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Libéralisme, éducation et dépendance
sans a répondu à un sujet de NewZealand dans Politique, droit et questions de société
En général un enfant a deux parents, il en trouvera bien un capable de lui apprendre à lire. Une fois que la lecture est acquise, le reste va tout seul. S'il est porté sur les études, il pourra très bien apprendre en autodidacte. -
Libéralisme, éducation et dépendance
sans a répondu à un sujet de NewZealand dans Politique, droit et questions de société
C'est quelle race ça, pauvre ? S'il n'y avais pas l'état qui taxe, les soit-disant pauvres auraient largement les moyens de mettre leurs gosses à l'école, même payante. D'ailleurs, allons plus loin. Déjà, désolé de dire ça, mais on peut largement se passer de la maternelle. De plus, l'enseignement peut très bien être prodigué par un parent, ou encore être plus ou moins autodidacte. -
Le PLD appelle à voter Sarkozy
sans a répondu à un sujet de Plutonium dans Politique, droit et questions de société
Relax, de toute façon les députés sont souvent moins de 50% à voter les lois. -
Si, c'est forcement arbitraire. Dés qu'on dois tirer un chiffre pour un préjudice, on est systématiquement dans l'arbitraire, sauf si le chiffre en question a été décidé par ceux qui ont fait le contrat. Bonne question, ça me donne à réfléchir… être propriétaire des moyens de production de la dite affaire. En revanche, je me pose également la question de la reconnaissance de la propriété multiple, que je trouve également problématique. T'as raison, c'est tout aussi emmerdant. Je reviens là-dessus, considérons pour l'instant qu'il est impossible de s'approprier par le commerce des biens futurs. Bien que ça demande plus amples réflexions. Ne considère pas ça comme un débat, voit plutôt ça comme une conversation. Je n'ai pas encore de point de vue clairement fixé sur la question. Quel rapport ? C'est problématique, car j'ai peut-être mal utilisé le mot contrat. Ils faut dissocier les échange concernant les biens existants des échanges concernant les biens futurs, car il n'y a pas de certitude quant à l'existence réelle de ceux-ci. La monnaie est seulement une valeur commune sur laquelle tous les individus s'accordent à donner de la valeur. La question monnaie/troc est largement constructiviste. . Ah bon, il y avais la pauvreté généralisée et la famine généralisée avant la société mondialisée ? Dangereuse pour qui ?
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Dans ce cas le Sol est étalonné sur l'euro tant qu'on y est. Nan, en fait je suis méchant. En prenant compte des réserves fractionnaires, 5% des euros sont étalonnés sur le papier.
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Libéralisme, éducation et dépendance
sans a répondu à un sujet de NewZealand dans Politique, droit et questions de société
Bonjour. Je l'conteste, un contrat ne peut aliéner ni les actions futures, ni les biens futurs. Mais aller, admettons. Si. Il y a une différence entre la dépendance consentie et la dépendance crée et imposée. On est tous dépendant d'une façon ou d'une autre (si si. Eau, nourriture et air). Ah, et pour aller plus loin, on peut très bien considérer que ces entreprises et associations fassent passer un concoure d'admission ouvert a tous, étudiants ou pas, afin de recruter des autodidactes. L'information étant normalement gratuite puisque abondante, l'impératif du cursus universitaire ainsi que son prix a quelque chose de grotesque. -
Oh ! Un complot des vilains capitalistes de l'AL ? L'euro non plus après tout, alors pourquoi se casser la tête ?
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Ouais, j'ai vu la vidéo. La politique c'est un peu comme le catch, tout le monde sait que c'est truqué, mais c'est plus drôle de regarder en faisant semblant d'y croire. J'imagine bien Jean-Ma contre Merluche sur un ring…
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Mmmm, je vois. Mélenchon - Le Pen fille ? Le Pen père - Aubry ? Bah, on peut toujours rêver.
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C'est déjà emmerdant, puisque dans ce cas le montant du préjudice ne pourra être qu'arbitraire. Le capital d'investissement peut très bien être obtenu par l'économie. Ce qui est d'ailleurs bien plus sain sur le long terme. Mais pour l'investissement en réalité, ça n'est même pas un problème. Il suffit de considérer que les investisseurs sont propriétaires de l'affaire de patates à mesure de leur investissement, et que les bénéfices qu'ils en tirent est proportionnel aux capitaux investis. Ce qui n'est pas la même chose. Il s'agit en effet d'aliéner un bien future mais dont la quantité n'est pas fixée. Autrement dit : j'investis 20% du capital, je récupère 20% des patates. Donc 0 s'il y en a 0 et 20 s'il y en a 100. Là dessus pas de problèmes. Même pas. Déjà parce que le contrat n'est pas la vente, que la possession d'une affaire peut être partagée, et qu'il est largement abusif de considérer que la "collaboration d'être humain qui ne se connaissent pas" est un impératif civilisationnel. Historiquement, les civilisations sont sédentaires et non nomades, et le commerce se fait justement entre être humain qui se connaissent. Ce qui n'est même pas la question, puisqu'il faut découpler le commerce du contrat.
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Je me suis encore fait devancé ! Bon attention. Les mecs de l'Aube Dorée ne se revendiquent pas du NAZIsme. Enfin… J'imagine bien la même scène avec Mélenchon et Boutin, je sais pas pourquoi.
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Certes.
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Interdire le tabac
sans a répondu à un sujet de tisserand dans Politique, droit et questions de société
Un état endetté pique le pognon où il est. Avec une petite validation morale pour bobo, c'est encore mieux. -
Qu'en est-il des biens futur ? Peut-on aliéner des biens dont on ne dispose pas encore ? C'est ça le fond de mon questionnement.
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Oh, la question juive ! Je sens les pages s'accumuler.
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Libéralisme et algues vertes
sans a répondu à un sujet de NewZealand dans Politique, droit et questions de société
Facile : on est des humains, la seule source de vie qui nous intéresse, c'est nous. L'O2 est un poison pour les plantes, au même titre que le CO2 est un poison pour nous. -
Donc, imaginons cette situation. Si un individu signe un contrat faisant de lui un esclave, et que le contrat indique qu'une rupture du contrat entraîne la mort. Est-ce qu'il est légitime de l'exécuter ? J'essaye de pousser chaque raisonnement jusqu'au bout. Le commerce n'est pas le contrat. Le commerce est instantané, alors que le contrat vend un bien future, dont l'existence n'est pas garantie.
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Pouvoir judiciaire et "pouvoir" exécutif tu veux dire ?
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Non. Si le larron est d'accord pour respecter le contrat, il n'y a pas de force. Par contre, s'il ne l'est pas, il y a force. Un peu comme dans un braquage. Si la dame met le pognon dans le sac à patate, pas d'usage de la force. Mon questionnement n'est pas pratique, mais plutôt éthique : est-il légitime d'enchaîner quelqu'un par un contrat qu'il a passé ? Je reste ouvert.
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Donc on est toujours dans la contrainte par la force, d'une façon ou d'une autre. Si le débiteur décide que sa maison est toujours à lui, bien qu'hypothéquée, et qu'il défend son bien, il va falloir lui casser la gueule d'une façon ou d'une autre, avec une force supérieure à celle qu'il est capable de fournir. Contrainte donc. Après, qui exerce la contrainte me semble secondaire. La question que je me pose c'est le caractère légitime de cette contrainte.
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Justement, je réfléchis à la différence entre le commerce et le contrat. Le commerce se base sur des échanges de valeurs déjà possédées. Le contrat, au sens large, se définit sur le long terme. Ce qui est plus problématique, car comme je l'ai dit : Est-ce qu'un individu peut se retrouver esclave d'un contrat passé ? Qui est donc ce "on" ? Et quels sont-ils ?
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En quoi c'est évident, et qu'est-ce que le DN ? Dans un monde anarcap il reste toujours les rapports de forces, qui sont de toute façon impossibles à éliminer. Donc si un groupe donné va appliquer une contrainte systématiquement dans une situation donnée, on peut déjà parler de légalité.
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Pas forcement. Une mafia (ce qui est la même chose), un groupe de pression, une communauté… peut apporter une sanction légale. Ce que j'entend par sanction légal (si je ne me trompe pas) : sanction étant appliquée de façon systématique. Donc, pour faire encore plus épuré : le respect des contrats doit-il être soumis à une contrainte (n'incluant pas "contraintes" morales, sociales ect) ?
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S'il y a un droit, c'est qu'il y a sanction par définition. Sinon on est dans le droit mou. Le sujet c'est : "Faut-il apporter une sanction légale aux contrats ?"
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Parti Pirate, que faut il en penser ?
sans a répondu à un sujet de clint dans Politique, droit et questions de société
Bah, ils sont sérieux. En France, même le Parti Libéral ne peut pas s'empêcher d'avoir une idéologie socialiste.