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Tout ce qui a été posté par Malky
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Duflot
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Il y a un article qui résume assez bien (pas assez détaillé à mon goût mais bon) la situation : http://www.voxeu.org/article/shadow-banking-economics-and-policy-priorities
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Comment Isaac Asimov voyait 2014 en 1964 Intéressant
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Tout ça pour dire que tu n'as pas pécho aujourd'hui...
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Coucou, les nouveaux : présentez-vous !
Malky a répondu à un sujet de Copeau dans Forum des nouveaux
Qu'est-ce qui te fait penser qu'il n'est pas belge ? -
Ça me fait penser que j'ai goûté celui-ci récemment, et je l'ai trouvé très bon.
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Hmm métastase du lobby droitdel'hommiste ou véritable lobby rom ?
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Comme si c'était nouveau, si ce genre de choses t'intéresse tu peux regarder "Candy" de Christian Marquand, tourné en 1968. Là en l’occurrence c'est pas l'alcool le... truc particulier.
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Coucou, les nouveaux : présentez-vous !
Malky a répondu à un sujet de Copeau dans Forum des nouveaux
Ça n'existe pas. -
C'est pas gentil de se moquer de Manaudou comme ça, vraiment pas.
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Oui si on cherche le consentement volontaire de ces dames, je doute qu'on le trouve. Techniquement c'est donc bien un viol.
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J'ai une petite idée là dessus qui vaut peut être le coup d'être creusée : Depuis quelques années maintenant, le marché des prêts inter-bancaires n'est composé pratiquement que de prêts sécurisés par un collatéral – c'est ce qui a fait que le LIBOR, qui ne concerne que les prêts non sécurisés, est devenu particulièrement difficile à établir. Or, pour pouvoir fonctionner comme ça il faudrait en théorie deux à trois fois plus de collatéral qu'il ne s'en trouve actuellement sur le marché du coup – par la force des choses – les collatéraux ont dû pouvoir servir à garantir plusieurs transactions chacun. Quand une banque centrale échange du cash contre du collatéral, elle n'en fait rien – ce collatéral ne resservira plus tant qu'il est dans le bilan de la BC. Donc si la masse monétaire augmente bien en théorie avec les opérations de QE, l'absence de ré-utilisation de ce collatéral en détruit au moins autant – laissant la masse monétaire relativement inchangée, mais avec quand même des mouvements quand à la distribution de cette masse, d'où par exemple une vague d'inflation dans certains actifs.
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C'est à dire que là il faut ne pas avoir sèché les cours de maths de terminale pour la comprendre
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Mouarf, mais je doute que tout le monde la comprenne
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Coucou, les nouveaux : présentez-vous !
Malky a répondu à un sujet de Copeau dans Forum des nouveaux
Ah ? ils les balancent d'emblée à la poubelle les voitures électriques, maintenant ? (i.e. à la décharge, des fois que...) À part ça bienvenue tous les deux -
À Châteauroux, on peut boire n'importe quelle bière, tant que c'est de la 1664... Quand je vous disais que j'avais une journée de merde c'était pas une vue de l'esprit Par chance j'ai passé la fin du trajet (Vierzon-Nantes) en compagnie d'une fort jolie nantaise, ça a compensé un peu le début de journée.
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Plus sérieusement, oui, c'est clair. La fréquentation niveau train s'en ressent.
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Ouais, mais y'a Limoges au milieu. Le pays de Desproges ne saurait se faire ostraciser aussi facilement
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Et encore, quand je dis 'la faune locale' c'est relatif. Y'a un type accroché au comptoir depuis que je suis arrivé, à mon avis il fait plutôt partie de la flore locale.
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C'est sur la ligne Toulouse-Paris, je doute très fortement que les trains soient remplacés par des bus
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Oh c'est juste que j'avais le temps d'écrire des conneries entre deux bières. Au final avec les correspondances ça va plutôt être 6h30 de retard (7h56 - 23h20 pour faire Cahors-Nantes c'est quand même balèze). Mais bon en comptant les bières c'est pas si inhumain que ça – la faune locale est quand même un peu spéciale cela dit. Le plus drôle étant que quand j'ai demandé la paperasse pour le remboursement partiel du billet, la fille à l'accueil m'a demandé si j'avais eu des frais annexes dus au retard (qui peuvent être remboursés aussi) – j'ai manqué de présence d'esprit sur le moment, ça aurait été drôle de mettre des binouzes en frais annexes Sinon effectivement, de là où je suis assis quand je tourne la tête vers la droite je vois écrit en grand 'Gare de Châteauroux', ça me file de l'urticaire à chaque fois.
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Images fun et leurs interminables commentaires
Malky a répondu à un sujet de Librekom dans La Taverne
Oui, et c'est pas nouveau sa réputation. Ardisson qui promet quelque chose sur le déroulement d'une émission c'est à peu près aussi crédible que Moscovici qui voit la reprise économique à court terme. -
C'est moche
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La voiture de demain, énergies alternatives
Malky a répondu à un sujet de Nick de Cusa dans Science et technologie
Un ami en a une, il est dans les mêmes eaux sur ~60 000 km -
Bon les enfants, je vais vous raconter ma life d'aujourd'hui et ça ferait un beau VDM. Ce matin, un lapin je m'en fus z'à la gare de Cahors pour prendre le train dans la gueule dans le but ultime d'aller passer une semaine chez ma soeur, quelque part autour de Nantes – non, pas à Montaigu bande de petits polissons. Prévoyant lapin que je suis, j'avais réservé un billet en première classe – qui se trouvait être moins dispendieuse de mes écus que la seconde classe pour une raison que la raison feint d'ignorer. Le parcours en question était censé démarrer à sept heures et cinquante six minutes et s'achever à seize heure et cinquante cinq minutes, en passant par Châteauroux et Tours. Jusqu'ici tout va bien. Le train arrive à la bonne heure, et d'un pas aussi preste que ma nuit blanche me le permet j'enjambe le piège à chevilles qui sépare le quai du marchepied et je propulse avec une précision toute mécanique mon corps d'albâtre ainsi que mes bagages dans le wagon qui allait constituer mon environnement dans les heures à venir. Le wagon en question fait partie du lot des wagons qui seront modernisés prochainement, ce qui signifie donc qu'il est un poil vieillot et décrépi – mais bon ça reste 'première classe' quand même. Le fauteuil s'incline, le wagon est faiblement peuplé d'humanoïdes peu bruyants et tout aussi peu odorants – à priori je devrais survivre. Le train s'ébranle. Jusqu'ici tout va bien. Première déconvenue : la prise 230 V qui devrait me permettre d'alimenter mon armada siliciumisée fait grève, flûte. Et puis, vingt-cinq kilomètres plus tard environ, le train semble s'ébranler de moins en moins vite. Jusqu'ici tout va bien, ou presque. Pourquoi on avance à la vitesse d'un syndicaliste un lundi matin ?? Jusqu'ici tout allait bien, mais là on avance plus du tout. Le haut-parleur soviétique nous annonce que la locomotive est en panne, et qu'il y aura probablement au moins deux heures de retard. Crotte. On attend. Heureusement que la journée n'est pas caniculaire, vu que la clim est tombée en panne en même temps que la locomotive. La nuit blanche de la veille rend la lecture particulièrement pénible, il me faut un plan B. Un coup d'oeil rapide dans le dossier films du netbook : le seul film qui me donnait un minimum envie était Gadjo Dilo – bon, soit, c'est parti. Un film plus tard, le train n'a pas bougé d'un millimètre – fait chier. Trois heures et trente minutes après l'arrêt locomotiaque, on repart enfin – une locomotive est venue de Brive pour reprendre le flambeau. On passe Brive, Limoges, La Souterraine, Argenton-sur-quelquechose, et enfin arrive Châteauroux. J'ai les boules mais il manque le cochonnet. Je descend du train d'un pas nettement moins preste qu'à l'ascension – et pour cause, je commence à être ankylosé. Châteauroux, sa gare, ses nuages. Je fonce au guichet pour connaître mon destin, c'est pas glorieux : prochain départ pour Nantes dans environ quatre heures. Une maigre consolation quand même : vu l'ampleur du retard, je serais remboursé de 75% du prix du billet, normalement. Heure d'arrivée prévue : vingt trois heures et vingt minutes – j'ai envie de tuer quelqu'un. Bon en attendant je collecte la paperasse pour le remboursement, je fais modifier le billet pour tenir compte du nouvel itinéraire – il passe par Vierzon, j'ai peur. Ceci fait, je sors de la gare. J'ai besoin d'une bière. Là, un bar. J'y fonce, il est ouvert – soupir de soulagement – je commande la première bière. Par acquis de conscience, j'ouvre le netbook histoire de voir ce qu'il y a comme wifi à proximité et là – surprise – il y a un hotspot. Je me demande bien quels horreurs un hotspot a bien pu commettre pour se faire exiler ici mais bon à cheval donné on ne regarde pas les dents. Je commence à décrire ma journée de merde – qui n'est pas finie, bordel de manche à couilles (là j'en suis à ma cinquième bière, je précise). Bref, vive le service publique ! M'en vais commander une bière, tiens.
