PABerryer

Cela me fait penser à ces tchekistes qui se faisait fusilier lors d'une purge en chantant le nom de Staline.

Bravo !

Justement il va pouvoir s'y mettre

Bienvenu à toi Florent P

J'espère que le proc va se prendre une tôle.

Refaites.

Macdonald livre à domicile

Bienvenue à toi Tylolo76. Passionné d'Histoire? Cool!

Oh en nanardcapistan on pourrait dire qu'avec une bonne assurance tout serait réglé Plus sérieusement, c'est typiquement un cas qui devrait relever de la charité privé (si l'État ne ponctionnait pas tout l'argent). Vu que nous sommes en RPF je dirais que c'est un des très rares cas où je comprendrai que cela relève de la solidarité via l'impôt.

Le soin vise à assurer un besoin primaire/fondamental comme manger ou boire. Un traitement vise à prévenir ou guérir une maladie.

C'est un soin, pas un traitement médical.

Le raisonnement est intéressant même si là tu prends "alimentaire" au sens littéral (ce qui n'est pas faux en soi). Pour info la femme de VL a déjà refait sa vie en Belgique.

Seul ils vont se faire massacrer, un mouvement global là ce serait rock n roll.

Sauf qu'il n'y a pas d'acharnement thérapeutique pour VL car justement il ne subit pas de thérapie ou traitement médical.

Pas sur que ce soit une blague.

Erf, sait-on l'ordre de priorité ? On rince d'abord les clients ou les propriétaires ?

Escrime deux fois par semaine.

Oui.

J'hésite à me mettre au tir, comment découvrir et tester?

Donc non je ne me suis pas trompé.

Le soucis est qu'il n'y a pas d'acharnement thérapeutique sur VL, il n'est pas malade. Le scandale de la décision d'arrêter les soins est que cela consiste en l'arrêt de son alimentation et de son hydratation. Ce n'est pas la même chose que d'arrêter une chimiothérapie dans le cas d'un cancer.

A partir du moment où l'on met le doigt dans l'engrenage nul ne sait où l'on va s'arrêter. l'Histoire récente est éclairante. On commence par une revendication assez anodine puis, une fois acquise on augmente les exigences jusqu'à ce que le but recherché soit atteint. Mon opposition repose sur deux choses: - un point de vue moral car on touche à un interdit fondamental, le fait de ne pas tuer qui pour moi est la règle de base de la vie en société (cf Hobbes); - un pont de vue pratique: si on commence par la demande actuelle (celle des personnes consciente) qui nous dit que cela s'arrêtera là? L'exemple belge est là pour nous démontrer que cela ne s'arrêtera pas là; l'État n'est même plus capable de s'occuper du régalien et vous voulez lui demander de d'occuper de la mise à mort des gens??? À la vue des dérives existants dans les pays ayant mit en place l'euthanasie qu'est ce qui me garantie qu'il n'y aura pas de dérives en France? On parle tout de même de la mise à mort de personnes.

Je viens d'apprendre le rappel à Dieu de René Girard, un des auteurs qui m'a le plus marqué, un très grand esprit.

J'ai cité Rand pour souligner l'arbitraire qui existe pour déterminer si une vie vaut le coup d'être vécue, ce n'était pas une pique à ton égard L'euthanasie des mineurs est légales en Belgique et les mouvements pro euthanasie militent désormais pour l'euthanasie des malades mentaux.

Nous parlons tous de choses différentes ce qui n'aide pas au débat. Bonnemaison a tué des gens. Aujourd'hui, dans la loi française, c'est condamnable. Hypothèse, mettons que l'euthanasie soit admise. Alors, selon les faits établis il a tué sans le consentement du patient. C'est indéfendable.