ou quoi le Parti Libértarien qui a poussé sur Twitter : https://twitter.com/#!/Libertariens????
  5. J'aurais su que c'était si "facile" j'aurais commencé plus tôt!
  6. De rien… Eh bien c'est bluglasnot qui va être content par contre attention, j'avais mis quelques liens ou annotations à enlever et ou corriger. Je vous passe le fichier par mail en même temps que celui la. Les réformes du marché en Chine : Devons-nous y croire? Derek Scissors, Ph.D. 23 Février 2012 à 11:49 La première étape dans la résolution d’un problème est d’admettre son existence. Depuis des années, le gouvernement Chinois et ses supporters à l’étranger insistent tout d’abord sur le fait que la Chine continue ses réformes, et que le développement de l’économie dirigée est supérieur à la croissance économique obtenue par le marché. Les preuves du contraire sont pourtant nombreuses. Il y a toujours eu un camp réformateur en Chine; et ils ont réussi à perdre chacune des batailles politiques majeures des neuf dernières années. En ce moment même, les réformateurs essayent à nouveau de gagner. Ils vont tenter de réussir, mais au moins ont-ils une chance, pour la première fois depuis des décennies. L’actuel gouvernement Chinois, dirigé par le Secrétaire Général du Parti Communiste Hu Jintao, a pris ses fonctions en fin d’année 2002. à ce moment, la Chine poursuivait sa réforme entamée il y a 23 ans pour un marché libre authentique. Elle avait une croissance durable de 8 à 9 % et une économie équilibrée. A un moment contestable sous le régime de Hu, mais pas après 2006, le marché a été mis de côté à la faveur de l’Etat. La croissance chinoise devint effectivement un peu plus rapide mais aussi radicalement déséquilibré, et, avec la crise financière, très dépendante d’un niveau insoutenable de mesures de relance. Cela a pris du temps avant de reconnaitre que c’était un problème, mais c’était en fait la partie facile. Le plus dur sera de faire effectivement les changements nécessaires de politique. Le gouvernement de Hu Jintao a éloigné la Chine du chemin de la libéralisation. A part de beaux discours, le gouvernement ne va pas faire machine arrière sur neuf ans de choix politiques et retourner vers le marché en 2012. Aucune chance. Mais cette année commence une transition politique pour la République Populaire de Chine. Cet automne, un nouveau leader du PC sera élu, et un nouveau gouvernement sera en place entre février et mars 2012. C’est la raison pour laquelle les réformateurs, y compris les conseillers économiques les plus âgés, se font de plus en plus entendre. Ils espèrent que le nouvel arrivant, le secrétaire du parti communiste Xi Jinping et son cabinet seront prêts à les écouter, plus que ne l’était le cabinet de Hu Jintao. Malheureusement, Xi Jinping vient d’un groupe, connu comme les « princes héritiers ». Ils bénéficient grandement du rôle moteur de l’Etat dans l’économie – par exemple, en étant nommé PDG des grandes entreprises publics. Il y a fort à parier que l’état restera prépondérant [NdT dans la gestion de l’économie]. Mais, il est possible que, après avoir passé du temps au pouvoir, Xi va convenir que la Chine fait fausse route. Pas aujourd’hui, ni demain, mais (peut-être) bientôt. C’est le but du camp des réformateurs. Le reste du monde devrait rester sceptique, mais devrait également les encourager.
  7. L’économie américaine remet les gaz Le taux de chômage, les bénéfices et les ventes de voitures ont meilleurs mine de l’autre côté de l’Atlantique (qu’en Angleterre). Image d'Obama Les médicaments fonctionnent-ils? Le stimulus fiscal du Président Obama a fait les gros titres, mais a été compensé par des réductions de dépenses publiques. Photo: AFP Photo de Jérémy Warner Par Jeremy Warner 2:19PM GMT 18 Feb 2012 Comme l’une des nombreuses villes de la grande campagne américaine, Steubenville, Ohio, était un lieu sans espoirs : une ville aux aciéries fermées. La moitié des magasins avaient baissé leurs rideaux et le marché de l’immobilier était en décrépitude. La crise financière était un coup de plus dans une ville frappée par la désindustrialisation. Avec un taux de chômage de presque 15 %, beaucoup de familles ont déménagé par désespoir. Après avoir été le cœur prospère de l’industrie américaine, il n’y avait plus de futur. Mais c’était il y a deux ans. Depuis, une nouvelle industrie est arrivée dans la ville, amenant des investissements, des milliers d’emploi et la prospérité. Steubenville est l’une de ces douzaines de nouvelles villes champignons le long des montagnes Appalaches, depuis l’Ohio et le Maryland, jusqu’à la Virgine Occidentale, la Pennsylvanie et l’état de New York. Toutes bénéficient de la révolution du gaz de schiste, une nouvelle technologie permettant d’avoir accès aux énormes réserves de gaz naturel bloquées dans la roche. Les résultats sont surprenants. Il ne s’agit pas d’une bulle spéculative. Pour la première fois depuis 40 ans, les Etats-Unis d’Amérique sont proches de leur but : l’autosuffisance énergétique. Le coût de cette énergie a si brusquement baissé que la « Methanex Corporation », le plus grand fabricant de méthanol au monde, va relocaliser son usine du Chili vers la Louisiane, peut-être le plus bel exemple à ce jour de la nouvelle façon de travailler « à terre » (NdT contraire de Offshore). C’est l’une des nombreuses décisions provenant de la révolution des gaz de schiste. Dow Chemical a prévu une nouvelle unité de fabrication de propylène en 2015. Formosa Plastics a proposé simultanément un investissement d’un milliard et demi de dollars dans une usine de fabrication d’éthylène dans le même état. Dans le même temps, US Steel et Vallourec (NdT une boite Française on pourra peut-être un jour nous aussi en profiter!) planifient des investissements de plusieurs millions de dollars dans de nouvelles aciéries pour faire face à la demande pour l’extraction des gaz de schiste. Pourtant, les gaz de schistes ne sont qu’une partie de la renaissance économique des états-Unis. Partout à travers le pays, l’économie américaine reprend vie. Cette semaine par exemple, General Motors, presqu’au-delà de la faillite il y a trois ans, a annoncé les meilleurs bénéfices de toute son histoire. Les ventes d’automobiles sont au plus haut depuis le début de la crise financière. Il y a même des signes que le marché immobilier se retourne. Les ventes aux enchères, un chiffre clé dans la santé du marché immobilier américain, repartent dans le bon sens. Dans certains états, les prix de l’immobilier sont en train de monter à nouveau. Il y a encore beaucoup de raisons de s’inquiéter de la durabilité de la reprise américaine. Mais, comparer aux performances moribondes de l’économique britannique et du reste de l’Europe, les Etats-Unis semblent un modèle de reprise. Le taux de chômage diminue. La croissance, bien qu’en légère baisse après un quatrième trimestre en forte expansion, reste robuste. La production est de retour aux USA, et confortablement au-dessus du niveau maximum d’avant crise. En Grande-Bretagne, par contraste, l’économie ne va nulle part depuis plus d’un an. La production reste bloquée à 4% de moins que le maximum de 2007. De plus, le chômage continue d’augmenter. Et, avec les baisses massives de dépenses publiques à venir, il va continuer de monter plus avant qu’il ne commence de baisser. (NdT les dépenses publiques continuent en réalité d’augmenter en Grande-Bretagne cf l’article de Contrepoints http://www.contrepoints.org/?p=67685) . Je devrais faire attention à ne pas tomber dans un pessimisme sombre. Il y a des signes encourageants dans les données macroéconomiques anglaises. Les ventes de détail ont brusquement augmenté en Janvier, selon les chiffres publiés hier, battant à plat de couture le sombre consensus (NdT également les chiffres du budget de l’Etat :http://www.contrepoints.org/?p=70154). De même, la vue d’ensemble n’est pas aussi maussade que les chiffres globaux le suggèrent. En enlevant le secteur pétrolier, où la production a nettement décliné –certainement à cause de la tentative du gouvernement de taxer plus la mer du Nord – le reste de l’économie est en croissance. Certes la croissance est faible, mais ce n’est pas si mal. Le plus important est la nette amélioration du commerce extérieur. La Grande-Bretagne a enregistré un record de plus de 10 ans dans sa balance commerciale, ce qui est louable puisque 40% de notre commerce extérieur est fait dans la zone euro. Malgré tout, peu de personnes ici pensent qu’il y aura de la croissance économique cette année, bien que les choses s’améliorent aux USA. Le pays, où la crise économique est née, est en train de sortir bien plus rapidement que nous de ses conséquences économiques catastrophiques. Pourquoi cela ? Pourquoi est-ce que les USA revoient le jour, alors que la Grande-Bretagne est toujours coincée au fond du trou ? Pour l’ancien secrétaire au trésor américain, Larry Summers, le parti Travailliste, et la plus part des autres partisans de Keynes, les raisons sont claires. C’est largement à cause des politiques fiscales. Quand la Grande-Bretagne et la plupart des pays de la zone Euro appliquent des politiques d’austérité, les Etats-Unis ont laissé ouverts les robinets de la dépense publique pendant beaucoup plus longtemps. Il y a eu apparemment une grande tolérance aux déficits et une autorisation d’augmentation de la dette, s’opposant aux conséquences défavorable de la baisse de la demande privée et du désendettement de ce secteur. La position de George Osborne, le Chancelier [NdT Ministre des Finances britanniques], a été assez différente. Tant que nous ne sortirons pas de notre endettement élevé, a-t-il expliqué, notre économie ne retournera pas à une croissance significative. Tant que les déficits ne seront pas correctement jugulés, l’économie continuera d’avoir des difficultés. Nous avons besoin de réduire les déficits pour permettre la croissance, continue-t-il. Mr Summers a fait une critique virulente de cette stratégie. L’idée d’une « austérité expansionniste fiscal », a-t-il dit dans une conférence à Davos le mois dernier, n’est pas seulement « oxymoronique », mais c’est débile [NdT moronic veut dire débile en Anglais, c’est donc un jeu de mots intraduisible puisque Mr Summers propose de supprimer le préfixe du terme « oxynomoronique » pour qualifier cette politique…]. Aucun pays n’est sorti de la Grande Dépression dans les années 30, a-t-il expliqué, sauf en quittant l’étalon-or et ensuite en se réarmant pour la Seconde Guerre Mondiale. Dans son esprit, c’est une leçon puissante. La croissance légitime ne reviendra pas d’une absence de demande. Dans des circonstances ou le secteur privé ne peut ou ne veut pas la fournir, c’est à l’état de se mettre dans la brèche. L’austérité ne peut pas être une stratégie de croissance durable, comme la zone Euro est en train de le découvrir à ses frais. [NdT je suis en désaccord avec ce chapitre : je vous remercie de rajouter des liens sur Contrepoints permettant d’étayer que le Keynésianisme c’est de la merde !] C’est un argument que je trouve très peu convaincant. D’abord parce que il n’est pas clair que les USA ont en fait réalisé une relance par les dépenses. Les effets d’annonce du stimulus fédéral de Barack Obama a été partiellement, voire totalement, effacé par les baisses des dépenses des gouvernements fédéral et locaux. La plupart des états sont obligés d’avoir des budgets en équilibre. Ainsi, il y a eu des coupes sombres dans les dépenses au fur et à mesure de la baisse des recettes fiscales dues à la récession. La deuxième raison pour laquelle les choix fiscaux ne pèsent pas beaucoup est que la Grande-Bretagne n’avait pas d’autres choix que de baisser les déficits. Si les gouvernements étaient aussi surs que l’augmentation des dépenses n’entraine pas de pénalités sur les taux d’intérêts, alors certainement même George Osborne aurait mis de côté ses croyances sur un petit état et aurait laissé filer les déficits. Mais bien sûr, nous savons qu’ils ne peuvent pas. La taille anormalement élevée du secteur bancaire britannique, combiné avec le haut niveau d’endettement des ménages, rend la Grande-Bretagne particulièrement vulnérable à la crise des dettes souveraines et à sa contagion sur tous les marchés financiers de la zone Euro. Au vu de l’énorme niveau d’endettement, le Chancelier ne peut pas se permettre de prendre des risques avec les taux d’intérêt. C’est ce niveau élevé de dettes qui fournit la meilleure explication sur l’absence de redémarrage de l’économie britannique. La Grande-Bretagne vient à peine de commencer de rembourser ses dettes. Aux USA, ou la crise a commencé, le processus est plus avancé. La dette des ménages et du secteur financier a plus baissé que la dette du gouvernement américain n’a augmenté. Deux autres facteurs ne sont pas négligeables. Le premier, les USA ne sont pas aussi exposés à la crise de la dette de la zone Euro que le Grande-Bretagne. Le destin du Royaume-Uni est complètement lié à la zone Euro à travers son commerce extérieur et son système bancaire. Le second est que l’Amérique est simplement bien plus flexible que l’Europe. Le secteur privé américain est bien plus grand en pourcentage de PIB, comparé à la Grande-Bretagne et à l’Europe. De plus, il est plus rapide et moins sentimental pour nettoyer les détritus de la dernière crise. Les mauvaises dettes ont été amorties, les employés licenciés, et les entreprises non compétitives ont été autorisé à faire faillite ou, dans le cas des constructeurs automobiles, restructurés rapidement. [NdT certes mais à quel prix, quand on voit comment l'action du nouveau GM est tombé]. Contrairement à l’Europe et au Royaume-Uni, où la préservation des emplois a amené à de sérieuses pertes de compétitivité, les USA ont grandement amélioré la leur pendant la crise. Les gaz de schiste ont été la cerise sur le gâteau. Parfois, il semble que le choc brutal et rapide est meilleur que le très long ajustement.
  8. Non mais il diffuse bien les idées libérales (et il est membre du "directoire" du PLD).
  9. encore un libéral dans les moeurs et pas en économie!
  10. Qui marcherait encore mieux si elles n'étaient pas écrasés sous les contraintes bureaucratiques stupides… et des impôts lourdingues!
  11. Je suis bien d'accord avec vous : responsabilité individuelle et de son employeur… On ne peut pas rentrer dans un pays en guerre en espérant ne pas être blessée…
  12. Intervenir non? Appeler les forces de l'ordre compétentes pour séparer les parties oui…
  13. Le pragmatisme est quand même un outil important, qu'il faut bien sûr étayé avec quelques axiomes et principes intangibles pour avoir une bonne compréhension du monde.
  14. Et pour combien de temps? Les pauvres partent avec une belle charge sur les épaules!
  15. Philippe Pouton : je l'ai entendu à midi sur France Bleu et il est contre les subventions à Ford Blanquefort! Je vous laisse chercher le lien!
  16. Que veut dire Nonossage? Le soutien à Florange c'est n'importe quoi! 0 subventions aux boites… Si les employés ne sont pas surs de leur avenir dans cette boîte, qu'ils démissionnent!
  17. Ou alors on présente la facture finale à la personne qui a été sauvée… Tout comme, et là je dévie un peu, les inconscients qui font du hors-piste… Est ce normal de leur payer un tour en hélico? Leur présenter la facture à la fin de leurs périples devrait permettre de diminuer rapidement le nombre d'interventions des services de sécurité : Responsables de ses actes jusqu'au bout des ongles!
  18. Il y a quand même quelques libéraux qui passent de temps à autre dans les médias (Alain Madelin souvent sur BFM, Aurélien Véron qui a signé quelques éditoriaux sur le monde, Vincent Bénard aussi). Après dans les élus nationaux, je n'en vois pas…
  19. moi je suis angélique je n'harcèle jamais… Ce n'est que lorsque ça parle économie ou politique que j'interviens…
  20. Je veux bien prendre : il me paraît court je pense donc pouvoir le rendre dans la nuit.
  21. Tout ce qui peut aider à diffuser des idées libérales est bon à prendre, même si ça ne se passe que sur le Net pour le moment…
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