Buaires
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Traductions pour Contrepoints, Wikiberal et autres
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Dans le cas où un groupe de traduction se mettrait en place, je participerai certainement. Disponible surtout le week-end, possibilité entre midi et 2h (mais de manière plus irrégulière). -
Un accord avec FreeBanking.org afin de traduire leurs articles sur Contrepoints est-il envisageable ?
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Un accord avec FreeBanking.org est-il envisageable ? -
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Merci pour la publication rapide ! -
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La grogne française, vue de l'étranger Il s'agit de la traduction de l'article suivant : http://reason.com/blog/2013/11/20/french-government-deploys-devilishly-cle L'article est à publier sous le nom de Florian H. Bonne soirée à tous ! ---- La grogne française, vue de l’étranger L’économie française est totalement à l’arrêt – et à vrai dire, elle est même entrée dans une phase de récession. Cette situation résulte du lourd et pénible fardeau de taxes et de règlementations qui pèse sur le pays. Les Français sont furieux et organisent des actions contre le niveau élevé des taxes, obligeant les fonctionnaires à faire, dans l’affolement des prédictions, selon lesquelles, la révolte serait imminente. Et alors que les Français cherchent à tout prix comment gagner sa vie et qu’ils courent après chaque petit plaisir, dans lesquels ils pourraient momentanément oublier leurs malheurs, les législateurs proposent de pénaliser la prostitution et ainsi, de rendre la pratique clandestine. C’est une proposition sacrément intelligente, qui empêche encore un peu plus de voir un dénouement heureux à toutes ces politiques … À moins qu’il n’y en ait pas ! La Deutsche Welle a écrit : La France a, de manière répétée, échoué à atteindre les objectifs fixés par l’Union Européenne en terme de déficit public, selon lesquels celui-ci ne devait pas dépasser 3% du PIB. Cette année, le déficit public devrait être d’environ 4% du PIB, et ce malgré l’augmentation des taxes. À partir de 2015, les dépenses publiques devraient être réduites afin d’atteindre l’objectif de 3% de déficit public. Toutefois, Standard & Poor’s a émis de sérieux doutes sur la capacité de la France à être à la hauteur de ses engagements. De plus, la croissance stagne, entravée par la faible compétitivité d’un grand nombre d’entreprises, affirme Uterwedde. « Les entreprises produisent très souvent des produits plutôt simples – une Renault Twingo plutôt qu’une voiture de luxe, par exemple. Avec une telle gamme de produits et dans un contexte de marché concurrentiel, les pressions qui pèsent sur les coûts sont extrêmement importantes. Le taux de chômage en France atteint des niveaux records : près de 11%. Standard & Poor’s estime que ce taux restera supérieur à 10% jusqu’en 2016. « Le chômage des jeunes est deux fois plus important qu’au niveau national, affirme Frédéric Schaeffer, et c’est pour cette raison que la plupart des politiques gouvernementales se concentrent sur cette question ». De manière peu surprenante, Standard & Poor’s a dégradé d’un cran la note de la France, insistant sur le fait que le pays pourrait perdre sa capacité à rembourser sa dette. En réaction à cette période mouvementée, le gouvernement français a, comme d’habitude, pris la décision d’équilibrer ses comptes en tentant de traire encore un peu plus les Français – une décision contre laquelle même l’Union Européenne a mis en garde en France. En conséquence, les Français se sentent accablés, mais ils sont également en colère. Bloomberg rapporte que « le gouvernement socialiste de Hollande fait face à une fronde contre les taxes et le lourd fardeau de règlementations, non seulement de la part des dirigeants – comme chacun pouvait s’y attendre – mais également de la part d’agriculteurs, de commerçants, de chauffeurs de poids-lourds et de joueurs de football. Ces manifestations ne sont pas de petits rassemblements locaux. Un rapport du Ministère de l’Intérieur qui aurait dû rester secret a été dévoilé par le Figaro. Le Irish Times l’a résumé ainsi : Les rapports mensuels du Ministère de l’Intérieur sont généralement rédigés dans une langue aseptisée et utilisent un vocabulaire précautionneusement choisi, ce qui, de manière évidente, rend encore plus alarmant l’avertissement fait au Ministre de l’Intérieur et au Président de la République. « Le bien-fondé et la légitimité des taxes » sont fortement remis en question, indique le rapport. « Un mécontentement latent associé à un sentiment de résignation s’est brutalement manifesté au travers de soudains accès de colère, quasi-spontanés, et qui se sont développés en dehors de tout mouvement social organisé. La publication d’extraits de ce rapport coïncide avec l’émergence d’au moins une dizaine de mouvements de protestations, empruntant des noms d’animaux parmi lesquels on trouve les poussins, les dindons, les abeilles, les moutons, les dodos et les cigognes. Il y a également des bonnets rouges, verts, oranges et les « sacrifiés », qui s’opposent à l’augmentation de la TVA prévue pour le premier Janvier prochain. « La taxation est devenu le principal thème d’opposition au gouvernement », indique le rapport. Ce dernier parle également d’un climat « difficile » en France, d’un « sentiment d’un profond découragement qui prévaut, empêchant les Français de croire en un meilleur avenir». Ceci est le creuset d’une « possible explosion sociale », avertissent les Préfets, reprenant le slogan d’un syndicat d’artisans et de travailleurs du secteur du bâtiment : « Faites attention, ça va exploser ». Et c’est à ce moment précis que le gouvernement français a proposé de verbaliser les clients des prostituées, ce qui a soulevé la colère des travailleuses du sexe, organisées autour de leur syndicat, le STRASS, mais également des clients eux-mêmes, et de célébrités craignant que la fameuse tolérance sexuelle qui existe en France soit remise en question. La contributrice à Foreign Policy, Hanna Kozlowska, résume ainsi l’ampleur de cette colère : Les prostituées ont trouvé de nombreux alliés dans leur lutte contre cette loi, qui, actuellement, n’a le soutien que de 20% des Français. L’industrie culturelle française n’a jamais répugné à mettre en scène l’amour physique (ndlr, en français dans le texte) – après tout, que serait un film français sans scène de nudité ? – et, aujourd’hui, cette industrie apporte tout son soutien aux travailleuses du sexe. Récemment, 70 célébrités françaises - notamment l’actrice Catherine Deneuve, qui a incarné une prostituée dans le film « Belle de Jour » - ont publié une pétition, dans laquelle elles estiment que la loi ne conduira qu’à la clandestinisation de l’activité. « Sans soutenir ou promouvoir la prostitution, nous rejetons la pénalisation de ceux qui se prostituent, tout comme de ceux qui recherchent leurs services », affirme la crème de la crème (ndlr, en français dans le texte) de l’industrie culturelle française dans cette pétition, qui a également reçu la signature de chanteurs tels Charles Aznavour ou Antoine, et du réalisateur Claude Lelouch. Les célébrités Françaises ont néanmoins pris leurs distances d’une précédente pétition, qui contestait cette même loi, et qui a suscité l’indignation. En Octobre, dans leur manifeste controversé, « 343 salauds » qui « en matière de prostitution, sont croyants, pratiquants ou agnostiques » écrivaient que « chacun a le droit de vendre librement ses charmes, et même le droit d’aimer faire cela ». Ils rajoutaient qu’ils « ne (voulaient) pas que les législateurs adoptent des lois réglant (leurs) désirs et plaisirs ». Les agissements de Hollande et de sa clique sont brillants, si par « brillant », vous entendez « ajouter de l’huile sur le feu », juste pour voir le résultat … -
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Bonsoir à tous, Après une longue période d'absence, je souhaite me réinvestir plus régulièrement dans l'activité de traduction. Cependant, le fonctionnement semble avoir été modifié puisque le GoogleDoc ne semble pas être à jour. Merci de votre aide, A bientôt. -
Je viens d'acheter "Le Courage de Réformer", écrit sous la direction de Claude Bébéar Le bouquin date de 2002, mais certaines questions restent d'actualité : "Comment libérer l'activité et l'emploi ?", ou encore un chapitre autour du thème "Libérez l'entreprise !" et un autre "Vers une vraie réforme fiscale ?" ; je verrais ce que ça donne. Vous l'avez lu ?
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Pour "1000 milliards", je crois que le terme de trillion est en train de devenir la norme en français. Article très intéressant par ailleurs ; qui a fait beaucoup réagir. Ca fait plaisir ! J'essaye de prendre une autre traduction dans la semaine si j'ai le temps. -
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La dette n’est pas la solution ; c’est le problème Nous sommes donc sur le point « d’injecter 140 milliards de £ dans l’économie ». Impressionnant, n’est-ce-pas ? Qui aurait cru que c’était aussi facile ? Pourquoi ne pas injecter 280 milliards de £ et ainsi, être deux fois plus riche ? Et pourquoi pas un trillion ? Je ne pensais pas que j’aurais encore à écrire cela, mais nous nous retrouvons dans cette situation en premier lieu à cause d’un excès de dettes : trop de dettes privées, trop de dettes pour les entreprises et trop de dettes publiques (ne cliquez pas sur ce lien, à moins que vous ne vouliez être déprimé : http://blogs.telegraph.co.uk/news/danielhannan/100103024/we-are-doomed-doomed/ NOTE : Je crois que cet article avait été traduit sur Contrepoints, à vérifier). Durant plus de 15 ans, la banque d’Angleterre, en commun avec d’autres banques centrales, a artificiellement maintenu les taux d’intérêts à des niveaux bas, alimentant ainsi une bulle de crédits qui était vouée à exploser tôt ou tard. Depuis que la bulle a explosé, il y a quatre ans de cela, Mervyn King (ndlr : le Gouverneur de la Banque d’Angleterre) a désespérément travaillé à « actionner les soufflets » pour faire gonfler à nouveau la bulle. Les taux d’intérêts ont été réduits considérablement et des spasmes répétés de quantitative easing ont augmenté la masse monétaire pour l’équivalent d’un cinquième de notre PIB. Après avoir hurlé contre les banques qui accordaient leurs prêts de manière trop laxiste, les ministres hurlent maintenant contre elles pour ne pas accorder de prêts sans justifications. Hier, le gouverneur de la Banque d’Angleterre a annoncé qu’il donnerait simplement aux banques plus d’argent à prêter. D’où le fait que nous pénalisions l’épargne et que nous récompensions la dette – c’est, d’ailleurs, précisément cette vision des choses qui nous a conduit à cette situation lamentable. Les travailleurs, les épargnants et les retraités sont frappés par la double-peine des taux d’intérêts à 0% et d’inflation élevée so that bloated state can help itself to their assets Mervyn King a décrit, hier, la politique comme un « manuel » en réponse à la tempête. Le seul problème, c’est que son manuel est périmé depuis 80 ans. Comme tous les Keynésiens à travers le monde, il persiste à croire que la demande est une cause plutôt qu’une conséquence de la croissance économique. Mais on ne peut pas continuer à faire augmenter la consommation sans de commensurables augmentations dans la production. Nombre d’entre nous comprennent cette vérité facilement – après tout, nous l’appliquons tous les jours dans nos propres vies. Est-ce une bonne chose que, comme les ministres nous le rappellent, la Grande-Bretagne puisse emprunter à un taux aussi facile que celui de l’Allemagne en dépit d’un déficit équivalent à celui de la Grèce ? Non. Je le répète : c’est la dette qui nous a plongés dans cette situation lamentable. Le moyen de résoudre le déficit est de réduire les dépenses, et non de créer, par un tour de magie, des centaines de milliards de £ contrefaites, de les distribuer aux banques, et de leur dire d’acheter de la dette d’Etat avec. Lorsque Gordon Brown avait pris cette direction, les Tories avaient nommé cette politique (slash-and-burn) et ils l’avaient accusé de démolir les perspectives de long-terme des anglais comme pour retarder le crash après les élections. Quelle est alors l’alternative ? Plutôt que de prévoir une réduction des dépenses publiques, il en faudrait des concrètes ; il faudrait également une radicale dérégulation du marché du travail ; une volonté de wind down failed banks ; une réduction ciblée de certaines taxes ; et, sur le moyen-terme, se détourner d’une Europe en train de s’effondrer pour se tourner vers les régions du monde qui continuent leur croissance. Ou, pour le dire d’une autre manière, le capitalisme. Les points en italique sont à retraduire, je n'ai rien trouvé d'adapté. Sinon, comme toujours, une relecture est nécessaire (fond/forme). -
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La dette est le problème ; pas la solution de Hannan, je m'en occupe d'ici vendredi soir ! (C'est noté sur le fichier Google) -
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Je suis toujours dispo pour faire une traduction de temps à autre, de préférence assez courte. Seulement, je n'ai pas forcément le temps de passer régulièrement sur le forum pour voir les traductions disponibles. -
Je peux te conseiller le bien connu "Journal'Ease Anglais", que j'utilise actuellement. Son coût est modique (aux environs d'une dizaine d'euros si je me souviens bien). Il recense de nombreux termes couramment utilisés dans la presse anglophone. Les mots sont répartis par tranche de 50 (Week 1 : mots 1 à 50 …) ; et il existe le "Journal'Ease Exercices", qui propose des QCM, des exercices corrigés pour chaque semaine. Cela reste un livre d'étudiant (je suis en classe prépa), mais il possède un gros avantage : le vocabulaire que l'on apprend est "utile", et on peut le rencontrer facilement en parcourant quelques articles de la presse anglophone, ce qui aide à la mémorisation.
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La situation est bien résumée. Il faut reconnaître que la traduction est quand même très bien avancée (je pense que l'article est traduit à plus de 80%) … quelques points restent encore mal traduits pour ma part (ou non traduits …) Il faudrait donc harmoniser nos deux traductions, vérifier la concordance des temps qui nous a posé souci et finir les traductions non terminées. -
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J'ai eu le même problème au niveau des temps, il faudra vérifier cela. Je mets ça en ligne samedi soir, ou dimanche matin au plus tard en tout cas. -
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La traduction de l'article sur la Corée est quasiment finie, il me reste quelques points à peaufiner et quelques paragraphes encore non traduits sur lesquels j'ai buté. Je veux bien t'envoyer ma partie dès qu'elle est finie (d'ici ce week-end, tout devrait être fini) pour avoir une deuxième relecture et pour éviter que le décalage de style entre les deux parties soit trop importante … Dis-moi comment tu veux qu'on procéde (si tu souhaites procéder autrement). -
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Ca me convient. Si jamais il devait y avoir un changement, c'est que j'en traduirais un peu moins .. mais j'ai commencé et je suis à un bon rythme pour l'instant. Merci, bon courage. -
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J'aimerais m'occuper de l'article du Guardian sur l'évadé de Corée du Nord. Toutefois, l'article est très long (10 pages sous un format Word, Times 12) et je me demandais si le travail ne pourrait pas être partagé ? Je peux éventuellement me charger de traduire les 3/4 premières pages et quelqu'un d'autre pourrait prendre la suite ? -
Une manifestation contre le projet de l'aéroport de Notre Dame des Landes a dégénéré à Nantes … le centre-ville a été saccagé : les vitrines des banques, et de certains magasins ont été taguées, les bureaux de police ont été la cible d'attaques. Certains arrêts de tram ont été incendiés et certains endroits de la ville sont bouclés. Je me demande comment les représentants d'EELV vont expliquer leur soutien à cette manifestation, qui allait dégénérer (des mesures ont été prises pour arrêter les Trams durant toute la journée) et si le contribuable va payer pour toutes les dégradations occassionnées par ces émeutiers : le service de nettoyage attendait déjà pour passer à l'action … Sans compter le CA perdu par les commerçants, forcés de baisser le rideau pendant une grande partie de l'après midi.
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N'est-il pas envisageable que les gestionnaires privés soient mis en concurrence par les collectivités, à une fréquence plus importante ? Je pense que le problème est similaire à celui des autoroutes … On dénonce la privatisation massive des autoroutes, mais c'est une fois de plus une erreur de gestion étatique. Si ASF , Cofiroute , … étaient mis en concurrence pour tous les tronçons chaque année, ou tous les deux ans, nous n'en arriverions pas aux hausses actuelles. Quand on donne une concession de 90 ans à un gestionnaire, il est évident que, jouissant d'un monopole, celui-ci va maximiser ses profits sur cette période. L'Etat semble effrayé par la concurrence : pourtant, même si cette opération de mise en concurrence paraît financièrement coûteuse, tout comme elle nécessite du temps, le consommateur y sera gagnant au final.
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http://elysee.blog.lemonde.fr/2012/01/28/sarkozy-annoncera-dimanche-une-hausse-de-la-tva-de-16-points/#comment-19118 Mais quand cet étranglèment fiscal s'achèvera ?
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Une relecture attentive sera nécessaire (même dans les points non signalés) … en espérant avoir malgré tout réalisé quelques passages convenables : J’ai discuté avec quelques manifestants du mouvement « Occupy » ce matin, et j’ai été frappé de voir qu’ils me considéraient comme un politique de droite. Dans le but d’approfondir (…). évidemment, je n’espère pas convertir les lecteurs de gauche en un seul billet ; ils auront tout de même une idée plus claire de ce que nous croyons vraiment. Les partisans d’un marché libre n’ont pas apprécié le sauvetage des banques. Cela pourrait être évident : nous sommes après tous, contre les subventions étatiques et les nationalisations. Pourtant, cela étonne souvent les commentateurs qui ont négligé nos convictions pour une compétition accrue et le libre échange, en faveur d’une croyance en la ploutocratie. Il y a une différence très importante entre les personnes en faveur du marché, et ceux qui soutiennent le monde des affaires. Parfois, ces deux décisions arrivent à coïncider ; mais dans la plupart du temps, ce n’est pas le cas. Ce qui s’est passé depuis 2008 n’est pas capitaliste. Dans un système capitaliste, les mauvaises banques auraient été échouées, et leurs opérations rentables auraient été rachetées par des concurrents plus efficaces. Les actionnaires, les détenteurs d’obligations et quelques épargnants auraient perdu leurs fonds, mais les contribuables n’auraient pas dépensé un seul centime. [see here] This is partly a question of closing loopholes (mansions put in company names to avoid stamp duty, capital gains tax exemption for non-doms etc). Si vous souhaitez que les riches payent davantage, créons un système fiscal qui soit plus simple et plus net. (…). Principalement, cependant, c’est une question de diminuer le taux d’imposition à un niveau à l’évasion fiscale devient injustifié. Comme continue de le dire Art Laffer à qui veut l’entendre, cela fonctionne à chaque fois. Entre 1980 et 2007, les Etats-Unis ont réduit les taxes, et ce quelque soit le niveau de revenu. Le résultat ? Les 1% les plus riches, qui payaient 19,5% de toutes les taxes auparavant, en assurent désormais 40%. En Grande-Bretagne, depuis que le taux le plus élevé sur l’impôt sur le revenu ait été rabaissé à 40% en 1988, la part des impôts sur les revenus du centile le plus riche est passée de 14 à 27%. 4. We are, in most cases, nowhere near having to pay top rate tax ourselves; our most eloquent champions over the years have been modestly-paid academics. Ceux de nous qui croient en un gouvernement qui soit moins puissant, ne sont pas motivés par le désir de rendre les riches plus riches. Nous ne le sommes vraiment pas. Dans la plupart des cas, nous sommes (…). Nous pensons que la liberté économique rendra globalement notre pays plus riche. Certes, les riches pourront s’enrichir davantage, mais nous ne le voyons pas comme un argument contre l’élévation générale des niveaux de vie pour la majorité de la population. Nous ne sommes pas contre l’égalité. Nous reconnaissons généralement les bienfaits d’un système de type scandinave d’homogénéité : les crimes tendent à être moins nombreux, les personnes moins stressées, etc. … Notre objection n’est que pas l’égalitarisme ne soit pas désirable en soi, mais que les politiques pratiquées requièrent une perte disproportionnée de liberté et de prospérité. A propos, l’intervention de l’Etat ne semble pas non plus un moyen efficace pour promouvoir l’égalité. Sur les indicateurs les plus élémentaires – taille, apport en calories, mortalité infantile, alphabétisation et espérance de vie – la Grande Bretagne est devenue (Britain has been becoming a steadily more equal society since the calamity of 1066.). Il est vrai qu’il y a une cinquantaine d’années, cette approximation s’est arrêtée, et certains points se sont inversés. Il existe plusieurs théories contraires, mais une chose est indéniable : l’augmentation récente de l’écart de richesse s’est déroulée dans une époque où l’Etat contrôle, plus que jamais, une grande part des richesses nationales. Arrêtons l’idée reçue selon laquelle être de gauche signifierait être du côté des gens ordinaires, et être de droite signifierait défendre les élites privilégiées. Il est difficile de penser à une taxe unique, ou bien à une régulation unique qui ne finissent pas par privilégier certains intérêts au détriment de la population. La raison est la suivante : les gouvernements continuent à augmenter les taxes dites de « coûts dispersés et de gains concentrés » : les gens sont généralement plus conscients des gains qu’ils perçoivent plutôt que des taxes qu’ils payent. 8. 1(adding fractionally to his net worth) 2third parties get to hand out the goodies. Le capitalisme, avec toutes les imperfections qu’il comporte, est le système le plus équitable que nous ayons essayé. Dans un système basé sur les droits de la propriété et un engagement libre, les personnes réussissent en fournissant un service honnête aux autres. Bill Gates est devenu riche en enrichissant des dizaines de millions d’entre nous : je suis en train de taper ces quelques mots en utilisant l’un de ses programmes. Il a tiré parti de l’échange (1), et c’est également mon cas (plus d’aisance). En contraste, dans un système géré par l’Etat (2) En parlant d’équité, rappelons nous que ce mot n’appartient à aucune entité politique. Quelle parité entre les salaires du secteur privé et public ? Que diriez-vous d’être équitable avec nos enfants, auxquels nous avons légué un endettement sans précédent ? Comment être équitable avec l’enfant qui abandonne l’école à 16 ans, commence à payer ses taxes et celui-ci qui, grâce aux subventions, va à l’Université. Comment être équitable entre les chômeurs, dont les firmes ne peuvent pas assumer le coût à cause de la protection des salariés actifs ? 10. Paying tax is morally neutral (see here). Evidence suggests that, as taxes rise, and the state squeezes out civic society, people give less to good causes. N’oublions pas l’éthique non plus. C’est une vertu que de décider de faire la bonne chose, mais ce n’est pas une d’y être contraint. Choisir de faire des dons aux œuvres de charité est (meritorious ; paying tax is morally neutral (see here)). Des preuves montrent qu’une hausse des taxes (and the state squeezes out civic society), les gens donnent moins aux bonnes œuvres. Allez-y camarades. Je ne m’attends pas à ce que les tentes installées devant la cathédrale Saint-Paul se plient cette nuit. Mais peut-être que nous nous sommes au moins engagés honnêtement sur certains débats (than talking past each other). ¡Hasta la victoria siempre! -
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Je m'en occupe. Comme d'habitude, si je n'arrive pas à traduire certains passages, il faudra compléter. -
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Voilà l'article de Hannan , les passages en gras sont à réétudier plus spécifiquement. L’Espagne rejette le socialisme – seulement 3% des citoyens européens ont désormais un gouvernement de gauche. Les Indignados, qui ne sont finalement pas si populaires. Félicitations à Mariano Rajoy, dont le Partido Popular a remporté une triomphante victoire en Espagne : près de 11 millions de voix contre les 7 millions récoltés par les Socialistes, 186 sièges contre 110 pour ces derniers. Ce n’est pas souvent que vous pouvez trouver la même Une sur ABC et dans El Pais, mais un résultat d’une telle envergure ne peut donner lieu à une aucune interprétation : les deux vieux rivaux ont convenu que l’Espagne vient entière de confier son avenir aux conservateurs. Ce succès est des plus remarquables car le Parti Socialiste (PSOE) a récupéré les voix des électeurs de centre-gauche à travers l’Espagne, celles des électeurs de centre-droit en Catalogne et pendant que le Pays basque tendait plutôt à supporter les partis locaux favorables à l’autonomie de la région. Cela signifie que, dans le but de gagner une majorité écrasante, le Partido Popular devait remporter une large majorité face au PSOE dans le reste du pays. C’est ce qui s’est produit. Quatre des cinquante provinces espagnoles sont en Catalogne, et trois sont dans le Pays Basque. Sur les quarante-trois restantes, le Partido Popular en a remporté quarante-deux (en plus de la province d’Alava dans le Pays Basque). Dans la partie Castillane de l’Espagnole, (à reprendre) Dieu merci, ce résultat est décisif. En Grèce et en Italie, les premiers ministres élus ont été renversés, en faveur de gens qui furent en place à Bruxelles, et un parlement sans majorité aurait ouvert la porte d’un éventuel euro-putsch en Espagne. Les deux bords politiques espagnols ont, par le passé, été très explicites à propos du résultat des urnes. Chacun sait que les conservateurs espagnols ont refusé l’étroite victoire de la gauche en 1936. Ce qui est souvent omis, est le fait que les républicains furent tout aussi réticents à accepter la victoire de la droite, deux ans auparavant. Une longue histoire de soulèvements et de pronuncamientos [signification en français ?] signifient que la démocratie était largement vue comme le moyen vers une fin plutôt qu’un système désirable, dans son propre droit. Heureusement, aucun d’entre eux ne peut désormais remettre en cause le mandate du Partido Popular. Pendant la campagne, Rajoy a promise de réduire la dette et de remettre les Espagnols au travail, en réformant les paralysantes lois espagnoles sur le travail. Les indignados pourraient alors devenir les minoritarios : les petits, rabougris, maigres, si bruyants et si gênants, insectes d’une heure. S’il veut réussir, le nouveau premier ministre devra agir immédiatement. L’Espagne pourrait facilement suivre la voie du Portugal et de la Grèce, et la tâche de Rajoy est un des plus ardues, car, tant que l’Espagne restera dans l’Euro, la souffrance ne sera compensée par aucun gain manifeste. Des années de [years of unleavened austerity loom] et les voix émanant du Partido Popular vont commencer à demander que les ministres ‘agissent’ – c.-à-d. ‘dépenser moins’. L’une des curiosités de l’Europe contemporaine est que, tandis que les personnes continuent de voter pour des partis de droite, rien ne change. Seuls 3% des citoyens européennes vivent désormais sous l’autorité d’un gouvernement de gauche (ceux d’Autriche, du Danemark, de Chypre et de la Slovénie – Je ne pense pas que nous pouvons compter encore sur la Grèce). Pourtant, les dépenses continuent d’augmenter (à l’exception de la défense), les bureaucraties continuent de s’étendre, les pouvoirs continuent de glisser des capitales nationales vers Bruxelles. Ce qui nous amène à une dure vérité. Tant que la plupart des lois seront édictées par Bruxelles, tant que les politiques économiques sont énoncées par Francfort, votre vote n’aura aucune sorte d’importance. -
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Je m'occuperais du Hannan ("We are the 3%") dans la journée -
Voilà ce que j'ai pu en tirer … Pourquoi les niveaux de vie sont-ils si différents entre les personnes à travers le monde ? En moyenne, les personnes qui vivent dans les pays situés sur la droite ne vivent pas au-delà de 60 ans. Pour les pays qui sont sur la gauche, les personnes vivent près de 20 ans de plus. Pour les pays situés sur la droite, …. Ces différences sont liées aux libertés économiques. Ces pays sont ceux qui ont le moins de liberté dans le monde. Ceux-là, le plus. Les Etats-Unis sont dans cette liste, mais combien de temps cela va-t-il durer ? Ce que les Etats-Unis ont gagné au niveau des libertés économiques sur les 20 dernières années, a été complétement effacé en l’espace de 9 ans. Toujours en train de descendre, les Etats-Unis se placent derrière le Canada pour la première fois depuis toujours. A la source de ce déclin, l’augmentation du fardeau gouvernemental des dépenses excessives pour une régulation qui n’est pas nécessaire. Pendant les années Bush, le gouvernement a tellement dépensé, qu’il a presque doublé la dette américaine. Et le président Obama a dépensé … et à nouveau fait doubler la dette. L’excès de régulation n’a fait qu’empirer les choses. Le directoire de la régulation fédérale a augmenté de plus de 81.000 pages. Si vous lisez une centaine de pages chaque jour, tous les jours, il vous faudra plus de 2 ans pour tout lire. Chaque année, les coûts … sont de l’ordre de 1,75 trillion de dollars. Cela serait assez pour employer plus de 43 millions de travailleurs, soit un quart de la force de travail américaine. Et cela correspond à 15% de l’économie du secteur privé … Si vous incluez la dette du gouvernement et les promesses de futures dépenses, le total des engagements économiques de l’Etat atteint 10 fois la taille de l’économie du secteur privé. Cela a des conséquences … Le résultat est le suivant : les Etats-Unis connaissent les pires statistiques sur le chômage depuis la Grande Dépression. Ce sont les Etats-Unis d’aujourd’hui. Pour assurer des meilleurs lendemains à l’Amérique, nous devons arrêter notre chute libre dans le classement des libertés économiques. Pour apprendre comment, inscrivez-vous pour recevoir notre prochaine vidéo sur www.economicfreedom.org