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Il est victime des violences qu'il subit, il n'est pas victime des intentions de l'auteur de ces violences.
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Comme tu veux, écoute ce que te dis ton cœur et au pire on demandera à un boucher juge de trancher au cas par cas.
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Ah bah si tu décide délibérément de niquer la logique il n'y a plus rien à faire .
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Il n'existe jamais rien d'autre que X et non-X. Si ton canard n'est ni une victime, ni "pas une victime" ; qu'est-ce qu'il reste ?
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Incroyable.
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En Occident j'ai l'impression. Par contre apparemment il y avait déjà des interdictions à l'Antiquité en Inde et au Japon pour des raisons religieuses.
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Le dernier paragraphe de la page 14 et le début de la page 15 disent clairement qu'il n'y a pas eut d'interdiction de faire du mal aux animaux avant le milieu du 19ème siècle. L'argument "l'humanité a toujours fait comme ça" ne tient pas. Mes recherches ne me montre pas d'avantage de condamnation dans les droit grecs et romains. Ni dans le droit allemand pré-nazi par ailleurs (quoi que j'ai un doute sur la fiabilité de mes sources sur ce dernier point edit : je viens de trouver une interdiction de 1933 en droit allamand). Si le canard est la victime, il est victime peu importe le but de son bourreau. Peu lui importe au canard d'être sacrifié sur l'autel de la cruauté ou de na gastronomie. Et si tu ne le considères pas comme une victime, tu condamnes un crime sans victime.
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Mais qu'est-ce que tu condamnes pénalement ? Si tu condamnes le fait de faire souffrir les animaux, le mobile ne devrait pas rentrer en ligne de compte. Si tu condamnes l'intention purement sadique, tu devrais aussi condamner les relations sexuelles sado-masochistes. Si tu condamne l'association faire souffrir un animal + sadisme, ça ne peux pas servir de justification à ta position parce que c'est simplement la description de ta position. Et tu te heurtes encore une fois au fait que le meurtre est pire que la maltraitance.
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J'en mettrait pas ma main à couper. A vrai dire j'irais même plus loin, je dirais que c'est très probablement faux. Comment est-ce que tu sais que c'est vrai ? Combien de sociétés différentes dans l'histoire de l'humanité tu peux citer, qui condamnaient juridiquement le fait de faire du mal gratuitement à un animal ?
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Mais une protection constitutionnelle ça rend effectivement les lois contraires plus difficiles à mettre en place, puisque ça impose de modifier la Constitution, ce qui est plus difficile à faire que de modifier une loi ordinaire. Et ce tant que la procédure est respectée. Et elle est respectée. En revanche une loi ordinaire n'offre aucune protection contre les modifications antérieures. Donc stop au nanarjuridisme. Donc indifféremment de l'état du droit positif en France et de prétendues stratégies juridiques pour ralentir la pente glissante, tu es favorable à un statut juridique pour les animaux qui contiendrait peu ou prou la même chose que ce que dit la loi française en ce moment, c'est bien ça ?
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Tout le monde est d'accord je pense pour dire que le sadisme envers les animaux c'est mal, c'est pas la question, la question c'est de savoir si il est légitime de condamner pénalement quelqu'un alors même qu'il ne s'en est pas pris à autrui ou à sa propriété. Si les animaux peuvent êtres juridiquement victimes de maltraitance ils devraient a fortiori pouvoir être considérés comme victimes de meurtre, quelque soit le mobile de celui-ci, ou alors il faut envoyer la logique aux orties.
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Il peut être juridiquement victime de se faire écraser une cigarette sur la patte mais pas de se faire trucider, découper en petits morceau et dévorer ?
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Cette conversation a exactement la même structure que celle sur la maison moche qui causerait un préjudice à ses voisins, on a plusieurs personnes qui sont pour mais personne ne sait vraiment pourquoi, chacun y va de son petit argument perso qui ne tiens pas une seconde face à une démonstration par l'absurde. Comment se fait-ce ? Parce que La Logique a momentanément quitté votre esprit et que vous avez pris une position pour des raisons purement émotionnelle que vous essayez de justifier a posteriori par un bricolage pseudo-intellectuel.
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Ha ha, mais tu ne peux plus faire passer des vessies pour des lanternes. Je sais que ta stratégie n'a pas d'utilité et tout au fond de toi tu sais que ta stratégie n'a pas d'utilité et que tu veux juste donner un verni utilitariste à ta position idéologique que tu trouve bonne en soi. La question est à présent est de savoir pourquoi. Je n'ai pas encore entendu de juriste être effrayé à l'idée de devoir abolir une loi ancienne. Pour un juriste de base en Démocratie Républicaine de France c'est un fait tout à fait banal et assumé que la loi évolue et est faite pour évoluer et que les nouvelles lois viendront, ointe de la Volonté Générale et viendront abolir les lois anciennes et obsolètes. A supposer que nous sommes sur une pente glissante vers l'antispécisme, ton idée ne sert à rien, c'est un petit pas en avant vers les droits des zanimaux et ça n'empêchera rien du tout, que dalle, ça ne marche pas comme ça. Mais encore une fois tout ceci est le cache-sexe de la régulation des rapports animaux-humain et si tu veux prôner ça explique directement en quoi ce serait une bonne chose au lien de te cacher derrière ton petit doigt.
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Il faudrait mettre en place un statut juridique de l'habillement, on y décrirait de façon exhaustive tous les vêtements tolérés par la République et de cette façon ça sera plus facile de critiquer les futures interdictions.
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Aha ! Nous y voilà. Les masques tombent ! Tout s'éclaire ! Lance l'eau était en réalité un SOCIALISTE !! Bon, ça me chagrine énormément mais je vais te rajouter à la liste des ennemis à la liberté à expurger après le Grand Soir.
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Le démembrement de la propriété est issu du droit romain, et je suis à peu près certain qu'il a émergé jurisprudentiellement et qu'il ne s'agissait pas d'une lubie d'un sénateur quelconque de la Plèbe. Et stop au démembrement de mes posts, je ne m'engagerais point dans une quote battle. Mais si c'est déjà comme ça, pourquoi tu veux changer quoi que ce soit ? Il y a un terme juridique en droit constitutionnel pour le raisonnement que tu adoptes, attend, ça s'appelle heu... ah je sais : wishful thinking.
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Ok donc je résume, ta stratégie c'est de mettre au point une bizarrerie juridique qui compile plus ou moins l'ensemble du droit positif sur la façon de traiter les animaux et que comme ça à chaque fois que le législateur voudra faire passer une nouvelle interdiction quant à la façon de traiter les animaux il devra modifier le statut juridique des animaux directement, c'est bien ça ? Et ce que tu espère, c'est que ça va réduire les ardeurs du législateur et que les modifications seront plus faciles à critiquer, c'est bien ça ?
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Mais enfin enfin enfin, une loi ordinaire ne protège en rien contre les changements apportés par les lois qui la suivent parce que les lois nouvelles contraires aux lois anciennes abolissent implicitement celles-ci, on apprend ça à la maternelle !
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Le second amendement a valeur constitutionnelle, pas le bricolage que tu propose. A moins que ton idée soit d'insérer ce bricolage dans la Constitution. Est-ce que tu serais favorable à mettre le SMIC à sa valeur présente dans la Constitution ? Après tout ça rendrait plus difficile une augmentation future.
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Monsieur j'ai réfléchis DIX secondes entières et je ne vois toujours pas pourquoi ton idée serait supposée freiner quoi que ce soit. Quel est ton raisonnement ?
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... du coup tu veux dire que c'est mieux de ne donner aucun statut particulier aux biens meubles vivants ? Tu veux donc empirer le droit positif. Je ne vois toujours pas comment ton frein est supposé marcher.
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Si j'achète une poule de ponte mais que je l'utilise comme une animale de compagnie et que je lui fait des papouilles, je vais à l'encontre de la Loi ? J'achète un étalon, je ne peux pas l'utiliser pour chevaucher ? Ou le vendre à une boucherie chevaline ?