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NicolasB

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Tout ce qui a été posté par NicolasB

  1. Drôle? Non il joue avec mon argent pour favoriser untel ou un autre… ça me ferait putoôt pleurer!
  2. Ils sont plus riches que la majorité des Français, pourtant ils veulent taxer les riches… ah mince, c'est vrai ils s'auto-amnistient et s'arrangent pour ne pas payer d'impôts.
  3. Je suis halluciné par le journaliste qui a parlé des émissaires : quel courage il a eu, dommage qu'il n'ait pas eu quelques preuves!
  4. Enfin l'article pour GM… Les profits de GM ne vont pas tirer d’affaire les contribuables. Le matelas de cash de la compagnie ira aux syndicats, pas aux investisseurs. Shikha Dalmia | February 22, 2012 3 ans après le renflouement par les contribuables, General Motors vient d’annoncer des objectifs de bénéfices assez ambitieux pour 2012. Mais, même si ces objectifs sont atteints – avec un grand si – les contribuables ne devraient pas s’attendre à récupérer le reste de leurs ‘investissements’ dans la compagnie. Aucun doute : GM est bien sorti du gouffre. 8 milliards de dollars de bénéficies : un record historique. De plus, GM a regagné suffisamment de parts de marché pour redevenir le plus grand constructeur automobile mondial, un titre qu’il avait perdu en faveur de Toyota. Le plus impressionnant, il a prévu de catapulter ses marges de 6% l’an passé à 10% cette année, à égalité avec ses meilleurs rivaux comme Hyundai et BMW. Grace à cela, GM espère afficher 10 milliards de dollars de profits cette année, quelque chose que seules 17 compagnies publiques ont réussi à faire en 2010. Comment les investisseurs ont-ils réagis à tous ses espoirs et déclarations ? Par un grand bâillement : le prix des actions GM, qui varie autour de 25$ depuis des mois, a à peine bougé. C’est 8 $ en dessous du prix d’introduction en Bourse. Et c’est surtout 30$ en dessous de la somme nécessaire aux contribuables pour récupérer les 30 milliards de dollars qui sont encore bloqués dans la compagnie. Si les investisseurs n’achètent pas les scénarios roses pastel de GM, c’est pour de bonnes raisons. Peter de Lorenzo, éditorialiste chez « Auto Extremist », relève que GM fait face au marché le plus concurrentiel de son histoire. Les investisseurs sont dubitatifs sur le fait que GM réussisse. Les 8 milliards de bénéfice de l’an passé proviennent partiellement du tsunami au Japon qui a coupé la chaine d’approvisionnement de Toyota et Honda. Les deux sont de retour cette année et plus forts que jamais. Pendant que GM annonce une baisse de 6% des ventes en Janvier en Amérique du Nord par rapport à l’an passé, ses concurrents étrangers ont affichés des gains impressionnants. GM va peiner à atteindre les prouesses de l’an passé, surtout si la contre-performance du mois de Janvier se reproduit dans l’année, a expliqué De Lorenzo. La concurrence plus rude en Amérique du Nord n’est pas la seule source d’inquiétude de GM. Ses ventes ralentissent en Chine. L’Europe restera probablement une zone de turbulence. GM a accusé 2 milliards de dollars de pertes en Europe l’an passé, à cause d’Opel, sa marque allemande sous perfusion. Mais GM n’a pas été autorisé par le gouvernement allemand à restructurer ses usines. Dans le même temps, les ventes d’Opel baissent et la crise économique s’amplifie sur le vieux Continent. Toyota et Honda ne sont pas exposés de la même manière à l’Europe et ont ainsi nettement moins à s’inquiéter. De plus, le système de retraite de GM n’est pas financé à hauteur de 22 milliards de dollars, dont environ 10 milliards uniquement pour les USA. Si GM résout tous ses incidents, dit Sean McAlinden du centre sur la recherche automobile, son action pourra monter jusqu’à 40-45 $, laissant aux contribuables une ardoise de 5 à 8 milliards de dollars. Mais, ce serait dans le meilleur des cas. Si le cours de l’action reste aux environs de 25$, les pertes s’élèveraient à 15 milliards de dollars. Sans compter les 15 milliards de dollars d’impôts supprimés que GM a obtenu lors de sa faillite. En tout et pour tout, les contribuables seront floués de 20 à 30 milliards de dollars. Ce n’est pas le seul risque pour les contribuables. La faillite de GM a faussé le marché si fortement que ses concurrents exigent de recevoir le même traitement. Par exemple, McAlinden explique que l’administration a donné 10 milliards de dollars de plus que ceux strictement nécessaires pour financer la faillite. Cet argent a permis d’alimenter le matelas confortable de 33 milliards de dollars de « cash ». GM pourrait utiliser cet argent pour acheter son propre capital afin d’augmenter le cours de l’action, atténuant ainsi les pertes des contribuables – ou payer des dividendes. Mais McAlinden ne croit pas que GM va le faire. Il pourrait utiliser ces sommes pour rembourser ses obligations envers les syndicats (assurances santé et fond de pension), faisant ainsi un transfert direct d’argent des contribuables vers les syndicats. Ou bien il va utiliser cet argent pour le développement de nouveaux produits, mettant ses concurrents dans l’embarras. De plus, puisque ces 10 milliards de dollars de subventions sont une prise de participation au capital, GM n’a pas d’intérêts à payer. Ford, par exemple, paie toujours les intérêts sur les 23 milliards de dollars de dettes contractés par l’entreprise pour éviter de faire faillite. C’est injuste. Et l’administration Obama le sait. C’est peut-être la raison pour laquelle le prêt de 5,6 milliards de dollars destinés à rénover les outillages de Ford a été aussi vite approuvé. Du coup, cela provoque les hurlements de Sergio Marchionne de Chrysler. L’administration a donné à la compagnie mère de Sergio Marchionne, Fiat, la majorité dans le capital de Chrysler, sans demander un seul euro à Fiat. Pourtant, Marchionne se plaint que l’administration n’a pas été assez généreuse. Contrairement à GM, l’administration oblige Chrysler à payer des intérêts sur le prêt du sauvetage financier. Maintenant, l’administration traîne des pieds pour approuver les prêts de rééquipements de Chrysler, prétend-il. Les sympathisants des subventions continuent d’affirmer que c’était fait en une seule fois pour soutenir des compagnies dans des périodes économiquement difficiles. En réalité, la course au butin des subventions a produit des effets secondaires qui vont hanter l’économie pendant encore longtemps. Comme Barack Obama est en campagne pour garder son travail, il prétendra que le sauvetage de ces entreprises a été une réussite permettant de conserver des millions d’emplois américains. Mais les contribuables devraient garder en mémoire que la ponction dans leurs portefeuilles a été conséquente et va probablement continuer de grandir au fur et à mesure des années. Shikha Dalmia est une analyste principal à la Foundation Reason et une éditorialiste au Daily. Cet editorial est paru la première fois dans Bloomberg News.
  5. Bonjour les jeunes, Désolé mais le we a été bcp plus occupé que je ne le pensais… Du coup, la traduction pour l'article sur GM sera rendu lundi dans la nuit de lundi à mardi… Nicolas Mais je pense que même une proposition de traductions ce serait bien de les mettre direct sur le fichier (plus ergonomique à lire que le fil du forum).
  6. Ajouter dans le fichier Ajouter dans le fichier Merci de le mettre dès que vous l'avez pris dans le fichier : ça évite de remonter le fil de la conversation sans vouloir encore une fois faire le maniaque…
  7. Avide de pouvoir??? Non! Oui les BD, mais je ne considère pas que c'est nostalgie car je les relis régulièrement! Astérix, Tintin moins, Lucky Luke oui et Boule et Bill aussi
  8. Je suis persuadé qu'il y a une part d'humour qui m'a échappé mais Ok, je le note…
  9. Euh une question quel est le rapport avec le libéralisme? Deuxième chose et les livres? Je me souviens que je dévorais l'étalon noir en lisant sous la couette jusqu'à minuit quand j'avais huit-neuf ans!
  10. face à autant de démentis, Laffer se fait discret… Connait-il seulement Piketty? A-t-il été interviewé sur le sujet pour expliquer sa courbe?
  11. Autre question : faut il une police de caractères particulières pour les textes quand on les envoie à la rédac?
  12. Ok du coup je prend celui de GM et je me suis ajouté pour samedi en rendu.
  13. ça aura l'avantage d'éviter les trop fortes concentrations de population…. Oui effectivement en bon campagnard, je n'ai pas ce soucis!
  14. IRL, je ne suis pas aussi tranché que sur un forum dédié au libéralisme… J'essaie d'amener les choses doucement et gentillement, à provoquer la réflexion : après tout on est tous à peu prêt équipé de la même manière pour réfléchir!
  15. Oui pas comme "en subissent les conséquences"
  16. Et ne pourraient-ils pas construire leurs écoles en "Libéralie" à un endroit où rien ne les gênent? ne pourraient-ils pas contracter avec leurs voisins un certain nombre de choses à ne pas faire pour ne pas les choquer?
  17. Ah oui, je suis bien d'accord : j'espérais même que ça accélère la chute…
  18. Bien sûr que 75% des Français pensent qu'il s'agit de taxer 75% des revenus des salauds de riches!
  19. Tout à fait… Je suis peut-être pinailleur mais il est important de remettre les bons mots avec les bonnes définitions… « La guerre, c'est la paix. » « La liberté, c'est l’esclavage. » « L'ignorance, c'est la force. » Voila comment l'esprit devient embrumé…
  20. L'idiotie de la progressivité de l'impôt : plus tes talents sont reconnus, moins tu es incité à les utiliser… Les effets de seuil sont une horreurs : à quand la flat tax que n'importe qui puisse calculer ces impôts de tête? Voir l'excellentissime article de H16 et ces 10 propositions pour la France…
  21. Oui, merci j'avais compris cette subtilité… Par contre,il semblerait que l'article sur GM Blueglasnot le traduise. En tout cas c'est noté sur le forum et pas sur le fichier hier soir. Il y a également de nombreuses propositions de traductions sur le forum absente dans le fichier, ce qui ne facilite pas la recherche d'articles libres de toute traductions.
  22. Une facette qui n'est pas des plus efficaces… Le contrôle par des réglementations dans le domaine financier est toujours en retard par rapport à la créativité des hommes qui composent ces entreprises. Par contre, la régulation par la peur de la faillite doit aiguiser pour avoir des procédures de contrôle bien plus précise et adaptée à la situation de chacunes de ces firmes. Qu'est-ce que peut faire un "réglementeur" n'ayant pas un intérêt direct dans la vie de l'entreprise en question, si ce n'est demander à appliquer des généralites ineptes? +1 La bataille des mots n'a-t-elle pas son importance? Quand j'entends des journalistes confondre dette et déficits, je me dis que les mots ne signifient plus grand chose… Et comment se comprendre quand notre langage est brouillé par des non-sens?
  23. Pro réchauffiste? De dire que il y a un mensonge auprès de la population et une grosse crisé économique à la clé?
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