sans

Ce que tu cite se retrouve dans toutes les civilisations, excepté la défiance face au profit. Et celle-ci n'est même pas due au christianisme mais au socialisme. Et puis ça se discute, j'ai pas l'impression que les français moyens soient particulièrement obsédés par la transcendance ou le jugement dernier.

Je n'ai pas parlé de la culture, mais des mentalités, les opinions, des moeurs. Mégalol.

Je suis désolé, le christianisme n'est absolument pas le révérenciel moral ou idéologique des français ordinaires. Il va falloir se réveiller un peu. Argh.

Ah ? Tu parle de politiciens de droite. Ils ne sont pas libéraux, ils ne portent pas d'idéaux libéraux, ils n'essayent pas d'être libéraux, ils ne veulent pas faire avancer le libéralisme. Tu n'as pas compris : peu importe que quoi il parle, un politicien libéral ou non n'a que quelques armes : la haine, la cupidité, la vanité. Comment, pourquoi ? Ils sont frères.

Ah ? Des noms ! Si, à dire ce que j'ai sur le coeur. Oui oui madames, mêmes les hommes ont se droit, on est en 2013 hein ! A vrai dire, j'aimerais beaucoup que ce soit le cas. A ce compte là tout a une influence sur tout le monde. Reste que l'influence du christianisme sur les moeurs, coutumes et opinions est quasi-inexistant, et qu'un mouvement politique prônant le retour aux valeurs chrétiennes comme le suggère nôtre ami ci-dessus ferait un bide monumentale. q

Fait un peu attention à ta façon d'écrire, tu est assez insupportable à lire. Je connais cette théorie. Quand on propose un projet politique, on ne parle pas de ses opinions personnelles. Il n'y a qu'une chose à savoir : interdire ou autoriser ? Tu prend tes désirs pour des réalités.

Idem

Ha ha. No Lol non Presque. C'est l'inverse. Si un libéral va défendre le droit de faire des choses "objectivement" "mauvaises" (comme la scarification par exemple), ce n'est pas par utilitarisme; mais par moralité. Je ne crois pas que tu sache de quoi tu parle en parlant de libéralisme. Je sais que nôtre génération déteste la lecture, mais là tu pourrais prendre la peine de t'envoyer un ou deux articles de wikiberal. Non, il faut promettre du pognon, il n'y a que ça qui fonctionne en démocratie. La philosophie, la morale, les gens s'en foutent autant que la liberté. Oui, parce que c'est vrai que le catholicisme en France est complètement encré dans les consciences et qu'en France, les gens n'ont pas du tout une aversion pour le mélange de la politique et de la religion. Tu pense ? Nooooooooooooooooon.

Tu exagère un brin. Le sens de l'humour.

Egypte, 21 hooligans condamnés à la pendaison pour meurtres. Des foules émeutières s'en prennent aux forces de l'ordre. http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/03/09/97001-20130309FILWWW00270-peines-de-mort-pour-le-drame-de-port-said.php http://www.lefigaro.fr/mon-figaro/2013/03/07/10001-20130307ARTFIG00625-egypte-les-revoltes-de-port-said.php

Pis Chavez, les Femens, et Chalghoumi. Sacrés libéraux va !

Ne sous-estime pas l'environnement, elle pourra peut-être pas en faire un nouvel homme sans genre, mais elle pourra sans doute le dérégler un peu.

Voui, je vois qu'il y a une certaine cohérence interne. Si j'ai bien compris en théorie ça permet de donner une valeur sacré à un éventuel texte constitutionnel protégeant les libertés et établissant le Roi comme son défenseur. Je ne sais pas si ça a déjà été fait, mais c'est pas impensable non plus.

J'aimerais comprendre : qu'en est-il du pouvoir de François Hollande ? Pourquoi qualifier de rois les héritiers Bourbons alors qu'ils n'ont manifestement pas de pouvoir ?

C'est pas le pape Zacharie qui disais qu'il fallait qualifier de roi le détenteur du pouvoir réel, pour que l'ordre ne soit pas troublé ?

Tsss

Aux grands mots les grands remèdes :

Bah, les gens peuvent abandonner leur religion, pas leur religiosité.

Voilà qui n'est pas moins naïf que le reste.

Je n'est pas dis qu'il était libéral, mais qu'il était plus libéral. Ce qui n'est pas compliqué d'ailleurs. C'est un mécanisme classique, ceux qui revendique un droit au nom de la liberté finissent par faire de ce droit une obligation dés qu'ils en ont le pouvoir.

Les journaux payants ça sert aussi quand on veut poser et se la jouer cultivé dans le métro. C'est l'équivalent masculin du roman de poche.

Je n'y crois pas, et par ailleurs je ne suis pas vraiment anarcap. Mais, l'idéal anarcap est bien la fin du politique. Parce que populisme est un des nombreux mot fourre-tout qui veulent dire tout et n'importe quoi. "Totalitarisme" aurait été plus adapté sans doute.

Le clivage gauche/droite existe parce qu'il y a un Etat à dominer et à faire aller dans telle direction. Pas d'Etat, pas de clivage. Des opinions, des alliances libres, mais pas de politique. Si je décide de donner X % de mes revenus aux pauvres, ça n'est pas "de gauche", parce que ça n'est pas issu d'une coercition politique. Donc je répète : pas de domination, pas de politique, pas de clivage. NB : je sais que le mot politique a plusieurs sens, mais a moins d'ergoter je ne vois pas comment il est possible de ne pas comprendre que je fais référence au sens restreint.

Le Pen dans les années 80 était bien plus libéral économiquement que la droite ou le centre. Et les cocos des années 60-70 allaient dans le sens d'une libéralisation des moeurs. Sinon, sur le papier :